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I - Chapitre 4

Jeremy

Lorsque Savannah partit se changer dans les toilettes de l'avion – je me demandais justement combien de temps elle tiendrait dans cette tenue et la réponse fut : pas longtemps – je commençai à me renseigner sur les horaires et tarifs du train et du bateau dont nous allions avoir besoin ensuite. Grâce à l'argent qu'Elizabeth nous avait mis de côté sur un compte sécurisé et très secret, nous pouvions tout nous permettre, néanmoins de nouveau, le but n'était pas d'attirer l'attention.

- Que fais-tu ?

Je me retournai dans un sursaut et découvris mon ancienne élève se tenant debout derrière moi et observant mon téléphone avec suspicion.

- Je m'occupe de la suite du voyage, répondis-je simplement.

L'expression de Savannah passa de la méfiance à un mélange de surprise et de peur.

- On ne reste pas à Paris ?

J'aperçus alors une hôtesse de l'air s'avancer vers nous.

- Savannah, assied-toi.

Cette dernière analysa rapidement la situation et, pour une fois, fut du même avis que moi et se rassit avant que l'hôtesse n'arrivât à notre hauteur. Cependant dès qu'elle fut assise...

- Scandola, je veux rester à Paris ! Je n'ai pas échangé Moscou pour rien !

Je soupirai de frustration.

- C'est beaucoup trop dangereux... Et puis pourquoi est-ce que tu insistes pour m'appeler « Scandola », je croyais qu'on avait dépassé ce stade depuis un moment...

Elle croisa les bras sur sa poitrine avec mépris.

- La question n'est pas là. Je veux aller voir la Tour Eiffel, l'arc de Triomphe, Notre-Dame de Paris et les champs Élysée, je veux voir Paris !

Je basculai la tête en arrière en grognant.

- Pourquoi dois-je toujours me répéter ? Encore une fois, ce ne sont pas des vacances, nous ne sommes pas des touristes !

Je devais bien admettre que les étincelles dans ses yeux provoquées par son excitation et sa joie lorsqu'elle parlait de Paris la rendait particulièrement adorable et belle et jeune et simplement tout ce que j'aurais adoré voir en elle mais pas aujourd'hui.

- Justement ! insista encore Savannah. Je suis sûre qu'il y aura déjà plein de touristes là-bas, on aura qu'à se fondre dans la masse ! Et puis peu importe où tu veux qu'on aille ensuite, on se fera bien moins remarquer en voyageant de nuit que de jour, et puisque ce sera le début de la matinée lorsqu'on atterrira à Paris, ça nous laisse largement le temps !

Je m'efforçai de me concentrer sur ses arguments plutôt que ses yeux ou ses lèvres.

Putain Jeremy... Est-ce que tu t'entends penser ? On dirait un psychopathe !

- Je...je t'assure qu'une tour en fer, une cathédrale et une allée remplie de magasin de luxe ne valent pas tant de risques.

- C'est facile à dire quand tu y es déjà allé plein de fois, soupira-t-elle presque avec tristesse – ce qui ne dura pas. Écoute Scandola, si on ne reste pas au moins quelques heures, je m'enfuis à nouveau et tu sais très bien que j'en suis capable.

Je plantai mon regard dans le sien et compris rapidement qu'elle était tout à fait sérieuse et déterminée. Je réfléchis donc quelques instants, puis eus une idée.

- OK, passons un accord. Je t'emmène là où tu veux aller en attendant de prendre le train et tu n'émets pas la moindre objection quant au fait de ne pas savoir où nous allons ensuite tant qu'on n'y sera pas arrivés.

Savannah plissa les yeux et se pinça les lèvres.

- C'est pas du tout rentable comme accord, tu t'en rends compte ?

Je souris, fier de moi.

- Parfaitement. Mais c'est le seul que je suis prêt à te proposer. Alors ?

