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Chapitre 64

J’ouvris la porte et le laissai entrée, puis la refermai derrière moi. Lorsque je me tournai vers Cameron, il me regarda avec un visage confus. Je m’approchai de lui dans une démarche lente tout en bougeant mes hanches plus qu’à l’anormal.

Cameron : Je peux savoir ce que nous faisons dans la salle de bain des filles?

Je rapprochai mon corps du sien puis l’agrippai par le chandail. Il avait décidé de porter une camisole aujourd’hui, ce qui laissait paraître ses beaux muscles développés. Il remarqua rapidement ce que j’avais en tête, il sourit et me prit par les hanches pour me soulever du sol. J’enroulai mes jambes autour de son bassin, il me déposa sur le comptoir des lavabos et commença à m’embrasser.

Mes mains jouaient dans ses boucles brunes, ses chaudes lèvres se promenèrent jusqu’à mon cou. Je laissai des gémissements sortirent de ma bouche, il mit ses mains dans mon chandail et me l’enleva avec mon aide. Je fis de même avec son chandail, je regardai son torse musclé et bien définit. Il passa ses yeux sur mon buste et se lichai les lèvres, j’enlevai mes leggings pendant qu’il massait mes seins.

Cameron : On ne… devrait pas faire ça.

J’ignorai ce qu’il venait de me dire et passai ma main contre sa région m’assurant de bien frotter sa bosse. Il ferma les yeux, appréciant ce que je vais de lui faire, je souris fier. Je détachai sa ceinture et mis ma main dans sa poche arrière, sachant qu’il aurait un condom. Je ne fus pas surprise d’en trouver un.

Lorsque qu’il s’installa en moi, ça me prit du temps à m’ajuster. Il fit des vas et viens lent puis les fient plus rapidement. Nos corps frottaient ensemble, j’avais du plaisir, mais c’était différent. Il n’y avait pas d’amour. Il n’était pas celui que j’aimais, il n’était pas Niall. Jamais il ne pourra me faire sentir ce qu’il me faisait ressentir. Je m’en foutais, c’est ce que je valais en ce moment, ne rien ressentir.

Soir.

Je venais de sortir de la douche, j’essuyai mes cheveux avec la serviette pour une dernière fois  et la déposai contre le crochet. J’ouvris la porte et tombai face à face avec Liam, je mis une main sur mon cœur reprenant ma respiration.

Moi : Merde, Liam tu m’as fait peur.

Liam : Ma vessie va exploser alors pousse toi. Me dit-il en dandinant sur place.

Je me mis à rire et le laissai passer, après tout c’est sa salle de bain. Je marchai en tenant mon sac remplit de vêtements, jusqu’à la chambre d’Erika. J’entendais de la musique provenant de sa chambre, j’entrai sans frapper comme d’habitude. Il y avait des millions de vêtements éparpillés sur la plancher de sa chambre ainsi lancé un peu partout. Je déposai mon sac contre son mur, je levai la tête et reçu un chandail en plein visage.

Moi : Hey fait attention où est-ce que tu lances.

Elle se leva et mit les mains en l’air désespérée, tout en soupirant.

Erika : Je ne sais pas comment m’habiller.

Moi : Met quelque chose de beau.

Erika : OUAIS, MAIS JE VEUX IMPRESSIONNER HARRY.

Je me mis à rire pendant qu’elle croisa ses bras contre sa poitrine. Je secouai la tête et sorti les vêtements que j’avais préparé pour la fête.

Moi : Pourquoi tu veux soudainement l’impressionner?

Erika : Eh bien nous nous sommes chicanés aujourd’hui, je peux bien lui faire regretter ses choix. Dit-elle en me lançant un clin d’œil.

Nous venions d’arriver chez Matt qui avait organisé le party que j’avais déjà un verre à la main. J’amenai le gobelet rouge à ma bouche, je souriais en sentant la sensation de l’alcool dans ma gorge. Erika me tira par le poignet jusqu’à une table où est-ce qu’il y avait plein de verres placés en triangle. Je compris qu’elle voulait jouer une partie de ‘’ Beer pong ‘’. Louis ainsi que Zayn arrivèrent et se placèrent en face à l’autre bout de la table. Je souris et terminai en une gorger mon verre, puis me plaçai aux côtés d’Erika.

