(Désolé à cause d'un beug de téléphone je ne peux plus mettre d'images pour le moment)

Mon avancée approche à son terme. Devant la porte aride et peinte, se trouve Toriel, de dos, un long silence étouffe l'atmosphère.

Toriel: -Alors tu veux m'abandonner?

Elle se retourne d'un quart et lève son poing où une flamme divaguait au fil de ses doigts.

Toriel: -Après tout... Ce que j'ai fais pour toi?! Je t'ai accueillie!

D'autres flammèches apparuent et d'un mouvement fin de ma protectrice, elles se dirigent sur ma poitrine, ma main droite et mes genoux, sans que je puisse réagir, sur mon âme la marque de leurs attaques se mêle au rouge de mon cœur.

Flowey: -Frisk! Fait attention, attaque là!

Je tremble un peu.

Toriel: -Nourrie!

Une autre boule de feu fonçait droit sur mon lobe frontal, je réussie à l'éviter de justesse, lorsque je relève les yeux, Toriel pointe son doigt accusateur dans la direction de Flowey.

Toriel: -Je t'ai même laissée cette idiote de plante!

Les ombres d'un feu ardent recouvrant les murs cachent son visage d'un blanc immaculée.

Toriel: -Tu m'abandonnes!

Sans crier garde une pluie de brasier me recouvre et je sens mon corps me tirer, surtout sur ma tête. Mais je garde ma détermination. Je crois en Toriel.

Frisk: -Je... Je suis sincèrement désolé pour tout!

Flowey: -Arrête de parler! Attaque!

Je garde espoir.

Frisk: -Mais je dois rentrer.

Cela me fait un peu de peine de devoir la laisser seule.

Frisk: -Mais, je suis sûr que pour d'autres enfants, tu feras une bonne maman! Tu as été une mère à l'écoute et là pour moi, je t'en remercie Toriel!

Elle baisse les mains et ferme les yeux.

Toriel: -Pathétique... Complètement pathétique...

Elle se laisse tomber à genoux.

Toriel: -Suis-je donc incapable de protéger le moindre enfant? De l'éloigner de lui...

Ses sentiments rebondissant sur les miens, je cours dans ces bras lui offrant un câlin, elle me le rend tendrement, laissant place à sa tendresse maternelle.

Flowey: -Je suis pas très câlin moi =w=

Toriel: -S'il te plaît, prend soin de toi dehors, ici les monstres sont si horribles! Mais prends garde surtout à Asgore!

Frisk: -Je vois, merci de toute mon âme.

Dans un dernier rire, je lui fais signe d'enrevoir et la laisse fermer d'un pas lent la porte séparant les Ruines et le reste du monde. Un monde recouvert de neige, de poudreuse, d'arbres nus aux branches avec des craquelures multiples, d'une sensation froide et d'un gel filant le long de mes cheveux les rendant marrons glacés.

Mais lorsque je mis ma mains sur ma tête du côté gauche, une douceur malicieuse tappait ma main, il y avait de nouvelles fleurs sur moi.

Flowey: -Tu devrais être attentive, plus tu es blessée gravement, plus les fleurs seront nombreuses.

Frisk: -Désolé Flowey... Je vais faire attention.

Flowey: -En attendant idiote, je comprends toujours pas pourquoi tu ne l'as pas tuée!

Frisk: -Elle ne le méritait pas! Et... Je ne veux tuer personne.

Flowey: -Tu es vraiment idiote!

La neige commençait à tomber par petits morceaux pour finir en tornade et en brouillard omniprésent, je devais traîner des jambes pour avancer et même pour enjamber une branche. Après deux mètres, un crack brise le souffle du vent.

Flowey: -Heu... Frisk... C'est toi qui a cassée la branche?

Frisk: -Heu... Non...

Pam

Pam

Pam

???: -Humain... Ne sais-tu pas comment saluer un nouvel ami?

Tourne-toi...

Et serre-moi la main...

Je le fis, tends la mienne, puis me rétracte.

