|| CHAPITRE IV ||
Le lendemain, début juillet 2993.
Centre de recherche sur les nouvelles divinités.
Ville d'Olympe, Olympus.
— Hélène, crie Poppy en agitant ça Tab dans tous les sens.
Déconcentrer, Kyle en profite pour me donner un coup de garde sur la pommette. Ça va laisser une marque.
— Kyle, criai-je.
Profiter de mon état d'absence était bien représentatif d'Arès.
— À l'amour comme à la guerre, tous les coups sont permis, lâche-t-il en souriant.
— Profitez d'un moment de faiblesse, cela s'appelle un coup bas.
— Pourquoi t'agites-tu, Poppy ?
Poppy monte sur le ring, ses cheveux ramenés en une queue de cheval haute.
— Ils ont débloqué nos tablettes ce matin, nous pouvons voir les articles presses, dit-elle en montrant les différents quotidiens.
— Je ne comprends pas pourquoi ils cherchaient à nous préserver à ce point ! lance Kyle en soupirant.
Poppy balayaient l'écran à un rythme effréné.
— Lisez l'article de la chroniqueuse, avant, ça aide à comprendre la colère de Zeus d'hier, explique Poppy.
Je prends la Tab de Séléné en main, le fameux article déjà affiché sur l'écran :
Chers lecteurs,
La soirée de fin d'année organisée par le lycée de nos chères jeunes divinités, tout récemment réincarner, à tourner au pugilat,
Perséphone, à donner une leçon, bien mérité à cette chère Séraphina Jones, qui allait raconter à qui voulait bien l'entendre qu'elle couchait avec le seigneur des Enfers. Et ce depuis le jour, ou ce dernier a rejeté sournoisement, notre petit bout de printemps.
La scène s'est passée devant l'établissement qui recevait cette soirée, pour le moins mémorable suite à ce petit différent qui a rendu la soirée moins ennuyeuse. Votre chroniqueuse doit avouer, que cette nouvelle version de Perséphone, est des plus esquisses, n'hésitant pas à se servir de ses poings pour remettre les idées en places des personnes un peu trop orgueilleuses.
En revanche, pour nos jeunes divinités, tout acte à ses conséquences...
L'article continuait sur les fameuses sanctions que notre groupe risquait d'avoir dans les prochaines heures. Tout en insultant Zeus de mégalomane en puissance.
— Vous avez lu l'article ? demande Anne.
La chercheuse, responsable de notre petit groupe, était accompagné des chercheuses de Perséphone et Héra. Anne semblait sur les nerfs. Azel et Amélia, à ses côtés, affichaient un large sourire.
Le visage de ma meilleure amie était en partie tuméfié, grâce à son exploit d'hier soir, mais elle n'en restait pas moins radieuse.
— Comment vont tes coquards, Amy, provoque Kyle.
— Un peu douloureux, mais rien d'insurmontable, dit Amélia en souriant. Je m'en remettrai.
Reportant mon attention sur Julie, je demande :
— Pourquoi nous pouvons lire les articles seulement maintenant ?
— Ordre du professeur Addams, dit-elle sans émotions. Il veut que vous compreniez que vos vies sont observées. Que vous ne pouvez pas tout vous permettre.
— Quelle joie, lance Poppy sans une once de joie. On ne pourra pas tomber dans la rue sans que cela figure dans la rubrique potin des tabloïds.
Anne nous observe les uns après les autres, sans une once d'émotion dans le regard. Par moment, je me demandais si les chercheurs n'étaient pas entraînés à cacher leurs sentiments.
— Les trois grands sont là, dit-elle froidement. J'ai reçu comme instruction de vous amener dans le bureau.
— Que le spectacle commence, lance Kyle avec une certaine excitation.
Avançant à travers les couloirs du centre, nous avons suivi Anne et ses deux collègues à travers le centre. J'observe Amélia, elle semblait d'un calme serein, ses traits semblaient plus doux, plus apaisé. Comme si ses dernières vingt-quatre heures avaient été effacés d'un geste. Je me questionnais sur ce qu'il s'était passé hier soir, après qu'Hadès l'a emmené loin de notre groupe.
