Chapitre 18
Bonjour à tous ! Comment ça va ?
Moi je me porte bien. Nous voilà pour ce dix-huitième chapitre. J'espère que vous l'apprécierez. ( Oui j'expédie ça en vitesse car je n'ai, hélas pas grand chose à dire à part que les françaises on gagnait leur match de foot ( je regarde presque jamais mais je les ai quand même encouragé )
Bonne lecture !
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- Et là, vous êtes embrassés avant de partir plus loin pour chercher un peu d'intimité. Acheva fièrement Akaza.
- Oh Shinobu ! Quelle débauche ! S'exclama Ezelmie entre deux rires.
- NON !! Ce n'est pas ce qui s'est passé ! Hurla la petite pilier, les joues rouges.
- Si ! Il s'est même jeté sur elle pour l'embrasser ! S'écria Akaza, accentuant le mal de tête de la courtisane aux yeux violets.
- Sérieux ?! Demanda Ezelmie en pleine euphorie.
- Arrêtez de dire n'importe quoi et laissez-moi vous raconter ce qui s'est réellement passé !
Une fois tout le monde calmé, Shinobu se racla la gorge avant de commencer.
- Donc, reprenons.
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- Shinobu ?
- Tomioka-san ?!
- Bon, je vais vous laisser seul tout les deux. Dit la vielle dame, un grand sourire au lèvre et en faisant un clin d'œil à la courtisane avant de s'enfuir.
La Kocho était paralysée par la surprise. Comment pouvait il la reconnaître seulement quand il était ivre ? D'ailleurs, dès qu'elle l'observa un peu mieux, elle put constater à quel point il avait abusé de l'alcool. La jeune femme était même étonnée qu'il puisse encore tenir sur ses deux jambes et se doutait bien qu'il ne se souviendrait de rien le lendemain. Il marchait, un peu chancelant, dans sa direction, s'aidant des murs par moments. Après quelques instants, Shinobu a remarqué une deuxième chose étrange, Tomioka se rapprochait énormément d'elle. La hashira du poison avait beau se reculer, le jeune homme à la chevelure corbeau s'avançait toujours au point que Shinobu se retrouva dos au mur avec Giyu à quelques centimètres de son visage rouge.
Elle ne comprit pas bien la suite des événements quand le pilier de l'eau la souleva pour la porter façon mariée. Shinobu fit un petit cri de surprise, le visage entièrement repeint en rouge. Elle fut même contrainte de passer ses bras derrière son cou pour pouvoir se soutenir car la démarche peu assurée du hashira risqué bien de la faire tomber dans les escaliers qu'il montait actuellement, quittant ainsi la pièce où les personnes présentes faisaient la chenille avec Muzan en tête de fil. Ce dernier avait laissé son tablier à Sanemi, qui ne portait d'ailleurs plus que ça sur lui.
Dès lors qu'ils furent arrivés à l'étage, Tomioka les emmenèrent dans la salle la plus proche et laissa descendre Shinobu de ses bras. Une fois de retour au sol, la petite hashira se tourna vers le jeune homme aux yeux bleus océans et constata que son aphrodisiaque était très efficace.
Ses pensées furent coupées court lorsque le pilier de l'eau la cloua une nouvelle fois au mur, son visage à quelques centimètres de son oreille.
- To- Tomioka-san... Bégaya la jeune femme, les joues et les oreilles en feu.
Le visage du ténébreux se rapprochait dangereusement du sien et elle pouvait sentir son souffle effleurer sa peau. La Kocho sentait son cœur battre si fort qu'elle se demandait si Tomioka pouvait l'entendre.
Quand le pilier de l'eau allait réduire la distance qui les séparait, la porte s'ouvrit brusquement, faisant se tourner les deux adultes.
Au pied de la porte se tenait Ezelmie, qui affichait un sourire mi surpris mi amusé et un regard rempli de sous-entendu. Shinobu réussit enfin à se dégager de Tomioka, mais lorsqu'elle voulu expliquer leur position précédente, la jeune fille fut plus rapide.
- Désolé de vous déranger pendant... ce moment agréable. Sourit elle malicieusement, entraînant ainsi un rougissement furieux de la petite pilier. Je venais juste chercher un jeux d'échecs.
La Kocho essaya de bégayer une réponse, mais Giyu les interrompit en s'effondrant sur le sol. Complétement endormie à cause de sa consommation excessive d'alcool. Les deux jeunes femmes regardèrent Tomioka, un peu étonnées, avant de reprendre leur discussion.
- On l'emmène dans notre chambre ?
- Bonne idée.
Les courtisanes tirèrent le ténébreux dans leur chambre même si elles donnaient l'impression de transporter un cadavre. Elles furent un peu gênées quand elles croisèrent la route du jeune femme travaillant également dans la maison d'Ogimoto. Heureusement, elle ne demanda rien et continua son chemin comme si elle n'avait jamais vu deux personnes portant un corps.
