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I - Chapitre 11

Savannah

Si j'avais su que voir l'expression que faisait mon traître de mentor en m'écoutant critiquer le cher tableau de sa sœur serait si drôle, je l'aurais fait bien plus tôt. Cette dernière ne l'avait pas mérité, c'était indéniable, et elle semblait déjà mal en point avant, mais comme Raphaël me l'avait rappelé : la fin justifiait les moyens. Je n'allais donc certainement pas m'arrêter là. Mais la partie où je devais faire en sorte que mon ancien mentor me détestât n'était pas la plus dure, je devais également trouver un plan pour partir d'ici et surtout, guérir physiquement jusqu'à être en parfaite santé.

Les toxines de la salive d'Alec avait définitivement quitté mon corps, mais celui-ci était toujours un peu faible, alors quand bien même je haïssais l'autre traître, il restait un bon adversaire de combat. Ainsi lorsqu'il me dit de le rejoindre devant le garage après m'être changée, j'accueillis cette consigne avec impatience. J'enfilai vite des vêtements de sport et contournai la maison. Il était déjà là, en tenue et deux grandes bouteilles d'eau à la main, m'attendant devant la grande porte coulissante du garage.

- On ne travaille pas dans le jardin ? demandai-je, perplexe.

Il secoua la tête et n'attendit pas plus pour faire coulisser la lourde porte et révéler l'intérieur de la pièce. Naïvement, je pensais y trouver une voiture – c'était un garage après tout – mais je découvris à la place une salle de sport parfaitement équipée. Machines, punching-ball, armes, poids, tapis de sol, serviettes, tout ne demandait qu'à être utilisé. Je ne fis aucun commentaire et examinai les lieux de plus près. Le matériel était en très bon état et de qualité.

Si une part de moi était quelque peu impressionnée malgré elle, une autre bouillait de colère. J'avais tout fait pour les oublier, mais je pouvais encore entendre les mots minables que mon ancien mentor m'avait sorti pour justifier sa conduite le jour où j'avais tout découvert. Parmi eux se trouvaient : « J'avais besoin d'argent. » Cependant, tout à propos de cette immense propriété montrait que les Scandola étaient franchement aisés. Ce n'était donc qu'un mensonge de plus.

- Par quoi veux-tu commencer ? me fit-il, tout fier de sa salle de sport privée.

Je n'étais vraiment pas d'humeur à travailler sur une machine.

- Combat. Corps à corps. Avec armes.

Nous travaillâmes ainsi plusieurs heures. Mon mentor ne me paraissait plus aussi invincible qu'avant. Il était fort, oui, il était même très doué et si nous étions un jour réellement amener à nous combattre, il me faudrait un certain temps pour lui venir à bout, mais ce n'était plus impossible. L'entraînement que j'avais reçu de la part d'Alec m'accordait l'effet de surprise et quand bien même il ne faisait pas le moindre commentaire, je voyais à son expression lorsque le traître était étonné et même impressionné par ma technique. Mais bien sûr, je gardais toujours quelques tours dans mon sac.

En début de soirée, nous émergeâmes du garage pour aller retrouver les autres qui rentraient justement de la rivière. Ils nous dévisagèrent quelques secondes, abasourdis, avant de pouvoir dire quelque chose.

- Vous faites peur à voir, déclara simplement Raphaël avec sa franchise habituelle.

Je baissais les yeux sur mon corps. Eh bien il va sans dire que j'étais dégoulinante de sueur, essoufflée, décoiffée et que ma peau portait toutes sortes de griffures et de marques rouges qui ne tarderaient pas à se transformer en bleus.

- Jeremy ! s'exclama alors la voix de Marina depuis les escaliers.

Celle-ci avait passé l'après-midi à se détendre au bord de la piscine avec un livre, mais elle avait apparemment ensuite prit une douche et s'était faite belle pour je-ne-sais quelle raison.

- Qu'est-ce que tu fais encore dans cet état ? On doit retrouver Juliette dans une heure !

Mon ancien mentor écarquilla bêtement les yeux et lança un regard gêné dans ma direction. Qui était Juliette ?

- Bien sûr ! s'empressa-t-il de répondre à sa sœur. Ne t'inquiète pas, je serai prêt, je vais tout de suite me doucher.

Juste avant de monter les escaliers, il échangea cette fois-ci un regard complice avec sa mère et celle-ci lui répondit par un hochement de tête rassurant. Une seconde plus tard, il avait disparu et à l'inverse sa mère se rapprochait de moi.

- Savannah, tu n'as qu'à utiliser la salle de bain du premier étage.

En effet, je mourrais d'envie de prendre une douche, mais le comportement étrange de mon ancien mentor m'intriguait réellement.

- Qui est Juliette ?

Elle baissa les yeux, comme si elle cherchait une réponse que je trouverais satisfaisante en sachant de toute façon que ce ne serait pas vraiment la vérité.

- Euh...une amie d'enfance de Marina et Jeremy. Ça fait un moment qu'ils ne se sont pas vus alors ils sont tout excités.

