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Chapitre 7

La conversation c'est très bien passée. Amy est quelqu'un de très sympathique, elle nous a même proposé le réseau des aubergistes pour voir chez qui avait logé Nayug et où il était logé en ce moment même Elle nous a indiqué ces amis, ceux qui pourront grâce à un mot de sa part nous indiqué où il dort. Ce serait très pratique pour nous. Elle veut que l'on repasse, une fois qu'on aura fini avec tout ce bazar. Cela a fait le plus grand bien a tous de discuter un peu avec quelqu'un de l'extérieur. Depuis près d'un mois nous ne parliions plus qu'avec nous-même, le temps commençait à se faire long. Le soir, elle nous servit notre repas dans la chambre et nous laissa tranquille. Qui plus est elle devait quand même s'occuper de ses autres clients, dont Nayug, elle le traita bien au minimum de la gentillesse que pouvait lui permettre son métier. Il dormait dans une chambre à l'exact opposé de nous, exigence de Gaëtan , il lui avait fait par de son souhait et elle l'avait exaucé.

Le repas était de loin le meilleur de ce que l'on nous avait servis précédemment. Il se composait de :

Salade de carottes en entrée, du poulet mariné avec des petits pois en plat de résistance, et enfin un éclair au chocolat en dessert. Cela faisait longtemps que je n'avais pas aussi bien mangé. Tout était absolument succulent. Un repas de ce genre fut fort bien apprécier par, bah tout le monde ! Amy cuisinait succulemment bien. Ce fut un parfait régale. La nuit se déroula sans anicroches, c'était parfait nous en avions grandement besoin. Une nuit intégrale comme nous n'en avions pas eu depuis bien longtemps. C'est ainsi que nous somme reparti de chez Amy bien reposés et gonflés à bloc.

-A la la comme ça m'a fait un bien fou ! S'exclama Mayla

-Ce n'est pas moi qui vais te contredire, pouffa Zoé

-Bon les petites princesses je vous préviens d'avance, toutes les nuits ne seront pas comme ça, railla Mayla

-Cesse avec ton éternel rabat-joie de service donnes-lui des vacances ! Il en abesoin ! Soupirai-je

-Bah oui... mais...non !

-Incorigible moi je te dis. Incorigible. Ma foi tu fais bien comme tu veux mais bon courage pour te trouver des amis et un travail, lui rappela Zoé

-Mouais, j'irais travailler à la forge avec mon père, comme ça pas de problème.

-T'aime pas la forge tu le dis toi-même

-Bah oui mais je ne supporte pas trop trop les gens donc je vais aller à la forge

-Tu ne seras que plus grognon

-Mais je ne devrai spas me coltiner une bande d'abruti

-C'est nous que tu viens de traiter d'abruti ?! S'enflamma Gaëtan

-Oui c'est vous.

-Ah ouais d'accord je vois le genre je ne sais pas si on aurait pas mieux fait de te laisser croupir à ta forge, s'énerva Gaëtan

-Tu penses réellement cela ?! Alors je vais te dire ce que je pense de toi stupide optimiste : vous êtes des incapables d'accord ? Vous vous plaignez tout le temps de tout et de rien ! Gaëtan et Zoé,là ? Vous êtes cool hein ?! Attends oui oui je me calme,v ous vous retenez déjà de vous embrasser  à pleine bouche quand on est là je ne vais pas vous demandez de , EN PLUS faire attention au autres. Non, non évidemment laisse-les ils sont amoureux c'est normal. Bah non ce n'est pas normal depuis le début je ne dis rien et j'avance j'aide sans compter et je soutiens sans, elle sanglota, sans... sans jamais qu'on me rende la pareil.

Elle s'écroula, enlarmes.

-Mayla ? Mayla ?Ecoutes-moi s'il te plaît. Nous t'avons mal jugée. Ne te pensions dure à cuire et tout ce qui va avec, nous avons fini par en oublier ton humanité. Excuse-nous, dis Zoé la tête basse.

-Je suis désolée Mayla. Nous... j'ai... je ne t'ai pas pris pour ce que tu étais et je n'ai pas assez fait attention à toi. Je suis vraiment désolé.

-Je... je... vousm'avez fait me donner l'impression de ne pas valoir plus qu'un sac poubelle

-Oh... Mayla... j'en suis désolée. Je n'ai pas fait attention à toi plus que ça parce que tu m'as toujours parue froide et distante. Cela ne m'excuse ma conduite strictement débile.

