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26. To the conquest of the heart

𝐹𝒪𝑅 𝒜𝐿𝐿 𝒯𝐻𝐸 𝒢𝒪𝐿𝒟 𝐼𝒩 𝒯𝐻𝐸 𝒲𝒪𝑅𝐿𝒟
26. To the conquest of the heart



LAUREN AVAIT PASSÉ le reste de la journée à errer sur l'île sans but précis. Elle s'était perdu dans ses pensées bien trop de fois pour pouvoir les compter. Elle vaquer de droite à gauche, sur le port, dans la ville, les pieds dans l'eau ou pieds-nus sur le goudron.

Elle ne savait pas quoi faire, elle était perdu.

Lauren se sentait comme une coquille vide qui n'avait plus de place dans ce monde. De toute façon voulait-elle vraiment avoir une place dans ce monde ? Elle ne savait pas. Lauren se demandait si cela valait le coup de continuer à chercher sa place alors qu'elle ne souhait plus vraiment vivre ?

Lauren n'avait plus de raison de vivre.

C'était comme si JJ avait été sa raison de vivre sur un cours instant.

Pourquoi ?

Etait-ce ridicule comme pensée ? Était-ce même irréel ? Inimaginable ? Non, c'était bien réel et pourtant Lauren avait l'impression qu'elle n'avait fait que rêver;

Mais si tout cela n'était qu'un rêve... Pourquoi rêver d'un garçon aux cheveux blonds, impulsif, colérique et extrêmement maladroit dans ses mots, incapable de demander l'aide, même à la personne qu'il aime ? Pourquoi aurait-elle voulut rêver d'un garçon imparfait alors qu'elle aurait très bien plus s'imaginer un garçon parfait, dans les moindres détails ?

Et c'était ça qui lui fit comprendre que JJ était réel.

JJ Maybank était loin d'être parfait et n'arrêtait surement jamais de se cramer les neurones, de dire des choses maladroites lorsqu'il était stressé ou bien-même, il n'arrêterait jamais de se faire défoncer son beau visage si c'est pour sauver ses amis.

Il était incapable de lui dire combien elle comptait pour lui et elle était incapable de lui montrer combien il comptait pour elle.

C'était comme faire un pas en avant et dix en arrière.

Était-ce une relation à sens unique  ou tout simplement inimaginable ?

Pourquoi est-ce-que cette chasse au trésor avait finit par se transformer en quête amoureuse ?

A la conquête du coeur de JJ.

Et pendant que Lauren se faisait des noeuds au cerveau, elle ne se doutait pas un seul instant que JJ remontait à la surface pour simplement s'enfoncer encore un peu plus profond dans le déni.

C'était comme s'il avait enfin réussir à sortir la tête de l'eau, juste quelques secondes, embrasser du bout des lèvres l'espoir et l'amour avant de se faire tirer les profondeurs de l'océan avec cette impression au fond de la gorge de ne jamais pouvoir refaire surface un jour. Juste pour une bouffée d'air.

Même s'il ne le savait pas encore, Lauren était cette bouffée d'air.

En fin de soirée, alors que la nuit venait de tomber sur OBX, Lauren avait fini par se décider à retourner auprès des Pogues pour leur faire des excuses —enfin surtout à JJ.

Elle avait fini par comprendre que quoi qu'elle faisait, elle ne pourrait pas échapper à ses sentiments. Elle avait compris que même en essayant de se convaincre qu'elle finirait sa vie seule et qu'elle ne méritait pas d'avoir des amis comme eux, JJ était inévitable quoi qu'il en soit.

Ça lui faisait mal de l'admettre mais aujourd'hui elle dépendait de lui, sa santé mental —tout du moins sa stabilité— dépendait de ce blond impulsif surement bien plus instable qu'elle.

Alors, lorsqu'elle arriva au Château, Kie et Pope était là, face à un énorme jacousie —elle était presque sur ne l'avoir jamais vu ici.