— Que s'est-il passé avec Hadès, hier soir ? Il t'a emmené tellement vite que je n'ai pas compris ce qu'il se passait ?
Le visage de mon amie devient soudainement sombre, comme si le fait de se rappeler ce passage ne l'enchantait pas.
— Rien, juste une prise de bec.
Sa réponse était bien trop vague, pour qu'elle soit naturelle. Elle me cachait quelque chose, je le sentais au fond de moi.
— Amy, tu ne me caches rien ?
— Hélène, tu serais la première informée si je te cachais quelque chose. Ne sois pas si stressé.
Poppy s'approche, un calme serein visible sur son visage.
— Pensez-vous que l'on risque d'avoir une punition aussi sévère qu'il le dit ? demande Poppy.
— Connaissant Zeus, je suis certain qu'il prévoit une humiliation publique, crache Azel. Juste pour satisfaire ses petits besoins de pervers narcissique.
L'inversion d'Azel envers Zeus était compréhensible. Des siècles de tromperies répétés et vous obteniez une rancœur plus que justifié. Mais Héra, n'était pas douce ou docile, elle avait montré maintes fois, des tendances vengeresses face aux nombreux écarts de Zeus.
— Son orgueil le perdra, siffle Héra.
— Es-tu certaine de vouloir faire cela ?
— Athéna, nous étions d'accord.
— Je sais, mais ne serait-il pas plus sage de...
Héra fait une grimace.
— Poséidon et Apollon sont avec nous et soudainement, tu cherches à nous trahir ?
— Non... Tu as raison, faisons-le. Il ne pourra plus aider les troyens, lorsqu'il sera ligoter.
— Parfait, à la bonne heure. Tu redeviens raisonnable.
La salle où siégeait le roi des dieux était d'une blancheur immaculée. La lumière du soleil passait entre les deux lignes de colonnes Ionique au motif de feuilles de vigne de couleur or, ornait le dessus des colonnes du palais, donnant à l'endroit un aspect irréel, un paradis d'or et de marbre blanc.
Zeus était endormi sur son trône, la vanité et l'orgueil de cet homme ne l'empêchait pas de trouver le sommeil. La corde en main, nous nous sommes approchés doucement du roi des dieux, déterminer à accomplir notre tâche. Troie devait perdre, sinon la punition n'annonçait des plus sévère.
— Cache-toi derrière le siège et attend mon signal, conseille Héra.
Héra se positionne devant le trône, prenant un air des plus sévère, sa beauté n'avait d'égal que la froideur qu'elle injectait dans son regard envers son époux. J'allais me cacher derrière le trône, la corde en main, prête à agir au signal de la reine des dieux.
— Zeus, dit Héra d'une voix assez forte pour réveiller le dieu du ciel.
Le roi des dieux ouvre les yeux et dans la pièce règne, un léger silence de ceux que l'on a peur de rompre en parlant en premier.
— J'espère que tu as tes raisons pour me réveiller, Héra, dit Zeus.
Un léger grondement résonnait dans sa voix, comme le tonnerre que l'on attendait au loin.
— Nous ne devions pas prendre position dans cette guerre et j'apprends que tu conseilles les Troyens.
— Ne parle pas de ce que tu ne comprends pas, femme.
— Ose me parler, encore une fois, sur ce ton et je t'étrangle.
— Ton venin est bien beau, mon épouse.
Zeus se lève de son siège, se redressant de tout son corps, essayant de faire plier son épouse sous son joug. Héra ne plierait pas, jamais. Elle préférait être torturée plutôt que de céder quoi que ce soit à son époux.
— Mais n'as-tu pas pris position pour le clan adverse dans cette histoire ? Et tu ne serais pas la seule, à ne pas te fier à mon jugement.
Il était au courant... Une boule de peur me tiraille le fond des entrailles, sa colère je la ressentais dans le plus profond de mon être, elle me donnait la chair de poule.
Je devais agir, maintenant, avant qu'il ne soit trop tard. Vive comme l'éclair, j'encerclais le coup du dieu de la foudre et le ligotais de la tête au pied. Ce dernier crachait des injures, fulminant contre son épouse et moi.
