Mes yeux s’ouvrirent, sous le choc, je ne savais pas comment réagir. Elle bougeait ses lèvres contre les miennes, mais je ne faisais rien. J’étais seulement pétrifié… La réalité revenu et je la pris par les épaules pour qu’elle me lâche. Avant que je puisse la pousser de moi-même, elle me poussa avec ses mains contre mon torse.
Brittany : NIALL! Pourquoi m’as-tu fais ça? Dit-elle en se reculant. Je t’ai pourtant dit que je n’étais pas intéressée.
Je fronçai les sourcils en la regardant, mais de quoi parle-t-elle? Tous les regards étaient sur nous, je serai la mâchoire et la regardai avec un regard venimeux. Avant que je puisse parler, quelqu’un m’interrompu.
… : Wow.
Je me tournai et vis April. Elle se tenait là et ne faisait que me fixer du regard, mon corps était tendu. Une sensation de culpabilité se créa dans mon ventre. Je m’approchai d’elle, mais elle se recula.
April : Ne t’approche pas de moi.
Moi : Ce n’e-
April : Non. Dit-elle entre ses dents.
Elle partit du gymnase, les gens continuèrent de parler, mais quelques un me regardaient encore. Je me tournai vers Brittany, elle me regarda et me sourit.
Moi : T’es qu’une conne.
Elle haussa des épaules et fit semblant d’être vexée. Je lançai mon verre par terre et partit à la recherche d’April. Je poussai les élèves qui étaient dans mon chemin et sortis en regardant de tous les côtés du couloir.
Je marchais depuis de bonnes minutes dans l’école, mais je ne la trouvais pas. Je vis Simon, un joueur de l’équipe de soccer. Je l’arrêtai par l’épaule.
Moi : Hey tu n’aurais pas vu April?
Simon : April?
Moi : Ouais April.
Son ami fit un son avec sa bouche, comme s’il venait de trouver quelque chose.
… : Oh tu parles de la fille hyper sexy, avec de long cheveux brun et un beau cul qui se tient avec Tomlinson?
Je serai les poings, me contrôlant pour ne pas le frapper en plein visage. Je me raclai la gorge et hochai de la tête.
… : Je pense que je l’ai vu partir dehors il y a deux minutes.
Dehors, pourquoi je n’y ai pas pensé avant, quel idiot. Je le remerciai et partis en courant vers l’extérieur, espérons qu’elle soit encore là. J’ouvris la porte qui menait vers le stationnement des élèves et cherchai de tous les côtés jusqu’à temps de la voir. Elle était de dos, ses longs cheveux bruns frisés que j’aime tant couvraient la moitié de son dos. Elle se tenait le ventre d’une main et de l’autre elle tenait sa cigarette.
Je marchai vers elle, avec la même sensation dans l’estomac que tout t’à l’heure. Arriver à sa hauteur, je m’installai à côté d’elle, les mains dans mes poches regardant en avant de moi pour ne pas rencontrer ses magnifiques yeux verts, en colère.
Moi : Est-ce qu’on peut parler?
Elle se retourna vers moi, ne disant rien. Je finis par rencontrer son visage, ses yeux étaient rouge comme quand elle pleure. Un pincement se créa dans ma poitrine sachant qu’elle à pleurer, je hais la voir comme ça. J’espère seulement qu’elle va me croire.
Moi : Je ne sais pas ce que tu as vu, m-
Elle : Assez de ce que j’aurais dût voir.
Moi : Ce n’est pas ce que tu crois !
Elle : Ne me sort pas la phrase cliché que tout le monde dit ‘’Ce n’est pas ce que tu crois, c’est elle qui m’a embrassé, je te jure que je ne te ferai pas ça.’’
Je penchai la tête regardant mes pieds qui jouaient avec des cailloux. Je passai la main dans mon cou et relevai la tête pour enfin la regarder. Elle se mit à rire, un rire moqueur et sarcastique puis lança sa cigarette par terre. Elle l’écrasa avec sa botte le bout du mégot par terre.
Elle : C’est ce que je croyais. Finalement tu es comme tous les autres !
Son dos me faisait maintenant face, elle commença à marcher vers la sortie du stationnement, je soupirai en penchant ma tête vers l’arrière puis me mit à courir pour la rattraper.
Moi : April.
Elle continua de marcher sans me donner la moindre attention.
Moi : Bébé, écoute-moi s’il te plait.
Encore aucune réaction.
Moi : MERDE RETOURNE-TOI ET ÉCOUTE-MOI !
La rage bouillait dans mon corps, je la vis sursauter après la phrase que je venais de lui dire. Elle se retourna timidement, son maquillage coulait, mais elle s’essuya les joues. Essayant de montrer qu’elle n’était pas faible. Je pris une grande bouffer d’air avant de parler.
