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17. Au pire

APRES la courte nuit que l'on eût le jour de l'anniversaire de Juvia, ma copine s'était réveillée avec une énorme gueule de bois et était restée toute la journée au lit. 

Certes elle ne pleurait plus mais dès que je la voyais allongé dans le lit sans bouger, le regard dans le vide, je ne pouvais que me sentir coupable. 

En effet, j'appris que ces parents l'avaient appelé pour lui souhaiter un bon anniversaire avant de l'inviter à venir dîner un soir chez eux. Jusque là, tout va bien. Poliment, ma copine avait accepté tout en leur disant qu'elle voulait avant tout voir avec moi mes disponibilités même si c'était beaucoup plus simple depuis la fin des examens. Jusque là, tout va bien. Sauf que son père lui annonça que je n'étais pas invité car ils avaient besoin d'avoir une conversation familiale. Là, ça commence à être limite. Quelque peu peiné d'entendre cela, Juvia demanda alors si ils avaient prévenu Jellal. Bien entendu, leur réponse fut négative. Juvia leur expliqua alors qu'elle ne comptait pas venir si elle était seule avec eux. Et au lieu de l'en dissuader, monsieur Lockser commença la conversation au téléphone. 

Ils voulaient lui parler de moi car j'étais le problème dans l'histoire. J'avais mit mon nez dans leur affaires alors que tout allait soit-disant très bien pour tout le monde. Apparemment, j'influençais beaucoup trop Juvia et qu'elle se dirigeait vers le mauvais chemin. 

Bien entendu, ma copine me défendit du mieux qu'elle put mais ses parents avaient déjà une idée bien précise de ma personne et c'était toujours difficile de faire changer l'avis de quelqu'un. Et là, tout dérapa. Monsieur Lockser lui demanda de choisir entre l'homme qu'elle aimait et sa famille qu'elle essayait de reconstruire. Énervée et fatiguée de tous les efforts qu'elle faisait pour rien, Juvia lâcha tout ce qu'elle avait sur le coeur. Elle leur parla de la façon dont Jellal l'avait abandonné par leur faute, la façon dont ils l'avait abandonné à cause de Jellal, la façon dont j'avais réagit au restaurant par la faute leur comportement et surtout, la façon dont elle s'était rapprochée de Jellal grâce à moi. Elle leur expliqua qu'à aucun moment je ne lui avais tourné le dos, qu'elle avait confiance en moi et qu'elle savait que ce qu'ils lui avaient fait, je ne le lui ferai jamais. Alors, avant de raccrocher, elle leur cloua le clapet en leur disant de ne plus jamais l'appeler ou chercher à la joindre car elle me choisissait et me choisira encore et toujours.

Quand elle m'avait raconté tout ça, elle était au bord de la crise de nerf et j'avais paniqué. Je ne savais pas quoi faire car pour la première fois, mes caresses et mes mots doux ne l'avaient pas calmé.

J'ai donc pousser ma fierté de coté et j'ai composé son numéro, celui de Jellal. 

Je m'étais éloigné de la chambre pour lui expliquer la situation et j'étais même prêt à le supplier pour qu'il puisse venir soutenir sa demi-soeur qui avait besoin d'aide car j'avais peur qu'elle s'effondre d'un moment à l'autre.

Il était arrivé le lendemain à la première heure. Quand j'avais ouvert la porte, j'avais découvert un Jellal avec le visage tiré sous l'inquiétude et cela me réchauffa le coeur de voir une autre personne se préoccuper de Juvia. 

J'aurai tout aussi bien appeler les filles. Peut-être qu'elles auraient su gérer Juvia mais je savais ce qu'elle avait besoin d'entendre. Maintenant qu'elle était sûre que jamais je ne la laisserai, elle avait besoin d'entendre les excuses que Jellal lui devait depuis le premier jour. 

-Merci Jellal. Merci d'être venu aussi vite.

Il hocha la tête. 

-Où est-elle ?

-Par ici, chuchotai-je tout en l'invitant à entrer dans l'appartement. 