— Vous vous croyez intelligente, cracha-t-il. Tu ne l'emporteras pas au paradis, Héra. Ton petit jeu, va se retourner contre toi, je peux te le jurer.
Revenant soudainement à la réalité, Amélia tira sur mon bras, pour me faire avancer à travers les couloirs du centre. Certainement pour éviter les regards curieux des chercheurs, à chaque nouvelle vision au sein du centre de recherche.
— Bon retour parmi nous, dit-elle en me regardant.
Le sourire qui illuminait son visage était confiant, sans la moindre crainte pour la punition que nous encourions.
— Amy, Zeus ne laissera pas passer ton écart avec Séraphina, dis-je en me remémorant le souvenir que je venais d'avoir.
— Ne t'inquiète pas pour ça, dit mon amie avec douceur.
À mon tour, j'attrape son bras et la force à me regarde. La surprise sur son visage fait à nouveau place à la douceur et la détermination. Pourquoi la trouvais-je si calme ? Pourquoi était-ce moi qui étais nerveuse ?
— Je ne ris pas, dis-je, avec fermeté. S'il est resté le même que dans mes souvenirs, il nous punira tous, soit certaine.
— Je sais, répond-elle doucement. Mais je laisse s'exprimer mes émotions, cela risque d'empiré les choses.
— Te souviens-tu de la guerre de Troie, dit Azel, s'approchant lentement de nous. La pomme de la discorde et notre complot contre Zeus pour l'arrêté.
— Oui !
— Dis-toi, que la punition ne pourra jamais être pire que ce jour-là, dit Azel en souriant.
— Mon père ne laissera pas Zeus nous punir comme il le souhaite, dit Amélia, confiante. Je lui ai parlé ce matin, il a eu l'air de comprendre mon point de vue quand j'ai expliqué ce qu'il s'était passé.
Le souvenir de la phrase de Zeus me revint en mémoire :
" Nous ne sommes plus ni au Moyen-Âge, ni à l'Antiquité !"
Mon corps se détendit, la confiance des filles me donne le courage nécessaire pour devenir plus combative, affronté la colère de Zeus, comme par le passer. Je ne dois pas laisser mes sentiments prendre le dessus sur mon esprit.
***
Dans le bureau du professeur Addams, Zeus était assis dans le fauteuil, observant chacun d'entre nous d'un œil sévère. On aurait dit un directeur d'école prêt à punir les élèves pour avoir transgressé le règlement. Même si nous avions enfreint une règle d'Olympus, cela n'en était pas moins désagréable.
J'avais l'impression qu'il calculait notre nervosité, au fur et à mesure que les minutes s'égrainaient dans un silence de plomb.
— J'ai pris ma décision, dit Zeus. Les faits de la soirée d'hier font la une de la presse, depuis ce matin. Vous ne me laissez pas le choix, pour les méfaits d'une seule personne, je vais devoir sanctionner le groupe dans son intégralité.
La tension habitant mes muscles était telle, que mes pensées se bousculaient dans ma tête. Je me répétai le même laïus, encore et encore.
Ton petit jeu, va se retourner contre toi, je peux te le jurer.....
Pourquoi cette phrase me revenait-elle en mémoire, surtout en cet instant ? À la base, elle ne m'était pas destinée. Mais elle tournait en boucle dans mon crâne, tel un avertissement à ce qui allait surement suivre.
— Amélia n'a fait que se défendre, crache Azel. Et tu sanctionnes tout le monde à cause des dires d'une pute.
— Héra, dois-je te rappelle ton petit coup d'État durant l'Antiquité ?
— Et je le referais encore dans cette vie, juste pour te rappeler que ton orgueil démesuré peut mener à des rébellions. Souviens-toi de la chute des dieux, c'est ta vanité et tes faux pas qui ont causé notre perte à tous.
L'air de la pièce s'alourdit davantage, la colère montante de Zeus et les provocations d'Azel, rendait l'atmosphère de la pièce lourde, charger de sous-entendu, de non-dit caché et d'une excitation grandissante venant du dieu de la foudre.