Une fois arrivée à destination, Ezelmie repartit, emmenant avec elle son jeux d'échecs, souriant légèrement en laissant derrière elle les deux pourfendeurs. Shinobu, pour sa part, resta au côté du pilier de l'eau pour veiller un peu sur lui. Elle le transporta jusqu'à son lit quand elle remarqua qu'il semblait avoir assez chaud. Ce n'était pas très étonnant vu que la nuit était particulièrement étouffante et l'alcool ne devait sûrement pas aider. La Kocho prit donc l'initiative de le dépassait de ses vêtements. Elle lui retira son précieux haori qu'elle plia avant de le placer à côté du lit, elle enleva également son haut et ses chaussures, le laissant torse nu. Cela lui permettait de voir son corps d'appolon qui avait été sculpté par des années d'entraînement rudes et la jeune femme essayait tant bien que mal de ne pas laisser dériver son regard, mais cela s'est révélé impossible. Shinobu se décida à partir pour pouvoir surveiller les fêtards en bas plutôt que ses abdos de dieux. Elle se leva doucement quand le ténébreux saisit son poignet, ses deux yeux d'un bleu profond la transperçant.
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- Attention ! Début de lemon.
- AKAZA, LA FERME OU JE TE CASTRE PUIS JE TE LIGOTE AU SOLEIL !!!! Bref reprenons.
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La Kocho fut assez surprise et ne put retenir un petit cri mais se reprit bien vite. Tomioka avait énormément bu et il ne se souviendrait sûrement de rien le lendemain, même si cette constatation lui arrachait un léger pincement au cœur.
- Restez allongé ici pour ce soir. Votre taux d'alcoolémie est un peu trop élevé. Sourit elle avant d'essayer de se défaire de son emprise, mais celle-ci ne fit que se raffermir.
- Ne pars pas... Murmura si faiblement le pilier de l'eau que Shinobu à failli le manquer. Ne pars pas, je t'en supplie.
Son visage montrait très clairement sa douleur et son désespoir. Ce qui était très rare de la part du jeune homme.
La hashira du poison écarquilla les yeux, choquée de voir Giyu avec une telle expression et étonnée par cette supplication, elle ne s'attendait pas vraiment à cela. Elle mit quelques secondes avant de répondre, un sourire nostalgique se dessinant sur ses lèvres.
- Désolé Tomioka-san, mais je ne vais pas pouvoir faire une telle promesse.
- S'il te plaît... Shinobu.
Le jeune ténébreux se rendormir avant que la Kocho ne puisse lui répondre. Même si elle n'aurait sûrement pas su quoi dire.
La pilier des insectes le regarda dormir paisiblement pendant quelques minutes puis se pencha vers lui, releva ses cheveux noirs qui cachait son visage et embrassa doucement son front avant de se retirer. Elle se leva, Tomioka avait enfin relâché son poignet en s'endormant, et sortit de la chambre, un peu nostalgique de le laisser derrière elle.
Mais un grand bruit interrompu, le cours de ses pensées. Elle se dirigea vers la pièce d'où était venu le son, curieuse de connaître son origine. Mais elle n'était clairement pas prête de le savoir et surtout un peu trop sobre.
Shinobu put constater que Akaza avait trouvé une réponse à ses sentiments.
Elle pouvait actuellement voire Kyojuro plaque au mur par le démon, échangeant tout deux des baisers enflammés. La Kocho n'en cru pas ses yeux : un pourfendeur et un démon pire un pilier avec une lune supérieure, s'embrassaient farouchement juste devant elle.
Elle resta paralysée quelques secondes avant de voir que Akaza commençait à baisser ses mains et qu'elle n'était pas seul à assister au spectacle. Ezelmie et Muichiro observaient avec attention la scène avant que leur aînée ne ferme brusquement la porte et les renvoie jouer plus loin. Shinobu, qui était un peu secouée, décida d'aller en bas afin de se souler. Tout passerait beaucoup mieux avec de l'alcool.
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- Cette fois s'est à moi de vous raconter ce qui c'est passé. Donc j'ai descendu mes mains afin de....
- STOP !!! On ne veut pas savoir. Par contre, je ne sais plus trop ensuite. C'est là que mon trou de mémoire commence.
- Je peux vous aider, je sais très bien ce qui c'est passé. Dans tous les cas, j'aurais un peu du mal à oublier même si je le souhaitais.
- Ah bon ?
- Ouais, tu as chanté comme une déesse.
- Moi ? J'ai chanté ? Mais j'ai descendu combien de bouteilles au juste ?
- Mais je me rappelle aussi très bien du porté avec Sanemi et son fidèle compagnon, la première lune supérieure.
-.... Pardon ?!
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Voilà c'est la fin de ce dix-huitième chapitre. J'espère qu'il vous a plu et, oui comme d'habitude je poste ce chapitre un peu tard mais bizarrement l'inspiration viens souvent le soir, bref.
Pour vous donner un très belle aperçu de la magnifique musculature des piliers 😍.
Je vous souhaite une bonne journée et une bonne nuit.
Byyye !
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