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Chapitre 31

— Elle est... euh... à la maison et elle se...repose. Oui, voilà.

Il se fiche de moi ?

— Tu m'as habituée à des mensonges plus élaborés, c'est pitoyable. Je réitère ma question : où est-elle ?

PDV Keefe

Aïe, problème.

Je ne peux pas lui dire que Paolina est actuellement au centre de soins, parce qu'elle me demanderait pourquoi, et...

Non.

— Je ne peux pas te le dire, lâchai-je d'une voix blanche.

Elle ouvrit sa bouche pour se plaindre probablement, ou me crier dessus pour avoir sa réponse, mais fut interrompue dans son mouvement par les vibrations de mon transmetteur.

C'était Elwin.

— Oui, qu'y a-t-il ? Répondis-je à l'appel sous le regard de Sophie qui signifiait « on en parlera juste après et tu vas m'entendre ».

— Il y a un problème avec Paolina, elle commence à faire une crise de colère et je ne vois pas comment la calmer... Dans son état, elle serait capable de briser un mur avec sa tête et te demander l'heure juste après.

L'elfe avait l'air très stressé et regardait une scène hors du champ de vision du transmetteur, quelques bruits résonnaient en fond et la voix de ma mentore était difficilement perceptible. Donc elle s'est réveillée, et n'est pas très contente, au son de sa voix et au ton qu'elle emprunte.

— J'arrive tout de suite ! Lui dis-je, moi aussi gagné par le stress.

Je raccrochai et me levai pour courir au luminateur à l'étage supérieur, mais Sophie me retint par le bras.

— Oui, qu'est-ce qu'il y a ?

— Pourquoi ne pas m'avoir dit que Paolina est au centre de soins ? Il lui est arrivé quelque chose ?

Son air inquiet avec ce petit pli entre ses sourcils est trop mignon... j'ai envie de le lisser du pouce pour le faire disparaître. Mais ce serait très étrange, alors non.

— Tu n'as qu'à venir, Elwin t'expliquera. Mais il faut faire vite !

Nous courûmes au luminateur en criant "Foxfire ! " à l'unisson et ne nous arrêtames qu'une fois devant le centre de soins, essoufflés. Ou plutôt : nous nous arrêtâmes en voyant qu'un mur était troué de façon circulaire — a-t-elle vraiment brisé un mur avec sa tête ? — et que Elwin, les membres du Conseil, quelques mentors et d'autres personnes, regardaient dans le large couloir, vers...

Une dizaine de minutes plus tôt

PDV Paolina

J'ai mal.

Je me suis bien amochée quand même.

Cette phrase est étrange.

Comme moi.

Comme ma vie.

J'aimerais y mettre fin maintenant, mais Coco a besoin de moi pour s'entraîner. S'il b'etait pas là, ce serait si simple... je peux toujours m'enfuir techniquement, mais il me retrouverait et me ramènerait, il me séquestreraient et puis je ne verrais plus la lumière du jour... mais ça se tente.

Quel dilemme...

Où suis-je, à tout hasard ?

*ouvre les yeux douloureusement*

Ah bah tiens, au centre de soins. Je l'aurais parié. Sur la table de chevet, quelques gourmandises, médicaments, bandages... le parfait kit du petit docteur.

Il y a des ciseaux avec... non, résiste à la tentation moi-même.

Je détournai difficilement mon regard de l'instrument — qui pouvait passer pour arme à l'occasion — et il s'échoua sur mon corps, misérable corps qui n'est vraiment pas attirant, beau ou tout ça. Juste... ce qu'il y a de nécessaire à la survie d'un mammifère quadrupède. Deux bras, deux jambes, une tête, et un plastron. Poitrine ? Pour quoi faire ?

Je me désespère.

Et enfin... mes cheveux. Mes horribles cheveux, qui traînent partout et luisent quand de la lumière a le malheur de se réfléchir dessus.

« — Oh, Pao-Pao, regarde comme tes cheveux sont beaux ! Ils brillent comme de l'or !

Arrête... Tu exagères...

Non, je t'assure ! Vois par toi-même !

Il me prit une liasse de mèches pour me les planter sous le nez.

