Chapitre 61: Ça suffit.
MERCI DE LIRE MON MESSAGE À LA FIN CAR JE VOUS POSE UNE QUESTION IMPORTANTE. JOUEZ LA MUSIQUE SVP.💚💚💚💚
Point de vue de Jun.
Je fixe, à travers mes larmes, la tâche que je viens de régurgiter sur le trottoir de cette maudite école. Je ne vois que ça. Rien d'autre. J'ai l'impression que mon corps s'est vidé de toute sa peur, ses doutes, son amour-propre et pourtant j'ai si mal. Je ne sens rien d'autre que cette atroce brûlure qui déchire continuellement ma poitrine.
J'entends une fille crier à son amie: "Ah c'est dégueulasse! Il a vomi." Je n'ai même pas la force de relever le visage vers elle. À quoi ça servirait de toutes façons? Alors je reste là, à fixer le reste de ce qu'ont craché mes entrailles. À suffoquer sous le torrent de larmes qui dévalent mes joues, à pleurer ma rage et mon impuissance. Mes larmes se mélangent à mon désespoir qui ne fait qu'augmenter de seconde en seconde, alors que la souffrance irradie mon corps. Les gens m'ignorent. C'est drôle de voir à quel point le malheur des autres peut effrayer les hommes.
Toute leur humanité a disparu en même temps que je m'écroule sur le béton. La visage contre le bitume enneigé, je ne bouge pas. Je n'ai pas envie. Personne ne vient m'aider. Après tout ils ne me connaissent pas alors pourquoi aideraient-ils un inconnu dans le besoin? C'est vrai quoi ça va totalement à l'encontre de leur principes philosophiques stupides. Et puis je l'entends. Cette voix que je ne connais que trop bien me parvenir au loin. Cette voix que j'appréciais tant auparavant mais que je haïs plus que tout aujourd'hui. Cette voix qui m'a tout pris. Qui m'a tout volé, qui a détruit la moindre lueur d'espoir brillant dans mon regard.
Jeonghan.
Je ne veux pas l'affronter. Je suis bien trop faible et trop peureux. Alors j'use du peu de dignité qu'il me reste et me relève. J'essuie la comissure de mes lèvres à l'aide de ma manche et me mets à marcher. Je ne sais pas où je vais exactement. Simplement loin de cette voix insupportable qui ne cesse d'appeler mon nom.
Casse toi. Ne me viens pas en aide alors que tu es la cause de ce qu'il m'arrive. Barre toi.
J'accélère, je cours presque. J'entends ce son désagréable s'évanouir dans mon dos alors qu'une première goutte de sueur dévale ma tempe. Je ne m'arrête pas pour autant. J'ai l'impression que je peux m'écrouler à tout moment et pourtant je tiens de bout.
Mes membres supportent mon maigre poids et me portent jusqu'au premier arrêt de bus que je trouve. Je ne sais même pas si c'est le bon. Mais je m'en moque. Je n'ai pas envie de rentrer chez moi et d'affronter le regard inquiet de ma mère, les soupirs répétitifs de mon père et surtout de voir ma chambre. Cette pièce si intime qui nous appartenait avant que tout ne s'écroule. Je ne suis pas prêt à faire face à ce lit dans lequel j'ai dormi hier, l'esprit perturbé mais toujours plus serein que maintenant.
Contrairement à aujourd'hui, je n'avais pas cette tentation de me laisser engloutir par la folie qui me tente désespérément. C'est sans doute mieux que je m'y laisse tomber. Au moins dans un foutu hôpital, je n'aurais pas à revoir ces oreillers, qui ont accueilli maintes fois les fesses de Minghao, toujours plaintif de la dureté du sommier, car je n'en ai pas le courage. Ni ces étoiles qui autrefois, me rassuraient dans l'obscurité de la nuit mais qui aujourd'hui me rappelle simplement son visage endormi. Je ne veux plus revoir ce matelas un peu trop dur, pas assez moelleux mais tout de même confortable qui a accueilli tant de fois nos corps nus couverts de sueur alors qu'il haletait mon nom. Alors que son souffle transperçait mes tympans, et que ses mots résonnaient au plus profond de mon âme. Que nous ne faisions qu'un.
