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Chapitre 31

Les trois garçons se regardent droit dans les yeux. Le premier arrivé été Shun puis Akira et enfin Eishi qui était rester à coter de la porte. Personne ne parle, je n'ose pas ouvrir la bouche, je suis à côté de ma valise, je l'attrape d'une main et commence à avancer comme si de rien était. Cependant, Shun attrapa ma valise, je le regarde étonner.


- « T'inquiète-je m'en occupe. »

- « Heu ok. Merci, mais je peux me débrouiller. »

- « Tu es encore faible laisse-moi faire. »


Je lève la tête vers lui est lâche la poignée de ma valise. J'esquisse un petit sourire gêné et balais la pièce du regard. Je suis très flattée que c'est jeune gens daignent se déplacer pour m'escorter, mais vue l'ambiance, je m'en serais passé.


- « Dis donc vous vous êtes passé le mot, j'ai le droit à une escorte de rêve, je suis sûr que des millions de fille voudrait être à ma place. »

- « .... »

- « Ok. Sympas l'ambiance » Dis-je à voix basse.

- « Bon, je pense qu'Aya va venir avec moi, nous venons du même dortoir, je pense que c'est beaucoup plus pratique. » Il commence à avancer, mais Akira l'arrêt.

- « C'est ce seul argument qui te fait dire que tu es apte de raccompagner. »


Houla c'est quoi ça. Je n'ai pas besoin d'être placé sous tutelle non plus. Ça commence à ne pas me plaire à tout ça. Eishi prend la parole pour la première fois.


- « Excusez-moi, mais je dois vous informer que j'étais chargée de la ramener au directeur. »

- « Je pense plus tôt qu'Aya a besoin de se reposer avant d'aller voir qui que ce soit et je vous rappelle sa chambre se situe dans le dortoir de l'étoile polaire. Là où je vis. »

- « Je crois que... » J'essaie de parler, mais ils n'ont pas l'air de cet avis.

- « Tu plaisantes, c'est sûrement l'endroit le moins calme de tout le lycée. De plus, je ne vois pas ce qu'elle fait dans ce dortoir vu son niveau. » Dit Akira

- « En termes de niveau, je pense que je suis le mieux placer pour parler. » Dis Eishi d'un ton calme, c'est une des premières fois que je le vois si sérieux et qui ne tremble pas en prenant la parole. « Si vous voulez la raccompagner très bien, mais il faut savoir que vous devez attendre que le directeur soit fini avec la jeune demoiselle de plus j'espère que vous ne voulez pas ni même penser à défier en duel le doyen ainsi qu'un membre du conseil. »

- « Donc tu utilises ton titre pour cela pas très glorieux. » Dit Akira.

- « Tu sous-entends quoi au juste. » Dit Shun.

Oh, ils vont se calmer les mâles alpha en chaleur, j'ai quand même le droit de choisir avec qui je vais rentrer.

- « Ça veut dire ce que ça veut dire. » Dit-il d'un air légèrement hautin.

- « Les garçons ... » Je me refais couper.

- « Je pense que vous dévriller vous calmez monsieur le premier siège. Aya est peut-être trop bien pour nous, mais je pense que vous êtes dans le même cas, dois-je vous rappeler que vous n'êtes pas capable de prendre la parole sans trembler. »


Une petite veine apparaît sur mon front.


- « Pff, vous ne la connaissez même pas en dehors de la cuisine. » Chuchota Shun.

- « Bon ça suffi, oui !!!! Mais pour qui vous vous prenez, je pense que j'ai encore le droit de décider ce que je veux faire. Vous êtes en train de me traiter comme un objet. Franchement, vous êtes pitoyable !!! »

- « Aya, on ne voulait pas. »

- « Stop. Je ne veux plus vous entendre. Shun ma valise, je vais voir le doyen sans personne d'entre vous. »

J'attrape la valise, en marchant vers la sortie, je me retourne et leur dit.

