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C H A P I T R E 3 0

B I A N A

Mes mains tremblantes refermerent fébrilement les boutons de la tunique, accentuant les clignotements incontrôlés qui marquaient mon corps.

Crise de panique.

Pathétique. Il avait suffit qu'on me laisse quelque secondes dans une pièce pour enfiler des vêtements propres pour qu'un flot d'angoisse me submerge.

Sauf que cette fois, j'étais seule. Ma mère n'étais pas là. Mes... Crises ressurgissait parfois. Ça avait commencé avec Alvar, ou plutôt la vraie personnalité d'Alvar. Ma mère m'avait affirmé que ce n'était que ce n'était qu'une conséquence de mon talent qui remontait. Trop d'émotions entraînait perte de contrôle, et une perte de contrôle n'étais jamais bon.

Je glissais le long d'un mur, mes mains pressants mes yeux dans l'espoir d'atténuer mon angoisse. La situation n'arrangait clairement rien. J'avais beau être entourée, aucun d'eux ne me donnerait de quoi atténuer ma panique.

Soit des somnifères. La seule solution qu'avait trouvés ma mère pour me calmer. Mon père et mon frère n' en savait rien, ils m'auraient littéralement empêchés de sortir à vie, et ma mère le savait plus que n'importe qui, elle avait finis, à contre cœur, de ne rien leur dire de cette facette de moi. Elle n'en avait parlé qu'à Elwin d'en l'espoir de trouver une solution. Douche froide, berceuse, exercices de respiration... Seule les somnifères arrêtait le flot incessant de paroles et de flash qui envahissant mon esprit.

Mais il y avait autre chose. Chacune de mes angoisses, chacune de mes crises, chacune arrivait avant une perte, un mauvais moment, une mauvaise nouvelle... Comme si mon corps me hurlait quelque chose. Ma mère ou Elwin n'en savait rien, car j'avais peur qu'ils me voient comme ce que j'étais... Une folle qui ne contrôlait pas son talent et ses émotions.

J'avais la sensation... Comme un sixième sens. La veille de l'inondation de l'Atlandide, de la disparition de Keefe, Fitz et Sophie à Londres, de l'attaque de mon frère et ma meilleure amie avait été la pire... Et bien d'autre.

J'étais partis en pyjama, pas de somnifères, pas de moyen d'arrêter. Je sentis un courant froid traverser mon corps, me sortant un instant de mon angoisse. Je baissais les yeux sur mon ombre et ne mit pas longtemps à comprendre. Tam.

Un nouveau frisson parcourut mon corps, créant un vent agréable dans mon esprit chassant toute les voix. Lorsque je relevais les yeux, mon regard croisa celui de Tam. Je de tournais immédiatement mon regards, ne pouvant supporter le contraste entre ses yeux calme et les miens brouillé de larmes.

Il ne demanda pas d'explication, il se contenta de passer un bras hésitant sur mon épaule. Sans plus réfléchir j'enfouis mon visage dans son épaule, le corps secoués de tremblements. Son corps se raidit un instant, avant de se détendre, et il passa la main dans mon épaisse chevelure. À nouveau, je sentis un courant froid traquer toute mes pensées sombres et les chasser de mon esprit. Je pris une longue respiration, mon corps arrêtant doucement de s'effacer pour redevenir nette.

Une fois sur que le crise soir finis, je sentis le regards de Tam remplis de questions silencieuses.

- Ne le dis à personne, s'il te plaît... chuchotais-je, la voix éraillée.

Il ne répondit rien, mais je le sentis près à poser un flot de question. Je posais mes deux mains sur sa bouche avant qu'il ne puissa parler.

- Ne dis rien. S'il te plaît. Je... C'est juste... Un mauvais pressentiment... D'accord ? tentais-je, un sourire peu credible au lèvres.

Il baissa les yeux sur mes mains, toujours presser sur sa bouche, et je m'empressait de les retirer. Il hocha la tête, a mon plus grand soulagement, et il n'en fallut pas plus pour que nous nous remettons tout deux sur pieds, nos deux masques enfilés.

Lui et son imperturbable air froid et moi et mon sourire faussement heureux.

Nous avions au moins ce point commun.

- Merci... murmurais-je tout bas.

Son petit temps d'arrêt m'indiqua quil m'avait entendu, et il hocha la tête pour seule réponse. Il ne savait même pas de quelle angoisse il venait de me sortir. Je sortis de la pièce, une conviction en tête.

Les somnifères ne sont pas là seules solution à mes crises.

Je pris une courte respiration pour vérifier que les larmes qui coulaient sur mon visage quelque secondes plus tôt n'étais plus apparentes, et rejoignis mes amis.

Le reste se déroula comme dans un film, mes yeux défilant le paysage sans y attarder, obnibulee par ce mauvais pressentiment. Je fermais mécaniquement la cape qu'on me tendais, et recouvrit mon visage de la capuche. Je croisais le regard bleu vert de mon frère, semblable au miens, qui se contenta d'hocher la tête.

