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C H A P I T R E 3 4

La vision de l'immense vide qui creusait l'esprit de mon agresseur me hantait.

J'avais vu des esprit pris de folie, perdant leur mémoire et leur repère, brisé en des milliards de morceaux sous mes yeux, mais jamais face à ce... à ce vide parcourut d'une faible étincelle de folie.

J'avais l'impression que mon esprit s'imposait sans cesse cette vision, l'imaginait dans les pires situations, exploités sur mes amis et ma famille, devenant de simples petits soldats sans âme.

J'entendis un vague grincement, mais mon esprit sembla identifier l'intrus, puisque je ne bougeais pas de mon lit.

Le visage sans défaut de ma mère apparut, illuminés par le faible éclats de ses cheveux et de ses yeux, transpercant l'obscurité.

Elle s'approcha prudemment du lit, comme par peur que je me mette à évacuer toute ma rancune sur elle.

J'avais malheureusement pour mon esprit passé cette étape.

Au lieu de ça, je me mis à la fixer, tandis qu'elle allumait une faible lumière, dévoilant sa longue chemise de nuit, presque semblable à la mienne et confirmant mes pensées : cette petite visite nocturne n'était clairement pas au programme.

- Indris m'a tout raconté. Je suis désolé que tu es dut voir ça.

Je gardais le silence, mon corps comme lasse de répondre, de me battre, de me répéter sans cesse et sans cesse les mêmes questions sans y trouver la moindre réponses.

Si je n'avais pas bien cerné mes parents, ils étaient évidement que des personnages de leur evergure n'était pas du genre à laisser un secret filer. Du moins pas volontairement.

- Ma meilleure amie n'a pas toujours été celle qu'elle a été maintenant. Après la naissance de ces filles, son cerveau à complètement vrillé. Elle morte pour moi.

Je ne parlais pas, n'osant pas imaginer la souffrance de voir sa meilleure amie de transformer en monstre.

Je fermais les yeux, essayant d'échapper à la vision de mes amis transformés en monstre sans âme, tout ça car j'ai été incapable de les protéger.

Ça pourrait être Keefe, me souffla la vicieuse voix dans ma tête.

Je repoussais cette voix dans un sombre coin de mon esprit et retombait sur mon immense matelas sous le regards inquiet de ma mère.

- Vous devriez essayer de prendre mes amis au sérieux, sortis je soudainement à ma mère. Je veux dire... En dehors de tout ça, il faudra bien un jour vous confronter au monde, non ? rajoutais-je, fesant référence au conseil. Ça fait bien longtemps que vous passez outre leurs lois...

- Puissions nous retarder ce jour autant que possible, répliqua ma mère.

Son ton ne laissait aucune place à la négociation, si bien que je m'efforçais à ne pas continuer sur cette pente.

- Qu'avez vous fait de l'homme que m'a agressé ?

- Il a été tué, répondit-elle froidement.

Je me redressaus soudainement, les yeux equarquillés.

- Mais... Nous aurions put...

- Il ne dirai rien, me coupa ma mère. Son esprit était totalement détruit, sa mort a été une libération pour lui.

Elle examina rapidement mon expression indignée, avant de continuer son explication :

- Tuer n'a pas toujours été si facile. Mais on ne joue pas à la guerre en assomant les ennemis, Sophie. Surtout à ce stade de leur folie. Il aurait fait bien pire, sur mui même ou sur les autres.

J'allais donc forcément confronter à tuer. Je n'y pensais pas, ou plutôt, mon esprit esquivait le sujet.

- J'ai fait des recherches sur ton ami blond.

Je me redressais immédiatement, mes yeux étincellent d'inquiétude planté dans les siens.

- Et... Tu avais raison. Sa disparition va bien plus loin qu'une simple menace. Elle est même capitale. C'est son physique qui m'a mis sur la piste, où plutôt ces yeux.

- Ces... Yeux ?

- Il a les yeux bleus glaciers, n'est ce pas ? Les mêmes que sa mère ?

J'aquiessais rapidement, sans vraiment comprendre.

- Dans ce cas ça ne peut pas être un hasard, déclara pensivement ma mère.

- Quoi donc ? m'impasientais-je, lasse de la voir tourner autour du pot.