Louis : Je ne sais pas pour toi Zayn, mais j’ai l’impression que nous allons bien rire.

Moi : Je suis une vrai professionnel tu sauras Tomlinson.

Il me lança un regard de tueur que je lui relançai à mon tour. Zayn se mit à rire pendant qu’Erika versa la bière dans chaque verre sur la grande table. Elle lança la balle en plastique à Louis, qui l’attrapa avec un réflexe que je ne connaissais pas chez lui.

Erika : On va laisser les perdants commencer.

Zayn lui tira la langue pendant que Louis ce concentra à lancer la balle dans un verre. La partie se déroulait bien, nous étions à égalité. L’alcool coulait dans mon corps, la musique résonnait, tout le monde autour de nous parlaient et dansaient. J’avais du plaisir et rien ne pouvait gâcher mon moment.

Erika me tendit la balle, me demandant si je voulais la lancer et je la pris. Je me préparais à lancer en ignorant Louis qui essayait de me déconcentré en disant des commentaires qui n’étaient pas drôle, mais je commençais à avoir beaucoup bus, donc je les riais.

Zayn : Est-ce que tu vas la lancer?

Louis : Elle se pense aux jeux olympiques.

Je me mis à rire et m’apprêtai à la lancer, je sentis quelqu’un passer derrière moi tout en me touchant au passage. Je reconnaissais ce touché, ce choque que j’ai lorsque cette personne me touche. Je trébuchai en échappant la balle, je me tournai en ignorant Louis et Zayn crier. Il me regarda au loin pendant que je le regardais, mon visage était sans émotion, mais à l’intérieur c’était une explosion.

Je sentis une violente tape se placer contre le derrière de ma tête, je me tournai et vis Erika me regarder avec de gros yeux en gesticulent les bras en l’air.

Erika : Mais qu’est-ce qui t’as pris ? Nous allons perde !

Je clignai pendant de longue minute des yeux pour revenir à la réalité. J’ouvris la bouche pour parler, mais des cris masculins m’empêchèrent de dire quoi que ce soit. Je me tournai vers la table et vis la balle flotter dans la bière pétillante. Louis et Zayn se tapèrent dans la main tout en faisant des simagrées. Louis s’approcha de moi avec le dernier verre qu’il leur restait et me le tendit.

Louis : Eh bien madame la professionnelle, vous devez boire mon verre.

Je pris son verre en marmonnant quelques jurons. Je bus rapidement la bière qu’il m’avait donnée, je n’avais jamais raffolé de ce goût dans cet alcool. Je déposai le verre dans la pille utilisé sur la table, Erika me lança un regard remplit d’éclaire. Je lui envoyai un sourire irrésistible pour qu’elle me pardonne. Elle leva les yeux au plafond puis me sourit chaleureusement.

‘’ If I know one thing, that’s true.

It ain’t what you say, it’s what you do.

And you don’t say much, yeah, that’s true.

But I listen when you do.

A thousand years go by, but love don’t die… ‘’

Je riais tout en portant le joint contre mes lèvres puis aspirer la drogue. Mes pieds tapèrent au rythme de la musique entrainante, même si je voulais ignorer les paroles. Ma vision était embrouiller, mes yeux étaient petits et je ne savais plus trop ce que je faisais. J’étais accoté contre le mur de brique avec d’autre personne qui formaient un rond.

Je donnai le joint à la fille à côté de moi tout en plissant les yeux essayant de voir au loin. Il était là à me regarder, il ne me regardait pas, il me fixait. Je sentis un drôle de sensation à l’intérieur de moi, une brûlure. Ce n’était pas la drogue ni l’alcool, c’était une brûlure souffrante que je ressentais à chaque fois que je croisais son regard. Je partis rapidement de l’endroit où est-ce que je tenais et entrai à l’intérieur. Je me sentais étouffer, tout tournait autour de moi. Je devais aller ailleurs, je partis au deuxième étage. Je marchais dans la pénombre, il n’y avait pas énormément de personne dans le couloir du deuxième. Je regardais les différentes portes en essayant de me rappeler où est-ce que la salle de bain se trouvait.