- « Shun, je comprends ta sollicitude, mais si on me demande quelques parts, j'y vais surtout si c'est le doyen. Akira sache que ce dortoir aussi brillant soit-il est composé d'amis chers et je refuse qu'on les dénigre. Et toi Eishi, tu es sensée être notre aîné et le plus mature de plus je te penser un peu plus gentleman que cela, je suis très déçu sur ceux, je vous laisse. » Dis-je le regard noir, mais les yeux remplis de larmes.


Je marche jusqu'au parking et rentre dans une voiture qui était venu me chercher.


- « Pouvez-vous m'emmener chez le doyen s'il vous plaît. »

- « Très bien mademoiselle. » Ils lèvent les yeux vers moi. « Vous êtes sûr que ça va ?»

- « Oui ne vous en faites pas, c'est la fatigue. »

- « Très bien, nous serons bientôt arrivés d'ici 30 minutes reposer vous en attendant. »

- « Merci. »


Une fois arriver devant le bureau du doyen, je vis un nombre de personne beaucoup trop important pour un jour comme celui - ci ils étaient tous entrain de courir après le directeur de l'académie. Il tourna la tête et me vit, il vira ces assistants et s'approcha de moi.


- « Aya ou est Eishi ? Je lui avais demandé de t'accompagner. »

- « Désolé, mais il a eu un petit problème et a dû filer de toute urgence. Ne le blâmer pas, c'est moi qui lui suis dit de partir. »

- « Dans ce cas, c'est parfait, alors comment te sens-tu ? »

- « Plutôt bien même si je reste encore fatiguer, je pense pouvoir m'en sortir lors du festival. Mais, et vous ? Vous semblez surcharger non ? » Dis-je en regardant les personnes s'activer derrière le directeur.

- « Certes, mais bon, c'est comme cela, Bien, je voulais justement te parler de ceci, j'aimerais que tu t'occupes d'un groupe en particulier. »

- « Je vous écoute. »

- « Voilà nous allons recevoir un groupe de personnes très importantes sachant que tu as vécu un bon parti de ta vie dans de grands hôtels et que tu parles plusieurs langues, je voulais te donner cette mission. »

- « Je vois, mais vous savez, je ne suis pas non plus un majordome. »

- « Je le sais bien, mais le principe sait que les élèves organisent ce festival, nous employons déjà du personnel extérieur pour servir dans la zone haute, mais nous nous disions : qui de mieux pour parler des repas des étudiants que des étudiants eux même. »

- « Je vois et qui est dans cette zone ? »

- « Alors nous avons Erina Nakiri, Eishi Tsukasa et Ishiki Satoshi avec une partit de ton dortoir. »

- « Très bien donc je suppose que je vais devoir aller les voir pour connaître leur menu, Ishiki ça devrait aller, mais pour Erina et Eishi vu leur agenda. »

- « Ne t'en fais pas, je m'occuperais de te trouver un créneau, d'ailleurs, il faut que tu passes demain prendre ton uniforme pour les visites. Il faudra aussi que tu ailes les stands de Tenuori Kuga. »

- « Très bien. »

- « Bon, je suis désolée, mais je vais devoir te laisser, j'ai encore beaucoup de travail. »

- « Pas de soucis, je vous souhaite bonne chance pour la suite. »

- « A toi aussi. »


Je sors du bureau et je retourne au dortoir. En passant la porte du dortoir, je me fais accueillir par une Yuki en furie, elle me saute littéralement à la gorge. Heureusement, grâce à Megumi et Ryoko, j'évite de tomber à terre. Tout le monde descend de leur chambre et rejoint mes sauve et mon agresseur. Tout le monde sauf Shun. On se regroupe tous autour d'une boisson chaude dans le salon. Nous discutons, un peut puis vient d'une question à laquelle je ne voulais pas répondre.


