Chapitre VIIINotre première
T/N
Je rougis instinctivement et tente de partir mais Gilgamesh me sert les mains pour que je reste. Il sourit, satisfait et me fait signe qu'il gère la situation. Je le sens mal, là...
Mon père nous regarde avec de gros yeux, ne comprenant plus rien. La gêne s'installe au début sur son regard mais il semble sourire, heureux de nous voir ensemble et pensant sans doute que j'avais finalement cédé à sa demande. Gilgamesh pose sa tête sur ma poitrine et regarde mon père, dépité.
- Oui ? Je peux savoir ce que vous voulez ?
- Eh... Eh bien... , commence mon père en se frottant les mains, gêné.
- Au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, nous sommes occupés. Si ce n'est pas urgent, j'aimerai bien que tu nous laisses.
Je regarde Gilgamesh, étonné de sa manière de parler. Je ne m'en étais pas rendu compte, mais... je sens de la haine dans ses propos. On sent... qu'il déteste mon père. Mon père grince des dents mais fait un sourire.
- Eh bien... Je voulais m'excuser auprès de vous pour le comportement de ma fille, tout à l'heure, mais on dirait que le problème est réglé. Peut-être était-elle trop gênée de dire oui devant tout le monde... ?
- Mais elle n'a toujours pas dis oui. , rétorque le Roi, le sourire aux lèvres.
Mon père le regarde, ne comprenant plus rien de la situation.
- Ohh... Mais on dirait que vous n'êtes pas au courant... J'ai demandé à ta fille avant ton arrivé de devenir ma concubine.
- Qu... QUOI ?!?! , s'écrie mon père, ne pouvant retenir son choc.
- Je pense que tu m'as très bien compris. Ta fille a le choix entre deux options : soit concubine, soit reine. Le choix est très dur, pour elle... et je la comprends parfaitement...
Il murmure ses dernières paroles dans mon oreille. Il me mordille après celle-ci et je me retiens de gémir. Je deviens rouge comme une tomate. Il le fait exprès, en fait ?!! Je me mords les lèvres inférieur pour me retenir de lâcher un seul son.
- Mais... Mais de quoi parlez-vous ?! Le choix est très rapide, voyons ! Elle va devenir tout de suite reine ! , fait mon père, heureux mais semblant en même temps cacher un malaise.
- Tu crois ça... ? , pouffe de rire Gilgamesh.
Il embrasse mon cou et je m'agrippe à son haut. Il veut faire rager mon père, c'est ça, hein... ? Bon, dans ce cas... Je veux bien jouer à son jeu. Mais un peu. C'est tout. Je glisse légèrement ma jambe droite contre celle de Gilgamesh. Je sens un frisson parcourir son corps et commençant à s'exciter, il m'embrasse encore plus le cou, glissant même sa langue. Mon père voit bien ce que je fais et ne sait s'il doit être heureux ou non.
- Je vais t'expliquer quelque chose... , fait Gilgamesh, tentant de rester le plus calme possible et ne pas trop céder à l'excitation. Ta fille n'est pas bête, loin de là. Elle sait très bien qu'en prenant le poste de reine, elle devra forcément me donner des enfants, et forcément un garçon. De plus, je ne supporterai pas avoir une femme ne me servant à rien, donc elle devra forcément prendre minimum une petite place dans la vie politique. Elle devra venir m'accompagner pour chaque banquet, chaque fête... et je sais très bien que ce n'est plus trop le style de notre chère T/N à l'heure actuelle. Seulement, en prenant le rôle de concubine, elle sait très bien qu'elle ne restera pas forcément dans cet endroit. Je pourrais très bien la virée pour n'importe qu'elle prétexte. De plus, en étant ma femme, elle ne sera pas obligée de succomber à mes moindres désirs sexuels, chose qui ne sera pas le cas en étant une concubine. Elle n'aura aucun rôle politique mais devrait me faire plaisir, ainsi, je pense, qu'à la grande majorité de mes hommes. La décision est donc beaucoup plus difficile que ce que tu ne peux penser...
Il lâche ma main droite pour glisser la sienne sur ma jambe droite et la remonter petit à petit. Il embrasse mes joues, se retenant de m'embrasser directement. Je le regarde dans les yeux, tentant de garder mon sang froid. Je suis rouge comme une tomate. Je ferme les yeux, sentant l'excitation monter beaucoup trop haut. Je lève légèrement ma tête, laissant mon cou beaucoup plus libre. Gilgamesh en profite pour l'embrasser encore une fois et commence à bien glisser sa langue.
Mon père était toujours là, à nous regarder, cherchant à savoir si j'allais accepter le mariage.
