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Chapitre 39

Savannah

- Je ne répondrai pas à vos questions avant d'avoir vu Savannah Hamilton, vous comprenez ? Je veux voir Savannah Hamilton !

Je m'étais réfugiée à la bibliothèque pour pouvoir réfléchir paisiblement quand un Soleil y avait surgi en trombe, me demandant auprès de la bibliothécaire. J'étais allée à sa rencontre avant qu'il ne se mît à courir parmi les étagères de livres.

- Que me voulez-vous ? lui avais-je demandé, méfiante.

- La jeune fille que vous avez trouvée dans la forêt s'est réveillée. Elle demande à vous voir.

Je l'avais immédiatement suivi en marchant le plus vite possible. En arrivant à l'infirmerie, j'avais compris que mes craintes ne s'étaient pas réalisées et que personne n'avait réussi à la faire parler en mon absence. Je marchai d'un bon pas dans le couloir où se trouvait sa chambre et pus déjà l'entendre hausser le ton.

- Combien de fois faut-il que je vous le répète ? Vous perdez votre temps, vous n'obtiendrez rien de moi tant que je ne lui aurais pas parlé seule à seule.

- Je suis là ! m'écriai-je en entrant dans la pièce. Je suis là, tout va bien.

Je me tournai vers Mme Diggle qui n'avait pas l'air de très bonne humeur, lui souris tout de même et la priai de bien vouloir nous laisser. Elle fit signe aux autres personnes présentes dans la chambre d'en faire autant. Lucy était assise dans son lit, les mains protégeant sur son ventre rond. Ses cheveux bouclés entouraient son visage aux traits harmonieux. Sa peau métissée était maintenant propre ainsi que ses blessures. Elle était encore sous perfusion, mais elle avait déjà l'air d'aller mieux.

Lorsque j'étais entrée, elle avait très bien joué le soulagement et non pas la surprise, car en réalité bien sûr, nous ne nous étions jamais rencontrées. Ainsi, elle m'observait de la même manière que je l'avais fait avec ses yeux noisette.

- Alors, tu es Savannah, finit-elle par souffler.

- C'est moi, confirmai-je en hochant la tête. On a pas mal de choses à se dire, hein ?

Elle me sourit en perdant enfin son air méfiant et me fit un peu de place sur son lit.

- Assieds-toi.

J'allai m'asseoir à ses côtés sans hésiter.

- Merci. Ça te va si tu poses les questions et je réponds ? proposai-je.

- Ce serait parfait. Par où commencer ? Euh...comment as-tu rencontré Alexander ?

Je souris en repensant à notre rencontre. Si à l'époque on m'avait dit que je m'apprêtais à passer des semaines enfermée avec lui, je serais partie en courant. Et pourtant aujourd'hui, sa présence me manquait.

- Il y a un mois et quelques, j'ai fait partie d'une patrouille de surveillance dans la forêt qui borde ce pensionnat. Nous nous sommes fait attaquer par des Lunes et j'ai été forcée de m'enfuir. Je me suis retrouvée complètement perdue dans le noir et c'est là qu'Alec est apparu. Il m'a expliqué qu'il était éclaireur dans ce genre de mission et qu'il avait quitté son poste pour me sauver.

- Comment ça te « sauver », ? me demanda-t-elle les sourcils froncés.

- Il m'a ramenée au repère des Lunes et m'a cachée dans sa grotte pendant un mois.

Lucy sembla maintenant perplexe.

- Tu as accepté de suivre un Lune jusqu'à son repère ?

- Je sais, ça à l'air dingue, ris-je en sachant que j'étais moi-même fait cette remarque un bon nombre de fois. La vérité c'est que je n'avais que deux options : attendre que les autres Lunes me trouvent et mourir ou être transformée, ou alors suivre un autre Lune qui, il me l'a assuré, m'aurait tuée depuis longtemps s'il l'avait voulu et voulait vraiment m'aider. J'ai choisi de suivre Alec, expliquai-je calmement.