Elle leva les yeux au ciel avant de déclarer :

- Marché conclu.

Dès que Savannah mit un pied sur la place du Trocadéro, surplombant les jardins et admirant de loin la Tour Eiffel, j'eus l'impression de face à une enfant. Elle ne pouvait s'empêcher de sourire bêtement et elle se déplaçait presque en sautillant. Contrairement à moi, elle s'accordait parfaitement à l'effervescence de cet endroit. Le soleil était haut dans le ciel bleu dépourvu de nuages, une brise légère venait adoucir la chaleur de ce début d'été, les gens portaient des vêtements de toutes les couleurs et les marchands de glaces faisaient beaucoup d'affaires. Cette journée avait tout pour être parfaite pour tout le monde, sauf pour moi.

En effet, que ce fut le stress, la peur ou la fatigue, je n'arrivais pas à me détendre et à profiter comme Savannah. Par ailleurs, les monuments n'avaient plus rien de nouveau à mes yeux, même s'ils n'en étaient pas moins impressionnants et beaux. Je m'efforçai donc de ne pas faire le rabat-joie et de raconter à mon ancienne élève les quelques anecdotes que je connaissais. Elle ne s'y intéressait qu'à moitié, mais je ne lui en voulais pas. Supporter ma présence devait déjà être un effort considérable pour elle et quelque chose me disait que même venant de quelqu'un d'autre, elle aurait eu du mal à vraiment écouter. Elle était simplement trop obnubilée par tout ce qu'elle voyait et tout ce qu'il se passait autour d'elle.

J'étais ravie de la voir enfin agir comme une jeune adolescente découvrant enfin Paris elle-même après en avoir tant entendu parler dans les films. Si ça ne tenait qu'à elle, je ne doutais pas qu'elle ferait le tour du monde, comme les jeunes de son âge en rêvaient. Comme j'en avais moi-même rêvé à une époque.

Tom avait déjà tout prévu. Dès que notre temps dans l'armée aurait été fini, nous devions partir très loin des champs de batailles et des planques. Hawaï aurait probablement été notre première destination car le son des balles y était remplacé par le son des vagues. Je pouvais encore entendre Tom me répéter à quel point ce serait génial de ne rien faire d'autre de nos journées que de nous baigner et bronzer sur des transats en buvant des cocktails délicieux avant de passer nos soirées avec de charmantes Hawaïennes. Sans parler des sauts de falaise et plongées sous-marine. Je ne connaissais personne qui le méritait plus que lui et partager son rêve était un honneur immense à mes yeux. Puis c'était également devenu mon rêve. Jusqu'à notre dernière mission en Afghanistan.

- Scandola ? Scandola ?

Cette mission. Jamais je ne pourrais l'oublier. Elle avait changé toute ma vie.

- Jeremy !

La voix agacée et la main de Savannah s'agitant devant mon visage me ramenèrent à la réalité. Elle s'était planté à un mètre de moi et me dévisageait, les sourcils froncés, presque avec inquiétude.

- Tu te sens bien ? J'aurais eu le temps d'aller à Moscou avant que tu te rendes compte que je n'étais plus là.

Je secouai la tête et tentai de chasser mon malaise.

- Oui, je...je...

- J'ai faim, déclara ma protégée avec un sourire forcé.

Elle était bien de retour.

- Oui, euh...glace ou crêpe ?

Elle se mordit la lèvre le temps de réfléchir, puis répondit :

- Gaufre.

Après quelques heures supplémentaires à déambuler dans Paris tels de vrais touristes, nous nous trouvions enfin dans un train en route vers le sud. Je m'étais débrouillé pour que tout se passât très vite afin que Savannah n'eût pas le temps de lire les panneaux et une fois à bord, je l'avais forcé à mettre des boules Quies – quand bien même tout était en français et qu'elle aurait déjà eu du mal à comprendre sans mes manigances. Elle était redevenue très silencieuse et se contentait de regarder le paysage défilé à plusieurs centaine de km/h sous ses yeux. Je la soupçonnais surtout d'être bien fatiguée et je pouvais parfaitement le comprendre.