Il retira ses chaussures et me suivit silencieusement vers notre chambre. Comme depuis maintenant trois jours, Frosh était roulé en boucle contre la poitrine de sa propriétaire alors que Juvia était allongée sur mon coté du lit, les mains sous son coussin et ses yeux bleus sans expression. 

Jellal me regarda comme pour me demander l'autorisation d'y aller.

-Je lui ai déjà dit que tu venais mais elle n'a pas réagit. Je ... Je ne sais pas ... Peut-être qu'elle a crut que je mentais. 

Jellal hocha la tête et reporta son regard sur Juvia. Il s'approcha d'elle tout en l'appelant doucement. Frosh leva sa tête en premier, reconnaissant surement son ancien maître. 

Je vis les yeux de Juvia se poser sur son frère et je me rendis compte que j'avais complètement bloqué ma respiration. 

-Jellal ? 

Le son de sa voix me brisa le coeur et je crus que mes jambes allaient céder sous l'émotion. J'essayai d'avaler ma salive alors que mes yeux me piquaient affreusement. 

-Salut Juvia. 

Ma copine se redressa doucement tout en le jugeant du regard.

-Tout va bien, Juvia, reprit son frère. Je suis là pour t'aider. Tu n'as pas à me montrer cette façade.

Soudain, elle le prit dans ses bras avant de souffler plusieurs fois pas le nez. Ses paupières étaient serrées et je compris qu'elle refusait de pleurer encore une fois.

-Tu peux te laisser aller, Juvia. Je suis là pour t'aider. 

Elle rouvrit ses yeux pleins de larmes en grands alors que ses lèvres se mirent à trembler. Elle ne se retient pas plus longtemps et laissa ses larmes coulés à nouveau. 

-Là, là, chuchota Jellal. Je suis là. 

Juvia enfouit son visage dans son cou et ce fût pour moi comme un signal pour les laisser seuls.

Je refermai la porte de la chambre avant de m'appuyer contre le mur. J'essuyai rageusement mes larmes avant de souffler plusieurs fois pour me calmer mais rien ne fonctionnait. 

Je pris la direction de la cuisine et m'arrêtai devant le frigo. 

Quelques mois après l'emménagement de Juvia, j'avais acheté un tableau blanc que j'avais accroché au frigo pour que Juvia puisse voir les différents mémos que je collai dessus de façon bien visible. C'était une façon pour elle d'essayer de s'organiser. Il était arrivé plusieurs fois que l'on se laisse de petits mots juste pour le plaisir d'en donner et d'en recevoir. Sauf que depuis trois jours, il était vide. 

Je pris le stylo noir et laissai un message pour Jellal ou pour Juvia ou pour les deux. 

"Je suis sortit. Je reviens le plus vite possible."

Je tapotai mes poches pour être sur d'avoir mes affaires personnelles avant de passer mes chaussures à mes pieds et de sortir de l'appartement. 

Je devais aller prendre l'air sinon je risquais de faire quelque chose de regrettable pour tout le monde. 

L'air frais du matin ébouriffa mes cheveux et je me mis à marcher sans réel destination. Je regardai partout autour de moi comme si c'était la première fois que je voyais les alentours. J'avais juste besoin de voir autre chose que l'image de Juvia dans le lit.

Peut-être que je prends la chose trop à coeur mais putain, comment réagir quand on voit sa copine dans cet état car elle a décidé de ne pas écouter ses parents qui lui disaient de rompre avec son copain car il n'est pas ce qu'ils veulent pour elle ? 

Je passai une main dans mes cheveux, me retenant de crier ma frustration. Depuis le jour où j'avais frappé Jellal je savais que ça allait me revenir en plein figure et que j'allais en chier. Mais je ne pensais pas que tout ça aurait autant affecter Juvia. Je voulais juste la protéger et lui montrer qu'elle était important pour quelqu'un. Qu'elle était important pour moi. Merde !

Je levai soudain la tête et me rendis compte que j'étais devant l'entrée de la gare de train. Mes pieds m'avaient inconsciemment mener au moyen de transport le plus rapide pour rejoindre Harujion et pour, peut-être, refaire le portrait de monsieur Lockser. 