-J'ai toujours cru que les Srilawas étaient des profiteuses. Pour moi, elles profitaient de la société et de la naïveté des gens. Je t'ai donc traités avec l'estime fort basse que j'avais des Srilawas. Pendant ce mois de voyage, j'ai découvert peu à peu l'étendue de mon erreur. Je ne suis pas quelqu'un de très tactile, et je n'ai pas su venir m'excuser auprès de toi. J'en suis désolée. Mon ego était trop fort pour que je viennes assumer auprès de toi mon erreur, j'ai donc rien fait, c'est ma faute.

-Je crois que tout le monde est un peu fautifs... avança Zoé

-Sûrement au fond, valida Mayla avec un léger sourire, pardon général ça vous va ?

-Pas de problème, j'accepte, dit Gaëtan penaud

-Pas de problème pour moi, ne t'inquiète pas, je lui réponds

-Tout va bien, on repart de zéro du coup ? Proposa Zoé

-Oui. Oui. C'est le mieux. Faisons cesser les pratiques qui entravent les gens. Cela doit cesser, dis-je sure de moi.

-Suivons le chemin que nous avons commencer à nous tracer. Approuva Mayla

-En route.

Nous montâmes à cheval, nous lancâmes au galop. Si seulement l'ivresse de la vitesse pouvait faire oublier. Galoper, galoper, ne pas pensez à l'instabilité de l'entreprise, ne pas y penser. C'est vrai que tout repose sur la cohésion de groupe, et par conséquent les relations humaines, et ensuite sur le fait que chacun vient, sans le savoir, rajouter son grin de sel à la progression. C'est l'Homme. Il a sa propre conscience, son propre caractère, sa propre personnalité, ils nous faut impérativement compiler avec tous. Ca ne rend pas la tache facile, si seulement nous pouvions tous être stupides et écervelés ! Mais non, on ne serait pas en train de traversser tout le pays si nous étions stupides et écervellés. Si nous étions tous bêtes, nous ne construirions pas de relations, nous ne ferons pas tout pour améliorer ce qui ce passe. Donc non, je préfère ne pas être débile... mais... c'est débile d'être rentrée dans un casier de cryogénisation, non ? Je crois bien que si. C'est ce que devais en penser nos familles. En pensant ce mot, j'éprouve un pincement au cœur. Qu'est-ce qu'ils me manquent. Que je suis bête ! Pourquoi je suis rentrée là-dedans ? Qu'une seule solution, je suis bête.

-Hey ! Je suis bête, dis-je

Regards inquisiteurs, suivis à la seconde d'après par des éclats de rire sonores.

-Excuse mais ce n'est pas une nouvelle ! S'exclama Léana

-Nan mais sérieux.Je suis complétement débile !

-Arrête ! Jevais mourir de rire ! Pouffa Mayla, aurais-je l'honneur de savoir ce qui te fait dire ça ?

-Oui quand tu veux.

-Bah maintenant je pense que c'est bien, rigola Zoé pliée en deux.

-OK, c'est comme vous voulez : si on pouvait déceler dans mon cerveau ne serai-ce qu'une once d'intelligence alors je ne serai pas monter dans un casier de cryogénisation.

Là je les ai plié.Ils sont tous mort de rire.

-Ah ah ah ah ah ah,ma petite Mia, il te manque des boulons, dit Mayla en me tapotant l'épaule hilare

-Mais non, oh hein et puis zut si vous refusez d'écouter mon résonnement, bande de débiles et bien c'est tant pis pour vous, dis-je en feignant de bouder, mi-amusée par, avec le recul, l'improbable de ma réfléction, mi-vexée qu'ils aient tous si peu d'estime sur mes capacités cérébrales.

Sur ce, je marche vers leurs exact opposé.

-Oh, Mia, on rigole, menti Léana en réprimant un éclat de rire

-Mouais ça c'est absolument pas sûre...

L'anbiance de la soirée fut très légère, bien plus légère que cette dernière semaine. Vider notre sac a été du plus grand effet : tout le monde porte instinctivement soutien aux autres, on s'entraide, on se désigne pour toutes corvées...

Vous allez encore me maudir pour mes réfléctions mais je ne peux m'empêcher de  constater la complexité du cerveau humain. Pendant des semaines tu peux accumuler des remords, des reproches... sans jamais rien dire. Mais ça finira toujours par sortir à un moment ou à un autre. L'être humain est obligé d'exprimer ce qu'il ressent. Toutes les situations, même si parfois elles ne sont pas agréables à vivre sur le moment, doivent trouver une solution, doivent être résolue et sans rancoeur envers d'autres. Très philosophique ça, ma petiteMia.