Je t'aime. Je t'aime tellement.
Je ne veux plus avoir à toucher cette couverture qui couvrait son dos musclé au petit matin alors que ses bras m'enserraient tendrement.
Tous ces objets tellement anodins sont devenus mes pires cauchemars. Sa présence est partout. Il a laissé son empreinte dans chacune des pièces de ma maison. Ma cuisine sent les pâtes au pesto qu'il me préparait tard dans la nuit après avoir enfilé un caleçon. Je me plaignais d'avoir faim et il se levait malgré la fatigue et les courbatures pour pallier à mes envies. Mon salon transpire de ses rires et ses cris alors que nous jouions à la console, assis sur le canapé à donner des coups de coudes, prêt à tout pour gagner. Ma salle de bain s'est imprégnée de son odeur masculine qui a enrobé chacun des objets. Aussi bien les serviettes qu'il utilisait que la baignoire dans laquelle il me lavait le dos. Je ne peux même plus lire l'étiquette du shampoing qu'il mettait sans que la douleur emprisonnant mon cœur ne s'aggrave. Et ma chambre... ma chambre reflète toute notre histoire. Toutes ces soirées passées à s'embrasser jusqu'à perdre le souffle, à se caresser sans jamais se lasser de la sensation délectable du contact de nos peaux, à se jurer un futur meilleur, à pleurer, à se pardonner, à s'aimer...
Assis au fond du bus depuis plus d'une heure, je contemple avec fascination le bracelet qui orne mon poignet en passant frénétiquement mon pouce sur les mots gravés.
Hé merci.
J'ai tenté de le retirer un nombre incalculable de fois sans jamais y parvenir. J'en étais et en suis toujours incapable, c'est comme s'il était collé à ma peau, voilà pourquoi j'admire tant cet objet qui contrairement aux autres, ne m'effraie pas. Je pensais qu'il me protégeait et que si je l'enlevais tout deviendrait réel. Je réaliserais que cette situation n'est pas un mauvais rêve dont je vais me réveiller, et que ce que j'ai vu n'était malheureusement pas un mirage. Si je le retire, j'ai peur que les mots qu'il avait prononcés en me l'offrant s'effacent de ma mémoire pour disparaître dans les abysses de l'oubli. Et je ne veux pas les oublier car c'est la dernière chose qui me reste de lui. La seule chose qu'il a bien voulu me laisser entre toutes celles qu'il a brisées.
- M-Minghao... murmuré-je en portant mon poignet à mes yeux où deux grosses larmes s'écrasent sur l'argenterie.
Je sais que tout est fini. Même si je me refuse à l'admettre je le sais. Et pourtant je continue de pleurer au lieu de me ressaisir. Je savais qu'un jour cela allait arriver. Je ne devrais pas être étonné. C'était trop beau pour que notre amour dure toute une vie même si j'aurais préféré que ce soit moi qui prenne cette terrible décision car je n'aurais jamais eu le courage de la prendre, et aucun de nous deux ne souffriraient en ce moment. Il a beau prétendre que non, je sais qu'il m'aime encore. Au fond de lui... il y a toujours cette étincelle qui réanime ses sentiments. Je le sais car je connais son regard. Et celui qu'il m'a porté dans ce couloir alors qu'il m'apercevait pour la première fois était exactement le même que celui qu'il avait lorsqu'il m'embrassait. Il était étincelant, sincère, déterminé, heureux et... amoureux. Mais plus je m'approchais, plus son regard se fânait.
Ses mots crus sonnaient si vrais et pourtant... Une part de leur vérité n'était que mensonges. Ce que je n'arrivais pas à comprendre c'était la raison qui le poussait à faire ce choix. Mais maintenant que j'ai tout fait pour la connaître, je ne veux plus savoir. Je suis lassé de tout ça, de cette souffrance perpétuelle, de ce mal-être constant et de cette douleur qui me consumme un peu plus chaque minute. Sans m'en être rendu compte, j'ai arrêté de tripoter mon bracelet.
