Chapitre 27
Je suis assise sur une plage du bassin méditerranéen. Dans mes mains un sorbet aux fruits rouges, mon voisin pose sa main sur la mienne ses cheveux blancs dissimulent son visage, il se rapproche de moi. Cependant....
- « Aya, réveil toi, aller ! »
Un son de casseroles a retenti dans toute ma chambre et m'a arraché des bras de Morphée.
- « Mais quoi ! Il est quelle heure, cinq, six heures ? »
- « Presque quatre. »
- « Quoi, mais hier on a fini super tard. »
- « Et on reprend tôt, c'est sa les métiers de cuisine. »
- « Pff, juste cinq minutes. »
- « Non on se réveille. »
Elle retape encore une fois ses casseroles et s'en vas en me criant de me lever. Je me m'assois sur le bord du lit je vois un message de Akira.
De : Akira
À : Aya
Bonjour, j'espère que ton stage se passe bien. Il paraît que tu es avec une championne. Bonne chance, j'ai entendu dire quel était assez spécial.
Je lui réponds vite fait.
De : Aya
À : Akira
Bah, écoute, je comprends, les rumeurs. Ce matin, j'ai était réveillé avec des casseroles. J'espère également que ton stage se passe bien. Je dois y aller on se parlera quand j'aurais une pose.
Je m'attache les cheveux en un chignon décoiffé. Je mets mon uniforme blanc, je descends les escaliers. Quand j'arrive dans les cuisines je vois cinq intrus dont les trois sont des enfants âgés de cinq à dix ans qui étaient complètement endormis. Les parents eux semblent plus réveiller, malgré les cernes sous leurs yeux.
- « Bonjour.... »
- « Aya, je te présente la famille Kakeru. Il parte ce matin pour le sud et tu vas leur préparer un petit déjeuner. »
- « Heu... »
- « N'oublie pas le mien aussi. Aller je retourne me coucher appelle moi quand tu as fini. »
- « Quoi, mais... »
Trop tard elle est déjà partie. Je me dirige vers la famille les enfants je pense que je ne vais pas les réveiller, mais il faut au moins que je demande aux parents. Une fois ma petite interview terminée, je retourne à la cuisine pour les enfants et les parents des pancakes aux framboises, l'acidité vas un peu les réveiller et avec du petit sirop d'érable, ça seras parfait. Pour la légèreté, on incorpore des blancs montés en neige avec une Maryse. Je fais également une petite salade de fruits pour les vitamines ainsi qu'un jus d'orange pressé. Je mets en route la poêle et font cuire les pancakes. Une fois le petit déjeuner fini je prends le plateau et commence à ramener les principaux plats. Je retourne en cuisine et moue le café, quant au thé bah il y en a trop. Faut vraiment que je demande à quelqu'un de m'apprendre à en faire. Je finis avec difficulté à préparer le thé, mais je ne suis pas sûre qu'il soit très bon.
J'ai attendu pour déjeuner mon maître de stage. Elle est arrivée peu après le départ de la famille Kakeru. Quand elle revient, elle prit une tasse et ma préparation de thé ainsi que la théière. Yume prit une tasse et se faisait une belle tasse de thé. Elle boit une bonne gorgée et me regarde.
- « Effectivement, c'est amer. »
- « Ah... »
- « Dit Aya, tu sais faire du thé. »
- « Heuu à ma façon... »
- « OK, attends-moi ici. »
Je me rassis sur la chaise, ma monitrice arrive avec une tonne de livres.
- « L'art de faire un bon thé. » Dit-elle en levant le doit. « Tu vas apprendre comment faire, c'est bête d'être au Japon et de ne pas en savoir faire. »
- « Vous avez déjà goûté du thé japonais ? »
- « Jamais. »
- « Pff, goûtez-en et vous verrez, c'est infâme. À part celui que fait Eishi. » Chuchotai-je
- « Eishi...., c'est ton petit copain ? »
- « Mais.... No.. Non. Je crois que je suis en train de rougir essayez de faire plus crédible. »
- « Non vous sortez pas encore ensemble. »
- « Mais arrêtez de raconter n'importe quoi ! C'est mon aîné ! »
- « Hihihi trop drôle Aya tu devrais voir ta tête. Bon dans tous les cas tu devrais lui demander conseil à ton "ainé" pour qu'il t'apprenne à faire du thé. »
Je m'assois sur la table et ouvre le premier livre. Je fais voyager mes yeux sur les nombreux pages. Ceux-ci se ferment petit à petit. Je suis trop fatiguée pour poursuivre ma lecture. Je suis assise sur la même plage que la dernière fois la même glace et enfin le même voisin. Il porte qu'un simple bermuda et un tee-shirt blanc. J'essaie de me rapprocher pour voir sont visage, mais rien. Quant à lui il continue à se rapproche. Je sens une brise d'air dans mes cheveux et ma vision change du tout au tout. Je suis allongée sur le livre. C'était le même rêve bizarre. Akira ne m'a toujours pas répondu. J'attrape mon téléphone et fait défiler mes messages. Tiens le numéro d'Eishi, je regarde mon livre puis mon téléphone. J'espère que ça ne le dérangera pas si je lui demande un cours sur « L'art du thé ». Je commence à taper un message.
