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Chapitre 13

Je me réveillai et décidai d’aller prendre une douche. L’eau chaude coulait sur ma peau, ce qui me faisait un grand bien. Je lavai mes cheveux tout en pensant à quoi la conversation que je vais avoir avec mon père allait donner. Je vais surement entendre des discours ennuyant que je n’ai pas envie d’entendre. Oui je m’ennuie de mon père et d’habiter dans ma maison, mais est-ce que je suis prête à oublier le fait qu’il aille autant passer aussi vite sur ma mère? Je ne crois pas. Une fois sorti, je pris des vêtements et m’habillai. Je décidai de seulement appliquer un peu de gloss et d’oublier le maquillage. Je retournai dans la chambre d’Erika et pris le message vocale que mon père m’avait laissé. Je devais le rejoindre dans une heure au café du coin. Je décidai de laisser Erika dormit et d’aller me faire à manger.

Stéphane : Bonjour.

Moi : Hey.

Stéphane : Je dois aller travailler ce matin donc je vais revenir avant le souper.

Moi : D’accord.

Stéphane : Bonne journée.

Moi : À toi aussi.

Il partit et je commençai à me faire à manger. J’entendis des pas et des voix provenant d’en haut.

Erika : DÉGAGE DE MA CHAMBRE !

Jessica : DONNE-MOI TON CHANDAIL.

Erika : DÉGAGE ESPÈCE DE CONNE C’EST MES CHOSES PAS LES TIENNES.

Jessica : TAGEULE ET DONNE-MOI LE.

Une porte se claqua et puis Erika apparut dans la cuisine.

Erika : Ce qu’elle peut-être chiante !

Moi : ahaha bon matin.

Erika : Ouais toi aussi.

Moi : Tu penses que tu pourrais aller me porter au café?

Elle : Ouais quelle heure?

Moi : Dans une heure environs.

Elle : Je vais me préparer.

Je continuai à manger mes toasts en répondant au message de Tyler. Je m’ennuie de lui, il est la seule personne dont je m’ennuie vraiment à New York. Si le drame avec ma mère n’aurait pas eu lieux, peut-être que je m’ennuierais de d’autre personnes et chose. Erika arriva et nous partîmes. J’avais cette boule à l’estomac qui ne voulait pas partir. Je n’ai pas à être stresser, ce n’est que mon père. Je rentrai dans le café et vis mon père assit près de la grande fenêtre portant sur la rue. Ça faisait étrange de le voir sans son complet, il ne doit surement pas travailler. Je m’assis à la table et il baissa son journal.

Père : C’est quoi ces vêtements?

Moi : Mon habit ?

Père : Pourquoi tu portes ça?

Moi : Parce que c’est mon linge?

Père : Tu n’as jamais eu ce style vestimentaire.

Moi : Oui, tu n’as seulement pas remarqué c’est tout.

Père : Je ne l’aime pas.

Moi : Moi oui.

Il leva les yeux en l’air et reprit la parole.

Père : Tu as logé où?

Moi : Chez une amie.

Père : Quelle amie?

Moi : Erika.

Père : Je crois que ton frère m’en a déjà parlé.

De quoi il se mêle lui encore.

Moi : Ok, tu voulais qu’on parle de quoi?

Père : Écoute, je sais que ça ta contrarier ce qui c’est passer la fin de semaine passée, mais j’aurais pensé qu’on pourrait passer par-dessus?

Je restais en silence le regardant. Il croit vraiment que je vais le pardonner si facilement? Peut-être que j’exagère, mais le voir embrasser quelqu’un d’autre que ma mère me donne la nausée.

Père : Alors tu en pense quoi?

Moi : Je ne sais pas.

Père : April arrête de jouer à l’enfant, tu ne peux pas toujours fuir.

Moi : Fuir de quoi?

Père : De la réalité.

Moi : Non, mais qu’est-ce que vous avez ces temps si? Je ne fuis aucune réalité. La réalité est que tu as embrassé une autre femme que maman.

Père : Ta mère est morte, il faut que tu le comprennes.

Moi : Et que toi tu comprennes c’est quoi le vrai amour.

Père : Je te demande pardon?

Moi : tu m’as bien entendu.

Père : Tu n’as pas à me parler comme ça !

Moi : Ouais peu importe.

Il soupira puis prit une gorger de son café. Je savais que mon père n’était pas habituer de moi voir comme ça. Ma relation avec lui à toujours bien été et j’ai toujours pu parler de tout avec lui. Mais les choses ont changé, tu as changé dit mon subconscient. Il devrait apprendre à se taire parfois.

Père : J’aurais pensé que tu pourrais reprendre les cours de danse.

Moi : Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans le mot : non.

Père : Pourquoi tu ne veux pas?

Moi : Parce que.

Père : Parce que quoi?

Moi : Parce que c’est tout.