Moi : Oui, elle m’a embrassé. Tu ne vas probablement pas me croire, mais c’est la vérité. J’ai besoin que tu me crois !
Elle : Besoin que je te crois pourquoi? Pour que je te pardonne et qu’ensuite tu me rejoues dans le dos? Oh s’il te plait j’ai déjà donné pour ce genre de truc.
Moi : MAIS JE NE SUIS PAS LUI APRIL ! COMPREND-LE. JE NE SUIS PAS Cameron.
Je ne voulais pas lui crier dessus, mais tout ce qu’elle me disait m’emportait. Je ne voulais pas qu’elle me compare à Cameron, car je ne suis pas lui. Jamais je ne lui ferais une chose pareille, jamais je ne serais capable de lui faire du mal.
Elle : TU N’ES PEUT-ÊTRE PAS CAMERON, MAIS TU AGIS COMME LUI. Regarde tout ça, te voir embrasser une autre fille, me crier dessus, ce crier dessus et venir me dire de belles paroles. Pour me convaincre, tout ça est du déjà-vu… et j’en ai plus besoin. Dit-elle d’une voix tremblante.
Je m’approchai d’elle, je voulais la prendre dans mes bras et la réconforter, pour lui faire comprendre. Elle se décala et secoua la tête puis remit ses yeux vers les miens.
Moi : S’il te plait, je te dis la vérité. Nous parlons quand même de Brittany…
Elle : Peu importe de qui nous parlons, ça ne changera pas les actes que tu as faite.
Elle commença à marcher, je respirai profondément en fermant les yeux. Je ne pouvais rien faire de plus pour l’instant. J’ouvris mes yeux et reparti vers l’école, en colère cette fois-ci.
April PDV
Je me réveillai, en fait je ne savais pas si j’avais réellement dormit. Ma tête tournait, je fermai les yeux et pris une inspiration. Je sentis une main me caresser la joue, je retournai la tête et vis Tyler. Il me fit un petit sourire désolé et s’accotai la tête contre mon oreiller me tenant la taille.
Après m’être disputé avec Niall, j’avais marché sans m’en rendre contre chez Tyler. Quand je suis arrivé chez lui, il était seul et ne dormait toujours pas. Nous avions passé la soirée à parler, comme nous le faisions avant quand l’un de nous n’allait pas bien. J’étais heureuse qu’il soit en ville, car c’est la personne dont j’avais le plus besoin en ce moment.
Tyler : Je vais aller faire à déjeuner. Me dit-il doucement.
J’hochai de la tête et il partit de la chambre en refermant la porte derrière lui. Je pris mon téléphone, il était 10h40 du matin. Je vis également que j’avais 13 appels manqués et plusieurs messages textes. Tous de Niall. Je les ignorai et me levai enfin du lit. J’attachai mes cheveux en queue de cheval et replaçai le chandail que Tyler m’avait prêté pour la nuit.
Après avoir déjeuné, Tyler décida de me raccompagner chez moi. Nous marchions silencieusement, je ne parlais pas énormément depuis hier et il n’osait rien dire. Je ne savais pas comment je devais réagir par rapport à tout cela. Peut-être qu’il dit la vérité, mais l’autre parti de moi-même à peur. Mon téléphone sonna, je le sortis de ma poche et vis le nom de Niall sur l’écran. Je soupirai et le laissa sonner.
Tyler : Tu devrais peut-être lui parler.
Moi : Je… je n’en sais rien.
Tyler : Brittany est quand même une salope. Ne l’oublie pas.
J’hochai de la tête regardant l’horizon, ravalant mes pleures. Une chaleur se créa dans ma main, je tournai la tête et vis Tyler me tenir la main en me regardant avec ses grand yeux bruns remplient de tendresse.
Tyler : Je suis la ok?
Sa voix était claire et réconfortante. Nous marchâmes jusqu’à mon entrée, il me tenait toujours la main, mais ça ne me dérangeait pas. J’ouvris la porte, la maison était silencieuse, tout le monde doit dormir pensais-je.
Je partis dans la douche espérant qu’elle m’enlève tous mes tracas. Après une heure d’eau chaude sur ma peau, je sortis et enfilai des vêtements confortables. J’allai dans ma chambre et m’étendu dans mon lit en regardant mon plafond. Tyler a raison, je devrais l’appeler… je soupirai fortement. Je pris mon téléphone et composai son numéro et attendu qu’il décroche.
Niall : April, bébé.
Sa voix était différente. Remplis d’inquiétude. Je n’étais pas capable de parler, mes cordes vocales n’émettaient aucun son. Tout ce que je savais c’est que sa voix me calma dans un sens.
Niall : J-Écoute, je sais que tu ne veux pas parler pour l’instant… Mais s’il te plait dit-moi où étais-tu cette nuit?