Mais je savais que cela n'allait que plus blesser Juvia. 

Je jurai une nouvelle fois tout en me retenant de frapper dans ce lampadaire avec mon pied. Je ne suis pas aussi con que les autres hommes qui ont déjà fait ça avant moi. Je savais que ce lampadaire n'avait rien fait car j'étais le seul fautif dans l'histoire. 

Je tournai les talons pour m'éloigner le plus loin possible de cette gare.

Les mains dans les poches, j'arrivai rapidement au parc. Il n'y avait encore personne à part quelques clochards qui avaient dut dormir sur les bancs et quelques agents municipaux qui commençaient leur journée. 

Je m'assis sur un banc pour regarder cet immense manège. J'eus la soudaine envie de redevenir un enfant qui n'avait pas des soucis d'adultes en tête. 

Avec les yeux toujours posés sur les chevaux et les voitures en plastique du manège, je tirai mon téléphone de ma poche. Je savais qu'à cette heure là, Natsu dormait encore et je ne voulais pas recevoir les foudre de Lucy de si bon matin. 

De plus, je savais qui serai capable de me remonter le moral. Il l'avait fait peu de fois mais je savais que ça marchait à chaque fois, surtout quand c'était à cause d'une fille. Et puis, j'en avais rien à foutre de le réveiller lui. 

La tonalité résonna dans mon oreille et ce fût pour ma plus grande surprise qu'il décrocha à la deuxième sonnerie. 

-Quoi ?! s'exclama-t-il d'une voix grave. 

Je pouvais presque sentir, à travers le téléphone, l'haleine de chacal qu'il avait à cause de l'alcool.

-Hé, c'est Gray.

-Gray ?

-Oui, dis-je en levant les yeux au ciel. Tu sais, ton frère ? Le fils de tes parents ? 

-Pas trop fort, putain. 

Cette fois-ci je soupirai. C'était toujours quand j'avais besoin de lui qu'il n'était pas en état. 

-Est-ce que je peux te parler ? C'est à propos de ... de Juvia, finissais-je difficilement.

Il eût un silence puis j'entendis comme un froissement de drap et des grognements. Peut-être qu'il ne se rappelait plus qui était Juvia ?

-Tu sais ? Juvia, ma copine. La fille que ...

-Je sais qui c'est ! Attends. Donne moi deux secondes.

Je cru qu'il avait raccroché mais dès que les deux secondes furent passés, j'entendis à nouveau sa respiration. 

-Ok. Je t'écoute. 

Wahou ! C'est moi où il a déjà dessaoulé ?

-Gray ?

-Oui, je ... Euh ...

-Quoi ? Elle s'est enfin rendu compte que tu n'étais pas bon au lit et elle s'est barrée ? ricana-t-il.

-Franchement, Rogue, j'aurai préféré que ce soit ça. 

-Bah, je suis sur que vous vous en sortirez. Elle n'a d'yeux que pour toi et tu l'a déjà dans la peau alors que ça fait quoi ? Quatre mois que vous êtes ensemble ?

-Sept mois, grommelais-je. Mais là n'est pas la question ...

Je me mis alors à lui raconter tout ce qui c'était passé, sans les détails, vu son état. Il ne m'arrêta pas. Il écoutait tout simplement. Je le voyais presque tirer sur sa cigarette de temps en temps, tout en hochant la tête même si l'on n'était pas face à face. C'était une habitude qu'on avait prit dès que l'on parlait de quelque chose et qu'il fallait qu'on soit sérieux. 

-Et bien ! Tes beaux-parents sont de vrais enculés, conclut-il. 

-Je ne sais pas quoi faire, Rogue. 

-Mais t'as rien à faire, Gray. Ta meuf t'a déjà dit qu'elle t'a choisit. Et je peux dire par expérience qu'il n'y a pas de retour en arrière possible à part rompre quand une fille te dit ça. 

-Je ne veux pas qu'on se sépare. 

-Au moins ça c'est clair. Maintenant, tu vas devoir accepter sa décision et te dire que c'est le mieux pour tout le monde. 