Tout le Château était éclairé par de grosse guirlandes, alors que Lauren pensait toujours qu'il n'y avait pas d'électricité de se côté de l'île.

JJ était dans ce jacousie hors de prix, son coeur se serra.

Kie et Pope s'approchait sans rien dire alors qu'elle restait à l'écart dans l'ombre ne souhaitant pas intervenir, ne savant encore moins quoi dire.

Elle était là, elle assistait à la scène et regardait JJ sourire à travers l'immense peine qui était sur son visage. Il arrivera peut-être à les tromper, mais il ne la trompera pas elle.

Sa douleur était immense et Lauren le savait, elle le ressentait même.

Ses amis avaient beau lui dire ce qu'il voulait, la seule personne ici qui le comprenait vraiment était Lauren.

Et Lauren admirait JJ.

Lauren admirait JJ car JJ avait encore la force de sourire alors qu'il allait mal.

Lauren admirait JJ car JJ avait le courage d'affronter ses problèmes alors qu'elle passait son temps à les fuir.

Lauren admirait JJ car JJ était malgré tout droit dans ses bottes et ferait tout pour ses amis.

Pour elle.

Lauren aimait tout simplement JJ.

Et encore plus lorsqu'elle comprit ce que tout ce cirque signifiait ; il se tenait debout, au milieu de tout ces jets d'eau et se matériel hors de prix, le corps marqué.

— J'ai acheté un jacuzzi ! Hurla-t-il. Pour mes amis. Un jacuzzi pour mes amis.

Lauren ne s'était pas rendu compte mais pendant que les larmes coulés le long de ses joues, elle avait continué à avancer, jusqu'à sortir de la pénombre.

— Non, vous savez quoi ? Même pas pour mes amis, reprit JJ la voix tremblante malgré l'immense sourire sur son visage. Pour ma famille !

— JJ, c'est quoi ce bordel ? Demanda Kie.

— Regardez ça !

Il se tourna et montra à ses amis tout ce qui l'entourait. Tout cet argent qu'il avait dépensait et Lauren ne lui en voulait même pas.

— Regardez !

— JJ...

— Non ! Arrête de chialer, ok ? Tout va bien.

Alors que tout dans sa voix prouvait le contraire, ses yeux prouvaient le contraire et son sourire ne faisait que tout cacher.

— C'est super, non ? Tout est...

— Viens.

Kie entra dans le jacuzzi et serra le blond dans ses bras pendant qu'il fronçait ces mots insensé à briser le coeur. Pope fit de même et serra JJ à son tour, pendant que Lauren était à l'écart silencieusement —tout du moins.

Elle le savait brisé mais sûrement pas à ce point. C'était la deuxième fois qu'elle était témoin de ces atrocités et c'était une fois de trop.

Cette fois-ci ce n'était l'anxiété, l'angoisse ou la panique qui prenait le dessus mais simplement l'empathie.

Elle aimait ce garçon et ne supportait pas de le voir ainsi, elle ne supportait pas de le voir rabaissait aussi bien physiquement que mentalement. Elle cherchait toute les solutions possible pour le sauver, pour l'aider et lui faire reprendre une bouffée d'air et respirer, mais rien.

Lauren ne savait pas comment le faire avec elle-même et elle avait peur pour lui, peur de l'emmener dans sa chute avec elle et simplement devenir la cause de ses malheurs.

Et si elle partait ?

Qu'est-ce-que cela changerait de toute façon ? Personne ne savait qu'elle était là. Lauren était un fantôme depuis le départ.

Alors autant le rester, autant rester un fantôme jusqu'au bout.

— Lauren ?

Mais surement pas à ses yeux.

C'était presque inespéré. L'entendre prononcer son nom avec cette voix tremblante, ses lèvres fendus, gercés, abimés et ce corps abattu sur lequel son paternel s'était rué ; c'était presque trop dur pour elle.

Mais il le fallait. Il fallait qu'elle soit forte pour une lui une dernière fois.