Elle hocha la tête, l'air compréhensif.

- Je vois et tu n'as pas essayé de t'enfuir ? me demanda-t-elle encore.

Je ne pus m'empêcher de rire doucement à nouveau. C'était plutôt un rire nerveux qu'autre chose, mais cela surprit légèrement Lucy.

- Oh bien sûr que si, mais encore une fois Alec m'a sauvé la vie. C'est là que j'ai compris que je n'avais aucune chance de m'en sortir sans lui.

En y repensant, je réalisai qu'une vie entière ne serait pas suffisante pour payer ma dette envers lui.

- Et vous avez réussi, tu es là saine et sauve, constata Lucy.

Je hochai à nouveau la tête. Son regard se perdit ensuite un court instant dans le vague avant de revenir à moi.

- Il a dit que tu m'avais sauvé la vie.

J'écarquillai les yeux.

- Oh non, c'est lui qui t'as sauvé la vie ! Je n'ai fait que l'encourager à le faire.

- Pourquoi ?

À mes yeux, cela avait toujours été évident, mais en observant le comportement de Lucy, je compris que j'étais une parfaite étrangère qui avait soudainement décidé de la sauver.

- J'ai tué beaucoup de personnes, déclarai-je alors sans peur.

Lucy recula légèrement son buste, tout en resserrant ses mains protectrices autour de son ventre, et me dévisagea.

- Beaucoup de Lunes, je veux dire, ajoutai-je afin de la rassurer. Et avec le temps, j'ai commencé à ne plus avoir de remords à ce sujet. Briser une nuque, planter un poignard dans une poitrine, ce sont des choses que mes mains sont devenues capables de faire avec indifférence. La vie ne m'a jamais fait de cadeaux et j'imagine que je me suis juste endurcie à un point presque effrayant. Et pourtant, quand j'ai compris que j'allais rentrer chez moi, mais que je n'avais pas d'autres choix que d'abandonner des dizaines d'enfants de mon peuple et d'humains derrière moi, ça m'a brisé le cœur. Je sais quelles horreurs ils leur infligent là-bas, mais je ne peux rien faire à ce sujet. Sauf que je t'ai vue, grâce à leur caméra de sécurité, et quand j'ai compris que tu étais enceinte, c'était tout simplement insupportable, je ne pouvais pas ne rien faire. Alors j'ai supplié Alec de trouver un moyen de te faire sortir et il l'a fait.

Lucy resta silencieuse à la suite de ces révélations, puis, doucement, elle posa sa main sur la mienne.

- Merci.

Je lui souris sincèrement, puis décidai de changer de sujet. J'avais sous les yeux la parfaite distraction.

- Tu es enceinte de combien ?

- Bientôt 8 mois.

J'admirai son ventre, parfaitement rond, se soulevant au rythme de sa respiration.

- C'est impressionnant.

- Tu veux le sentir ? me proposa-t-elle alors.

Je relevai les yeux vers elle, étonnée et presque intimidée. Un instant plutôt elle le protégeait de moi.

- Vas-y, m'encouragea-t-elle, tu vas voir, on sent très bien les coups de pieds.

Je déposai ma main sur son ventre jusqu'à ce que je sentisse un battement, comme lorsque l'on posait une main sur sa poitrine pour sentir les battements de son cœur. Seulement, c'était bien plus fort.

- Waouh, est-ce que ça fait mal ?

Lucy ricana un instant.

- Ça dépend des fois, je t'avoue. Mais ce n'est pas ça le pire.

- Ah oui ?

- Oh mon Dieu, si tu savais, grogna-t-elle en penchant la tête en arrière, mes hormones sont tellement en pagaille que je hurle sur des personnes qui veulent seulement m'aider, j'ai envie de faire pipi toutes les dix minutes, j'ai faim absolument tout le temps, mes seins me font super mal et je ne peux plus dormir sur le ventre ! Sans parler du fait que j'ai passé la plus grande partie de ma grossesse dans une cellule dans une prison dans un repère de Lunes dans une montagne !