Il est tard. Trop tard. Pourtant je ne dors pas. Qu'est-ce que je regrette ces réflexions internes de tout à l'heure, regardez ce qu'elles m'ont coûtés ! Sûrement une nuit d'insomnie, vu comme c'est parti.Ca fesait longtemps fallait bien que ça reviennent à un moment donné sinon ce serait trop beau ! Je me tourne et me retourne dans mon lit, à l'auberge où nous nous sommes arrêtés pour la nuit, après une journée de monte à cheval. Et pourquoi le monde fonctionne-t-il comme ça, et pourquoi les gens ne sont pas tous pacifiques, enfaite ça leur apporte quoi d'être méchants comme ça ??? Encore et encore, constamment les mêmes questions si seulement elles changeaient au moins mais non. Ce serait trop simple pour moi. En même temps les raisons pour lesquelles se sont toujours les mêmes questions qui reviennent sont évidentes, je suis quelqu'un de têtue, et ces problème à échelle mondiale sont INSOLUBLE. Dans tous les cas, il y aura problème. Mais mon cerveaus'acharne encore et toujours à essayer de les résoudre. Et je ne suis pas capable d'empêcher ma tête de réfléchir au point de ne pas en dormir sur ces sujets. Voilà, donc je ne dors pas. Si...si... si mon père était là... il serait...avec moi dans ma chambre à discuter de ces problèmes, jusqu'à... que j'ai tout évacuer et.... que je puisse dormir. Mais ici... je n'ai personne. Je ne peux en parler.... à personne. Je... je ne peux pas en parler à quelqu'un d'autre ...que mon père.

J'ai réussi àtrouver une feuille et j'ai un crayon. Il restait des fêtards dans la salle à manger donc la serveuse était encore là. J'ai pu luidemander une feuille. Elle a accepter sans problème. Je suis sur le bureau éclairée à la lueur de la bougie et je tiens mon crayon dans ma main droite. Banal, mais je ne sais pas quoi écrire. Déjà je sais que j'écris à Salienti. Chose que je ne savais pas il y a quarante-cinq minutes. C'est un petit pas. Maintenant que lui dire...il est le seul qui peut réalisé mon souhait, il est le seul que je connaisse qui est à la fois haut placé et mon ami.

« Salut Salienti, c'est Mia.

Je suis toujours en route. J'ai beaucoup entendu ( de ta part également ) que le réseau postal était très sur. Je me permet donc de mentionné un souhait très personnel et qui peut paraître bizarre.

Je souhaiterai pouvoir me rendre sur le lieu de mon ancienne habitation. Je suppose que vous avez des cartes du monde d'avant, et , forcément des cartes d'aujourd'hui. Donc, je me permet de te demander si tu pouvais essayer de faire correspondre les deux données cartographier et déterminerle lieu dans Gaëlia où je vivais. Ce serait génial de ta part.

Tu vas sûrement trouver cela bizarre mais tu es un peu comme mon père sur cette planète.

Merci beaucoup

Mia »

Je pense que c'est bien ça non ? Ca me paraît bien. Maintenant, comment je fais pour lui faire parvenir... fouille dans ta mémoire ma petite Mia, tu le sais ça, tu le sais. Réfléchis, réfléchis, réfléchis !

*****

Quinze minutes plus tard. Ca y est je l'ai ! Il faut que je le donne à la dame de l'auberge en précisant le destinataire et son lieu d'habitation. Je lui ajoutes la paiement et elle se débrouille ! O;K alors ilfaut que je redescende et que je vois si la brave dame de l'acceuil est toujours là à surveiller les ivrognes. Je sors sans bruit de la chambre, je descends les escaliers vitesse lumière ( ce qui est, accessoirment, débile parce ça ne va pas ce jouer à une seconde )Oufff, l'aubergiste est encore là. Je jette un coup d'oeil à la salle. Ceux qui étaient seulement sou il y a de ça 1h30, sont maintenant complétement bourrés. Si quelqu'un venait à entendre ce que je dirai à l'acceuil, l'auront oublié la seconde d'après dans tous les cas.

-Bonsoir, commencai-je

-Rebonsoir mademoiselle, que souhaitez-vous cette fois ?

-Je souhaiterai que fassiez parvenir une lettre à un... proche.