La rafaleuse franchit le portail, bien vite suivis par nos pas hésitant. Je sortis en dernière, juste derrière Tam. Ma respiration s'emballa au contact de la lumière. Tam tourna légèrement la tête, avant de ralentir, laissant un petit espace entre nous et les autres. Il se plaça à ma droite et me fixa sans un mot. Je pris ça pour une question, puisque j'y répondit :

- J'ai un mauvais pressentiment. Vraiment.

Je baissais la tête, certaine de passer pour une folle.

- C'est bon. On va juste voir Sophie, me rassura t'il.

Un bruit de foule nous interrompit.

- On est censé s'inquiéter ? demanda Dex.

- Oui, répondit simplement la rafaleuse.

- Comment ça ? s'enerva mon frère.

- Je. Ne. Sais. Pas. Ce. Qui. Ce. Passe. Compris ? Vous savez léviter ? Je ne pourrai pas tous vous porter.

Elle ne nous laissa pas le temps de répondre avant d'enchaîner :

- Très bien. Je vais vous demander de sauter et de léviter. On va la haut, on aura un meilleur point de vue, ajouta t'elle en pointant le toit d'une maison.

Encore une fois, elle ne nous laissa pas le temps de répondre que ces pieds était déjà à deux mètres du sol.

- Vous êtes sourds ? cria t'elle. Bougez vous avant que je vous arrache les boyaux pour vous les faire aspirer par le nez ! Allez !

Nous nous lançames un long regards interloqués avant de rassembler notre concentration pour léviter. Immédiatement, un vent puissant nous poussa vers la haut, nous emmenant en haut du bâtiment en un temps records.

Je vis progressivement une foule apparaître. Une foule immense. L'attention dirigé vers un même point. Un immense bâtiment, surplombant toute la place par ces hautes tourelles. Près de la foule, un immense balcon s'allongait sur une dizaine de mètres, monopolisant l'attention de la foule.

- Ils vont le faire.

Je mis quelques secondes à réaliser les paroles de Mahal, fasciner par la foule qui s'étendait sous mes yeux, toute espèce réunis.

- Qu'est ce qu'ils vont faire ? demanda Linh.

Elle ne répondit pas, les sourcils fronces témoignant de son incompréhension.

La porte s'ouvrit dans une rafale de vent, laissant le place dans un silence absolue.

Chacun leur tour, huit personnes passèrent lentement le pas de la porte dans un rythme régulier, donnant une atmosphère solanelle à la place. Chacun doté d'un charisme propre, et d'une beauté presque effrayante,ils renvoyait une image de puissance absolue.

Les deux derniers étaient les plus impressionnants : l'homme au visage parfaitement sculpté et cheveux noir semblait être né pour diriger, de sa carure ou de son regard. La femme, quand à elle était la parfaite copie de Sophie, à quelque différences. Sa chevelure était marqué par de longue boucles parfaite, contrastant avec la chevelure parfaitement lisse de Sophie et ses lèvres était différentes, plus fine. Mis à par ces détails, elle abordait la même chevelure dorés, et ce même regards brillants qui les caractérisait.

- Les deux derniers... chuchota mon frère, ce sont ces parents n'est ce pas ?

Mahal bascula sa tête en arrière, et se pencha en avant, imitant une révérence volontairement ridicule, lui faisant frôler le vide :

- Les huits piliers dans toute leur splendeur.

Mon souffle se coupa lorsqu'une neuvième personne franchit la porte. Sophie. C'etais Sophie. Mais elle était... Elle était... Iréelle.

Une robe de mousseline rose s'étalait gracieusement autour de sa personne, s'envolent gracieusement à chacun de ces pas. Son haut s'ouvrait sur un col bordé de fleur légèrement décolté, dévoilant sa peau laiteuse. Ses manches s'échappaient dans un concert de tissus bouffant flottant doucement sur sa longue jupe. Ses longs cheveux d'or tombaient gracieusement sur ses hanches et étaient surmontés d'un magnifique que diadème. Ses yeux ressortait magnifiquement avec les rayons du soleil, donnant l'impression de se noyer dans deux lagons d'or. Sa posture pose et gracieuse contrasayait avec les chuchotements abasourdis de la foule.

Je me détachais de cette vision surréaliste dans un seule but : je devais voir la tête de mon frère. Et je ne fut pas déçu, entre sa bouche tombante et ses yeux près à sortir de leur orbites, j'aurais aimé avoir une mémoire photographique pour mémoriser cette tête absolument mémorable.

Je me reconcentrais sur la scène, mon appréhension remontant en flèche. La... mère de Sophie ouvrit la bouche pour prendre la parole mais marqua un temps d'arrêt, créant une tension presque insoutenable :

- Très bien, tout le monde est là, nous pouvons donc commencer.