Je ne pouvais même pas imaginer le bien que cela devait lui faire de pouvoir parler naturellement de ce genre de choses à quelqu'un, mais sa dernière phrase me ramena alors à la réalité.

- À ce propos Lucy, il faut que je t'explique quelque chose, mais avant ça, dis-moi, est-ce qu'Alec t'a donné la moindre information avant de t'aider à venir ici ?

Elle secoua la tête.

- Pas vraiment, non. Il m'a dit que tout était très compliqué et qu'il n'aurait pas le temps de m'expliquer la situation mais toi oui. Il m'a dit de ne pas faire de témoignages et de ne répondre à aucune question tant que je ne t'aurais pas vue, toi.

Bien sûr, il avait pensé à tout.

- Il a eu raison de te dire tout ça parce que...durant ces dernières semaines, ni toi ni moi n'étions là où nous étions réellement.

Lucy fronça les sourcils, définitivement perdue.

- Je te demande pardon ?

Je pris donc le temps de tout lui expliquer. Les causes, les conséquences, puis le récit lui-même. D'un côté, j'avais l'impression de raconter la même histoire pour la énième fois, et de l'autre, pour la première fois, car enfin la personne en face de moi savait elle aussi que c'était un mensonge. Un mensonge qui sauverait la vie de centaines de personnes.

Le lendemain, je me réveillai sereinement. Je savais que le témoignage de Lucy coïncidait parfaitement avec le mien et que c'était une preuve de plus quant à sa véracité – même si vous savez tous que les deux étaient inventés de toutes parts. C'était exactement ce qu'il me manquait auparavant, ainsi Alec avait libéré Lucy au moment idéal.

Il me tardait plus que je n'aurais su le dire de revoir ce dernier. D'un côté, parce qu'il m'avait manqué bien sûr et de l'autre, parce que je voulais m'assurer qu'il allait bien. Vu les actions qu'il avait commises ce dernier mois, il serait immédiatement considéré comme traître de son peuple, si jamais quelqu'un venait à tout découvrir, et vous vous doutez bien du sort qui était réservé aux traîtres.

Jeremy et Mme Diggle considéraient qu'il me faudrait encore plusieurs jours de repos avant de pouvoir reprendre les cours avec les autres. Voilà qui me contrariait davantage. Je me sentais bien mieux de jour en jour et pas mal de mes blessures avaient déjà cicatrisé. Néanmoins, je n'avais pas mon mot à dire. Peut-être ne devais-je pas m'en plaindre. Je savais que les entraînements seraient probablement bien plus ennuyeux qu'avant étant donné qu'Alec m'avait fait prendre de l'avance. Cependant, cela me permettrait certainement de perfectionner ce que j'avais appris en version express.

Je passai la matinée à discuter avec Lucy à la fois de choses sérieuses et de tout et de rien. Cela me faisait du bien à moi aussi de pouvoir souffler et baisser ma garde. Je n'avais rien à lui cacher, contrairement à Mme Diggle et Jeremy. Avec elle, je n'avais pas à maintenir cette façade de mensonges, chose bien plus dure à faire que je ne l'avais pensé. Je ne pouvais m'empêcher de penser que tout aurait pu être différent si Alec était venu avec moi, mais il ne l'avait pas fait. Cela me déchirait toujours le cœur de le savoir condamné à vivre entouré de monstres qui n'avaient aucun égard pour lui et en même temps, s'il était rentré avec moi, il n'aurait pas pu sauver Lucy. C'était ça, ma seule consolation.