-Mais ... Mais sa famille ... et ... et moi ... Je ne veux pas l'éloigner d'eux ...

-Ecoutes Gray, pas toute les familles sont comme la notre, ok ? Il y en a plein qui se prenne la tête pour un rien et qui ne se parle plus pendant des années mais c'est normal. C'est la vie. Pour Juvia, cette famille n'est qu'un fardeau et tu es le seul qui compte vraiment pour elle. C'est pas ce que tu voulais ?

-Oui mais pas comme ça. Et dans l'avenir ? Hein ? Qu'est-ce qui va se passer ? 

-Tu te prends trop la tête comme d'habitude. Arrêtes de tout vouloir prévoir et laisse toi guider par ta copine. Elle connait mieux sa famille que toi, n'est-ce pas ? Donc elle doit trouver ça nécessaire de prendre ses distances avec eux. Surtout si tu me dis que ça dure depuis un moment, ils ne font que récolter ce qu'ils ont semés, ces égoïstes de parents. Ils ont trop tiré sur la corde et elle a cédé, est-ce que tu comprends ?

-Oui. Je dois être celui qui rattrape Juvia. 

-Voilà le Gray que je connais. Tu es un mec bien. Ne les laisse pas te faire croire le contraire, ok ?

-Oui.

-Bon, je dois comprendre que tu ne m'appelais pas pour des conseils sur comment amener ta copine à l'orgasme ultime.

-Crétin, dis-je le sourire aux lèvres. D'ailleurs, je t'ai vu avec Minerva l'autre jour.

-Ah, elle, soupira-t-il. C'est compliqué. 

C'était toujours compliqué avec mon frère. J'étais jaloux de lui quand nous étions plus jeune. Il avait toutes les belles filles et moi, j'étais juste le "petit frère de Rogue" mais maintenant que j'avais Juvia, je voulais vraiment que mon frère se trouve une copine un peu comme la mienne.

-Maintenant, Gray Fullbuster chevalier de la princesse Juvia, vas retrouver ta demoiselle en détresse ! C'est un ordre de ton roi. 

-Merci, frangin.

-Toujours dispo' pour toi, mini-moi. 

J'appuyai sur le bouton rouge, le coeur déjà bien plus léger que tout à l'heure. Rogue avait raison. Juvia avait confiance en moi mais je devais aussi avoir confiance en elle afin de la laisser décider de comment elle voulait vivre sa vie et surtout, je devais alors confiance en moi. Je devais l'aider du mieux que je pouvais sans la forcer comme ses parents l'avaient toujours fait. 

Maintenant que mes idées étaient bien en place, je me redressai et me pressai de rentrer pour retrouver Juvia qui, j'espère, ne m'attendait pas. Je ne voulais pas l'inquiété d'avantage.

Quand j'ouvris la porte de notre appartement, le silence régnait dans toutes les pièces de l'habitacle. Les chaussures de Jellal était toujours là et la porte de la chambre était toujours fermée. J'eus envie d'y coller mon oreille mais je me retiens. 

J'allai dans la cuisine pour préparer le petit déjeuner. C'était la moindre chose que je pouvais faire pour Jellal. Pendant ce temps, je repassai la conversation que je venais d'avoir avec mon frère. 

Soudain, la porte de la chambre s'ouvrit et des pas se rapprochèrent de moi. Mon coeur se mit à battre la chamade quand je vis Juvia à coté de Jellal avec un visage bien plus rayonnant que ces derniers jours. 

-J ... Juvia ? 

-Salut Gray, sourit-elle. 

Enfin ! Enfin, elle me voit. Elle me sourit. Je réduis la distance entre nous pour la prendre dans mes bras. Je sentis ma gorge se serrer quand elle resserra son emprise autour de mes épaules. 

-Tu m'as fais tellement peur, murmurai-je pour cacher les tremblements de ma voix.

-Je suis désolée, Gray. Ce ... Ce n'était pas mon intention. 

On se sépara et nos regards s'accrochèrent. Elle avait retrouvé ses yeux pétillants de joie et de vie. Putain, elle est magnifique. 

