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Introduction


- ARRÊTEZ !!!!! , crie-je le plus fort possible.

Le soldat s'arrête sur le coup, surpris. Ils sont allés trop loin. Je ne peux plus me contenir. Jamais je ne voulais dire un jour ça. Quand je béni les gens, il m'arrive un malheur. Alors, si je maudis les autres... que va-t-il bien m'arriver... ? Un bonheur ? Ou bien un malheur plus grand... ?

- Soy... Soyez tous maudits !!! , m'écrie-je, en pleure, terrorisée et pleine de haine. Soyez tous maudits ! Tous autant que vous êtes ! Comment osez-vous vous en prendre à un simple village ?! Comment osez-vous ?! Je vous maudits, tous ! Vous tous ! Vous tous présents ici, tous ceux de la ville d'Uruk, vous, votre « Altesse » ! Tous ! Vous me prenez tout ! Tout ce que j'ai ! J'ai failli perdre ma vie à Uruk, tout ça parce que je suis une « moins que rien », une « incapable » ! Tout ça parce que j'ai été incapable d'être à la hauteur de « son Altesse » Gilgamesh ! Tout ça parce que je suis une femme, parce que je suis plus jeune, que je ne suis pas une fille deux tiers déesse et un tiers humaine ! Alors que j'avais enfin trouvé une vie paisible avec des gens réellement humains, vous venez tous m'enlever encore tout ça ?! Qu'est-ce que je vous ai donc fait ?! Qu'est-ce que ces gens vont ont donc fait ?! Soyez-tous maudits ! Tous maudits !

J'étais en larmes quand je disais mes propos. Gilgamesh m'a regardée avec de grands yeux, tout comme les autres soldats. Est-ce que Gilgamesh a compris qui j'étais... ? Aucune idée. En tout cas, il ne semblait réussir à réagir. Peut-être tous simplement parce qu'un prêtresse comme moi vient de maudire un peuple en entier ainsi que son Roi. Les soldats m'ont lâchée suite au choc et Vincent s'est mis à bouger légèrement.

- VINCENT !!! , m'écrie-je.

J'ai soulevé légèrement ma robe blanche et suis partie voir ce dernier, sans que qui que ce soit ne réagisse. Enfin, qui que ce soit... C'est plutôt Gilgamesh qui a dis à ses hommes de ne pas bouger.

Vincent ne bougeait presque plus. Il n'arrivait presque plus à respirer. Sa fin était proche. Très proche. Beaucoup trop proche. Les larmes continuent à couler le long de mes joues sans s'arrêter. Il lève sa main et je rattrape rapidement celle-ci. Il force un peu et je comprends très rapidement qu'il veut poser sa main sur ma joue. Je m'exécute. Il sèche légèrement mes larmes.

- T/N... Tu sais... Je... pense que... tu au... rais fais... une par... faite... reine... , murmure-t-il.

- Ne parle pas, idiot ! Tu vas t'épuiser pour rien ! Je vais aller chercher de quoi te soi...

Il sert ma main pour que je ne parte pas.

- Mais... Tu... étais... mieux en... tant que... ci... toyenne... Avec... nous... N'ai pas... peur de... tout ce... qui... c'est passé... avant... Affronte... les... Tous autant... qu'ils... sont... Vis comme... tu as... toujours... voulu... Ne laisse... pas... les autres... te... dic... ter... ta... vie... , fait-il, avec de plus en plus de mal.

Je sers sa main, ne voulant pas qu'il me laisse seule. Je pleure de plus en plus.

- Ne... pleure... pas... Je suis... heureux... de t'a... voir... rencon... trée... Si... seulement... ces bar... bares... n'étaient... jamais... venus... J'aurais... peut... être... pu... me... marier... avec... toi... et... tu n'au... rais... pas... eu... besoin... de... deve... nir... prê... tresse...

Il sourit et je sens sa main perdre de la force. Son bras tombe doucement et sa tête penche sur le côté. Il est... Je m'effondre sur lui, en larmes. Je pleure toutes les larmes de mon corps. Personne ne dit rien, sans doute touché par la scène. Gilgamesh doit faire un signe à ses hommes pour qu'ils m'emmènent puisqu'ils me prennent par les bras. Je me débats et m'agrippe au corps de Vincent.

- Lâchez-moi ! Lâchez... moi... Laissez... moi... tran... quille... , murmure-je, en larmes.

Ils ne réagissent pas, touchés et blessés.

- Emmenez-la. , fait Gilgamesh, se retournant et retournant dans son cheval.

Je sens une main se mettre sur ma bouche. Un tissu, plus. Il y a de... la poudre... ? Je me débats mais je sens mes forces me lâcher très rapidement. Je m'évanouis sans avoir pu faire quoi que ce soit.

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