Lizzy passa déjeuner avec moi à l'infirmerie et nous ne cessâmes de parler de l'Angleterre et de tout ce que nous pourrions faire là-bas. Cela me faisait également beaucoup de bien de savoir que bientôt, je serais loin d'ici, loin des souvenirs douloureux et que je pourrais respirer un nouvel air. Par ailleurs, je n'étais encore jamais allée en Angleterre et je savais qu'avec des vacances organisées par les Darcy, je ne pouvais pas être déçue !

Lorsque Lizzy repartit en cours, je me préparai à sortir. Il ne pleuvait pas, mais il ne faisait pas beau pour autant.

Vive le printemps...

Je réussis finalement à me concocter une tenue qui me tiendrait chaud et me permettrait à la fois d'escalader ou de me battre si besoin. Après m'être assurée que Mme Diggle n'était pas dans les parages, je quittai ma chambre et traversai le jardin du pensionnat jusqu'à atteindre la lisère de la forêt. Encore une fois, je vérifiai que personne ne m'avait vue puis pénétrai dans l'ombre des arbres. Un peu plus loin, je récupérai mon arc et mon carquois, toujours cachés dans un buisson.

Je me rendis compte que j'étais légèrement en avance par rapport au rendez-vous que j'avais fixé, alors que je m'autorisai à décocher quelques flèches avec des cibles improvisées. Vous vous dites sûrement : « Eh bah dit, c'est étrange ce nouvel amour pour les flèches décidément... ». Quelque part, vous avez raison, mais il faut savoir que le tir à l'arc était une pratique que je négligeais depuis toujours et que la nouveauté rendait ça plus excitant que de simplement tenir un poignard.

Lorsque j'arrivai au pied de notre arbre, j'entendis une branche se briser derrière moi. Faisant appel à mes sens, je me retournai précipitamment et décocher une flèche tout droit sur la personne qui s'avançait vers moi. Alec l'esquiva de justesse, toujours avec sa grâce habituelle.

- Je vois que quelqu'un s'est entraîné ! s'exclama-t-il. Mais...

-... La ferme, Boucles d'or ! le coupai-je en m'élançant dans ses bras.

Il m'étreignit avec force jusqu'à me soulever légèrement du sol.

- Si je suis Boucles d'or, souffla-t-il dans mes volumineux cheveux roux, tu es quoi ?

Je m'éloignai et rencontrai ses yeux d'émeraudes.

- Hum... Boucles de...feu ?

Alec haussa un sourcil puis nous déclarâmes en même temps :

- Ça craint.

- C'est vraiment nul, insistai-je en riant tandis que mon ami acquiesçait.

Ce dernier m'invita à grimper à l'arbre et une fois suffisamment haut, nous nous installâmes tranquillement à califourchon sur une branche. Pour une fois, je restai silencieuse et ne le bombardai pas immédiatement de tout un tas d'information. Je n'arrivai pas encore à mettre le doigt dessus, mais quelque chose chez lui était différent. Il me paraissait plus chaleureux, pas seulement par son sourire, mais physiquement. Puis, d'un coup, je réalisai de quoi il s'agissait. C'était la première fois que nous nous rencontrions à la lumière du jour, Alec avait son apparence humaine. Ses yeux verts n'étaient pas encerclés de rouge, sa peau n'était plus d'un blanc cadavérique, ses veines étaient invisibles. La seule chose qui pouvait permettre à quelqu'un de l'identifier comme un Lune était le croissant de lune qu'il avait tatoué à la naissance de son cou, au-dessus de sa clavicule. Qu'il était beau...

- Alors, reprit Alec, comment ça se passe au pensionnat ? Tu as l'air en forme.

Je hochai la tête.

- Tout va bien, je guéris vite et je commence à reprendre du poids. Évidemment, j'ai dû subir pas mal d'interrogatoires et faire des dépositions, mais j'ai réussi à m'en tenir à notre histoire et ils y ont cru.

Alec parut soulagé.

- Donc ils n'ont aucun doute ?