- Il a les yeux de sa dirigeante. C'est même sûrement son petit fils, du côté de sa mère bien sûr.

Mon cerveau mis un instant à analyser l'information, la retournant dans tout les sens.

Keefe serai le petit fils de...?

Je me sentis à peine m'allonger, et vis du coin de l'œil ma mère quitter ma chambre dans un dernier chuchotement, me laissant seule avec l'angoisse que m'inspirait les questions creusaient mon esprit.

Mais...

La dirigeante n'avait t'elle pas hérité le talent de détruire les esprits de ses parents ? Un talent héréditaire ?

Alors Keefe...

Je plaquais mes mains sur mes yeux, désespérée.

Y'a t'il un scénario catastrophique que le destin m'epargnera ?

K E E F E

- J'ai envie de rentrer à la maison.

La première phrase que Jolie avait prononcé en sortant de la salle de bain, les yeux rougis et une main crispé sur le ventre.

Je n'avait rien répondu.

J'avais envie de sortir, mais pas de rentrer chez le seul endroit qui s'apparentait à un chez moi. Avec mon père.

Quelle blague.

Je n'avais sûrement pas de maison, mais j'avais des personnes à revoir.

Ma dernière accroche.

Je ne dis rien à Jolie des révélations qui avait surgis ces dernières heures me concernant, lui épargnant une vision désastreuse de ma misérable famille.

Mon esprit ne se tournait plus que vers ce mystérieux héritage qui semblait affecter chaque parcelles de ma vie.

- Keefe, m'appela Jolie, me tirant de mes pensées.

Son regard  s'arrêta sur les morceaux de miroir que j'avais brisé, et qui jonchaient misérablement par terre. Elle ne posa pas de questions, et ce contenta de me pousser vers la salle de bain, une tunique et un pantalon dans les bras. Le verrou résonna derrière moi tandis que j'observais ma pauvre tenue qui portait encore les traces de mon enlèvement, soit couverte de bouts d'herbes et de boue et l'odeur d'un goulon enragé.

Consentant que Jolie ne me laisserai pas sortir de cette salle de bain avant que je n'ai un allure convenable, je ferai mieux de me dépêcher.

La tunique était légèrement trop grande pour moi, et rêche au toucher. Je supposais qu'elle avait dut l'invoquer après toute ces années de coma, et ne restait plus qu'à prier qu'elle n'appartenait pas à Brant avant.

Je reprimais une grimace de dégoût rien qu'à cette idée.

Je passais une main dans mes cheveux à peine coiffée, habitude qui ne m'avait jamais quitté dans mes bons vieux moments de nervosité.

Il était temps de trouver un plan pour sortir d'ici.

É D A L I N E

Je reprit mon souffle, calmant ma respiration bien trop rapide. J'étais en train de courir, accompagné de tout les gnomes, après un Verdi enragé qui aurait rongé son grillage.

Ça fesait maintenant trois jours que le mastodonte s'était échappé, et quatre que les enfants était parti avec Sophie.

Personne ne se doutait de la disparition des enfants, encore soit ils les vacances.

Avec un peu d'espoir et beuacouo de chance, les enfants reviendrait avant la rentrée. Mais restait encore à voir Sophie et sa nouvelle apparence quelque peu... Spéciale.

Jamais je n'aurai imaginer laisser partir ma deuxième fille dans le même nœuds de problèmes ou l'aînée avait perdu la vie.

Je ne m'en remettrai sûrement jamais si il arrivait malheur à Sophie, ou à un des enfants.

- Lady Édaline.

Mon corps se crispa à l'entente de ce nom, et je m'empressais de me retourner en direction de l'inconnu fesant par la même occasion voler quelques feuilles coincés dans mes cheveux.

Me retrouvant nez à nez avec le conseil au grand complet.

Bon. Bon. Bon.

Désolé désolé et désolé pour le retard de ce chapitre et le fait qu'il soir un peu court 😭 ( l'avalanche de devoir n'était pas prévu )

J'espère qu'ils vous a quand même plu et qu'il est aussi compréhensible pour vous qu'il l'est dans ma tête.

N'esitez pas à commenter si vous ne comprenez pas et à voter si et chapitre vous as plus !

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