Chapitre 5
Je me réveilla en sursaut.
Je paniqua quand je vue l'endroit ou j étais. Puis les souvenirs de la veille se manifestèrent. Mon premier réflexe fut de prendre la lettre. Mais elle n'étais pas. Je me leva me mettant assise sur le lit. Je lança un regard à la pièce et mes yeux s'arrêtèrent sur un jeune garçon assi sur la vielle chaise. Il dormait. Je sortis du lit et m'approcha de Tom. Il tenait la lettre de ma mère dans sa main. J'espérais fortement qu'il ne l avais pas lu. Je voulu ôter le fin papier de ses mains mais il,se réveilla et retira sa main du bureau. Lui aussi eu l air desanparé quelques secondes à son réveille.
- Salut dis-je
- salut, tu vas bien.
- Oui, tu as passé toute la nuit ici.
La manière dans il évitait mon regard confirma.
- Oh, euh puis-je avoir la lettre.
- Oui,oui bien sur. Sa voix était gêné, différentes.
- Merci.
Un silence pesant s'installa.
- Heum Carole à apporter tes affaires.
Il me pointa deux sacs par terre.
- Je ne savais pas que j avais autant de chose.
- Le bleu est le mien.
- Quoi!? Mais pourquoi.
- J'ai lu la lettre, je sais que tu vas partir et je veut venir avec toi.
Je resta sans voix, comment le savais t-il?
- Quelle est ta motivation.
- Je... Je crois que mes parents son coincé de l autre côté.
- Oh je vois ....
Oui Tom est moi étions proche mais amis, je n'aurais jamais pensé qu'il viendrait avec moi.
- Je te préviens Carole ne sais plus rien sur le monde magique,
- Est-elle vraiment différentes?
- Avec nous non mais avec toi elle va l'être.
- Hum....
Pourquoi as tu dormi ici ?
- Je voulais être sur que tu ne parte pas sans moi.
- En parlant de partir, tu ne viendra pas !
- Je ne te laisse pas le choix.
- Mais cela va être dangereux et...
- Tu as peur pour moi...
- bien sûr tu es le seule ami que j ai et je ne veut pas te perdre.
Ses yeux s'assombrirent et je ne compris pas pourquoi.
- Je m en fou je viens avec toi
- Tu t en fous, tu t en fous de ta vie. J avais commencer a crier sans avoir pourquoi.
- Et toi tu t en fous de la tienne. Il avait dit sa très doucement et calmement
- Je eu je.
- Je viens avec toi point finale
- Très bien. Prend tes affaires on dégage.
Il m'obéit.
- Au faites tu as rêver à quoi?
J'essaya de m'en souvenir mais mon cerveau était d avais différent.
- Je ne sais plu pourquoi.
- Tu pleurer et tu gémissais.
Je du devenir rouge car il ajouta
- sa ne m'a pas déranger t'inquiète.
- Ouais bon bref, ok?
- Oui bref!
- Tu peut aller a la maison pour moi ?
- Oui, pourquoi faire.?
- Rapporte un autre sac de nourriture on le divisera dans nos deux sacs.
- Et toi ?
- Dit a Carole que je dort encore. Allez fait vite.
Il me regarda avec deux points d interrogation dans les yeux. Je lui fit signe de dégager et il sortit.
Je m'installa sur le lit avec la lettre de Carole.
Il y avait deux feuille. La première contenait son histoire la deuxième un message.

Ma chère Cindy, c'est la dernière fois que je te parle en me souvenant de tout. Je voudrais te dire que je t aime et que cela ne changera jamais. Je sais que tu voudra partir, mais je ne veut pas que tu aille dans l autre monde. Je t en supplie. Ta mère va très bien elle me l as dit dans sa lettre. Vie ta vit ici. Ne la risque pas. Si tu le fait je m en voudrait toute ma vie.
Retient que je t aime que ta mère et ton père t aime et qu il ne sont pas en danger.
Adieu
Ta marraine.

Le dernier mots attira mon attention et mon rêve me revint clairement.
Je me rappelait maintenant. Des larmes s échappèrent de mes yeux et s écrasèrent sur la couette.
Un main prit mon épaule.
- Tu vas bien? me demanda Tom.
Je ne l avais pas entendu entrais.
- HEU oui, oui. Dit-je en essuyant mes larmes.
Il me montra son sac. Il n'était pas plein a rabort et je savais pourquoi.
Tom étais un garçon formidable aimant altruiste et généreux. Il avait pensé ah autres qui resterais ici il leur avait laissé de la nourriture.
- Très bien dit-je. Donne moi en la moitié je vais la mettre dans mon sac.
- Tient. J'ai pris un quitte de premier soin , des allumettes, une cordes et de l eau.
- Oh merci je n y avait pensé.
- heureusement que je suis la. Me dit il avec un sourire au coin.
Je ris pour la première fois depuis longtemps.
- Oui Tom, heureusement.
Après avoir tout ranger nous partons