Seulement aussitôt arrivé à la gare de Marseille, nous nous mettrions en route vers notre prochain moyen de transport : le Kalliste. Savannah l'ignorait encore alors je n'insistais pas pour qu'elle se reposât. Peut-être devinerait-elle elle-même, mais connaissant ses capacités en géographie, je gardais l'espoir qu'elle ne s'en rendît compte qu'une fois sur place.

Ainsi, dès que nous fûmes descendus du train, je m'approchai d'elle, une foulard en main. Celle-ci recula vivement.

- Scandola ? fit-elle l'air de dire « Ce n'est pas réellement ce que je pense, si ? ».

- Approche.

Elle secoua la tête.

- Pas question d'être à nouveau aveugle !

Je restai interdit une seconde, perturbé par sa phrase et le ton qu'elle avait employé. Étonnamment, elle semblait sincèrement effrayée à l'idée de perdre un sens aussi important et je me permis d'en déduire que ça lui était déjà arrivé et que ça avait mal tourné, de toute évidence. Mais quand ? Elle n'avait jamais rien dit à propos d'avoir les yeux bandés lorsqu'elle était retenue par le couple de Lunes.

Gifle mentale.

Elle n'avait jamais été chez un couple de Lunes. Ce n'était qu'un mensonge pour protéger Alexander. Je me souvins alors que je n'avais pas la moindre idée de ce qui lui était réellement arrivé pendant le mois qu'elle avait passé à son repère.

- Savannah, repris-je alors d'une voix que j'espérais douce et rassurante, il ne t'arrivera rien de mal, c'est juste une précaution. On a passé un marché, tu te souviens ?

Ses yeux alternèrent entre mon visage et le foulard noir d'une manière conflictuelle. Finalement, elle répondit :

- Me bander les yeux n'a jamais fait partie du marché.

- Pas explicitement, c'est vrai, mais ça n'a jamais été exclu non plus. Et puisque contrairement à la mienne, ta parole a de la valeur, tu n'as pas vraiment le choix.

Je réduisis donc la distance qui nous séparait et nouai le foulard sombre autour de ses yeux. Elle trouvait peut-être cette méthode cruelle ou radicale, mais je préférais qu'elle fût en vie et qu'elle me détestât plutôt qu'elle fût assassinée parce que je n'avais pas supporté de sacrifier mes sentiments.

- Et voilà, soufflai-je avant de prendre sa main dans la mienne.

Elle se dégagea brusquement et trébucha sur notre sac de voyage en reculant. Je m'empressai de la rattraper avant que son dos et sa tête ne cognassent violemment le béton du quai. Nous n'avions pas été aussi proches depuis longtemps mais je restai professionnel et l'aidait à se remettre sur ses deux pieds en équilibre. Elle cessa immédiatement de s'agripper à moi et remit de l'ordre dans sa tenue, la tête haute.

- Euh...merci.

- C'est exactement pour éviter ce genre de chose que je te prenais la main. Rien d'autre. Et si on veut essayer de faire croire aux gens que je ne suis pas en train de te kidnapper il va falloir que tu y mettes un peu du tien.

Si elle avait pu, je ne doutais pas qu'elle aurait levé les yeux au ciel.

- C'est bon, soupira-t-elle en me tendant sa main.

Je la saisis doucement et l'incitai à avancer à mes côtés. Je fis particulièrement attention à la guider dans les escaliers et lorsque nous sortîmes de la gare, je fermai moi-même les yeux brièvement pour accueillir la merveilleuse sensation de chaleur que procurait le soleil sur la peau. Après cela, nous allâmes trouver un taxi. Je lui chuchotai à l'oreille l'endroit où je souhaitais qu'il nous emmenât et nous nous mîmes aussitôt en route vers le port. Avec l'accent de la région, Savannah ne comprenait probablement rien à ce que les gens disaient autour d'elle et elle ne pouvait passer que par moi pour essayer de trouver des indices sur notre destination.