Alors avant de se retourner, Lauren essuya ses joues, ses yeux et son nez avant de se retourner pour lui faire face.

— Tu allais partir ?

C'était presque encore pire maintenant qu'il s'adressait à elle.

Que dire ? Quoi faire ?

Oui, JJ. Lauren allait partir, quitter OBX et tout recommencer, encore une fois. Oui, Lauren est faible et ne te mérites pas.

Alors elle mentit. Enfin elle n'eut pas besoin.

— C'est ça ? Tu allais m'abandonner ?

— Non, mentit la brune. Bien-sur que non. JJ, tu sais que je peux t'aider, reprit Lauren.

— Je veux pas que tu m'aides comme ça, dit-il en s'approchant. Je veux pas de ton argent Lauren.

— Je ne peux rien faire d'autre alors, je suis désolée.

— Je te veux, toi. Toi et simplement, toi. Toi, dans ton intégralité. Toi, dans la joie et la bonne humeur. Toi, dans la tristesse et la peur. Toi, pour le meilleur et pour le pire. Lauren ne m'abandonne pas.

Il n'avait pas finit de prononcer ses derniers mots qu'elle s'était laisser guider par son propre corps et l'avait attrapé dans ses bras.

Une main à l'arrière de son crâne et l'autre autour de ses épaules nues ; JJ avait enfoncé sa tête au creux de son cou et pleurait. Il pleurait simplement sans aucune honte et c'était ce qui déchirait Lauren et la forçait à le serrer plus fort contre elle, peu importe si il avait mal. Elle était égoïste et ne voulait pas le lâcher.

Elle ne voulait plus le lâcher.

— Je ne partirais pas, JJ. Je resterais là, je te le...

Elle réfléchit à deux fois avant de finir de parler. Lauren poussa un soupir, leva les yeux au ciel comme pour implorer le pardon de qui voudra bien l'entendre avant de croiser les doigts et de lui faire sa promesse.

— Je te le promet.

C'était un peu comme la cigarette du mort.

Lauren venait d'embrasser la mort.

⋆ ⋆ ⋆



A PRÉSENT, il titubait à travers le Château.

Lauren avait attrapé JJ un bras autour de sa taille et l'autre qui retenait son bras musclés autour de ses épaules. Elle aimait le sentir contre lui même s'il puait le champagne à plein nez.

Après ce dur moment, la pression retombée et le jeune homme avait laissé tomber tout énervement au contact de Lauren. Surement parce qu'elle avait prononcé ce qu'il voulait entendre depuis le début. C'était sur et certains, mais elle serait là pour lui coute que coute.

Surtout ce soir.

JJ était fatigué et l'alcool continuait de lui jouer de mauvais tour. Il racontait un bon paquet de truc insensé plus sombres les unes que les autres ou tout le contre jusqu'à le faire rire sans vrai raison.

Mais Lauren était là pour le soutenir.

—Hé, Lau. Je-

— Ne te fatigue pas, dit-elle en poussant sur la porte de la chambre de John B. S'il te plait JJ.

Honnêtement, elle en avait marre de l'entendre parler de tout et de rien, de choses qui lui faisait mal au coeur mais que l'alcool faisait ressortir ; c'était comme s'il vomissait tout ce qui lui faisait mal.

En entrant dans la chambre, Lauren posa —balança— le blond sur le petit lit de son meilleur ami avant de ressortir de la chambre pour aller chercher une quelconques serviette —le plus rapidement possible avant qu'il ne fasse quo que cela soit d'idiot, encore.

Lorsqu'elle revint dans la chambre, elle s'assied à coté de JJ qui était vulgairement étalé sur le lit et souriait comme un idiot sans raison.

Lauren l'attrapa par les bras et le tira, le forçant à s'assoir.

Elle balança la serviette sur ses épaules, avant de l'essuyer et la passer dans ses cheveux. Il riait, ce qui agacée Lauren.

— JJ, s'il te plait.