- Je n'en suis pas certaine à 100 %, mais jusqu'à maintenant ils n'ont jamais remis ma parole en question. Et puis grâce à Lucy...

- Oh mais oui Lucy ! Comment va-t-elle ? s'empressa-t-il de me demander en agrippant mes mains.

Je lui offris un beau sourire avant de répondre.

- Elle va bien, grâce à toi, ajoutai-je en serrant ses mains. Je l'ai trouvée dans la forêt il y a deux jours, elle était vraiment mal en point, mais ils ont pris grand soin d'elle à l'infirmerie. J'ai aussi réussi à lui parler avant que tout le monde ne l'assaille de questions et elle a accepté de mentir en utilisant notre version.

Alec passa une main dans ses cheveux, sans lâcher la mienne de l'autre, en soupirant de soulagement.

- J'ai eu tellement peur qu'elle ne tienne pas le coup jusqu'au pensionnat. Tu es vraiment tombée sur elle à temps.

- En effet, et si tout se passe bien elle accouchera dans environ un mois.

- Je suis ravi de l'apprendre.

Je penchai ensuite la tête sur le côté et pris le temps d'admirer les traits d'Alec. Il avait réellement un visage angélique et je portais à croire que c'était ce qu'il était. Mon ange gardien. Il n'y avait pas une once de cruauté en lui. Il était beau et son cœur était pur. J'étais si triste de savoir que sa nature le qualifiât automatiquement de monstre, sans même se soucier de qui il était vraiment.

- Et toi ? Comment vas-tu ? lui demandai-je tendrement.

- Ça va, soupira-t-il fatigué, ça pourrait aller mieux mais ça va. Tout le repère est en état d'alerte maximum. Ça n'était jamais arrivé auparavant que des prisonniers s'enfuient et ils ont conscience que vous avez été aidées. Par chance, ils n'ont ni la moindre preuve ni le moindre indice, mais par conséquent, nous sommes tous des suspects.

Je ne pus empêcher mon regard de partir dans le vague, comme pour fuir aussi bien les yeux chargés d'émotions d'Alec que mes propres sentiments. Mon ami finit par prendre mon menton entre ses doigts chauds et me força à le regarder.

- Je t'interdis de te sentir coupable, Savannah. Formellement.

J'acquiesçai, peu convaincue.

- Si je pouvais revenir en arrière, je ne changerais rien, insista Alec avant de me serrer dans ses bras.

Je lui rendis son étreinte et enfouis ma tête dans le creux de son cou. Lorsque je me redressai, nos visages se retrouvèrent à seulement quelques centimètres l'un de l'autre. Pour la première fois, je me surpris à détailler la courbe de ses lèvres et à me demander quelle sensation cela ferait de les embrasser. Puis doucement, comme une évidence, Alec plaça une main sur ma joue et s'inclina vers moi. Ses lèvres caressèrent les miennes avec délicatesse et une flopée de papillons s'envola dans mon estomac.

Je n'avais jamais ressenti rien de tel. Une part de moi savait que ce genre de comparaison n'était pas saine, mais je ne pouvais pas m'en empêcher. Quand j'embrassais Jeremy, mon corps tout entier s'enflammait dans une explosion retentissante. C'était puissant et effrayant. Mais alors que j'embrassais Alec, un sentiment de légèreté s'emparait de mon corps comme si je volais, entourée de ces papillons qu'il avait réveillé en moi. C'était doux et apaisant. Tout ce à quoi je n'étais pas habituée.

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Salut ! Désolée pour le retard, cette semaine j'ai pas mal de boulot et je suis très fatiguée donc j'avoue j'ai complètement oublié de poster hier 😂 Mais le voilà ! Par chance je suis en vacances à la fin de la semaine donc ce genre d'oubli ne devrait plus arriver avant un moment. J'espère qu'il vous a plu ! Honnêtement, qui l'avait vu venir ? 😉
Bisous 😘

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