La Famille Hyuga
Le Vendredi 05 Novembre ~ 21H00 ~
Se réveiller dans une chambre inconnue, décidément, je ne vais pas en m'améliorant, putain de bordel de merde ! J'ai l'impression d'avoir un Sound System Jamaïcain dans ma tête.
_ J'ai faim.
Mes cordes vocales étaient dans le même état que ma tête, c'est à dire au bord du gouffre.
_ Très belle entrée en matière.
C'est un jeune homme d'après mon âge qui vient de parler, 21 ans, 1m85, le regards aussi sombre que sa chevelure de jais. Il avait tout du beau brun ténébreux, briseur de coeur et humidificateur de petite culotte.
_ Mon entrée en matière est le cadet de mes soucis, pour l'instant, j'ai faim, j'ai mal à la tête et je ne sais pas ou je suis. Je ne devrais pas être à l'hôpital?
_ Tu parles trop, répliqua le jeune, mais pour répondre a ta question, tu es chez moi.
_ Il faut bien que l'un de nous deux essaye d'éclaircir la situation, dis-je narquoise, sinon je pourrais avoir un comprimé, tu sais, pour mon mal de tête?
_ Hn, dit-il avant de sortir.
_ Hey, je te parle.
Enervée par la situation et le comportement de cette énergumène, j'essaie de me lever, mais sans succès, mon corps visiblement épuiser par les récents événements, refuse d'effectuer le moindre efforts. Mais bon sang ce n'était vraiment pas le moment, est puis où est-ce que je suis ? Qui est cet idiot ? Où est mon père ?
Un petit coup discret à la porte attira mon attention.
_ Bonsoir Mikan, je suis Aoi Hyuga, se présente la jeune fille. Je suis la soeur du jeune homme que tu viens de voir, il nous à annoncer que venais de te réveiller.
Elle se rapprochait du lit, ses yeux m'examinant minutieusement, comme pour se rassurer que tout allait bien maintenant, que dans mon cas, le plus dur était passé.
_ Tien, dit elle, je t'ai ramenée des comprimés pour ton mal de tête et de quoi grignoter.
Aoi était la photocopie de sont frère a quelque exception et en nettement plus petite et plus mignonne, ses yeux étaient d'un violet clair à la limite de la transparence, rendant sont regards envoûtant.
Tout en elle dégageait, la douceur, la bonté et l'innocence, elle m'aida à m'installer plus confortablement tout en m'expliquant la situation.
Après l'accident, j'avais été hospitalisée tout comme mon père, qui lui est toujours à l'hôpital, plonger dans le Coma après avoir subit de lourdes opérations et de grosses pertes de sang.
_ Merci de m'avoir ramené chez vous, je n'aime pas beaucoup les hôpitaux.
_ Tu nous a pas vraiment laisser le choix, interviens le HYUGA, sale hystérique.
_ Grand-frère, la coupe Aoi, lors de ton arrivée à l'hôpital tu étais inconsciente, ensuite c'était plus compliquée tu t'es réveillée, tu as piquée une crise, tu as agressée Natsume et tout ceux qui entraient dans ta chambre. Maman a préférée limitée les dégâts, elle a signée la décharge, comme étant que membres de la famille le plus proche et notre Médecin s'occupera de toi.
_ Je suis désolée pour la gêne, dis-je le plus honnêtement possible. Je n'ai que de mauvais souvenir à l'hôpital, même si cela n'excuse pas mon comportement. Je suppose que votre médecin est en route pour m'examiner, je vais me reposer quelque instant, il n'aura qu'a me réveiller quand il arrivera.
J'avais prononcer ses mots avec beaucoup de peines, mon corps et mon âme était à bout, mon père était à l'hôpital et je me sentais coupables, je ne pouvais pas me lever, ma tête était en désordre, je suis chez des gens qui me sont étranger, mais qui semble me connaître et pour finir une tonne de travail n'allait pas tarder a pointer le bout de sont nez. Mais bon, voyons le bon côtés des choses, mon père est en vie et moi aussi.