Je fixe la nuit fraîchement tombée par le plexiglas sale du bus sans me soucier des vibrements de mon téléphone que je n'ai pas envie de saisir. À quoi bon déverrouiller ce fond d'écran et tomber sur une photo de lui? Quel intérêt d'aggraver ma peine qui a déjà atteint son paroxysme?
Le bus freine lentement en atteingnant un feu rouge et une voix lointaine me sort de ma torpeur. Je regarde autour de moi et remarque que tous les passagers ont déjà quitté le véhicule. J'en déduis que l'homme s'adresse à moi.
- Hé gamin! Tu comptes rester là encore longtemps? Il est plus de 20 heures et c'est la deuxième fois que je fais tous les arrêts. Mon service est sensé être fini depuis 10 minutes, m'explique-t-il en jetant un regard dans son rétroviseur.
Confus, je me lève et quitte mon siège pour atteindre la porte avant, même si je n'ai aucune envie de descendre.
- T'es sûr que ça va mon p'tiot? demande-t-il en ouvrant le battant. Tu saignes du nez.
- Pardon?
- Fais attention tu saignes du nez.
Une première goutte tombe sur mon blouson puis une seconde avant que je ne porte la main à mes narines pour les compresser, tentant vainement d'arrêter l'écoulement.
Le conducteur fouille dans sa boîte à gants et me tend un paquet de mouchoir que je saisis au vol avant de descendre.
- Quel drôle de gosse, marmonne-t-il lorsque j'atteints la dernière marche.
Je ne me retourne pas et extirpe l'un des tissus pour éponger mes larmes et calmer mes saignements. Je n'avais jamais saigné du nez auparavant.
J'erre quelques minutes dans le centre-ville jusqu'à retrouver mon chemin et après avoir pris le métro, qui dessert mon quartier, je regagne à regret ma demeure. En longeant la rue une foule de pensées parasites m'envahit. Est-ce une bonne idée tous comptes faits de rentrer chez moi dans un état pareil? Ça ne fera qu'inquiéter ma mère davantage et elle risque de ne pas me lâcher de la soirée avant que je ne lui raconte ce qu'il m'est arrivé. Mais honnêtement je ne suis pas prêt pour lui expliquer. Je n'ai vraiment pas envie de subir un interrogatoire mais je n'ai pas non plus la force de décrocher et de leur dire que tout bien car... c'est faux. Tout va mal. J'ai mal. Minghao m'a abandonné il a trouvé mieux que moi. Quelqu'un de plus beau, de plus intelligent, de plus intéressant, de plus drôle. Quelqu'un qui ne lui dit jamais "non", qui se plie à toutes ses exigences. Quelqu'un qui est capable de faire ce que moi j'ai été incapable de faire. Et même si cette personne ne l'aime pas autant que moi je l'aime, lui est amoureux d'elle. Il a choisit de lui offrir son amour à elle. Pas à moi, simplement parce que je n'ai pas été foutu de l'entretenir. Je n'ai fais que me plaindre et pleurer sans cesse et c'est seulement maintenant que je réalise pourquoi il m'abandonne?
Tu fais de la peine Jun.
Il aurait dû le faire il y a bien longtemps. Avant que je ne m'attache à lui. Mais si je pleurais et si je pleure encore c'est parce que je ne trouve pas les mots pour exprimer ce que je ressens. Les larmes sont un bon échappatoire lorsqu'aucun son ne peut montrer la douleur qui me ronge, lorsque je suis incapable d'exposer mes sentiments, ma colère, mon incompréhension, ma tristesse. Je ne peux pas m'en empêcher. Je pense sans doute que ça va m'aider à alléger mon malheur mais ça ne fait que l'accentuer. Je me sens seul. Terriblement seul. Et pour la première fois depuis ce jour-là, je regrette de l'avoir connu. Je regrette de lui avoir confié mon cœur, mon corps, mon âme qu'il a marqué à jamais. Je regrette de l'avoir embrassé, de l'avoir laissé me toucher, d'avoir cru ce qu'il me disait, ce qu'il me jurait. Je regrette d'avoir tenu ma promesse et d'être venu à cette putain de soirée où il n'a fait que cracher sa haine alors qu'il parlait de moi devant une foule d'inconnus. Je regrette d'avoir ouvert cette porte et d'avoir voulu le défendre lorsque Jake a menacé de tout balancer. Je regrette d'avoir donné mon corps pour le protéger. Je regrette d'avoir soigné et pansé chacunes de... ses blessures...