- « D'ailleurs Aya, tu sais Shun était venu te chercher, mais il est revenu tout seul, c'est normal ? »

- « Heu oui, je sais, je l'ai vue, mais le doyen m'a convoqué et je ne me voyais pas refuser donc voilà. »

- « C'était pour le festival, tu es sûr de vouloir le faire avec le truc que tu nous as fait, ce n'est pas la meilleure des idées. »

- « Je sais, je sais, mais je vais m'occuper des groupes de Français dans la zone haute donc ça devrait aller. »

- « Dis donc sacrée promotion. »

- « Oui, mais c'est grâce à mes origines et au fait que j'ai vécu dans des grands hôtels, j'ai une certaine expérience du service à la personne de haut rang, on va dire. »

- « Oh, je vois. D'ailleurs, Soma a décidé de défier un maître du conseil. »

- « Vraiment et qu'elle est le problème ? »

- « Il as choisi son emplacement enfance de celui de Kuga et qui plus est si tu n'es pas rentable, tu es viré. »


Je me retourne vers Soma.


- « Dit moi Soma, tu as l'intention de piquer les clients de Kuga pendant qu'ils sont dans la queue. »

- « Non, ce n'est pas mon attention, je veux le battre en face-à-face pas avec des petites combines. »

- « Ok, tu es encore plus idiot que je le pensais. » e me retourne vers mes amis. « Il n'a aucune chance s'est foutu. »

- « Ce n'est pas sympa ça !!! » Dit Soma.

- « Hihihi !!! Moi, je trouve ça drôle. » Dis-je en rigolant.


Nous sommes le lendemain de mon retour à Toostuki et je suis littéralement en train de mourir d'asphyxie à cause d'un mètre ruban qui me compresse la poitrine. Deux jeunes femmes me prennent les mesures. Pour mon uniforme d'hôtesse d'accueil aux couleurs de l'école, c'est-à-dire rouge bleu et blanc. Il y a d'autres filles et un garçon dans mon groupe. Ils sont tous, soit au collège soit en première année. Je tourne le regard, le jeune collégien est rouge de gène à cause de la jeune couturière qui tourne autour de lui pour prendre cette mesure, c'est très drôle à voir. Nous avons également eu un récap sur tous nos visiteurs. Je dois m'occuper de cinq groupes tous des notables du monde des finance ou de l'agro-alimentaire. Ça ne va pas être des plus simples. À la suite de tout cela nous doit aller rendre visite au chef de la zone haute pour Ishiki et Erina tous, c'est passer assez vite. Même si Erina ne nous a pas honoré de sa présence, Hisako nous a fait un débrif sur les plats proposer et comment réserver une place. Du côté d'Ishiki comme d'habitude, nous avons était accueilli de façon très amicale. Son stand ne ressemblait à aucun n'autre de la zone haute. Cela ressembler plus à une petite échoppe que l'on peut trouver sur un bord de plage. Cela ne fait pas très luxe, mais bon, il a bien le droit de faire ce qu'il veut. Cependant en allant du coter d'Eishi cela est bien différent. C'était littéralement un champ de bataille entre les ouvriers qui monter les meubles et qui courait partout Eishi totalement paniquer, car la couleur des tables n'était pas de la bonne teinte de noir. Le pauvre était totalement paniqué, il était clairement impossible pour lui en ce moment de nous parler de son plat. Notre responsable se tourna vers nous et me regarda.


- « Mademoiselle Sora, il m'a était vent d'une rumeur comme quoi vous vous entendiez bien avec le premier siège du conseil pensez-vous. » Je la sens mal sa requête. « Pensez-vous pouvoir parler à monsieur Tsukasa de notre part, déjà que ce n'est pas la personne la plus alaise pour parler en public, mais dans de telles circonstances nous perdons notre temps à rester ici et le programme n'avance pas, quand vous aurais fini vous pouvez nous rejoindre sur le stand de monsieur Kuga.