Arrête de jouer, le réprimandai-je faussement sérieuse.

Rabat-joie, sourit-il en réponse avant de me voler un baiser. Tu ne veux jamais t'amuser, tu seras trop mature un jour et tu regretteras de ne pas avoir pu jouer comme moi plus tôt !

— Alors j'espère que tu sais que tu es assez bête et insouciant pour nous deux, très cher.

— Pas de ça avec moi ma jolie, tu as beau le cacher, je sais qu'au fond de toi tu es une enfant, certes malheureuse et qui tarde a se montrer, mais que je saurai montrer au monde. Dans un million d'années, peut être ? »

Argh, tais-toi...

Si tu savais...

Il n'est plus là pour me dire qu'ils sont beaux. Ils ne le seront plus jamais, parce qu'il n'est plus là pour me le dire et essayer de m'en convaincre.

Sans réfléchir, je m'emparai des ciseaux sur la table de chevet — avec difficulté, mon bras doit être cassé, mais tant pis — et les approchai de mes mèches blondes et soyeuses.

Décidément pas comme moi.

Pour tenter de faire quelque chose d'égal, je rassemblai ma masse capillaire et donnai un grand coup dedans. C'était plus dur que ce que je pensais, mes cheveux n'étaient pas décidés à se laisser couper. Je donnai un deuxième coup, puis un troisième, et un quatrième tant qu'à faire...

Quand j'eus fini de donner des coups de ciseau dans le vide, je pus voir toutes les mèches par terre, longues, si longues... Ma tête me semblait si légère à présent... Sans doute que c'était affreux, mais ça avait au moins le mérite de s'accorder avec le reste de mon corps.

Je suis désolée. Je coupe ces cheveux que tu aimais tant... mais si tu n'es plus là, alors eux non plus.

Elwin pénétra dans la pièce, et eut un temps d'arrêt en voyant le carnage. Je suppose, je n'ai pas de miroir. Mais sa tête — et ses pensées — en dit long.

— Que... P- Quoi ? Bégaya-t-il, bouche bée.

J'eus envie de sourire face à sa tête stupéfaite. Mais mon visage n'était pas capable d'obtempérer, se souvenant brusquement de la raison pour laquelle j'étais au centre de soins.

Je me cachai sous mes couvertures sans lui donner d'explications. Il n'en demanda pas, soupira et je l'entendis passer le balai autour du lit. En passant près de moi, il chuchota, à travers les couvertures :

— Sache que personne n'est au courant de ta présence ici, sauf Keefe et Ro, et eux seuls en connaissent la raison. Moi-même je n'en sais rien.

— Je ne t'éclairerai pas gamin, laisse tomber, soufflai-je acerbe.

Il soupira de nouveau et je l'entendis quitter la pièce, puis plus rien. Aucune pensée ne perturbait l'espace, pas de bruit.... Ah si. Des pas.

On ne peut jamais être tranquille ici, c'est incroyable.

Qui entre ? Fitz. Je le reconnais à sa démarche.

Tu sais bien que non.

Qu'on me retienne ou je lui saute dessus et je lui crève le cœur et les yeux avec ces ciseaux qui sont décidément mon salut.

— Bien le bonjour chère amie, salua-t-il dans le vide.

Devant mon mutisme, il rajouta :

— Tu es censée me répondre mais je ne vais pas m'en formaliser, cela fait un mois que tu dors après tout... tu as tant aimé que tu as dû récupérer longtemps... cela n'est pas grave. Je suis prêt à recommencer, sache-le.

Mon cœur se serra dans ma cage thoracique. Un mois. C'est très long, un mois. Et je l'ai perdu en dormant, alors que Coco court dehors et n'a pas de contrôle correct sur son talent.

Je suis pitoyable. Je me dégoûte.

Mais son ton obséquieux et ses paroles très claires m'informent qu'il a enfermé le médecin dans son bureau, sans doute avec un champ de force.

Pour changer.

— Ma chère, faut-il vraiment que tu me fasse tout ce cirque simplement parce que tu es contrariée ? Cela ne te ressemble pas.

Oh que si.

'je vais te chercher alors...