Ce pressentiment...

???: -He, tu es plutôt audacieuse pour une humaine.

L'individu se montre en plein jour, la tempête se calme. Il est de petite taille, un squelette je crois, en une seconde il remet sa main dans sa poche. Son sourire narquois laissait entrevoir des dents pointues et blanches sauf la dernière qui a le defaut d'être en or. Un long manteau noir se rabattait sur un pull rouge avec sur les épaules les mêmes figures que sur la porte de chez Toriel. Il porte un short au-dessus du genoux, un sacré paradoxe avec ce froid! Pour terminer cette description détaillée, cachant le long de son cou la fourrure épineuse de son manteau, une écharpe rayée noir et rouge et un pendentif en forme d'étoile jaune brillant pâlement.

???: -Mon nom est Sans, Sans le squelette! Je suis sentinelle ici et je dois attraper tout humains qui arrive en ces lieux! Mais je suis trop flemmard pour tuer qui que ce soit maintenant. Parcontre mon frère Pa-Boss! Est un fan de la chasse aux humains!

Il est sympas... Mais si glacial et dur... Quelque chose ne va pas... Quelque chose cloche...

Sans: -La suite du chemin est par là-bas.

Cette direction mène à une barrière en bois recouverte de piques en fer tranchant. C'est une blague?

Frisk: -A-Att-

Sans: -Bon gamine!... On se retrouve de l'autre côté! Hé, hé.

J'allais lui poser des tas de questions qui me picoraient les lèvres, mais avant toutes phrases ce Sans avait déjà prit la fuite sans que je ne sache comment.

Qui était-il?

Pourquoi ces sentiments de haine qui émane de lui?

Qui est son frère?

J'interroge Flowey du regard, mais il ne dit rien. Prenant mon courage à deux mains, je vais essayer d'atteindre les réponses et l'avenir plus loin.

Frisk: -Bon comment passer ça?

Flowey: -Ne te blesse pas.

Je n'aimais pas la gym enfant, mais je ne pouvais que tenter de me glisser entre les piques, après plusieurs minutes de galère, je sors essoufflée.

Flowey: -On a échappé de peu...

Frisk: -Je sens que ça ne va pas être le seul piège ici.

De nouveau Sans se trouve devant moi sans prévenir ce qui me fis sursauter.

???: -SANS! SANS! OÙ EST ENCORE PASSÉ CET IDIOT DE SQUELETTE?!

Sans: -Ha! Mon frère arrive.

Flowey: -Frisk va te cacher!

Frisk: -Mais où?!

Flowey: -Derrière cette lampe! Même si c'est humiliant.

Le garçon nous regarde amusé partir vers la lampe violette et bleu paniqués, tandis que des pas pressés s'intisifie.

Flowey: -Je rêve où cette lampe à notre forme? =w=

Frisk: -Sans blague -×-

Je me penche de manière articulée, aux vide succède le piétinement d'un grand squelette le visage ferme, une cicatrice sur l'œil gauche, une tenue de combat mélant comme le plus petit noir et rouge, des gants longs et une écharpe immense comme un drapeau, accompagnée de bottes rouges à talons d'une couleur semblable.

Sa présence à lui était effrayante, sanglante, et mystique. On dirait un combattant de guerre assez autoritaire. Flowey me tapote la tête et chuchote:

Flowey: -Ne fais pas de bruit... C'est le chef de la garde royale, s'il le veut il peut te tuer rapidement.

Je me plaque plus contre la lampe. Que faire? J'avais le choix de rester, mais combien de temps? La forêt s'ouvrait à moi, mais sombre et il y a le risque que je me perde, j'ai mal, ma tête... Courage! Je pense que...

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Houla! Ça fait un moment que j'ai pas écris moi! Voilà la suite et notre Sans qui est là désormais :3

J'ai essayée de varier le vocabulaire et éviter les répétitions barbantes.

À bientôt je l'espère 😉❤! Bonne lecture!