-Oui, vous enconnaissez le prix et les modalités ?

-Oui oui mais je n'ai rien sur quoi vous noter tous ça...

-Pas de problème, je te passe une seconde feuille.

*****

-Voilà une feuille !

-Merci beaucoup.

Je note toutes les informations...

-Je peux rajouter où est-ce qu'il doit me répondre ?

-Evidemment sinon c'est ici que vous allez recevoir sa réponse, dans 1 semaine environ.

-O.K voilà, vous avez tout.

-Génial !Merci !

-Merci à vous et bon courage avec eux, dis-je en pointant du doigt les pauvres gens ivres.

-Oh, oui. Vous savez j'ai l'habitude.

-Au revoir

-Au revoir

Je remonte dans machambre. Quand je passe devant la chambre de Zoé et Gaëtan j'entends des froissement de draps. Sûrement un mauvais cauchemar.Je rentre donc dans la nôtre. Mayla et Léana dorment à point fermés. Je rallume ma bougie et me rassois au bureau. La lettre sera expédier demain, s'il repond du jour au lendemain, je peux avoir une réponse d'ici... une grosse semaine. L'auberge où je devrais recevoir sa réponse est à environ 25 kilomètres d'ici. Nous avons une semaine pour les faire. Cela ce fait largement.

*****

Il faut beau le lendemain, vers 7h quand le soleil pointe le bon de son nez. ET non, je n'ai pas dormi jusque là. Je le savais vu comme c'était parti. Le ciel prend de très agréable couleurs orangé. C'est magnifique ! La nature regeorge de beauté. Les gens de 2020 l'avait bien massacré, quand je vois dans quel état elle est maintenant. 1000ans après. Cela me fait repenser à ma cryogénisation. Si la mort fait le même effet, alors toutes mes craintes sur ce moment sont bien futiles. Tu ne sens strictment rien. Faudrait que j'arrête de me faire du soucis pour un rien. Vraiment.

Ce petit moment passé, je m'ennuie vraiment. Est-ce que j'ai le droit de les réveiller tout le monde. ?

Oui ou non ? Bon bah c'est oui, j'ai passé toute la nuit à me tourner les pouces,alors qu'ils m'épargnent la grasse matinée !

J'ouvre les rideaux,ils vont me détester !

-Salut tout lemonde ! Aller hop ! Debout bande de feignasses !

-Mia! Non ! HurleLéana, pas si tôt !

-Et si tout le monde debout !-Mia !!! Ne vas pas te plaindre que je suis demauvaise humeur ! Me prévient Mayla

-Oh la la, j'ai peur ! Aller debout !


Avant de partir je pris le temps de bien remercier l'aubergiste. Je ne pus m'éterniser car mes amis m'attendait dehors. Nous reprîmes, pour changer la route. Mirabelle était vraiment la meilleure de toutes les juments du monde : quand tu t'approche d'elle une lueur s'allume dans ses yeux, comme si elle te souriait. Quand tu l'équipes elle semble trépigner d'impatience. Quand tu montes sur son dos elle attendpatiemment que tu sois bien installé et elle prend un pas rythmé.Elle est géniale. Vous me direz qu'heureusement, étant donné que je dois parcourir des dizaines de kilomètres par jour avec elle.Mais quand même, je suis contente de la monter.

-Qu'est-ce qui vous manque le plus ? Demandai-je un peu sur un coup de tête

-Mon ballon de basket !!!! gémit Zoé, après mes parents et ma famille biensûr

-Le téléphone,sourit Léana, c'était vraiment bien ça....

-C'est quoi le téléphone ? S'enquit Gaëtan

-Un écran tactile, c'est-à-dire que tu le pilotes avec les doigts, avec un ou deux boutons avec lequel tu peux appeler d'autres personne qui ont un téléphone, leurs faire des messages et pleins d'autres trucs !C'était vraiment gé-nia-li-ssime !!!!

-Ouais si tu le dis, approuva Gaëtan

-C'était pas mal mais ça avait son lot de problèmes aussi, soupirai-je

-Comme beaucoup de truc y'a toujours à perdre, de toute façon les gens trouveront toujours comment retourner un objet contre sa propre utilisation aussi saine soit elle... c'est toujours pareil à chaque fois,murmura Léana

-Bonjour.

Nous nous retournâmes d'un même mouvement. QUI nous avait adressé la parole ?

Derrière nous il y avait un homme sur un cheval éborgné.