J'entendis ses pas s'approcher dangereusement de mon lit, et par réflexe, j'en sortis pour m'éloigner de lui, le plus loin possible. Je me retrouvai donc acculée près de la porte du bureau d'Elwin, qui portait effectivement un champ de force translucide, en face de mon bourreau qui arborait un sourire horrible sur la visage.

Ce sourire me fit me rappeler de cette si horrible nuit...  Ark.

En moi... il m'a pris... partir...

Partir.

Je voulus me ruer vers la porte de sortie, mais il s'interposa, me faisant entrer en collision avec son torse. J'eus un mouvement de recul, mais il me retint par les poignets. Mon bras récemment cassé me lança terriblement, un peu trop sollicité pour son état, de même que ma jambe droite, qui me donnait l'impression de vouloir partir loin de ma hanche pour faire sa vie sans moi.

— Alors, on a peur...? Sussura Fitz à mon oreille, me faisant trembler.

Arrête de te voiler la face.

— Sûrement pas de toi, rétorquai-je avec aplomb.

Si seulement.

— Tu mens bien mal dis donc, s'esclaffa-t-il. Et qu'est-ce qui peut me le prouver ?

— Rien, tu es trop borné pour le comprendre, mais je peux te faire mal, comme tu me l'as fait ce soir là... Finis-je en un murmure dans son oreille.

— Tu n'oserais pas, fait-il semblant de plaisanter, un peu hésitant néanmoins.

— Je fais ce que je veux... Qu'est-ce qui peut bien me retenir de te tuer, réfléchis-je à voix haute ? Je ne t'aime pas, tout le monde t'admire mais tu seras bien vite oublié si tu disparais, tes amis ne t'aiment plus... ou n'existent plus, cela dépend desquels on parle.

— Mais tu sembles oublier que ce n'est pas le vrai Fitz que tu as en face de toi... Continua-t-il narquoisement en reprenant de sa superbe.

Je pâlis brusquement à ces mots.

— Tais-toi, murmurai-je en lui flanquant une baffe.

Le choc et la surprise lui firent perdre le contrôle de ses champs de force, ils disparurent et Elwin parut aussitôt à la porte de son bureau, inquiet. Je ne lui prêtai aucune attention et fixai le Vacker en face de moi, attendant sa réaction.

Il sourit avec aplomb, souhaitant que je le frappe pour m'incriminer. Ce que je fis bien sûr, parce que je suis trop faible et qu'il le sait très bien. Aussi parce que ça défoule, mais ça je ne l'avouerai pas. Je ne suis pas aussi violente.

Je lui mis une deuxième gifle, puis une troisième, et une quatrième pour la route, toujours dans mon état d'hébétude. Aucune émotion ne parcourait mon corps, juste... je le frappais et ça faisait du bien.

Il se redressa enfin, prit mes mains dans les siennes et me chuchota à l'oreille :

— Ah, que j'aime quand tu me frappes comme ça....

Suivi d'une lente inspiration dans mon cou.

Je vis rouge. Mon sang ne fit qu'un tour, ma mâchoire se crispa, et mes doigts claquèrent pour lui voler son énergie vitale.

Quoique... Autant jouer un peu.

Je ne lui pris pas tout, juste de quoi me remettre en forme pour tenir debout et bouger comme une personne qui ne vient pas de passer un mois dans un lit.

Il tomba à genoux, alors que je le sentais partir. Mais trop tard. La machine est enclenchée, elle écrasera tout sur son passage.

— Qu'as-tu dit, Vacker ? Sussurai-je dans le creux de son oreille. J'ai bien peur de ne pas avoir compris...

— Aïe... Put-il seulement gémir.

Certes, mon état n'était pas enviable, m'enfin de là à en tomber par terre... il me semblait que les garçons étaient un peu plus douillets que les filles, mais pas des chochottes non plus...

— Si tu fais des commentaires aussi inintéressants, tu peux la fermer, claquai-je sèchement. Mais dites-moi, ô gens qui campent derrière la porte, à savoir docteur, conseillers et d'autres, que perdrait le monde si je nous débarrassais de ce moustique ?

— Je vous en prie ne faites pas ça ! Implora la Conseillère rose.