Il riait de plus en plus fort pendant qu'elle lui secouait la tête en tentant d'essuyer ses cheveux blonds.

— JJ, tiens-toi ! S'il te plait !

Et il tomba sur le coté —celui de Lauren tant qu'à faire, s'étalant sur sa poitrine. Il poussa un léger cri, étonné mais satisfait. Lauren poussa un soupir avant de lever les yeux au ciel et de le remettre debout.

— Non...

Il valait comme un enfant pendant qu'elle continuait de l'essuyer, jusqu'à toucher ses côtes ; il saisit sa main plus fort qu'il l'aurait imaginé.

Lauren se raidit aussitôt. Elle n'appréciait pas son geste et encore moins son regard mais avant de s'énerver contre lui, elle se rappela et s'excusa.

— Pardon...

Et il la lâcha, se laissant tomber en arrière. La tête au rebord du vide et les bras ballants de chaque côté de son corps.

Lauren le regarda quelques secondes avant de poser la serviette sur une chaise non loin du lit et de se rassoir en tailleur à côté du blond.

Elle était là, à côté de lui, elle ne parlait pas et pourtant un milieu de question lui venait en tête. Clairement, Lauren mourrait d'envie de savoir ce qu'il c'était passé même si la réponse elle la connaissait.

Encore une fois, elle n'avait aucune idée de ce qu'elle devait faire, de ce qu'elle devait dire ou ne pas dire. Devait-elle parler ? Non, mais elle aimerait. Se souviendrait-il de ce soir après avoir dessoûlé ? Surement pas, alors Lauren voulait parler.

C'était lâche.

Elle était lâche.

— J'aurais pu le tuer.

Perdu dans ses pensées, Lauren n'avait pas prêté attention à JJ à côté qui sombrait une nouvelle fois.

Sa voix était redevenu clair mais tremblante.

— J'aurais pu le tuer, Lauren. J'aurais pu le-

Elle saisit sa main sans réfléchir et la posa sur sa poitrine instinctivement.

Il s'arrêta de parler et se redressa pour se retrouver assit. Ses yeux bleus étaient rougit à cause de la fatigue et l'alcool —surement un peu de ce qu'il avait fumé aussi.

Surpris de ce geste, son regard jonglait entre sa main sur sa poitrine et ses yeux noisettes.

Lauren était là, devant lui et ne disait rien. Mais elle n'avait pas besoin de parler ce soir, de toute façon si elle parlait, elle détruirait sûrement tout ce qu'il avait réussi à construire. Encore.

Une larme coula lentement sur sa joue, elle l'essuya furtivement alors que le regard du blond s'attendrissait. Il s'apprêtait à la réconforter mais Lauren s'approcha de lui, se mettant sur les genoux pour enrouler ses bras autours de sa nuque et commencer à sangloter en silence ; elle se cachait.

Les yeux clos, la mâchoire serrés, Lauren se sentait atrocement mal pour lui.

Il finit par poser les mains dans son dos, pas sur de savoir ce que cela signifiait.

— Ce n'est pas à moi de pleurer, dit-elle. C'est pas moi que tu dois réconforter.

Une larme s'écrasa sur la peau nu du blond.

— Je- J'avais pas l'attention de te réconforter, dit-il sur le ton de la rigolade.

Lauren esquissa un léger sourire puis le lâcha. Elle essuya grossièrement son nez sur le dessus de sa main avant se remettre sur ses genoux, le regard vers le bas, refusant d'affronter le blond.

— De toute façon je suis- je suis pas sur de pouvoir assurer quoi que ce soit là.

Il la fit rire une nouvelle fois.

— Je suis désolée, JJ.

— Pourquoi tu t'excuses ? Demanda le blond.

Lauren laissa un blanc.

— Tu n'as rien fait. À moins que... tu t'excuses pour un truc débile que tu vas faire.

S'il savait.

— J'aurais dû être là, dit-elle. J'aurais dû être là pour toi et à la place je suis partis en courant.