-Quel cortège étonnant ! S'exclaffa-t-il, quatre femmes, jeunes femmes bienfaite tout du moins, et un homme, quoique que pas très viril

-Permettez-moi devous retourner le commentaire sur l'originalisme, mais ce n'est pastout les jour que l'on croise un homme richement habillé sur un cheval qui, semblerait-il, aurait subi l'ablation d'un œil,renchéris-je

-Oh, Mademoiselle laSrilawa, dit-il d'une voix de nobliau, vous n'êtes pas à Gaëlia sous la tutelle de ce cher monsieur qu'est Salienti ? Il cracha ces derniers mots et il s'approcha de moi

-Je ne suis sous la tutelle de personne mon cher monsieur on ne peut plus original, je suis en âge de volé de mes propres ailes, répondit-je

-Excusez-moi mais par votre jeune âge, minauda-t-il en tendant la main

-La cryogénisation m'a fait prendre l'équivalent de cinq ans cher cavalier, un an tous les deux-cents ans pour votre culture générale

-Mes lacunes sont en terme de culture sont grandes et nombreuses, par contre j'ai de l'expérience dans d'autres domaines qui pourrait choquer vos petites âmes sensibles

-En quoi pourrions nous vous être utile, cher monsieur, pressai-je le plus naturellement possible en repoussant sa main qui s'avançai depuis le début vers ma taille. J'avais très bien compris ces intentions.

-Oh, pas grands choses, mesdames pas grands choses. Un simple marché.

-Quel est-il ?

-Vraiment pas grands choses.

-Quels sont les termes de ce marché ?

-Fort peu. Une nuit. Contre cette lettre, dit-il en me secouant sous le nez une lettre qui possédait le cachet du Conseil, une nuit rien qu'une nuit avec vous quatres

-Comment avez-vous eu cette lettre ? Grondai-je

-Oh, j'ai mes propres sources mais surtout que Madame ne se vexe pas, je ne demande qu'une nuit, dit-il d'une vois et d'un air suppliant

-Dans ce cas votre lit sera vide ce soir mon cher

-Oh Madame s'est braqué je ne voulais pas, êtes-vous sure de refuser ? Je suis quelqu'un qu'il vaut mieux avoir dans sa poche que contre soi, Madame

-Je me fous de vos soi-disant appui politiques quelconque, je veux la lettre mais je ne serai en aucun cas à vos côtés, je ne fréquente pas cette caste de personne qui ont une fâcheuse tendance à se faire de l'argent par des moyens pas très « catholique » vous m'excuserez du terme, mon cher Môssieur.

-Vous ne pouvez obtenir ce courrier sans respecter votre part du contrat.

-J'ai moi-même quelques connaissance au Conseil, il serait peu convenable que cette affaire finisse aux mains de la justice vous en conviendrez.

-Vous y aurez votre part de responsabilités puisque vous refusez le contrat que je vous propose aimablement

-Peut-être qu'intercepter du courrier pour ensuite s'en servir comme chantage, c'est complétement neutre.

-Tant pis pour vous après tout, ce n'est pas moi qui vais manquer une lettre capitale, il ouvrit l'enveloppe et continua, oh oh oh il y a deux lettres...

-Donnez-moi ce courrier !

-Pourquoi donc, la deuxième feuille est signé Ewen, le fils de Salienti. « Chère Mia, sachez que j'apprécie beaucoup vos actions... »intéressant tout ça. Suivi d'un lieu de rendez-vous et d'une date

Je le coupa

-Stop j'ai autre chose à vous proposer.

-Ah oui ?

-Je peux vous accorder quelque chose.

-Quoi donc ?

-J'ai en ma possession un objet d'une grande valeur. Une clé de passe-partout.

-Intéressant intéressant, contre la lettre c'est ça ?

-Oui, soupirai-je

-Accordé, accordé! dit-il me tendant la lettre.

Je pris mon sac en pensant, trop avare pour dénicher la supercherie, et je lui sortisla clé de mon ancienne maison.

-Tenez.

-Nous sommes quitte voici votre lettre, à bientôt Madame.

Et il s'en alla aussi vite qu'il était apparu.



"ce commentaire est hors histoire et est à l'intention de tous le lecteurs: je n'ai pas eu le temps de poster la semaine dernière, je vous poste donc le chapitre 7 de Gaëlia cette semaine.. j'affectionne particulièrement ce chapitre, il représente bien le caractère et l'importance de tenir tête aux gens quand ce qu'il vous propose ne vous  plait pas. "

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