- Il fait beau là-bas ?

- Peut-être.

- Il va faire chaud alors ? Parce qu'on a presque que des vêtements légers.

- Ça ne veut rien, on a fait les valises en pensant aller à Moscou et je te rappelle que grâce à toi on en a perdu une.

- Tu l'as perdu à l'aéroport de Madison. Moi j'ai la mienne.

- Ça n'aura pas d'importance là où on va.

- Donc il fait chaud !

Je ne pus m'empêcher de sourire devant ses efforts. Si elle savait où nous allions, elle ne serait probablement pas de si bonne humeur...

Une dizaine de minutes plus tard, nous arrivâmes à destination et l'odeur humide et salée de la mer vint chatouiller nos narines dès que nous fûmes sortis de la voiture. Nous embarquâmes parmi les derniers passagers et mis à part quelques regards surpris, nous ne rencontrâmes aucun obstacles. Les premiers ponts du paquebot servaient de parking aux voitures et poids lourds de livraisons, tout y était sale, huileux et collant. Avec les années, je m'étais également habitué à la puissante odeur de pétrole, mais ce n'était pas le cas de Savannah.

- Pourquoi est-ce que ça pue comme ça ? s'offusqua-t-elle.

Je préférai ne pas répondre et la guidai le plus rapidement possible aux escaliers permettant l'accès aux ponts supérieurs, où se trouvaient l'accueil, les cabines, les restaurants et autres.

- Scandola !?

- Tais-toi et concentre-toi plutôt sur les marches, déclarai-je simplement.

- Si je tombe c'est ta faute !

Heureusement, personne ne tomba dans les escaliers étroits et nous n'eûmes pas à faire la queue à l'accueil puisque la plupart des passagers avaient déjà récupéré les clefs de leur cabine depuis longtemps.

- Bonsoir.

- Bonsoir, Monsieur, Madame ! Bienvenue sur le Kalliste !

Chaque année, le même réceptionniste toujours souriant et très jovial accueillait les passagers. Le revoir était à chaque fois un vrai plaisir, tout d'abord parce que je ne me lassai pas de son accent du sud et parce que le voir signifiait que je serais bientôt chez moi.

- Merci ! Voici, lui tendis-je nos tickets.

- J'espère que vous ne priverez pas Madame de la vue trop longtemps, fit en regardant Savannah avec amusement.

Celle-ci ne comprenait bien sûr pas un mot de ce qu'il disait alors je me chargeai de répondre pour nous deux.

- Oh non, c'est juste qu'on est en lune de miel et la destination est une surprise, expliquai-je en passant un bras autour de sa taille pour paraître plus proche.

Comprenant probablement l'initiative de mon geste, elle sourit aimablement.

- En lune de miel ? s'écria le réceptionniste. Mais vous auriez dû le dire avant, l'ami ! Nous avons des cabines spéciales faites pour ce genre d'occasion, tenez, le supplément est pour la maison.

J'écarquillai les yeux, surpris. Je n'avais pas la moindre idée qu'ils offraient des cabines particulières pour les lunes de miel. Et dire que c'était seulement la première excuse qui m'était passé par la tête. Eh bien au moins Savannah ne pourrait pas me reprocher d'avoir mal dormi alors que je nous avais dégoté une des meilleures cabines du bateau !

- Merci beaucoup ! Vous êtes trop aimable, vraiment, merci infiniment !

- Avec plaisir, les jeunes. Je vous souhaite une excellente traversée !

Je le remerciai une dernière fois et pinçai ma protégée pour qu'elle en fît de même. Son "merci" fut à peine audible, mais son charmant sourire compensait amplement. Je pris ensuite sa main dans la mienne et l'entraînai dans le couloir menant à notre cabine.