De : Aya
À : Eishi Tsukasa
Coucou. Non plus tôt. Salut Eishi, j'espère que tes cours se passent bien, j'ai un service à te demander.
J'envoie le message espérons qu'il réponde assez vite. Je reprends ma lecture et quelques minutes plus tard.
De : Eishi Tsukasa
À : Aya
Aya ? Oui mes cours se passent bien. Explique-moi ton problème.
C'est moi où il a douté de qui j'étais, je ne sais pas trop comment le prendre.
De : Aya
À : Eishi Tsukasa
Tu ne voudrais pas m'apprendre à faire du bon thé ?
De : Eishi Tsukasa
À : Aya
C'est à dire tu sais je ne suis pas expert. Je pourrais demander à quelqu'un si tu veux.
De : Aya
À : Eishi Tsukasa
Non je préfère que se soit toi. Enfin si ça ne te dérange pas...
De : Eishi Tsukasa
À : Aya
Enfaite je suis occupée, mais je pourrais me libérer dans deux jours ça te vas.
De : Aya
À : Eishi Tsukasa
Parfait !
De : Eishi Tsukasa
À : Aya
Je t'envoie les coordonnées plus tard. J'aimerais juste savoir pourquoi tu as besoin de moi?
De : Aya
À : Eishi Tsukasa
Ma chef de stage, elle dit que mon thé et amer et que c'est dommage d'être au Japon et de ne pas savoir faire du thé.
De : Eishi Tsukasa
À : Aya
Je vois, bon je te laisse j'arrive une chose à régler.
De : Aya
À : Eishi Tsukasa
Je ne te retiens pas à plus.
PV Eishi :
Je n'y crois pas, pourquoi elle m'envoie des trucs comme ça, « Non je préfère que se soit toi » qu'elle dit. Elle conte à se point sur mon aide. Je rejoins mes collègues dans la salle des délibérations.
- « Eishi, tu vas bien ? » Me demanda Rindo.
- « Oui, pourquoi ? »
- « T'es tout rouge ! C'est la personne avec qui tu étais au téléphone ! »
- « Mai... mais non ! »
- « Avec qui tu parlais ? C'est une fille ? »
- « Rindo ! » Je vous jure celle-là
- « C'est Aya ? » Je sens mes joues s'empourprer
- « C'est ta petite amie Eishi-san ? » dit Tenuori avec un sourire
- « Mais enfin Eishi, elle est beaucoup plus jeune que toi, petit pervers. » Dit Ikishi.
- « Au lieu de parler de chose futile, on peut commencer, le temps c'est de l'argent ! » Fini-Estuya.
- « Reprenons, qui est pour... bien cela fait 6 contre 4, le nouveau proviseur seras donc Azami Nakiri. Sur ceux, mettons fin au conseil délibératoire. »
Fin PV Eishi
PV Aya
J'éteins mon téléphone et retourne à ma lecture. Une minute plus tard Yume rentre dans la pièce en claquant la porte ce qui a eu pour effet de me réveiller.
- « Aya ! Pose ça bouquins tout de suite, on va passer à la pratique ! »
- « Si vous voulez. »
Je la suis jusqu'en cuisine. Elle se positionne derrière le plan de travail.
- « Dit moi tu maitrises la cuisine italienne ? »
Elle me prend pour qui, elle bien sûr que je sais cuisinier italien. Je ne suis pas Ayashi Sora pour rien.
- « Oui... »
- « Parfait, prépare-nous à manger n'importe quoi. »
- « Heu, si vous voulez. »
Je regarde les placards. Bon j'espère qu'elle n'attend pas non plus un plat traditionnel comme des tortellinis à l'encre de seiche. Je vais juste faire des spaghettis à la carbonara.