— À ta place, j'aurais surement pas fait mieux.

Il s'écroula en arrière sur le lit mais se replaça rapidement pour s'allonger de tout son long dans le bon sens, manquant de mettre un coup à Lauren qui n'avait pas décroché son regard de son torse.

— C'est rien.

— C'est pas, rien.

Il se frotta les yeux.

— C'est pas rien, JJ.

— Et tu comptes faire quoi ? Prendre tes petits poings, ton sale caractère et allait lui dire que c'est mal de... hein ?

— S'il faut, oui.

— S'il te plait, arrête de parler si c'est pour dire des trucs comme ça.

— J'ai pas peur de lui.

— Et bien tu devrais ! Hurla-t-il. Tu devrais.

Sa voix était redevenu tremblante.

— J'ai eu peur de lui toute ma vie .

Lauren ne répondit rien et se frotta le visage.

— Laisse-moi t'aider.

JJ ouvrit un oeil pour regarder la brune puis le referma aussitôt pour soupirer. Il se redressa ensuite et posa ses deux mains sur les genoux croisés de Lauren.

— Tu ne peux m'aider de qu'une seule façon, dit le blond en fixant ses doigts qui dessinait des rond sur les cuisses de la brune.

— Non, JJ... Je veux que je peux-

— Embrasse-moi.

Lauren fronça les sourcils et plissa les yeux, bouché-bée avant de rire nerveusement.

— Tu es soûl. Tu ne veux pas que je t'embrase, c'est faux.

— Embrasse-moi, répéta le blond.

Son ton était clair, bien plus clair que le reste de la soirée.

La tension montait et Lauren le sentait, tout comme lui. Elle n'arrivait pas à décoller ses yeux de ses lèvres abimés mais désireuse.

— Tu es soûl, répéta-t-elle pour se convaincre.

— Juste assez pour me souvenir.

Lauren ne pouvait plus regarder ailleurs que ses lèvres.

— Je- JJ, j'étais pas... hm, j'étais pas venu pour ça. Pas du tout.

Il s'approcha un peu plus d'elle. Juste assez pour la dérouter et sentir son souffle chaud sur son visage.

— Tu étais venu pour quoi ?

Sa voix était douce, presque à chuchoter.

— Tout le contraire de...ça.

— Tu allais fuir, dit-il tout bas en caressant sa joue avec son pouce.

— J'allais rentrer à New-York, avoua-t-elle hypnotisé par ses lèvres.

— Tu allais m'abandonner.

— Je peux pas. Je peux t'abandonner...

Elle saisit son visage entre ses mains précipitamment comme si elle luttait contre elle-même.

— Je peux pas t'aider, JJ. Je peux... Je peux pas non plus.

— Tu me l'as promis.

Il s'approcha encore un peu plus, juste assez pour frôler ses lèvres l'espace d'un instant. Juste assez pour lui donner envie.

Leurs souffles se mélangeaient parfaitement.

— Tu me l'as promis, Lauren.

Je t'aime, JJ.

Aucune réponse, aucun mouvement, aucun souffle. Rien. JJ avait bien assimilé chacun de ces trois petits mots mais n'était pas encore sur d'en comprendre le sens.

L'alcool, bien entendu.

Sa seule response fut de s'emparer de ses lèvres une nouvelle fois, à pleine bouche mais cette fois-ci c'était encore différent.

Il n'y avait plus la gêne de la première fois. Il n'y avait plus cette timidité entre eux, il n'y avait plus tout ces sentiments mais le goût amer d'un au revoir leurs restaient en bouche.

Qu'est-ce que cela signifiait ? Pourquoi est-ce qu'ils avaient tout les deux cette étrange impression que cela sera la première fois, comme la dernière fois ?

Peu importe.

Ils avaient enfin ce qu'ils voulaient, peut-être sans lendemain mais ils avaient ce qu'ils voulaient, ce soir.

Une nuit, rien que pour eux.

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