J'en avais la nausée et la chair de poule. Pourquoi les hommes devaient-ils être si primaire ?
— Zeus, rappelle le professeur Addams à l'ordre. Ils attendent ta décision.
Reprenant soudain une certaine contenance, le roi des dieux, nous jaugent du regard.
— Mais il y a une chance pour que vous vous en sortiez sans punition, dit le dieu de la foudre d'une voix neutre. Nous avons réfléchi cette nuit à la manière dont vous pourriez vous en sortir.
— Et comment pourrions-nous, réussir ? demanda Amélia.
— Dans une partie de Laser Games, spécial divin.
La surprise sur mon visage reflétait celle de mes amis.
Zeus reprit :
— Si vous remportez la partie, vous serez libres de faire ce que bons vous semble, vous passerez vos vacances sans l'ombre de notre présence.
— Et si nous perdons ? demande Amélia, en sachant qu'il y avait toujours un mais avec lui.
— Si vous perdez, vos vacances seront programmer et encadrer par nous, les trois grands, durant les deux mois à venir. Perséphone devra s'excuser auprès de la famille de Séraphina Jones pour son écart dans un communiqué de presse. Cela apaisera les tensions entre la Terre et Olympus.
— C'est une blague, lance Azel. C'est une humiliation publique que tu donnes à Amélia, tout cela parce qu'elle n'a fait que se défendre.
La colère de Zeus se ressentait à travers la pièce. L'électricité dans l'air remplissait le bureau d'une lourdeur étouffante, voire collante, j'avais même l'impression que l'endroit était devenu plus sombre. La lumière artificielle avait diminué ou semblait s'éteindre à mesure que la colère de Zeus grandissait.
— Azel, stop, dit Amélia en soupirant. Je suis prête à me plier à la punition.
Amélia n'avait jamais paru aussi déterminée, l'assurance dans la voix indiquait clairement qu'elle était prête à tout pour éviter un scandale politique. Cela cachait quelque chose, surtout venant d'elle ? Que lui avait dit Hadès hier soir, pour qu'elle adopte un tel changement dans son comportement ?
— Si cela peut apaiser les tensions entre la Terre et Olympus, je m'y plierai.
— Voilà des paroles pleines de sagesse, venant de la personne qui a causé tout ce bazar. Votre punition aura lieu demain, en début d'après-midi.
Zeus se leva du siège et quitta la pièce, suivit de ses deux frères, sans un mot de plus. Les doigts d'Hadès frôlent le bras d'Amy, celle-ci restant impassible à son geste, seuls leurs regards se croisent, reflétant la tension qui subsistait entre eux. Mon amie détourne le regard et le pose sur son père, tandis que le dieu des morts, sort de la pièce.
Mon cerveau cherchait à interpréter ce dont j'avais été témoin. était-il possible que malgré tout, ils aillent encore des sentiments l'un pour l'autre ?
Le professeur Addams, ne parle pas, se contente de se rassoir sur son siège et de toiser chacun d'entre nous du regard.
— Bien, nous pouvons dire que votre punition, ne tombe pas au bon moment, dit-il.
— On ne remerciera jamais assez Amélia, lance Carrie avec dédain. Il aura fallu que tu t'emportes pour des broutilles.
— J'ai déjà dit que j'étais désolé, plaide-t-elle.
— Mais quel culot, lance Rhys. Et c'est celle qui a voulu faire assassiner une mortelle, pour la simple raison que les hommes la trouvaient plus belle.
Carrie ne dit rien, elle semblait s'être fermée comme une huitre, mais la remarque de Rhys l'avait atteinte. Éros n'avait jamais pu se résoudre à tuer Psyché, il était tombé amoureux de cette mortelle. Une raison de plus, pour moi, de considéré l'amour comme un fléau. Il corrompait les âmes les plus pures, les rendaient ivres d'avidité, de possession. Je détestais l'amour juste pour cela.
Le professeur Addams se redresse, tapant du poing sur la table, fusillant chacun d'entre nous du regard. Surprit par ce coup de sang, nous avons observé le chercheur en chef du centre.