C'est faux Jun et tu le sais, me souffle une petite voix dans ma tête.
Face à la porte d'entrée de ma maison je m'arrête juste avant de saisir la poignée, comme si une évidence m'avait frappé. Qu'est-ce que je raconte? Comment ai-je pu en arriver à un tel point? Je l'aime... je... l'aime tellement. Comment puis-je penser une seule seconde que j'aurais préféré qu'il se suicide plutôt que de me rencontrer? Je suis horrible... je suis un monstre...
Pardon Minghao... Je suis simplement en colère et je... C'est parce que tu me fais mal que je pense ce genre de choses. Je ne suis pas justifiable, c'est vrai, mais je ressens une haine si forte à ton égard qu'elle me fait regretter ce que je chéris le plus au monde. Pardon.
J'ouvre la porte lentement et la referme derrière moi avant de retirer mon manteau que je laisse tomber au sol, trop faible pour l'accrocher en hauteur. J'essaie d'être le plus discret possible mais n'y parvins pas puisqu'avant d'avoir le temps de monter les escaliers, j'aperçois ma mère accourir dans ma direction, un air furibond sur le visage. Ses poings sont serrés et ses yeux gorgés de larmes alors qu'elle approche, mon père sur les talons.
- Jun?! T'étais où?! m'hurle-t-elle au visage alors que deux grosses larmes roulent sur ses joues.
- Max' calme toi... tente de la raisonner mon père.
- Non je ne me calme pas! Ça fait deux heures qu'on t'appelle! Deux heures! Est-ce que tu sais le sang-d'encre que je me suis fait?! explose-t-elle en se dégageant de l'emprise de papa.
Je n'ai pas le temps de dire quoique ce soit que je sens sa main colérique s'abattre sur ma joue avec violence.
Choqué, je me recule jusqu'à heurter la porte d'entrée, les doigts sur ma joue endolorie tandis qu'une larme la dévale. Ma mère n'a jamais levé la main sur moi. Jamais. Je crois avoir dépassé les bornes et pourtant lorsqu'elle ouvre les yeux, je n'ai pas le courage de m'excuser. Car c'est à moi que l'on doit des excuses. C'est à moi que l'on doit demander pardon pour tout le mal que l'on m'inflige pour toute la souffrance que mon cœur subit et pour la condition déplorable à laquelle mon corps est soumis.
Papa, lui au contraire, affiche une expression étrange, un mélange de douceur et de déception.
- Max', ça suffit, l'arrête-t-il alors qu'elle arme à nouveau son bras.
- M-Maman... bafouillé-je en chassant les larmes qui entravent ma vision.
Je ne la reconnais pas. Son visage grimace de terreur alors qu'elle réalise ce qu'elle s'apprêtait à faire et elle s'effondre de plus belle dans les bras de papa qui la rattrape de justesse avant qu'elle ne touche le sol.
- Junhui... Ça va?
Je me contente d'hocher la tête car aucun son ne sort de ma bouche. Je suis incapable de parler. La culpabilité me tord l'estomac lorsque ma mère se redresse et agrippe fermement le tee-shirt de mon père.
- Chris'... dis quelque chose, implore-t-elle.
- Je pense qu'il a compris la leçon, il n'a pas besoin de plus. Tu en as déjà assez fait.
- Évidemment! C'est toujours moi qui intervient-
- Max-
- C'est toujours moi qui tiens le rôle de méchante tandis que toi tu restes là, à te tourner les pouces en me regardant faire sans rien dire. Notre fils va mal Christophe! Le garçon que j'ai mis au monde n'est pas celui-ci! vocifère-t-elle en désignant mon visage blâfard.