- Pourquoi est-ce que tu as fait le lèche-cul comme ça ? grogna-t-elle une fois que nous fûmes suffisamment éloignés.

- Parce qu'il nous a offert une cabine spéciale lune de miel, ricanai-je.

Elle perdit immédiatement son sourire et commença à écraser ma main entre ses doigts. Je serrai la mâchoire pour ne pas montrer ma douleur aux passagers que nous croisâmes. Un instant, je crus qu'elle ne déserrerait son emprise qu'une fois qu'elle m'aurait luxé tous les doigts, mais elle me lâcha complètement avant d'en arriver là.

- Tu manques vraiment pas de culot, affirma-t-elle ensuite en croisant les bras, remontée.

- Je croyais qu'on s'était mis d'accord sur le fait qu'un couple était la meilleure couverture possible, soupirai-je en me massant la main.

- C'est ça, grogna-t-elle, un couple. Pas des jeunes mariés à qui on vient de donner une cabine spéciale pour baiser toute la nuit !

Comme par hasard, Savannah avait choisi d'attendre qu'une famille passât justement à côté de nous pour dire ça. J'exprimai un sourire navré à l'attention des parents, quand bien même leurs jeunes enfants n'avaient probablement rien compris à l'anglais. J'empoignai ensuite le bras de Savannah et la forçai à avancer jusqu'à notre cabine. J'enfonçai rapidement la clef magnétique dans la porte et l'y fit immédiatement entrer. Je refermai brusquement la porte derrière nous.

- Combien de fois vais-je devoir te le dire ? Je n'ai aucune mauvaise intention, je ne fais que me démener pour t'emmener quelque part où tu seras en sécurité, pourquoi est-ce que tu ne peux pas me faire un peu confiance ?

Ses poings se serrèrent et si j'avais pu voir ses yeux, j'y aurais certainement trouvé plein de haine.

- Et combien de fois vais-je devoir te dire que tu as perdu toute ma confiance et que tu ne le retrouveras pas !? Et qu'est-ce que tu croyais ? Que me bander les yeux aiderait ta cause ?

Je grognai de frustration et de colère, puis m'empressai de fermer les rideaux et de cacher tous les papiers de la Méridionale. Après ça, j'ôtai le foulard noir de ses yeux. Elle regarda immédiatement tout ce qui l'entourait, perdue.

La cabine était bien plus spacieuse et agréable que celles que j'avais connues toute ma vie. Un grand lit à l'aspect confortable trônait en plein milieu et les rideaux transmettaient une douce lumière orangée. La salle de bain possédait une vraie baignoire et non pas une minuscule douche et on pouvait accéder aux toilettes sans se prendre le coin du lavabo dans les côtes. Je ne préférais pas savoir de combien était le supplément.

- Alors on est vraiment sur un bateau, soupira Savannah, épuisée.

Elle s'assit lourdement sur le lit et continua son analyse des lieux. Après plusieurs minutes de silence, elle se tourna enfin vers moi.

- Désolée pour ta main.

Je restai sans voix un instant. Des excuses était la dernière chose à laquelle je m'attendais.

- C'est...ça va, c'est pas grave.

Je m'assis à ses côtés, tout en laissant une distance de sécurité, sentant doucement la pression quitter mes épaules.

- Alors...on va passer la nuit enfermés ici ou tu comptes me laisser voir le coucher de soleil ? me demanda-t-elle, d'une voix douce et non pas haineuse.

Je levai gentiment les yeux au ciel.

- Une fois qu'on se sera suffisamment loin des côtes, j'envisagerai peut-être de t'emmener sur le pont.

Elle secoua la tête en ricanant doucement.

- Je vois. Moi qui espérais m'enfuir à la nage, tu ne me facilites vraiment pas la tâche, Scandola.

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