- Bon... On dirait que tu as fini. Dégage de là, vite. Je reviendrais plus tard, mais là, tu nous gênes. , lâche sèchement Gilgamesh.
- Bi... Bien... , s'incline mon père, n'en revenant pas de se faire expulser de la sorte.
Il sort de la chambre et on se retrouve enfin tout les deux. On se regarde dans les yeux et le silence s'installe entre nous. Au bout d'un moment, Gilgamesh se penche légèrement vers moi, prêt à m'embrasser délicatement. Je ne réagis pas, perdue. Je l'apprécie. Je l'aime. Je l'adore. Seulement... est-ce que c'est vraiment le cas pour lui aussi... ? Ou c'est pour ma famille qu'il fait ça... ?
Il s'arrête juste en face de mes lèvres, les frôlant. Je sens l'excitation monter très vite. J'ouvre légèrement ma bouche. Je veux ressentir cette même sensation que tout à l'heure... Cette chaleur... Ce bonheur...
Gilgamesh pose délicatement ses lèvres sur les miennes. Je sens un frisson de bonheur me prendre tout mon corps. Je n'arrive pas à lui répondre. Il ne réagit pas, semblant un peu déçu et se relève calmement, prêt à repartir. Je l'attrape dans le dos et me colle contre lui. Je ne veux pas qu'il parte. Pas maintenant. Il s'arrête, surpris. Il se retourne calmement, un léger sourire aux lèvres. Il caresse ma joue droite, heureux mais reste silencieux.
Voyant qu'il ne faisait rien d'autre, je me mords la lèvre inférieur. Je me jette dans ses bras et l'embrasse, ne me retenant plus. Je ne peux plus me retenir. Il ne réagit pas et me laisse l'embrasser ainsi deux minutes.
Je lui lance un regard noir et il rigole, amusé de la situation. Je l'embrasse de nouveau mais voulant qu'il réagisse lui aussi, je décide d'utiliser les moyens forts. Je le pousse, le laissant tomber à la renverse sur le lit et je m'installe sur lui. Il me regarde avec de gros yeux, ne s'y attendant pas, et fait un sourire victorieux, semblant attendre ce moment depuis un moment. Je l'embrasse, à moitié allongée sur lui.
Il décide enfin de m'embrasser et j'ouvre ma bouche pour faire rentrer directement ma langue et chercher la sienne. On s'embrasse ainsi pendant plusieurs minutes sans s'arrêter, à part pour respirer. Il se relève légèrement pour me retourner mais je l'arrête. Il se fout de moi, c'est pas possible !!! Déjà, il refuse de me répondre à mes baisers, mais maintenant, il veut dominer ?! Dans ses rêves !!!
J'attrape ses mains et continue de l'embrasser. Il pouffe de rire. J'embrasse son cou et il s'approche délicatement de mes oreilles.
- Si tu refuses que je prenne le dessus, tu le regretteras... ♥
Je lui fais un sourire de challenge. Oh... Vraiment... Tu crois ça... ?
INFORMATION !!! À PARTIR D'ICI, LE CONTENU SERA POUR « ADULTES » !!! PASSEZ JUSQU'À L'AUTRE « INFORMATION » SI VOUS VOULEZ PASSER CE PASSAGE !!!
Je glisse ma main en-dessous de son haut pour toucher son corps directement. Il a un corps parfait. Vraiment. Je commence à soulever ses vêtements, excitée. J'embrasse son torse et j'entends Gilgamesh lâché un petit gémissement. Je continue, tentant de rester la plus calme possible mais il arrive tout de même à m'avoir. Ne tenant plus ses mains, il arrive à me retourner sans trop de difficulté.
- Je – t'ai – eu !♥
Il sourit et m'embrasse. Au début, je me débats, ne voulant pas me laisser faire mais je finis par abandonner. Je lui renvois tout ses baisers et nos langues se cherchent et se touchent mutuellement. Il enlève ma robe très rapidement et moi, j'enlève ses habits très rapidement aussi, tout en continuant de s'embrasser, sauf pour faire des pauses (respirations et enlèvement d'habits).
On n'arrivait plus à s'arrêter. On se retrouve donc rapidement en sous-vêtements. Il me dévore du regard, tout comme moi. Il commence à embrasser ma poitrine. Il enlève délicatement mon soutien-gorge et me mordille mes tétons. Il glisse la langue un peu partout et je gémis, excitée et commençant à en vouloir encore plus.