Et c'est sur cette dernière pensée que je m'endormie.
_ Mademoiselle SAKURA, fit un voix en me sortant de mon sommeil.
Cela devait être le Médecin venu m'examiner.
_ Bonjour Mademoiselle et bon retour parmi nous, je suis le Docteur Hiluluk, m'informa le praticien. Et ben jeune fille, vous avez foutue une sacrée pagaille.
_ Oh vous savez, ce n'est pas grand chose, dis-je avec un brin de malice dans la voix, mais je préfère dire que je laisse ma trace dans ce monde.
_ Ah, vous faites de l'humour, dit-il en riant, bien, bien, commençons.
Le Docteur Hiluluk avait tout d'un savant fou, sa allait de sont chapeau haut de forme aux cheveux gris en bataille cacher sous le dit chapeau. En passant par ses yeux brillant de malice, ses petites rides du sourires nichées au coin lèvres et à sa barbe complètement négligées. Il n'avait rien de l'un de ces grands médecin pompeux et snob, mais il en avait toutes l'efficacité. Mon examen se passa dans ma bonne humeur, je fus déçu quand il commença à ranger ses affaires.
_ Si vous continuez à m'épier comme ça j vais finir par rougir, dit-il en souriant. Pour les deux semaines à venir, je préconise du repos, pas d'effort inutile, et beaucoup de sieste.
_ Ça ne va pas être possible, mon père fait déjà une sieste, il faut bien quelqu'un pour maintenir la barque.
_ Je me doutais de votre réponse.
Il soupire avant de me tendre une boîte.
_ Pour l'instant je ne peut rien vous prescrire à part des comprimés pour votre mal de tête, d'ici à la semaine prochaine, vous pourrez avoir des vitamines, donc soyez patiente.
_ Oui chef! répondis-je en imitant le salut Militaire. Est-ce que je vous appel directement en cas de problème?
_ Ah, non très peu pour moi! dit-il faussement horrifié, j'ai assez de problèmes comme ça. J'ai un apprenti, vous verrez avec lui.
_ Vous me refiler comme si j'étais un ballon usagé, fis-je faussement contrariée.
_ Dans votre cas je dirais que je me débarrasse d'une bombe à retardement, rétorqua-le Docteur avec humour. À bientôt Mademoiselle SAKURA, j'espère vous revoir dans un meilleur état, j'ai vu des photos mille fois plus flatteuses de vous dans les magazines, comprenez ma déception.
En entendant cette dernière phrase, j'ai littéralement explosée de rire, tout en le regardant quitter la chambre le sourire au lèvre, il devrait y avoir plus de Docteur comme lui.
_ Je vois que c'est la fête par ici, heureuse de voir que tu vas bien Mikan, je suis Kaoru HYUGA.
_ Bonjour Madame, merci de m'avoir accueillie.
_ Madame ? Oh bon dieu ! Elle me donne du Madame ! Jeune fille, si tu veux survivre à cette année, mon prénom est Kaoru, même si je préfère que tu m'appelles marraine.
_ Marraine ?
- Il n'a même pas cherché à te rappeler qui je suis, dit-elle tristement. Ne t'inquiète pas, c'est normal que tu sois aussi perdue, la dernière fois que je t'ai vue, tu avais à peine cinq ans.
Je la regardais avec intérêt, elle s'installa dans l'un des fauteuils/ poufs de la chambre et poursuivis sont histoire.
Apparemment, Nastume, Aoi, Nami et moi formions un quatuor infernal, mais un jour nous avions fait la bêtise de trop, nos pères se sont embrouillés sur qui était le mouton noir et la mauvaise influence de bande. Après quoi, nous nous étions séparés sans jamais plus nous revoir.
_ Mauvaise influence, dis-je pensive, apparemment ce statut me colle à la peau.
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Explosive la petite Mikan, n'est ce pas ?
Sa relation avec Natsume, votre première impression ?
Que veux dire Mikan par " ce statut me colle à la peau " ?
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