Oralie. Mère de Sophie. Digne de confiance.

— Quelle est votre raison de le tuer ? Demanda un autre d'un ton doux, Noland, intrigué.

Vociférateur. Figurant, peu connaissent son nom.

— Il m'a tout volé.

Des fragments de la nuit revinrent dans ma mémoire avec la force d'un boulet de canon, avec sensations, son, et bien sûr... émotions.

Peur.

Tristesse.

Angoisse.

Rage.

Colère.

Beau cocktail. Ma tête se dirigea sur lui, toujours par terre, et un sourire carnassier s'étendit sur mes lèvres gercées, sans que je ne me contrôle vraiment.

Je le relevai, lui simple chiffon inutile qui me servirait de souffre-douleur, là saisis par le cou et le plaquai au mur d'en face en usant de lévitation, ce qui rendit le choc particulièrement violent. Le mur se brisa derrière lui, tout comme ses os, et ses cris...

Je me délecte de ce son si jouissif, lui qui m'a faite souffrir... de la manière la plus horrible qui soit...

Le mur traversé, je le plaquai au sol toujours avec la lévitation, et quelques autres de ses os craquèrent sous mon poids et ma force, pour mon plus grand plaisir.

J'aurais voulu que ça ne s'arrête jamais. Je me mis à serrer mes mains autour de sa gorge, lentement, pour voir toute la souffrance et la peur sans ses yeux, pour qu'il comprenne ce que ça fait d'être au bord du gouffre et de sentir sa vie partir loin...

J'entendais vaguement les autres parler, crier, s'agiter, mais il n'y avait plus que lui et moi. Sa peau vira vers une douce teinte violette, ses yeux me devisagèrent, si purs par rapport à cette lueur qui les habitait habituellement, maintenant. Cette vision me fit lâcher, et il roula sur le côté pour tousser et cracher du sang.

Du sang...

Mon sang.

Dans le lit. Répandu partout, sur le mur, dans mes cheveux, sur moi...

Sang, Sang, SANG.

Mes gestes m'échappèrent totalement, je n'étais que spectatrice de ce qu'il se passait. Je vis vaguement deux silhouettes arriver dans le couloir d'à côté, mais je ne sus qui, tout était flou dans ma tête, aucune pensée cohérente ne passait.

Ma main s'empara lentement de sa mâchoire et la serra fort, très fort, je la sentis se craqueler sous la peau et je l'entendis distinctement, j'entendis des cris en fond, mais tout ce qui m'animait était de le voir avoir mal.

— Lâche-moi... Suffoca-t-il avec les larmes aux yeux. C'est p-

Une toux sanglante l'interrompit. Le voir trembler en toussant me donnait envie de rire.

Je ne fus capable de répondre par une phrase cinglante, bien que j'en meure d'envie au fond, mais... j'étais là sans être là. Ma main qui l'étranglait, je ne l'avais pas vraiment demandé, ça s'était fait tout seul. Tout comme ses épaules que je m'efforçais maintenant d'écrabouiller, mon regard planté dans le sien.

Il a peur. Je le sais, je le sens, je le vois. Mais de quoi a-t-il peur précisément ? De la mort ? D'avoir mal ?

— De quoi as-tu peur ? Murmurai-je à son oreille, curieuse.

Il bloqua un peu, puis me murmura en retour, la voix étranglée :

— J'ai peur que tu me fasses trop mal alors que tu sais que ce n'est pas moi.

— Je suis tellement désolée, si tu savais... j'en ai trop besoin pour être lucide et me faire une raison...

Une larme roula sur ma joue, solitaire. La culpabilité de m'attaquer à un innocent m'explosait en pleine face, brûlante et massacrante.

En repensant une seconde à notre position actuelle, et songeai que j'étais présentement assise sur sa... chose, et que les garçons étaient réputés sensibles à ce point là... Fitz dut lire ce que je voulais faire dans mes yeux, car il tenta de m'en dissuader d'un murmure. Murmure que je n'entendis qu'à peine, de nouveau spectatrice de mon propre corps.

Lentement, comme à chaque fois que je passais en spectatrice, je me levai, me décalai, et appuyai mon genou contre son sexe, certes caché par ses vêtements, mais non moins vulnérable.