Moi : C-chez Tyler.
Il expira de soulagement probablement. Il y avait un long moment de silence, je ne voulais pas parler, mais je voulais entendre sa voix.
Moi : J-je dois y aller.
Niall : Je t’aime.
Ses mots me donnèrent un coup dans le ventre. Je fermai les yeux et respirai lentement avant de parler.
Moi : Je t’aime aussi.
Je raccrochai et lançai mon téléphone à l’autre bout de ma chambre. Tyler me prit dans ses bras et je fermai les yeux pour contrôler ma colère.
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Erika se tenait devant moi, les bras croisés en me suppliant.
Moi : Non, je n’ai pas envie de sortir.
Erika : April tu as eu 17 ans, il faut que tu fête ça !
Moi : J’ai dit non.
Erika : Et moi j’ai dit oui. Aller va t’habiller.
Je soupirai sans bouger. Elle tapa du pied comme une gamine et me fit des yeux de chiens battus.
Moi : Tu me promets que ce n’est pas une grosse fête.
Elle se mordit et ne répondit pas tout de suite.
Erika : Oui.
Je savais qu’elle me mentait, mais elle voulait absolument que j’y aille. Elle sourit quand elle me vit ouvrir mes tirroirs.
Erika : Tu es prêt, toi Tyler?
Il hocha de la tête et elle tapa des mains, heureuse. Je me tournai vers lui et le pulvérisai du regard, il m’envoya un clin d’œil et je pris des vêtements plus convenable. Je partis dans ma salle de bain me préparée. Je mis mes jeans noires remplient de troue avec une camisole blanche des Beatles ainsi qu’une veste chaude bourgogne. Je frisai un peu mieux mes cheveux avec le fer plat et attachai le devant sur chaque côté et mis un chapeau noir. J’appliquai un peu de mascara et de gloss et mis mes lunettes vue que mes yeux étaient fatigués. Je me brossai les dents et nous partîmes de chez moi.
Arriver dans le stationnement de la maison où est-ce que la fête se déroulait, je restai surprise. Je n’avais jamais vu cette maison au paravent. Elle était très grosse avec de belles pierres grises pâles et le toit noir. Il y avait une galerie sur le devant noir également, c’était très beau. Je pouvais entendre la musique résonner à l’extérieur et voir les gens boire par la fenêtre.
Moi : Où est-ce que nous sommes?
Erika : Chez Matt. Dit-elle avec un changement de voix.
Pendant qu’elle cogna je me tournai pour mieux la regarder.
Moi : Est-ce que ça va?
Erika : Hmhm seulement que je ne suis pas venu ici depuis… eh bien tu sais.
J’hochai de la tête ne voulant pas lui poser plus de questions pour le moment. La porte s’ouvrit et Matt nous accueillit souriant comme toujours. Nous entrâmes et je marchai en regardant les alentours, espérant trouver la cuisine pour boire.
Je finis par trouver la cuisine quelque minute plus tard, il y avait beaucoup plus de gens que je ne l’aurais cru. La plupart étaient déjà saoul, je poussai un couple en train de se manger la bouche pour prendre un verre de vodka, canneberge et seven up. Pendant que je remplissais mon verre, quelqu’un se précipita sur moi en me prenant par les hanches. Je restai surprise et essayai de le repousser, mais je n’étais pas assez forte.
Il puait l’alcool et ses yeux étaient rouges, probablement la drogue pensais-je. Il s’approcha de moi pour m’embrasser, je le poussai en lui criant après.
Moi : Hey tu dégages !
Il me poussa violement sur le comptoir, ce qui me causa une douleur au bassin.
Lui : Tu fermes ta gueule.
Je sentais la panique monter en moi, j’avais une impression de déjà-vu. Il commença en me morde la peau du coup, je fermai les yeux en respirant calmement. Je suis capable de le pousser, ça ne doit pas être sorcier.
Moi : Lâche-moi ! Dis-je d’une voix plus ferme et forte.
Lui : Oh comme si tu n’appréciais pas sale pute.
Les larmes montèrent dans mes yeux, vais-je me faire violer ici dans la cuisine de Matt? Personne n’avait l’air de se préoccuper de nous, la musique était forte et personne ne m’entendais parler ou crier. J’essayai de m’enlever de sa prise, mais il serra mes poignets et mon bassin plus fermement. Mon cœur battait vite et mon souffle s’accélérait, il se rapprocha pour m’embrasser, mais je libérai mon autre main et le giflai au visage. Il agrippa mes cheveux, ma tête pencha par derrière et il me murmura à l’oreille quelque chose qui m’envahis de frissonnement. Des frissons de peur.
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Multimédia: Habit d'April.
Eh voila, j'espère que vous aimez. Commentez et votez, je vous adores xxx
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