Opaline
Dans le brouillard d'une opaline,
Hanté de répliques félines –
Qu'elle était chatte la Princesse !
Si grande pour ma petitesse.
Des plus obscures, mes mémoires
Savourent encore un quelque espoir
D'on-ne-sait quoi, d'on-ne-sait-qui,
D'un éternel souffle infini
Qui dise : « qu'il est beau le ciel !
Que j'aperçois dedans tes yeux ! »
Qu'il reste là et s'émerveille
Comme le font les amoureux.
Mais le bruit gronde aux alentours,
C'est l'Inutile qui revient
Me murmure combien l'amour
M'a fait dévorer mon chagrin,
Et combien il m'en reste aussi
Qui m'attendent au gré de la vie :
Du sang et des crucifixions
Mais plus de sang dans mon poison !
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