-Excusez-moi, fit Jellal en raclant sa gorge. 

Pour la première fois, nous fûmes tout les deux gêner devant lui. 

-Mon travaille ici est terminé. Je vais donc vous laisser. 

-Attends ! J'ai fait le petit déjeuner. 

Ma copine et son frère haussèrent un sourcil. Quoi ? J'avais besoin de m'occuper.

-C'est très gentil Gray mais je suis attendu quelque part, annonça-t-il tout en se dirigeant vers la porte de sortie.

-Tu as rendez-vous avec Erza ? demanda Juvia.

-Bien sûr que non, idiote ! C'est un rendez-vous professionnel. J'ai enfin trouvé un stage mais je t'en parlerai un autre jour.

Jellal frappait gentiment la tête de Juvia du bout de ses doigts alors cette dernière gloussait. Je les regardais avec de grands yeux. Mais ... Bizarrement, je ne trouvais pas ça étrange. Au contraire. 

-Au revoir Gray. 

-Euh ... Oui ... Au revoir Jellal ... et merci ...

C'est comme ça qu'on fait n'est-ce pas ? Je suis un peu perdu.

-A bientôt ! s'exclama Juvia en secouant sa main jusqu'à ce que son frère disparaisse.

Elle referma la porte avant de se tourner vers moi et d'attraper ma nuque pour m'attirer vers ses lèvres. Mon dieu ! Qu'est-ce qu'elles m'avaient manqué. Juvia m'avait manqué. L'appartement semblait reprendre vie. 

-Tu as faim ? demandai-je.

Elle hocha la tête et je lui pris la main afin de la conduire dans la cuisine et la faire asseoir avant de lui servir les oeufs et le jambon que j'avais cuisiné. Je posai le pain puis un verre de jus et une tasse de thé. 

Les yeux de Juvia brillaient et rien ne pouvait me faire plus plaisir que de la voir manger avec appétit. 

Assit en face d'elle, je n'avais presque pas touché à ma nourriture. J'admirais chaque traits de sa personne comme si j'avais peur qu'ils disparaissent subitement encore une fois.

-Je suis vraiment, vraiment désolée, Gray. 

Je me rendis enfin compte qu'elle avait arrêté de manger et qu'elle me regardait avec des yeux qui me demandaient de la pardonner.

-Hé, pas la peine de t'excuser, Juvia. Te voir comme ça à nouveau, c'était tout ce que je demandais. 

-Merci d'avoir appelé Jellal. J'en avais vraiment besoin.

-Comment ça c'est passé ?

-Bien. Il s'est excusé, je me suis excusée. On peut dire qu'on a fait la paix. 

-Il pourra venir autant de fois qu'il faut pour ...

-Non. Je ne veux pas dépendre de lui comme je le faisais quand j'étais petite. Je t'ai toi. Je n'ai besoin de rien d'autre. 

Mon coeur me faisait mal tellement il battait fort de joie. Putain, elle allait me tuer. Juvia me prit la main et la serra doucement avant de me sourire. 

-Si tu le dis, c'est que tu en as besoin alors je respecte ta décision. Tant que tu voudras de moi, je serai avec toi. 

-Arme-toi de patience Gray car je vais avoir besoin de toi pendant un bon moment. 

-C'est tout ce que je demande parce que seul ton bonheur m'importe, Juvia. Je t'aime.

Elle utilisa son autre main pour essuyer ses larmes de joies alors que son sourire m'éblouissait presque. 

-Moi aussi je t'aime et je sais que rien ni personne ne changera la nature de mes sentiments pour toi.

***

J'avais dit que cette histoire était sensé être sans prise de tête mais regardez-moi écrire un chapitre si profond. Ahah. Je voulais juste innover et arrêter de toujours faire un triangle amoureux comme obstacle pour le couple.

Je sais que c'est pas facile tout les jours avec notre famille et notre belle-famille alors courage à tous ceux qui ont des problèmes familiaux, je sais pas expérience que c'est jamais drôle.

Le prochain chapitre sera beaucoup plus léger et marrant (enfin je l'espère ahah)

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