Il passa sa main dans ses cheveux bruns qui commençait à avoir un peu de gris. Il me regarda avec ses yeux verts, des yeux remplis de tendresse.

Père : Je ne te comprends pas April… tu es tellement douée.

Moi : T’entendre me complimenter ne changera rien.

Il secoua sa tête et regarda sa tasse de café.

Père : Je commence à comprendre. *chuchotant*

Moi; Comprendre quoi?

Père : Non rien.

Moi : Je n’ai pas envie de me faire chier en ce moment, alors quand tu comprendras que je fais ce que je veux et non ce que tu m’oblige, peut-être que je reviendrai à la maison.

Je me levai de la petite table et sortis du café. La rage en dedans de moi montait de plus en plus, je devais me changer les idées. Je ne savais pas réellement où mes jambes m’emmenaient, mais tant que ses loin de se bistro et des morales de mon père, ça ne me dérange pas. J’étais maintenant dans le centre d’achat, rien ne fait de mal à une petite séance de magasinage.

Après quelques boutiques de fait, je pris un café au starbuck et décidai de me diriger vers la sortie pour aller chez Erika. Je pris mon téléphone et mis mes écouteurs, c’est fou à quel point la musique peut nous aider.

I never knew, I never knew that everything was falling through. That everyone I knew was waiting on a cue. To turn and run when all I needed was the truth, but that’s how it’s got to be. It’s coming down to nothing more than apathy I’d rather run the other way than stay and see the smoke and who’s standing when it clears-

Sans avoir porté attention, je fonçai dans quelqu’un.

.. : Merde t’aurais pas pu regarder où tu allais?

La personne se tourna et je levai mes yeux en l’air pour lui dire ma façon de penser.

.. : Oh April.

Je mordis ma langue pour  retenir mes paroles.

Moi : Oh Zayn, je ne pensais pas que c’étais toi.

Zayn : Moi non plus, désolé de t’avoir parlé comme ça.

Je lui souris et le regardai. Il n’avait pas son mohawk et avait une petite barbe. Il portait des skinny noir, comme à l’habitude avec un chandail bleu marine. Il passa sa main dans ses cheveux et je me mordis la lèvre.

Zayn : Tu as envie de faire quelque chose?

Moi : Pourquoi pas.

Nous partîmes du centre d’achat puis allons chez lui. Sa maison était plutôt charmante, elle était située dans un coin tranquille. L’intérieur était autant joli que l’extérieur, nous marchâmes pour aller à sa chambre. Des photos familiales étaient accrochées aux murs, ce qui me fit sourire. Il était mignon quand il était jeune.

Zayn : J’avais l’air sage non?

Moi : Plus que maintenant.

Il se mit à rire et j’accompagnai son rire. Nous décidions d’écouter un film, The green mile. Je ne pus m’empêcher vers la fin du film de verser quelques larmes.

Zayn : Hey viens là.

Il me serra plus fort dans ses bras et je me mis à rire.

Moi : Mon côté féminin sort.

Il me sourit et me leva mon menton avec ses doigts. Il approcha son visage du mien et m’embrassa doucement. Notre baiser continua au même rythme, comparer aux autres fois.

Lui : J’avais envie de le faire depuis le début.

Je souris et accotai ma tête contre son épaule. Je regardai l’heure il était déjà cinq heure.

Moi : Je devrais y aller.

Lui : Tu veux que j’aille te reconduire?

Moi : Ouais ça serait gentil.

La route était plutôt silencieuse, une fois arrivé chez Erika je le remerciai et rentrai. Zayn était de bonne compagnie, même si notre relation est différente de celle de vrai ami.

Lundi.

Je parlais avec Erika tout en marchant vers ma case. Je fis mon code de cadenas et ouvris la porte. Je ne pus répondre à ce qu’Erika était en train de me dire, car une vague de poussière blanche envahis mon visage. J’étais recouverte de farine de la tête aux pieds. Des rires résonnaient dans le corridor, mais je m’en foutais. Je tournai ma tête et aperçu Niall qui me regardait avec un petit sourire puis il disparut. Je le hais, il va le regretter.

Mardi.

Erika et moi marchions jusqu’au vestiaire des garçons. Louis nous avait informé qu’il avait une pratique de soccer ce soir et que Niall faisait partit de l’équipe. Intéressant il fait partit de l’équipe de soccer, je n’y aurais jamais pensé.

Erika : Et si jamais il était déjà dans les vestiaires?

Moi : Nah la prof de science voulait lui parler.

Elle hocha la tête et nous rentrâmes dans le vestiaire. Les garçons nous regardèrent étrangement.

Moi : Hey mes jolis vous savez où le sac de Niall est?

Un garçon aux cheveux brun foncé nous pointa un sac Adidas vert. Je m’approchai du sac et sortis ses souliers, puis y versa de l’huile à l’intérieur et en dessus des semelles.