Il me caresse tout mon corps sans s'arrêter. Il descend sa tête vers mon entre-jambe après avoir jouit comme il le souhaitait de ma poitrine. Il caresse mon entre-jambe pour m'exciter encore plus. J'en veux plus. Toujours plus. Je me relève et attrape sa tête pour l'embrasser. Ce n'était pas de petits baisers : l'excitation était tellement importante que nos baisers étaient plus que passionnels.
Il glisse sa main sur ma culotte et commence à la descendre, petit à petit. Une fois tout en bas, il la lâche par terre et touche directement mon corps. Le contact a été très surprenant pour moi. Tellement que j'ai poussé un gémissement et je me suis agrippée à son cou. Excité lui aussi comme un puce, il a continué à me caresser mon entre-jambe et embrasse mon cou.
Il redescend vers mon entre-jambe et glisse sa langue dedans. Je gémis mais ouvre un peu plus mes jambes pour le laisser faire.
Une fois qu'il s'est fais assez plaisir, il se relève vers moi, embrassant mon cou et commençant à enlever son caleçon. J'attrape ses mains pour les enlever et le déshabiller moi-même. Il sourit et me laisse faire, amusé et excité.
Une fois complètement déshabillé, il sourit. J'ai les joues en feu. Il m'embrasse et je lui renvoie tout ses baisers. Gilgamesh colle son bassin contre le mien et pénètre doucement en moi. Je gémis, la douleur étant grande. Il gémit lui aussi de son côté mais une fois bien en moi, on se regarde, excités comme des puces.
Il mordille mon oreille et commence à faire des allés-retours. On prenait tout les deux du plaisirs malgré la douleur. Au bout d'un moment, Gil s'arrête et s'approche doucement de mon oreille. J'ai les larmes aux yeux, étant donné que je ne m'attendais pas à ce que ça fasse mal, vu que c'était ma première fois.
- Ça va... ? , fait-il calmement. Si tu veux, on peut arrêter là...
J'enroule mes bras autours de son cou ainsi que mes jambes autours de son bassin. Je rentre moi-même plus en lui, laissant passer un gémissement, aussi bien de mon côté que du sien.
- En... Encore... , murmure-je, rouge comme une tomate.
Il me regarde étonné, rougissant et sourit gentiment.
- Comme tu veux. Tu me dis juste quand tu n'en peux plus.
Ainsi, il a recommencé à faire ses va-et-viens. J'aimais ça. J'adorais ça, même. Pouvoir savoir que Gil était à moi seule... me comblait de joie.
Lorsque la fatigue et la douleur était au plus haut point, nous avons arrêté. Il est sorti de moi et il m'a embrassée. Nous avons échangé plusieurs baisers avant que je ne m'endorme dans ses bras, complètement à bout.
INFORMATION !!! FIN DU PASSAGE POUR « ADULTES » !!! (en gros, ils ont passé la nuit ensemble)
Je me réveille doucement. Je suis la couette. Hum... ? Je me rends compte que Gil est à côté de moi. Il dort comme un gros bébé. J'approche ma main de sa tête pour lui caresser sa tête mais me souvient de tout ce que nous avons fais avant. Je deviens rouge comme une tomate et je me plonge sous la couette, gênée. Je me rends compte que je suis bien nue. Mais qu'est-ce qui m'a pris, hier ?!
Gilgamesh ouvre lentement les yeux. Il me regarde, dans un temps étonné, puis se frotte les yeux. Toujours aussi matinal, celui-là... Il m'attrape le menton et il me plaque contre lui en m'embrassant.
- Reste-là... T/N... Reste encore... un peu... avec moi... , murmure-t-il, encore à moitié dans les choux.
Il est trop mignon !!! Je rougis et lui tapote la tête. On dirait tellement un enfant. Il baille et semble revenir sur pieds d'un seul coup. Il grince des dents suite à mon comportement et rougit, gêné.
- Alors toi... , fait-il, hors de lui.
Il s'assoit d'un seul coup sur moi. Je vois son torse nu parfait. Je sens son entre jambe contre le mien et je rougis, me rappelant d'hier.
- Je vais t'apprendre à te comporter comme ça avec moi ! , grince-t-il des dents, agacé mais en même temps gêné que je l'ai vu dans cet état.
Je suis sûre aussi qu'au fond, il comptait trouver une excuse pour refaire ce qu'on a déjà fais. Je ne m'attendais pas, par contre, à ce que ce soit aussi rapide.
- A... Attends !!! Gil !!! Je... J...
Il embrasse mon cou sans que je ne puisse finir ma phrase. D'un seul coup, un garde rentre dans la chambre.
- SIR !!! C'EST TERRIBLE !!! , s'écrie-t-il, paniqué.
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