Je sors une grande casserole et met de l'eau avec du gros sel à bouillir. Je récupère dans le frigo de la pancetta (poitrine de porc sécher). Je découpe en fine l'amène et met à feu moyen pour que le gras puise fondre. Je ne rajoute pas bas d'autre graisse, sel ou poivre, car cette viande est déjà très grâce et salée. Je coupe le feu et pose la pancetta sur un papier absorbant je réserve le reste de grand dans une poêle à grand fond. Mon eau à atteint l'ébullition je rajoute donc mes pâtes et laisse dix minutes à chauffer. Dans un bol je mets 4 jaunes d'œuf et un blanc que je touille avec une fourchette et rajoute le parmesan râpé ainsi qu'une pincé de poivre. Une fois mes pâtes cuites je les essore. Je garde un peut de jus de cuisson sur le coter je mets à réchauffer mes lamelles de pancetta. Je rajoute les spaghettis et le jus de cuisson et remues jusqu'à que ce dernier sois totalement évaporé. Je laisse refroidir et rajoute mes œufs, laisser reposer sert à éviter que les œufs ne coagulent. Je mélange et il n'y a plus cas servir.
Je rapporte les assiettes sur la table ou est assise Yume. Elle sent les pâtes et déclare.
- « Ça sens super bon ! »
- « Contente que ça vous plaise, bon maintenant mangeons. »
Elle prend une bouchée, une fois avaler une ombre passe sur sont visage, mais elle continue de manger. Je prends une fourchette et enroule les pâtes autour de celle-ci. Je ne vois pas ce qui ne lui plaît pas, c'est bon, il n'y a pas une seule faute, le plat est juste parfait. Un peut désorienter, je m'autorise à poser une question.
- « Vous trouvez ça mauvais ? »
- « Alors pourquoi... »
- « Dit moi Aya c'est tu pourquoi on utilise des oeufs et non de la crème pour cette recette en Italie ? »
- « Non, mais comme c'est dans la recette... »
Elle poussa un long soupir
- « Tu vois Aya, le problème avec toi c'est que comparer à ta pâtisserie, ta cuisine et plate tu recopies des recettes à la lettre et tu recopies le style de ta mère. Je peux comprendre quel à un rôle à jouer dans tout cela, mais que je ne pensais que c'était à ce point. »
- « Je ne comprends pas, vous pouvez me l'expliquer ? »
- « Non vas falloir que tu le découvres par toi même, je ne pourrai rien t'apprendre si tu n'as pas réponse à cette question. »
- « D'accord... »
Je baisse la tête et finis de manger. Je me lève, mais mon référent m'arrêter.
- « Ne t'en fait pas, je vais quand même t'apprendre quelque truc. On va revoir toutes tes bases en cuisine française, italienne et japonaise. Ensuite je te ferai des cours sur les autres cuisinières. »
- « C'est-à-dire ? »
- « Tu vois, j'ai fait le tour du monde, j'ai goûté des tas de plats et aie travaillé dans des centaines de cuisines donc j'ai une certaine expérience que je vais te transmettre. Je te ferai des cours de cinq heures à midi, tu auras l'aprèm de libre pour vaquer à tes occupations et essayer de comprendre de quoi je t'ai parlé et à t'entrainer. Dès que tu penses avoir la raiponce tu me fais goûter un plat en attendant vas te reposer. »
Je me lève pose mon assiette dans le lavabo. À peine allongée dans mon lit je m'endors cette journée à était trop longue.
Aujourd'hui c'est le jour où je rencontre Eishi pour ma leçon de thé. Mais je n'ai pas trop le moral. Tous les jours et trois fois je préparerai un plat, mais aucun ne passer. J'étais fatiguée et énervée contre moi même. Je m'habille avec un jean et un sweat-shirt. Mes cheveux sont ternes, mes cernés descende jusqu'à mes pommettes. J'essaye de m'arranger en me coiffant et me mettant un peu d'anticerne. Je descends au Rez-de-chaussée, j'enfile mes chaussures, attrape mon sac et prends mon bus. J'arrive une vingtième de minutes plus tard.
Devant mes yeux se décrive une grande sert. Je m'approche de la baie vitrée. Je ne vois personne à l'intérieur, me serais-je tromper.
Je sens une chose se poser sur mon épaule.
- « Salut ! »
- « Ahhhh ! »
J'ai crié de surprise surprenant mon aîné. Il me regarde inquiète en même temps il n'y avait pas de quoi crier.
Je me retourne en me penche pour m'excuser, mais mon compagnon m'arrête.
