Chapitre 17 : 

J'échangeais un regard inquiet avec Blaise. 
-Qu'est-ce qu'on lui a fait ? demandais-je dans un murmure. 
-C'est Granger... C'est toujours Granger... 
-Mais... Elle nous l'a... Cassé ? dis-je choqué. 
Il hocha gravement la tête. 

Je reportais mon attention sur mon meilleur ami. 
Il était entrain d'aider un troisième année.
En effet, ce dernier était tombé accidentellement quand Drago lui avait dit, je cite '' Bonjour, comment tu vas mon vieux ? '' suivit d'une légère tape dans le dos...

Il lui donna ses livres en souriant. 
-Bonne journée ! dit-il en se redressant. 
La troisième année, le regarda avec une légère surprise et une certaine crainte. 
Il hocha la tête et partit pratiquement en courant. 

Il arriva ensuite vers nous, un beau sourire sur son visage. 
Il s'installa entre nous deux, et mit ses bras sur nos épaules. 
-Comment allez-vous ce matin ? demanda-t-il. 
-Euh... Bien, Drago... Et toi ? demanda Blaise. 
-Génial ! Il fait beau, les oiseaux chantent et... Aaaah... La vie est belle. 
Je fronçais légèrement les sourcils, il pleuvait des cornes depuis hier-soir... 

-Mais oui... Qu'est-ce qui s'est passé avec Granger ? demandais-je doucement. 
Il prit un air rêveur. 
-Je crois que c'est ma copine. 
-C'est vrai, cette fois ? demanda Blaise en ricanant. 
Le blond lui jeta un regard froid. 
-Bien sûr, que oui. On s'est même embrasé, c'était le rêve... 
J'échangeais un regard surpris avec Blaise. 
-Je crois que je vais l'épouser, continua-t-il. 
-Doucement. Doucement. Tu l'as embrassé hier. Tu ne vas pas l'épouser maintenant ! l'informais-je. 
-Et pourquoi, ça. Mademoiselle, dit-il d'une voie glacial. 
-Ben... Drago c'est trop tôt ! 
Il roula des yeux. 
-Maintenant ou dans deux jours... 
-Tu ne peux pas l'épouser, dit Blaise clairement. 
Drago enleva ses bras de nos épaules. 
-Et pourquoi ? demande-t-il de nouveau. 
-Cette fille à plus de secrets, que ta famille additionner avec la mienne et celle de Pansy. 
-C'est vrai, affirmais-je. Et Merlin sait à quel point les Parkinson ont des secrets... 
Drago émit un grognement. 
-Les secrets sont mignons... affirme-t-il dans un murmure. 
-Écoute, Dray, dis-je en plaçant ma main sur son épaule. 
Il releva légèrement la tête, un air triste sur son visage. 
-Si, tu veux absolument l'épouser... Attends quelques années... 
Il prit une grande inspiration. 
-Je crois que vous avez raison... Je me suis peut-être un peu emporté. 
Blaise ouvrit la bouche, mais je lui fis un signe pour qu'il se taise. 
Il roula donc des yeux. 

-Donc... Tu sors avec elle ? C'est déjà un excellent début ! dis-je en souriant légèrement. 
-Ben... Euh... dit-il en passant une main dans ses cheveux. 
 Je fronçais légèrement les sourcils. 
-Quoi ? demanda Blaise.
-Ben... Je crois... Je ne suis pas sûr... On c'est juste embrassés...
Blaise passa une main sur son visage. 
-Génial... Tu n'as cas allé la voir, aujourd'hui, met les choses aux claires. 
-C'est à dire ? demanda-t-il. 
-Avoue tes sentiments, dit-je simplement. 
-Mais... Ce n'est pas un peu... Radical ?
-Il y a deux secondes, tu voulais l'épouser et là tu ne veux même pas lui dire '' Je t'aime '', remarquais-je légèrement ennuyée.
Il soupira.
-Ce n'est pas pareil... 
Blaise mit une main sur l'épaule du blond. 
-Je pense que si tu n'es pas prêt à lui dire, tu n'es pas prêt à envisager un futur avec elle. 
-Je... Mais... Je peux lui dire... C'est juste que... 
-Notre petit Dray à peur d'être rejeté, dis-je en fessant une moue compatissante.
Il releva fièrement la tête.
-N'importe quoi. Je vais lui dire, ce soir.  
Drago partit rapidement et je fis un clin d'œil à Blaise. 