Ce n’était pas la meilleure idée d’y aller seule étant donné mon état, mais je ne pensais pas à grand-chose à ce moment. Sauf t’enfuir me lança mon subconscient. Je secouai la tête en ignorant la voix dans ma tête. Ma main effleura une poigner sur la porte à ma droite, lorsque la porte s’ouvrit, je sentis une secousse contre mon dos. Je me tournai pour dire ma façon de penser à la personne qui venait de me pousser, mais me fit couper la parole par une bouche contre la mienne. Je ne réagissais pas sous le choc du moment, jusqu’à temps que je reconnaisse les lèvres que j’aime tant avoir contre les miennes.

Niall.

Je ne me rendis pas contre que j’étais maintenant sur le dos dans un lit avec mon ex-petit ami par-dessus moi m’enivrant de doux baisers. Ils étaient à la fois doux, mais aussi remplit de rage et de passion. Je n’arrivais pas à me contrôler, je savais que ce n’était pas bien. Je ne pouvais m’empêcher de refuser le moment que j’attends depuis trois semaines.

Nous étions nues, je ne sentais plus l’alcool et la drogue dans mon corps. Il faisait des vas et viens violent, ce qui me procurait beaucoup de plaisir. Toutes les innombrables émotions qu’un être humain pouvait ressentir en ce moment, je le vivais à l’intérieur de moi. Je voulais tout arrêter, mais mes sens étaient sous son emprise. Lorsque j’atteignis mon plaisir et qu’il atteignit le sien quelques minutes après, il tomba sur le côté.

Il ne parlait pas tout comme moi, que pouvais-je bien dire? Je savais qu’il était saoul, je l’avais observé du coin de l’œil toute la soirée, il n’était pas lui. J’entendis sa respiration devenir plus forte, il c’était endormit. Quant à moi, je ne pouvais pas dormir. Je n’arrêtais pas de me repasser le scénario qu’il venait de se produire dans ma tête. C’était une erreur, je le savais. Mon ventre se mit à faire de drôle de bruit, je mis mes mains contre celui-ci. Je ne savais pas si c’était la faim qui refaisait surface après trois semaines. Je me levai délicatement et m’habillait puis sorti de la chambre. Je me sentais comme une pute qui finissait son service après une longue journée.

‘’ Retourne dont voir tous les gars que tu as baisé avant moi.’’ Me rappela sa voix dans ma tête, c’est bien ce que je faisais… Je vis Erika au loin marcher dans le couloir, je lui envoyai la main et elle s’approcha de moi.

Moi : Je ne sais pas pour toi, mais je meurs de faim.

Erika : Tu es quasiment anorexique, aller je t’amène au Mcdo.

10 Juin.

Je terminai de marcher avec Sweety et ouvris la porte pendant qu’elle courut jusqu’à son bol d’eau. Je rangeai la laisse sur le crochet dans le hall d’entrée et parti me changer dans ma chambre étant donné que je voyais Zayn durant la journée.

Je regardais mes vêtements cherchant comment je pouvais m’habiller, je décidai de mettre un chandail qui était court noir avec des fleurs blanches dessus. J’enfilai des jeans noirs à taille haute avec mes vans bleu marine. Malgré la chaleur de la journée, je n’étais pas une fille qui aimait porter des shorts. J’appliquai quelques coups de mascara pour que mes cils soient plus beaux puis mis du gloss rose. Mes cheveux étaient frisés et un peu fou, mais je les aimais comme ça, je mis un chapeau avec des boucles d’oreilles or en forme de fleur.