- « Ne t'excusez pas, c'est de ma faute. Rentre, je t'en prie. »
- « Merci, ça ce passe bien à Tootsuki tu as bientôt t'es examen à préparer. »
- « Ne t'en fais pas je devrais m'en sortir. Un petit ricanement sorti de ses lèvres. Bon, passons au cours ! »
- « Comme tu dois le savoir, le thé japonais est... »
Nous avons travaillé pendant une bonne heure sur la théorie puis on est passé à la pratique. Eishi m'a d'ailleurs aidez à prépa un assortiment de thé assez doux. Nous finissons de ranger notre désordre avant de nous assoir autour d'une table.
- « Pfiou je suis épuisée, pas toi ? D'ailleurs je te remercie de m'avoir enseigné l'art du thé sensé. » Dis-je en m'inclinant les deux mains jointes ?
- « Ahaha moi aussi, mais j'ai connu pire, et de rien même si je ne suis pas l'expert je ne bois pas autant de thé que tu peux te l'imaginer. »
Il rit, ça lui donne un côté enfantin assez mignon.
- « À bon tu aimes voir quoi ? »
- « Café sans sucre ni lait. »
- « Noir quoi. Ça me rappelle mon enfance. »
- « Ah oui. »
- « Oui, mon grand-père paternel tenait un bar/thé donc il m'apprit à faire du café et ma mère m'a enseigné cet art avec un Barista spécialiste de l'exercice. »
- « Ça a dû être enrichissant, tu as de la chance d'avoir une mère comme cela. »
Mon sourire s'effaça.
- « Moui beaucoup.... Dis-je d'un ta lasse »
- « Pardon je ne voulais ne pas évoquer un sujet encore douloureux... »
- « Pas grave tu ne pouvais ne pas savoir. Je lui dis le plus beau de mes sourires. Disons que l'on à pas des relations très.... Aimante. »
- « Hmmm. Mais est ce que ça a un rapport avec... »
- « Mon stage ? Parlons plus tôt de mon stage. »
- « Tu connais Yume Ako »
- « Oui c'est une grande championne. Elle a gagné de nombreux prix. »
- « Certainement... »
- « Dit Aya tu... Enfin ne serai pas... Martyriser. »
Le blanc
- « Hahaha non c'est juste Hahaha ! Attend sais trop drôles. Ces justes durs elle me fait me lever très tôt et refuse de m'enseigner au-delà de la théorie vue que je ne suis pas capable "de faire mon propre plat" »
- « Ho je vois... Je... » Il est rouge comme une tomate. Ah trop mignon.
- « Ah trop mignon..... »
Mais qu'est ce que je viens de dire ? J'ai pensé à voix haute ? Je le regarde, il ne se semble, ne pas avoir entendu. À moins que ces rougeurs sur se joue veulent dire le contraire.
- « Tu as dit quelque chose ? »
- « Non ! Absolument pas ! Hum donc je disais je dois réussir à trouver la réponse sinon. Je ne donne pas cher de ma peau. » Dis-je mélancolique.
Mince ce n'est pas du tout le t'ont que je voulais donner.
- « Ne t'en fais pas tu vas y arriver. Après tout tu as eu 100 points au festival d'automne. »
Ses paroles sonnent faux.
- « Je vais te donner un conseil, fait comme tu le sens et laisses aller ton cœur. »
Je remonte les yeux et le regarde, il dépose dans un geste presque trop naturel sa main dans mes cheveux. J'ai un peu chaud.
- « Merci. »
- « Je suis là pour ça. »
Attends les cheveux blancs... Eishi. Non non et non pas possible. Je rêve de mon aîné ! Je non ce n'est pas ça il y a plain de mec qui cheveux blancs comme Akira et ah je ne sais pas si c'est une bonne idée de penser sa.
- « Aya tu es sûr que ça va tu es rouge... »
- « oui
Je me relève d'un coup et me cogner as sa tête.
- « Désolé, je... »
Je relève la tête on est encore tout près si ça continue je vais exploser. Je recule, mais m'en mêle les pinceaux et tombe sur les fesses.
Le retour en voiture est silencieux, Eishi m'as obligé à rentrer avec lui. A cause je cite « on ne laisse pas une jeune fille rentrer seul aussi tard ». La voiture s'arrête devant ma nouvelle résidence. Je me détache et ouvre la portière.
- « Tu sais tu n'était pas obligé de m'accompagner jusque là. »
- « Je préférer m'assurer que tu n'aurais pas eu de complication à cause de ta chute. »
- « Ce n'est pas si grave tu sais, mais merci quand même. »
Je lui fit un grand sourire et ferma la portière. J'avance jusqu'à la grille quand une voix m'interpelle.
- « Tu m'explique cette histoire de chute Ayashi. »
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