Erika : Regarde ailleurs toi.

Le garçon se tournât immédiatement et je continuai mon mauvais coup. Après avoir enduit ses souliers d’huile, je coupais quelque bout de son chandail. Nous sortîmes du vestiaire et nous cachâmes. Niall arriva avec deux autres personnes et entra dans le vestiaire. Quelques minutes plus tard nous entendîmes un cri et des rires. Bien fait pour lui.

Mercredi.

Je n’avais pas encore vu Niall depuis hier soir après mon mauvais coup. Ce jeux me faisait bien rire, même si ce soir je dois l’endurer pour que nous fassions ce stupide devoir d’équipe. Je n’avais eu aucune farine dans la figure ou autre chose, mais je savais qu’il planifiait sa revenge. Je l’attendais dans la cours d’école en me disant que je dois demander une voiture à mon père ou faire venir la mienne de New York. Je le vis arriver, ses cheveux était bien placé comme à l’habitude. Il portait des skinny noires, un chandail blanc avec une veste en jeans sans manche. On pouvait voir quelques un de ses tattoos. J’admirais sa laideur et il arriva enfin à ma hauteur. Tu admire sa beauté me dit mon subconscient.

Moi : Tu aurais pu être plus lent.

Il enfila ses lunettes de soleil sans rien me dire. Une fois arrivé chez lui, sa mère nous accueilli joyeusement.

Maura : Oh April je ne savais pas que tu venais.

Avant que je puisse dire quoi que ce soit, Niall me coupa.

Niall : Ouais on vient finir notre projet.

Il monta en haut et je souris à Maura.

Nous passions la soirée à rien se dire. J’avais finis le texte depuis au moins une heure, mais je faisais comme si je l’écrivais encore. Je me retournai vers Niall, qui était assit sur son lit en assemblant l’objet. Je ne le regardai travailler, le voir concentrer le rendait encore plus beau qu’a l’habitude.

Niall : Quoi?

Je n’avais pas remarqué que je le fixais depuis longtemps.

Moi : T’as bientôt fini?

Lui : Ouais.

Moi : Ok.

Je soupirai et décidai d’imprimer le texte. Après une heure à regarder son plafond, sans rien dire Erika m’envoya un message comme quoi elle était là. Enfin sauvé de ce supplice.

Moi : J’ai fini le texte, bye.

Lui : Ouais ok bye.

Au fond, j’aurais aimé entendre ses petits commentaires déplaisant durant la soirée.

Jeudi.

Professeur : Aujourd’hui nous allons faire un laboratoire. Je voudrais que vous suiviez les règles, car ça peut être dangereux. Faite TRÈS attention à la quantité de dose durant vos mélanges.

Nous étions en chimie, je me débrouillais dans cette matière, mais Erika était comme une scientifique. Tout le monde commença le laboratoire, pendant que je prenais les résultats en note Erika faisait les mélanges.  

Professeur : Erika et April où sont vos lunettes de sécurité?

Moi : Aucune idée.

Professeur : Mettez-les et attachez-vous les cheveux.

Erika : Ouais ouais.

Professeur : Je suis sérieux.

Erika : Oh on se détend, personne ne va mourir.

Il soupira et partit. Je me penchai au-dessus d’Erika pour voir ce qu’elle faisait.

Moi : Tu es sur que c’est la bonne quantité?

Elle : Ouais ne t’inquiète pas.

J’ouvris la bouche pour parler, mais mon bonbon tomba dans le mélange.

Elle : Dit-moi que ton bonbon est une genre de pastille?

Moi : Non une menthos.

Nous nous regardâmes sachant que ce n’était pas bon signe. Le mélange commença à faire de la grosse mousse blanche et à gonfler.

Erika : Ça l’annonce rien de bon.

Le mélange continuait de faire des bulles et à déborder du bocal. Le professeur arriva vers nous pour vérifier si tout allait bien ou pour nous avertir encore une fois.

Professeur : J-

Moi : PENCHE-TOI !

Nous nous penchâmes en dessus de la table et nous entendîmes un petit bruit d’explosion. Nous remontâmes et vis de la boucane sortir du mélange. Le professeur nous regarda en colère.

Professeur : RETENUE !

Oops.

_________

Je rejoignis Erika à son casier à la fin de la journée pour aller à notre retenue. Nous marchions vers le bureau du directeur pour avoir notre billet, quand nous rentrâmes dans le bureau, deux personnes se criaient après. En fait ses deux personnes étaient le père d’Erika et le mien. Tout ça n’annonce rien de bon…

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Le chapitre est long je me suis laisser emporter en écrivant ahah. Merci pourt tout vos lecutres, votes et commentaires ! Bientôt 1k wow hihi xx

Multimédia: Habit d'April lors de la rencontre avec son père.

Vidéo: La chanson qu'April écoutait, Over my head The fray. 

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