— Ça suffit, vos chamailleries sont puériles. Cela ne vous aidera en rien à gagner contre les trois grands.
Un silence pesant règne dans la pièce. Mon cœur s'accélère en proie à l'inquiétude provoquée par sa phrase. Les trois grands réunit possédaient une puissance à nul autre pareil. Ils avaient mis fin à la Titanomachine en combinant leur pouvoir. Gagner contre eux, était un jeu perdu d'avance.
— Le laser game divin du centre est très différent de celui que vous pouvez imaginer, continue le professeur Addams. Il a été conçu pour vous entrainer au combat de terrain, en cas d'attaque. Ces trois là, le connaissent sur le bout des doigts. Ce sera un trois contre trois, il y aura le choix des armes, la maitrise de vos pouvoirs, sans oublier que le jeu se fera dans des conditions extrêmes dont vous n'êtes pas habitué. Ce n'est pas pour rien que Zeus a choisi ce jeu pour vous punir, c'est une démonstration de pouvoir. Il vous montrera tel que vous êtes, c'est-à-dire, faible.
— Le professeur Addams à raison, dit Anne depuis le coin de la pièce. Zeus fera tout pour qu'Amélia présente des excuses publiques. Mais c'est lui qui choisira les trois personnes à mettre dans l'arène, les armes que vous devrez utiliser et les terrains sur lesquels vous devrez les affrontez.
Je prenais pleinement conscience que Zeus avait murement réfléchi la punition. Rien n'était dû au hasard. Il profiterait certainement de ce moment, pour nous punir, Azel et moi, de ce qu'il s'était passé lors de la guerre de Troie. Une colère sourde me fit crisper les poings contre mes cuisses. Il n'avait pas changé, rien ne changerait jamais avec Zeus, sa mégalomanie restait la même à travers les siècles.
— Nous connaissons déjà les trois terrains, dit le professeur Addams. Les cieux pour Zeus, la mer pour Poséidon et les enfers pour Hadès. Il sera sur trois niveaux et peu importe votre niveau, ses trois là, sont des experts à ce petit jeu. Zeus ne l'a pas choisi par hasard, il sera diffusé en direct, l'humiliation sera publique.
— Quelle joie, il ne change absolument pas, lance Azel, une pointe de haine dans la voix. La guerre de Troie ne lui a pas servi de leçon.
— Encore faut-il qu'il retienne quelque chose, se moque Kyle.
Mon cœur cognait dans ma poitrine, jamais, je n'aurais imaginé que le passé puisse se répéter. La vision que j'avais eue ce matin, était bien un avertissement. Dans cette vie, il allait s'en donner à cœur joie.
— Vous devrez vous entraîner tous, suggère le professeur Addams. Mais, je pense déjà savoir qui il va choisir...
— Qui ? demande Rhys avec une curiosité mal placée.
— Héra, Athéna et Perséphone, conclue Anne.
Nous nous sommes observés toutes les trois, la nervosité provoque une boule au sein de mon estomac, nouant mes entrailles. Quant à Amélia, elle semblait plus déterminer que jamais à se mesurer à la personne qui lui avait arraché le cœur. Son aura me fait frissonner. La colère sourde et légendaire de Perséphone, le monde en avait entendu parler mais le voir, personne n'y était préparé.
J'étais inquiète, pour elle et pour nous. Tout reposait sur ses épaules et sur son niveau de combat, qu'elle allait devoir augmenter rapidement.
Coucou mes pomegranates intersidéral.
Vous l'avez longtemps attendue et voici enfin la suite de GOW. J'espère que se chapitre vous a plu ?
Et qu'il vous permettra d'attendre jusqu'au prochain puisque pour le moment, je travaille sur les dernières corrections de QOTU qui doit paraître cette année en ebook et broché. Vous aurez trèsvite la date de sortie avec les informations ou vous pourrez le trouvé.
Le prochain chapitre devrait sortir le mois prochain, mais si je vois que je le finis plus rapidement que prévus vous l'aurez plus rapidement. Surveiller bien le compte.
Je vous fait de gros bisous.
Emy
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