Rêves de Tantale
Les heures furibondes qui turbinent dans mon encéphale
Ne me laissent de répit que le souffle de la nuit
Faussement apaisant, je rêve et comme Tantale,
Je ne puis me soustraire aux supplices de l'envie.
Je ronge alors mes fantasmes, lacérés d'impossible,
Et dans les eaux du Styx je me laisse emporter.
S'il n'est, pour si faible guerrier, nul repos paisible,
Que je me noie ! pour cesser enfin de suffoquer.
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