Un autre pilier s'avança, une elfe à la chevelure flamboyante et parcouru la foule d'un regard dur, elle prit soudainement l'épaule de Sophie, me faisant sursauter, et l'avança vers la foule :

- Voici le sujet de l'appel, prononça la l'elfe rousse d'une voix forte, me faisant sursauter. Elle est la fille du premier pilier fondateur, Elendil, protecteur de l'esprit et du dernier pilier, Artanis, protectrice de la quintessence. Récemment, le sujet à été introduit dans les cités déchus sous l'accord d'un seul pilier, et des habitants non déchus ont été introduit dans notre citée. Comme les lois stipulent, nous avons décidés...

La rousse n'eut pas le temps de finir sa phrase que des murmures surgirent de toute part, l'arrêtant.

- Nous avons décidés, cria t'elle, couvrant la foule. La fille deviendra une des nôtres, tant qu'elle nous fournira des information sur l'ennemi, qu'elle a déjà affronté, et que nous la protégeons, elle et ses compagnons, ai si que le sauvetage de l'un des siens.

Je lachais un soupir de soulagement, presque souriante. Je ne connaissais pas encore le teneur exact de cet accord, mais rien ne pouvais jouer en notre défaveur.

La rousse lâcha l'épaule de Sophie, lui laissant face au cris des habitants. Parmi tout ces hurlements, la voix d'un gobelin se demarqua :

- Comment pouvons nous être sur qu'ils sont des aventages, et non pas des menaces pour nous ?

Après cette question, les cris se transformeront en murmures impatient.

Je fermais les yeux, suppliant intérieurement Sophie de faire une de ces actions marquantes dont elle seule avait le secret.

- Je ne pourrai rien faire pour vous prouver ma bonne volonté, comme ça Sophie d'une voix presque mélodieuse. Mais je peux vous prouver que je suis un atout.

Elle leva fièrement la tête et fixa la foule, un léger sourire au lèvres :

- Avant même que ma vie s'enclenche je possédais des talents et des informations qui dépassait mon imagination. J'ai supporté 7 ans de torture mental dans l'ignorance, j'ai vu ma famille m'oublier devant mes yeux, j'ai été embarqué dans une cité inconnu, partant de mon ignorance humaine, j'ai été embarqué dans une organisation clandestine qui m'a mis face à nos ennemis. Pendant 3 ans j'ai supporté la torture, l'arrachement d'un talent, incendie, brûlure, cicatrice, poison, inondation, combat, confrontation, responsabilité qui m'ont dépassé. J'ai survécut à la culpabilité. La culpabilité de voir un esprit se briser sous mes yeux, de sentir la vie d'une personne s'échapper, de voir ceux que j'aimais souffrir par ma faute, par mes choix et sous mes responsabilité. Tous ça en 15 ans de vie active, comptant mes 140 ans de coma.

Elle s'éclaircit la gorge, les yeux laissant apercevoir les souvenirs qui traversait son esprit :

- En ce qui s'agit de mon compétences, on a modifié mon adn de milles façon pour former celle que je suis. Télépathe, Polygotte, installatrice, Optimisatrice, Teleportatrice et depuis peu, phycienne. Je ne connais rien de la face sombre, mais je connais leur alliés. Je connais leur vie, leur façon de penser, leur arme et bien d'autre. Je ne demande pas à ceux qu'on m'accepte. Je veux juste protéger mes amis. Je veux sauver mon ami, toujours au mains de l'ennemi. Je veux les battre.

Elle marqua un temps d'arrêt, reprenant son souffle :

- Je veux battre ceux qui ont détruits toute ces vies.

Un grand silence accueillit son monologue. Un silence respectueux.

Je vis les parents de Sophie s'avancer derrière elle, lui attrapant chacun une main.

- J'ai conscience des questions qui agitent votre esprit en cette instant, ajouta le père de Sophie, et je vous promets qu'elle ne resteront pas sans réponses.

Alors qu'ils continuaient de parler, la regard de Sophie devia vers nous, ou plutôt sur Fitz. Ils se regardèrent un instant dans le blanc des yeux, comme ils savait si bien le faire, et si Keefe avait été là, ils aurait sans doute eut droit à une moquerie sur Sofitz.

Mais il n'est pas là.

Fitz se tourna vers nous, le regard grave :

- Sophie veut nous voir, et je ne sais pas de quoi ils s'agit, mais elle a une mauvaise nouvelle.

Je me retournais immédiatement vers Tam, à deux doigts de lâcher un "je te l'avais dit".

Je me retournais vers mon frère, déterminé à savoir dans quelle situation Sophie s'était encore fourré.

Je- Bonjour ?

Les... J'étais en vacances ? ( c'est mon escuse oui oui ) et j'ai eut du mal à écrire ce chapitre : je l'est recommencé deux fois ( oui vraiment 😭 )

Des idées pour la suite ?

Si vous avez des questions, n'hésitez pas à les poser en commentaires et à voter si le chapitre vous a plus !

( la tenue de Sophie 👆 )

( et désolé d'avance pour les fautes 😭 )

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