Je descendis en bas d’un pas lent, je ne le voyais pas avant quelques heures étant donné qu’il travaillait. Je me couchai sur le divan mettant mes jambes sur le dessus et allumai la télévision. Il n’y avait pas grand-chose d’intéressant, surtout des reprises d’émissions. Je soupirai et laissai un ancien épisode de Friends. Mon père entra dans le salon et me regarda en fronçant les sourcils ensemble.

Père : Tu ne devrais pas étudier pour tes examens?

Moi : Nope. Dis-je sans détacher mon regard de l’écran.

Je le vis du coin de l’œil hausser des épaules puis s’asseoir sur la place restante du divan. J’entendis la porte d’entrée s’ouvrir, puis un petit rire résonner dans les murs de la maison. Elly et mon frère était là, je ne l’avais pas vu depuis quelque temps vu qu’elle était partie en échange étudiant en France ou quelque chose comme ça.

Elly : APRIL !

Je ne pris pas la peine de me lever de mon coin, qu’elle était déjà en train de me faire un câlin. Lorsqu’elle se décala de sur moi, je me levai par politesse et lui souris.

Moi : Alors comment tu vas Elly?

Elly : Bien vraiment et toi?

Moi : La même chose. Mentis-je.

Je n’allais pas mieux que le mois passé. Je ressentais toujours se trou vide à l’intérieur de moi, chaque jours, chaque heures, chaque minutes, chaque secondes… Elle se mit à rire et m’envoya un clin d’œil.

Elly : Tu n’aurais pas perdu du poids?

J’haussai des épaules, je n’avais pas remarqué si j’avais pris du poids. Ce n’était pas dans mes préoccupations quotidiennes. Par contre, la plupart des gens dans mon entourage me le faisait remarquer. Je ne mangeais plus qu’autant qu’avant, j’avais perdu la faim. De toute manière, l’alcool comblait ma faim.

Elly : OH avant que je parte rejoindre ton frère, tu me rendrais un grand service?

Moi : Ouep. Dis-je en accentuant sur le ‘’p’’.

Elle sourit puis joignit ses deux mains ensemble comme si elle priait. Je savais qu’elle service elle allait me demander et je savais déjà ma réponse.

Elly : Vien avec moi acheter ma robe pour le bal.

Moi : Non. Tu vas devoir chercher quelqu’un d’autre.

Elly : Je vais t’aider pour la tienne aussi. Aller s’il te plait April.

Moi : Je n’y vais pas au bal.

Elle fit un hoquet de surprise en entendant la dernière phrase que je venais de dire. Mon père se racla la gorge mal à l’aise dans la situation, je m’assis sur le divan nonchalant.

Elly : Quoi, tu ne vas pas au bal ! Non, mais tu es folle.

Moi : Non réaliste, c’est inutile de toute manière.

Père : C’est une étape importante du secondaire, pourquoi tu n’y vas pas?

Moi : Parce que ok?! Je n’y vais pas point. Dis-je en me levant du divan.

Je marchai énervée jusqu’à la porte pour pouvoir partir. Pourquoi tout le monde font un drame avec un stupide bal des finissants, c’est complètement stupide. Tu aurais voulu y aller si tu serais toujours avec lui me rappela mon subconscient. Je cramponnais mes mains à mon volant de voiture en me frappant la tête contre le dossier.

Je détestais le fait d’être aussi d’être dépendante à quelqu’un. Je ne l’ai jamais autant été envers personne, je n’aurais jamais cru que c’était possible. J’étais épuisée de toute cette peine en moi, j’étais fatiguée. Fatiguée de me battre contre quelque chose, quelqu’un sachant que j’allais perdre la bataille. Mon téléphone sonna ce qui me fit sortir de mes pensées.

Zayn : Tu peux venir.

Moi : J’arrive.

J’essuyai les quelques larmes qui avaient coulés sur mes joues, puis démarrai la voiture en direction de chez Zayn. Faire ce que je faisais depuis quelque temps, soit avec lui ou Cameron. De toute manière, c’est dans le seul domaine que je suis bonne… 

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Multimédia: Vêtement d'April quand elle va chez Zayn.

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