Je n'écoute pas ce qu'elle dit. Je sais que si je prête attention à ses mots, je ne souffrirai que davantage. Tout ce que j'entends sont des cris. Encore et encore. Mon père élève la voix à son tour. Je crois qu'il a dit mon prénom, mais je ne suis pas sûr. Ma vision floue ne me permet pas de distinguer leur visage, simplement leur silhouettes brouillonnes qui s'animent. Ma mère tire de toutes ses forces sur le tee-shirt de mon père qui tente vainement de la calmer sans y parvenir. Car comment apaiser quelqu'un si on ne l'est pas soit même? Un premier objet vole et se brise contre le cadre photo de grand-père. Je crois que c'est papa qui l'a lancé. La seule chose que je perçois est le bruit assourdissant du verre qui éclate en mille morceaux à mes pieds. Et enfin ça cesse. Les hurlements colériques de mes parents cessent pour laisser place au calme. Un long silence fragile s'empare de la pièce et alors mes sens se réveillent. J'observe le cardre détruit, qui gise sur le sol et relève le regard vers ma mère puis vers mon père. Je ne supporte plus de les voir dans un pareil état à cause de moi. C'est trop dur d'assister à leur destruction mutuelle en sachant que j'en suis la cause. Sans récupérer mon manteau, j'ouvre la porte et sort de la rue. Je ne sais pas où je vais mais ce que je sais c'est que je veux m'enfuir de ce chaos. Maman tente de me rattraper mais Papa la retient avant qu'elle ne puisse atteindre le portail et même si je ne le lui dirai jamais, j'en suis reconnaissant.
NDA:
- Le prochain chapitre sera plutôt court je pense, je ne suis pas sûre.
- J'ai une nouvelle idée de Ff et j'ai besoin de savoir quel pairing vous préférez entre :
- Chanbaek
- Xiuchen
- Ten X Johnny
- Yuta X Winwin?
Dites moi c'est très important pour moi ♡♡♡♡♡.
- Je voulais savoir si certains d'entre vous aimais la chanson She's gone de Ilhoon? Et si vous ne la connaissez pas je vous conseil d'aller l'écouter car c'est un BOP!
- P'tit coup de gueule rapido-presto, je me suis pris la tête sur Wattpad avec une fille ridicule. C'était bien drôle, j'vais pas vous mentionner son nom parce que j'ai vu avoir des abonnés en commun avec elle et je veux pas lui causer du tord mais juste pour vous raconter la petite histoire madame se fait d'la pub alors qu'elle n'est jamais aller lire la moindre de mes ff. En bonne fille sympa que j'suis j'vais voir ses histoires et je lui fait même une critique constructive car elle me l'a demandé, tout ça pour quoi? Pour qu'elle me fasse comprendre qu'elle s'en servirait pas. Elle prétend ensuite ne pas vouloir faire de vues mais attirer simplement des gens. Mdr faire de la pub ça s'appelle comment? Et par derrière elle me traite de paranoïaque avec un complexe d'infériorité xD? Perso ( vas-y j'vais me vanter) en tant que première de classe, championne de France et talentueuse dans mes domaines de prédilections l'infériorité j'la cherche encore ^^.
Elle a carrément osé dire que j'étais Maxine :D et que je m'étais créé un faux compte car oui Maxine lui a aussi laissé un commentaire sur une de ses ff. Je lui ai dit que non j'avais autre chose à foutre de ma vie que de me faire passer pour quelqu'un juste pour cracher sur ses ff sachant que Max est restée très polie malgré sa critique. Tout ça pour dire que SVT devait avoir honte d'avoir des fans comme moi blablabla alors que bon ça fait plus de deux ans que je les stan et que je les aime BEAUCOUP TROP.
VOILÀ MERCI D'AVOIR LU ET EUH BAH... A BIENTÔT HEIN C'EST PAS LA FIN PANIQUEZ PAS.
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