-Tu es diabolique, dit-il en s'approchant légèrement de moi. 
-Je suis une Serpentard, mon chou, dis-je amusé. 
Il plaça sa main sur ma taille et se pencha vers mes lèvres. 
Je fermais lentement les yeux, pour apprécier ce contact. 

-Pansy ? 
Je stoppais le baiser à contre cœur.  
Blaise souffla bruyamment. 
Je tournais la tête. 
Au bout du couloir, Clarisse m'attendait. 
-On se voit ce soir ? demandais-je. 
-Comme toujours, dit-il. 
Il plaça rapidement ses lèvres sur les miennes et partit vers la Salle commune. 

Je rejoignais Clarisse en soupirant. 
-Tu ne pouvais pas attendre ? demandais-je agacée. 
-Non. 
Je fronçais les sourcils. 
-Quelque chose ne va pas ? demandais-je légèrement inquiète. 
-Je dois te parler. Viens. 

Elle se tourna rapidement et me guida à travers le château. 
Elle s'arrêta et passa trois fois au même endroit. 
-Je croyais que tu ne connaissais pas cette salle, dis-je alors que la porte apparaissait.
Elle ne répondit pas et entra.
Je la suivais, la salle qu'elle avait demandé était un simple salon.
-Installe toi, dit-elle simplement.
Je prenais place sur un fauteuil, pendant qu'elle enlevait sa cape et s'adossait à la cheminée.
-De quoi, voulais-tu me parler ? demandais-je.
-C'est une très longue histoire. Tu auras sûrement du mal à l'assimiler. Mais, je dois te le dire, maintenant. Les ordres sont tombés. 

Je fronçais légèrement les sourcils, de quoi parlait-elle ? 
-Tu n'es pas entièrement sorcière. 
J'eu un sourire amusé. 
-Je sais, je te l'ai dit ce matin. Je suis également d'origine moldus. 
-Non. Tu n'es pas d'origine moldus. À vrai dire, tu as la même origine paternel que moi. 
-Hein ? 
-Nous sommes sœurs, demi-sœur pour être exact.

Qu'est-ce qu'elle me raconte ?
-Cela explique, notre similitude si bien physique que psychologique, continua-t-elle.
-Comment tu sais, ça ? demandais-je surprise.
-Je le sais, pour plusieurs raisons...
-Attends. Déjà, admettons, nous sommes sœurs, mais... Tu as dit que mon... Que notre père n'étais pas moldus. C'était un sorcier ?
-Pas vraiment.
-Comment ça, pas vraiment ? C'était quoi alors ? demandais-je légèrement énerver.
Elle prit une grande inspiration.
-Un dieu.
-Les dieux n'existent pas, dis-je froidement.
-Les dieux Grecs, si.
Je roulais des yeux.
-Si tu penses me faire avaler un truc, pareil, dis-je en me levant.

-Qu'est-ce que tu fais ? demanda-t-elle surprise.
-Je me casse. Quand tu auras retrouvé la raison, prévient moi. J'ai autre chose cas faire que d'écouter tes sottises.

Avant que j'attrape la poignée de la porte, celle-ci s'ouvrit, sur un petit groupe de trois personnes.

Percy Jackson, Annabeth Chase et Hermione Jackson.
Cette dernière me fit un doux sourire.
-T'inquiètes pas Pansy, je vais t'expliquer... dit-elle simplement.


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Je sais, ce n'est pas habituelle que je poste deux chapitres en deux jours.
Mais, soyons franc, je trouve que les deux derniers chapitres que j'ai posté ne vous apportes absolument rien, ou presque.
Alors voilà !
Enfin un chapitre, avec un peu d'action !