Fitz gémit de douleur alors que j'appuyai plus fort, je sentis également du mouvement près de moi alors je dressai un champ de force autour de nous deux, pour le trucider tranquillement — et en silence.

Alors que je me mettais de tout mon poids sur sa partie intime, j'entendis Coco me demander d'arrêter mentalement, parmi les hurlements de mon souffre-douleur. Il a dû voler la télépathie de Sophie pour avoir cette puissance... Je suis fière.

Paolina, arrête !

— Arrêter ? Mais pourquoi faire ? Murmurai-je.

Tu te rends compte de ce que tu lui fais ?

— Oui, je lui rends la pareille, dis-je calmement sur le ton de l'évidence même.

Paolina, je t'en supplie, arrête !

Cette fois, c'était Sophie.

— Non. Tu ne sais rien.

Je recueillis une larme qui coulait sur sa joue et soufflai une excuse à son oreille.

Mais qu'est ce qu'il t'a fait à la fin ?

Je me mis à pleurer malgré moi, toujours aussi vide.

— IL M'A VOLÉ MA VIRGINITÉ !!! Me surpris-je à crier, faisant taire tous les elfes présents.

PDV Sophie

Pardon ?

— Oui, vous avez tous très bien entendu ! Ce gars, descendant d'une prestigieuse famille, a violé une fille, une ancienne qui plus est ! Il m'a empêchée de le défendre et m'a... m'a...

Elle était auparavant très calme en le torturant, mais elle s'était énervée un coup et hurlait à en briser les cordes vocales. Elle pleurait beaucoup à présent. Mais ce n'était pas disgracieux comme les autres espèces, comme les humains ou les elfes. Ses yeux n'étaient pas rouges et son nez ne coulait pas. Des pleurs parfaits, que chaque personne ayant déjà pleuré aimerait avoir. Le champ de force qu'elle avait mit en place disparut, mais elle ne le replaça pas. Elle ne bougea tout simplement plus, retirant même son genou de l'entre-jambes de Fitz.

— C'est impossible ! Hurla Biana en se jetant sur son frère. Fitz, dis-moi que tu n'as pas fait ça ! Qu'elle ment !

Il ne répondit pas, se contentant de baisser les yeux, trop amoché pour lutter. Biana le prit très mal et le gifla.

— Comment as-tu osé ! Tu n'es pas plus digne qu'un humain !

Je regardai mon petit ami, qui n'avait pipé mot depuis que la raison de cet emportement était révélée.

— Tu étais au courant ?

Il hocha la tête une seule fois. C'était suffisant.

— Désolé d'avoir dû te le cacher, marmonna-t-il le regard fuyant.

— Je ne t'en veux pas.

J'avais dit cette phrase avec sincérité, chose que je ne m'expliquai pas vraiment. Une cachotterie reste une cachotterie pourtant.

Il me regarda avec un sourire triste, et je lui serrai doucement la main.

Quand nous nous séparâmes, il alla voir Paolina, mais elle ne voulut pas partir tout de suite.

— Je veux d'abord parler aux Conseillers. Emery, cria-t-elle au concerné, à quand l'audience ?

— Nous n'avons aucune preuve de ce que vous avancez, minauda celui-ci.

Elle claqua sa langue contre son palais en roulant des yeux, son état second apparemment passé, et elle avait dû transmettre ses souvenirs au Conseiller, car il pâlit et annonça d'une voix blanche :

— Nous allons fixer une date...

Puis ils sautèrent.

[<>] [<>] [<>]

Heya.

Excusez moi de pas avoir posté plus tôt, j'étais occupée et après j'avais la flemme.

Ce chapitre est long, et le prochain aussi... Ouin.

Ok, ça me permet de donner beaucoup d'infos, mais c'est ultra long à écrire au clavier !!!!

Je vais essayer de le poster dans la même heure, mais n'oubliez pas que c'est crevant à écrire...

A tout à l'heure les pomme de terre !

Date de la NDA: Bonne question.
Date de réécriture : 16/04/2021
Date de réécriture finale : 20/10/2021

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