- « Vous savez-je ne pense pas que ... »

- « Ce n'était pas une proposition. Mademoiselle sachez que ce stand est l'un des plus visités de notre festival pour les personnes de haute distinction, il est donc primordial d'avoir un rapport correct ; est-ce que c'est bien clair ? »

- « Oui. »

- « Très bien, sur ce, je vous dis à tout à l'heure. » 


Mais quelle vielle peau, je vous jure, je ne suis vraiment pas fait pour travailler dans ce domaine j'espère juste que les clients ne seront pas comme elle. Je regarde autour de moi afin de trouver quelqu'un, je ne me vois pas reparler à Eishi tout de suite surtout pour lui dire : ''hey je suis encore fâché contre toi et toi aussi certainement, mais s'il te plaît file moi tes plats pour mon boulot''. Ce ne serait pas sympa et très mal venu de ma part pas question de faire une chose pareille. Je cherche un chef de salle ou un serveur, quand je sens une chose me pousser dans le dos ce qui me fait perdre totalement mon équilibre. Je fais un pas en avant tout t'en réussissant à me prendre le pied dans un câble pausé au sol. Je me retrouve à genoux avec les mains au sol et mes notes éparpillées sur le sol. Un gros blanc dans toute la salle. Tout le monde me regarde, la honte, je deviens rouge tomate quand l'ouvrier vient s'excuser.


- « Excuser moi mademoiselle, je n'ai pas fait attention. Je suis vraiment désolé. »

- « C'est bon ne vous en fait pas, je vais bien. C'est moi, j'aurais dû faire plus attention. On est dans un chantier après tout. »

- « Non, c'est ma faute laisser-moi vous aidez. »


Il m'attrape sous les aisselles et me soulève comme s'il remettait un bébé sur ses jambes. Comme c'est humiliant. Il ramasse mes notes et me les donne avant de repartir à ces activités. Activité moi qui voulais être discrète bah, c'est louper. Je croise le regard Eishi. Il a un mélange de d'inquiétude, doute et une autre chose que je ne serais pas reconnue dans ses yeux. Il sursaute quand une serveuse pose ses mains sur ses épaules. Il se tourne vers elle. Mais attend, ils sont drôlement proche ces deux-là. Ce n'est pas normal et pourquoi Eishi ne fait rien lui qui est habituellement si timide. Ok, je n'ai pas été la plus sympa hier, mais je ne pensais pas que... MAIS A QUOI JE PENSE MOI. Retire-toi ça de la tête Aya. J'étais tellement perdu dans mes pensées que je n'ai pas remarquées Eishi s'approcher. 


 - « Aya, tu vas bien ? » Je le regarde et me reprend.

- « Oui, ce n'est rien. » Flute, c'était plus froid que ce que j'aurais voulu.

- « Oh, je vois, mais tes coulants, ils sont troués et tu as une petite éraflure. »

- « ... » Je le regarde puis mon genou sans dire mot.

- « Je sais que ce n'est pas grand-chose, mais pour la présentation, je pense que ça serait mal perçu d'avoir une hôtesse avec des éraflures aux genoux. »


Je ressens un pincement au cœur, au final, ce n'était pas pour savoir si j'allais bien, mais tout simplement pour que la présentation ne soit pas gâchée par des éraflures. Colère, amertume et tristesse voilà ce que je ressentais. Je relève mes yeux vers Eishi et je lui fais un regard que je n'avais pas fait depuis des lustres. Un regard d'une froideur à glacer un piment, le même regard que ma mère face à la médiocrité, le même regard que j'avais en vers Maxence quand il avait les félicitations de ma mère, le même, j'avais envers la cuisine il y a quelques mois. Je dis avec un faux sourire.


