Chapitre4

J'étais estomaquer aussi je n'avait pas parler depuis la fin du récit de Carole.
Je ne comprenais rien, pour moi ça n existe pas deux mondes, mais la femme aux yeux verts. La flèche que Carole m'avait montrée...
- Tiens dit-elle en me la tendant. Ta mère ma dit que tu devrais l'avoir un jour et je crois que se jour est arrivé.
J'allais la prendre quand je compris qu'elle sacrifiait ses souvenirs pour moi. Je porta ma main sur mon cœur.
- Non dit-je tu en as besoin.
- Pas autant que toi.
- Mais... je veux que te souvienne de moi, de maman, de papa.
- C'est ta famille Cindy, c'est à toi de l'avoir. De plus je ne perdrais pas tout mes souvenirs, juste ceux d'avant. Avant qu'on efface les souvenirs des autres.
- Mais...
- Il n'y a pas de mais.... Va dans ma chambre, je vais venir te la porter. Avant je vais écrire toute cette folle histoire pour que tu puisse la lire après.
- HEU depuis quand tu as une chambre.
- Toujours.
Elle me conduisit dans une petite maison qui ressemblait à un mini garage à côté de notre taudis. Encore une fois, cette maisonnette n'étais pas somptueuse. Il n'y avait qu'un lit et une table. Sur cette dernière reposé un coffre tout usée.
- A l'intérieur du coffre il y a la lettre de ta mere.
Mon estomac se retrouva dans mes talons.
J'allais saisir le coffre quand Carole attrapa mon bras. Elle me serra dans ses bras et dit:
- Je reviens dans quelques minutes.
Quand elle quitta le minie garage je ne me sentait absolument pas seul, on aurait dit que la caisse représentait une personne pour moi.
Je m'approcha doucement de la table et de la chaise. Je ne prit pas le risque de m'assoir dessus de peur qu'elle casse. J'alla directement sur le lit.
La boîte étais lourde et son couvercle aussi. Mais j'étais habitué de tout faire avec mes bras cela ne prit que quelque secondes avant de l'ouvrir.
A l'intérieur il n'y avait qu'une seule et unique enveloppe.
Encore une fois mon estomac virvolta. Des larmes coulèrent en silence sur mes joues quand je toucha au papier.
Je prit l'enveloppe et déposa la caisse par terre. Je respira un bon coup et commença doucement à l'ouvrir. Il y avait deux feuille. Sur la première le nom de Carole y était inscrit, sur la deuxième le miens.
Je prit le fin papier avec mes fines mains tremblantes

Bonjour mon amour. Je ne sais pas quand tu liras cette lettre, mais je sais que tu sera assez grande pour comprendre. Si tu lis cela c'est que tu as découvert le secret du portail. Je ne sais pas comment tu feras pour le découvrir, je ne sais rien en fait.
Je sais juste que je t aime et j'espère que tu nous pardonneras à ton père et a moi de t avoir abandonne. Puisque tu lis cette lettre tu connais donc mon histoire. Du moins du point de vue de Carole. Dit lui merci de ma part. Maintenant je vais te dire ce qui est le plus important. Tu ne dois en aucun cas venir nous chercher de toute manier il n y aucun moyen de traverser le portail du moins quand j'écris cette lettre. Ton père et moi sommes en bonne santé et rien ne nous menace. Oh et ton frere va bien aussi il s'appelle Jean. Vous ne vous êtes jamais connu et de toute manière s'il serait née avant toi tu n'a aucun souvenir de nous. Si elle le souhaite Carole te donneras son pendentif, mais là encore tu n'aura pas beaucoup de souvenir de nous. Je le répète tu n'as pas à venir Cartan nous traite bien et il n'ai pas si méchant que tout le monde le dit.
Encore une fois nous t aimons mon enfant et j'espère que tu nous pardonneras. Bonne chance dans la vie et profite en.
Suzanne , Peter et Jean <3

Une grosse larmes s'écrasa sur la feuille quand je lu la première phrase. Je me pressa de l'essayer de peur d'abîmer la lettre. Et je continua à lire le cœur battant.
Vers la 3 phrases les larmes coulaient sans que je ne pouvait les arrêtaient.
Au milieu je fut même obliger d'arrêter de lire de peur d'inonder la pièce.
Quand j'eu fini, je la relue, encore et encore. Jusqu'à m'emdormir la lettre sur le cœur. Et c'est dans cette position que me trouva Carole. Elle me passa une chaîne au coup sur laquelle était suspendu la flèche. Elle m'embrassa le front. Récupéra sa lettre de Suzanne et déposa à la place ses souvenirs qu'elle avait écrit plus tôt, elle avait ajouté un mots à la fin. Finalement elle eteindit la bougie et referma la porte.

---flash back---

«BON ANNIVERSAIRE MA CHÉRIE!!!»
Il avait crier ce très très fort. Toute la famille était réunie. Bien sur quand je dit famille cela indique qu'il y avait Carole, l'amie de ma mère et ma marraine, mes parents, Suzanne et Peter, et ma seule amie, Roxanne. Roxanne me ressemblait en tout point. Discrète, gentille, généreuse, aimable. Quelquefois, elle me faisait des blagues ou des niaiseries que je ne trouvais pas drôle du tout! Mais c'était ma seule amie. On s'était rencontrer dans un parc "Le parc des merveilles". On était vite devenues amies.

C'est le temps du gâteau et ensuite il y aura les cadeaux. Le gâteau était vraiment succulent. Double chocolat avec un colis à la framboise et du crémage au chocolat. J'ai failli me brûler les doigts en voulant prendre la bougie de 1AN avant même de l'avoir éteinte.

Comme cadeau, j'ai reçu un nouveau pyjama, 3 suçons et une nouvelle doudou toute bleu avec des étoiles de toutes les couleurs dessus.

---Flash back---

Il faisait noir. Puis une lumière s'alluma. Je courait dans un long couloir. Carole, à côté de moi avait un air affolé. Par contre, je ne voyais pas mes parents. Il y avait plein de monde. Tous paniquaient. Les enfants criaient et pleurait, les pères avaient des airs affolés et les mères pleuraient, paniquaient et disaient "qu'allons nous faire, devenir"... Puis j'entendis quelque crier...
-JE L'AI ENTENDS! ILS ARRIVENT! ILS SONT NOMBREUX!
Puis tous criaient: Attention, Faite place, Plus vite, Aaaaaahhhhh, Il sont là, Nous n'avons plus aucune chance... Les lumières s'éteignirent... Elles se rallumèrent. La confusion la plus total régnait. Tout à coup, j'aperçus enfin mes parents. Ils sont loin en arrière. Ils nous font signe de la main. Sois c'est un salut ou un attendez nous.
-Calol, faut yest attendre. (Voix de bébé)
-Non ma puce, on a plus le temps! Il te disent au revoir. Dit leur bye bye. Tu ne l'ai reverra pas avant longtemps. Allez, ne t'arrête pas!!

Et nous continuèrent à courir. J'essayais en vain de leur faire signe de la main. Je ne comprenais pas ce que Carole avais dit. Je cherchait Roxanne des yeux. Je ne reconnaissait personne. Mes parents avaient disparus. Soudain, une immense porte apparut. Des gardes essayèrent de nous arrêtez. Mais ils n'arrivaient pas arrêter le flux de personnes qui refoulaient vers eux. Nous fonçâment dans les gardes. Et nous réussirent à passer la porte. Carole se retourna. Les battants commençaient à se refermer. Ensuite tout devient noir...!