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Chapitre VI

/!\ A ceux qui ont déjà lu le chapitre VI. Je l'ai entièrement réécrit tout comme le chapitre IV. Si vous n'avez pas lu la nouvelle version, faites-le, sinon, vous n'y comprendez plus rien car j'ai changé beaucoup de détails, merci ^^' /!\


Je me réveillais sur le canapé douillet du château, une couverte d'un duvet bleuâtre. J'en souriais. C'était comme si ça me réchauffait le cœur. D'ailleurs, ça devait faire plaisir à tout le monde, non ? Imaginez-vous cette situation et dites-le-moi. La bonne odeur de crêpes se dégageait de la cuisine. Je voulais me relever, mais à la place chutais du canapé. Hé, le ridicule n'a jamais tué personne d'accord ?

« C'est drôle de te voir te daller comme ça. Riait quelqu'un un peu plus loin. J'estimais qu'il s'agissait de dents de requin.

Et ... en me retournant... Ma supposition se réalisait.

- Et d'ailleurs, tu sais quoi ? On dirait un gros vieux pervers qui matte avec ta tête. Répondais-je.

Il avait une tête dépitée juste après cette remarque. Voilà, ne jamais se moquer d'une Maeda !

- Je suis pas pervers !

- Tu peeeenses ?

Je riais, un sourire moqueur aux lèvres. Le dénommé Ginshi lâcha un grognement semblable à celui d'un chien qui voulait qu'on lui rende son joujou. Vous voyez à quel point on est sociables entre Quinckes hm ? Tout cet amour, toute cette familiarité ! Oue... Nan.

- Les crêpes sont prêtes ! Interrompait une douce voix masculine de la cuisine. Une voix caractéristique à celle de notre cher mentor Haise Sasaki. »

Je me relevais d'un coup, piquant un sprint vers la cuisine tout en sentant cette odeur qui était capable de catapulter une personne au septième ciel. Je vous jure je vais bien, je suis juste en forme.

Sur ce, je m'asseyais à table, attendant à côté de Mutsuki. On entendait des pas d'éléphants dans l'escalier, sans grands doutes Saiko. Elle aussi avait l'air d'être en pleine extase à propos de cet œuvre artistique, soit, les crêpes de Sassan. Il nous servait tous l'un après l'autre avant de poser le restant du festin sur une assiette au beau milieu de la table. C'est là que tout un scénario de film me vint en tête :

Ginshi et Saiko se regardaient droits dans les yeux, on aurait dit que chacun d'entre eux portait le courage dans son cœur et la volonté de défendre sa patrie. D'un côté, il y avait les crêpes saupoudrées de sucre. De l'autre côté, les crêpes tartinées de chocolat. La bataille n'allait pas être facile. Les deux guerriers brandirent leur fourchette, prêt à combattre pour chopper la dernière crêpe restante. C'est alors que les crêpes à la confiture vinrent se mêler de l'affaire, les interrompant tous les deux dans leur combat sans fin en leur volant la dernière crêpe. Leurs regards, se figeaient, outré parce ce qui venait de se produire devant leurs yeux. Les deux patries s'écroulaient, ayant perdu toute leur puissance. Les crêpes à la confiture avaient remporté le combat infernal.

Je revenais au monde réel, mes yeux dévoraient littéralement le tas de pâte devant moi. J'hésitais, et puis, finalement, pris la judicieuse décision d'en consommer une seconde. Rooh mince ! Je raconte quoi moi là ! Je devrais peut-être retourner dormir, non ? Mon attention se posait alors sur le seul siège vide à table, celui d'Urie, je présume.

« Urie n'est pas là ? Demandais-je d'une petite voix presque soucieuse.

Mes trois collègues levaient la tête, trois paires de yeux ronds me fixant quasi intensément.

- Iie, il voulait faire des recherches où j'sais plus trop quoi. Répondait Shirazu.

Non, je n'ai pas oublié Aizen. Je savais d'avance qu'elle ne serait pas là aujourd'hui. Elle est allée voir son très cher frère. Je n'aimerais pas dire, mais certains penseraient que ça sent l'inceste à plein nez. Ehum. J'en étais où ? Ah oui ! L'absence d'Urie. Je clignais des yeux, tel une petite fille innocente qui n'avait pas l'air d'exactement comprendre ce qu'il se déroulait devant ses yeux.

- Il rate quelque chose ! Poursuivait Saiko qui avait la bouche pleine et du sucre aux coins des lèvres. »

Je ricanais un peu de sa réplique. Mais, il était vrai que c'était dommage. Pour une fois qu'on aurait pu manger tous en ensemble tranquillement... Pas un type du genre très familial huh ? Etant chef de groupe, ce n'est pas ce qui va lui donner un avantage. Il travaille souvent seul, ou avec Ginshi, et en plus de ça, ne prend pas énormément soin de ses coéquipiers. Je lâchais un soupire avant de rattraper ma bonne humeur et de poursuivre le petit goûter en équipe.

Quatre heures passaient. Quatre heures à manger, jouer à quelques jeux de société et rire. Demain ne sera pas pareil ... Faudra se lever à nouveau tôt, aller au CCG et faire quelques recherches au sujet de Torso. Je regardais la télé, les autres étaient partis faire une sieste (de gros enfants). Haise travaillait dans son bureau, avant que la porte ne s'ouvre. Il lisait un papier tout en se dirigeant vers moi. Il s'installait à côté de moi, lisant encore avec ses lunettes rondes. J'avoue totalement qu'il avait l'air plutôt mignon avec, mais je n'en rajouterais pas plus que ça.

« Du bon travail pour un premier rapport. Lâchait-il en relevant son regard.

Je détachais mon attention du film en baissant un peu le son.

- Ah oui ?

- Hai. J'ai confiance en votre duo. J'estime que vous êtes plus que digne de faire du bon travail.

Un sourire se formait sur mon visage.

- Merci Haise.

Il me tendait le papier. Ah, mon rapport. Il y avait ajouté un commentaire en se retirant à nouveau dans vers son bureau après m'avoir fait quelques petites tapes dans le dos, comme pour me féliciter.


J'éteignais la télé et montais vers ma chambre, relisant encore et encore cette phrase. Mon sourire s'élargit, me laissant tomber sur mon lit.

C'est ça, une journée paisible chez les Quinckes. J'aurais aimé que cette journée dure pour toujours.

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