- « Ne vous en fais pas monsieur Tsukasa, je ferais en sorte de porter des coulant chaire pour éviter que cette éraflure ne soit exposée à la vue de tous et ne gâche votre prestation, il est vrai que cela ne renverrait pas une très bonne image. »

- « Aya ce n'est pas... »

- « Ah, d'ailleurs, j'aimerais votre menu ainsi que votre débrief sur les plats et leur ordre, vous comprenez afin de fournir une prestation digne de la zone haute, il faut que nos équipes puissent travailler en amont ainsi si vous avez des modifications prévues, j'aimerais que vous vous adressiez au bureau qui figure sur cette carte. » Je lui tendis une carte et appelai la serveuse de tout à l'heure. « Mademoiselle, pouvez-vous m'apporter tout ce que j'ai demandé s'il vous plait je suis pressée et il me reste encore plusieurs stands à aller voir. »

- « Oui Mademoiselle, je vous ramène cela tout suite. »

- « Merci bien, je ne vous dérangerais plus monsieur Tsukasa. Je vous dis au revoir. »


Je récupère les documents et rentre directement au dortoir, je demande à coursier qui passait dans le coin s'il pouvait aller le déposer au lycée dans la salle réserver aux hôtesses. Une fois dans le dortoir, je vais prendre une douche et jette mes collants à la poubelle. J'ai récupéré mon repas pour le manger devant ma chambre et je rattrape les cours que j'avais loupées pendant mon séjour à l'hôpital puis je vais au lit. Après une énième roulade dans mon lit sans pour autant réussir à dormir, je décide de me lever et de remonter au grenier cela faisait un paquet de temps que je n'étais pas venu. Je m'assois sur le tabouret et regarde le piano. Si je commence à jouer, je risque de réveiller tout le monde. Je soupire, me lève et m'assois contre un mur. Je sors de ma poche le porte-bonheur de ma mère. Je le regarde quelques instants avant de le ranger en entendant un bruit dans l'escalier. Je prends le premier objet qui me vient sous la main et m'approche de la porte. Personne.


- « Aya, je ne suis pas sûr que tu es besoin de ça. » Je sursaute et me retourne avant de voir Shun.

- « Mon dieu Shun tu m'a foutu une de ces trouilles. Mais qu'est-ce que tu fais là. »

Il me tendit un thermos.

- « Infusion à la camomille ça aide à dormir. »

- « Oh, merci, » Je pris le thermos et retourne à ma place.

- « Je sais que je ne suis pas sûrement la personne la plus appropriée pour te parler en ce moment vu l'épisode de l'hôpital, mais si tu as un problème, on peut en parler. »

- « Mmmm j'aimerais bien t'en parler, mais je ne suis pas sûr que tu apprécies. »

- « On m'a dit que tu étais allé voir la zone haute donc je crois savoir ce qui s'est passer et tu as raison ce n'est pas une bonne idée de m'en parler. Mais il n'y a pas que non. Tu t'en veux pour hier ? » Je relève, il s'assoit à coter de moi. « Je suis désolé pour hier ce n'est pas à toi de t'en vouloir, mais à nous, j'ai agi comme le dernier des idiots désoler. »



Je me tourne vers lui les yeux larmoyant et lui tend mes bras, il détourne les yeux.


- « Tu n'es vraiment pas possible toi. » Il passe sa main dans ses cheveux, ses yeux gris bleu me regarde d'un coin de l'œil. « Bon d'accord. » Il s'approche de moi et m'attrape par les épaules pour me coller à lui, je pose ma tête sur ses épaules et lui dis avec un sourire.

- « Tu n'es pas encore pardonné. » Il rigola et je m'endormis paisiblement.


Quelques heures auparavant :

Je soupire encore une fois. En regardant la tonne de papier devant moi. Je vis quelqu'un rentrer en trombe dans mon bureau.


- « Rindo, s'il te plaît, toque avant de rentrer. »

- « Roh, c'est bon Eishi et c'est quoi cette tête de déterrer, tu as appris qu'il y avait un retard dans les livraisons ? »

- « Très drôle. »

- « Oui, ça serait très drôle. » Dit-elle en détournant les yeux. Je soufflai encore une fois.

- « Je réglerai ça. »

- « Heu Eishi, c'est vraiment toi ? Il se passe quoi normalement, tu es sensé paniquer et courir partout. »

- « Rindo, je crois que j'ai fait une grosse bêtise. » 

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