Son fils ne m'avait pas semblé si excité que ça, plutôt gêné, ce qui m'encouragea à penser que cette Juliette ne pouvait pas être qu'une amie d'enfance. Il devait y avoir une histoire derrière ce prénom. De plus, il ne m'aurait pas laissée seule avec sa famille une soirée entière si cette personne n'était pas importante pour lui. J'allais devoir mener ma petite enquête.

J'allais donc prendre ma douche tout en réfléchissant. Raphaël estimerait qu'il m'aidait déjà suffisamment et que je n'avais pas besoin de savoir cela. Stella, en revanche, serait probablement prête à me parler. Je n'avais plus qu'à trouver un moyen de glisser ça subtilement dans une conversation pour qu'elle ne se doutât de rien.

Néanmoins, durant tout le temps que durât ma douche, un étrange sentiment me mettait mal à l'aise. Pourquoi tenais-je tant à savoir qui était cette Juliette ? Certes, elle avait un lien avec mon ancien mentor, mais je ne pensais pas que cela me serait très utile pour m'enfuir. Par conséquent, il relevait strictement de sa vie privée et ça, je n'en avais rien faire. Je devais n'en avoir rien à faire. Il m'avait trahie et avait perdu le droit de faire partie de ma vie d'une quelconque manière. Alors moi aussi je devais cesser de vouloir connaître les moindre détails de sa vie. Ça ne devait plus m'atteindre.

Je redescendis au rez-de-chaussée ayant laisser tomber l'idée d'utiliser Stella, j'allais simplement faire comme d'habitude : être indifférente à tout. Marina et son frère était déjà parti pour Propriano, alors je me retrouvai seule avec le reste des Scandola. Nous mangeâmes sur la terrasse comme nous l'avions fait la veille et je m'arrangeais pour ne prononcer presque aucun mot. Après le dîner, Raphaël monta s'enfermer dans sa chambre à la surprise de personne, tandis que ses parents et sa petite soeur décidèrent de regarder un film. Puisqu'ils étaient déjà installés confortablement, Stella me demanda si je pouvais aller chercher le paquet de pop corn dans un des placards de la cuisine. J'y allai volontiers, simplement pour me retrouver seule quelques secondes. M'efforcer de les détester était fatiguant.

Je m'apprêtai à revenir dans le salon avec le paquet de pop corn lorsque j'eus soudainement une sensation de vertige. Je tanguai sur mes appuis quelques instants et le paquet m'échappa des mains au moment où je basculai complètement dans le corps de Lizzy. Il me fallut bien une demi minutes pour retrouver mes repères et analyser correctement la situation. Ma meilleure amie était dans sa chambre au pensionnat. Elle portait un top moulant, une jupe bien trop courte à mon goût, des collants qui soulignaient parfaitement ses longues jambes et des escarpins. Elle ne cessait de faire des allés retours entre un tiroir à double fond de son armoire et un grand sac en cuir posé sur son lit. Au fur et à mesure, elle le remplissait de liasse de billets.

- C'est une très mauvaise idée, déclara alors une voix grave dans son dos.

Elle ne prit pas la peine de se retourner pour répondre à Jason.

- C'est la seule qu'on ait eu depuis que Savannah est partie. Il fallait que quelqu'un nous aide, c'est tout.

La voix de ma meilleure amie était pleine d'assurance, mais moi je savais que son coeur battait légèrement plus vite que d'habitude et que ses mains étaient moites. Elle referma le sac une fois qu'il fût plein et se rapprocha de son miroir pour se maquiller. Pour qui faisait-elle tout ça au juste ?

- Et tu ne pouvais pas demander à quelqu'un d'autre ? insista Jason que j'aperçus dans le reflet du miroir, les sourcils froncés et les bras croisés sur la poitrine.

Lizzy leva les yeux au ciel.

- Je ne vois vraiment pas qui d'autre pourrait nous fournir les informations dont nous avons besoin.

- Pourquoi pas Alexander ? Je suis sûr qu'il se débrouille bien en informatique.

Jason avait tout à raison sur ce point. En revanche, Lizzy semblait d'un autre avis.

- Ce serait bien trop dangereux et bien trop long. C'était sympa de sa part de venir se présenter l'autre jour, mais je crois sincèrement que ça s'arrête là. Il ne doit rien à Savannah, je vois pas pourquoi il prendrait le risque de nous aider. Et puis je ne suis même pas certaine de lui faire confiance, conclut-elle d'un ton dur.

Ses cils étaient maintenant parfaitement relevés et ses lèvres étaient mises en valeur pour un rouge à lèvre sang. Je ne savais pas encore ce qu'elle avait en tête, mais tout comme mon meilleur ami, je sentais déjà que c'était une mauvaise idée. De plus, je ressentis un léger pincement au coeur et constatant qu'elle était encore loin d'avoir une haute estime d'Alec.

- Savannah lui fait entièrement confiance, surenchérit Jason, moi ça me suffit.
Elle se tourna enfin vers lui.

- Mais on n'est pas Savannah. Qu'est-ce qui te prouve qu'il compte tenir sa promesse et veiller sur nous ? Et puis qui a dit qu'on avait besoin de sa protection ?

Je devinai au regard de Jason qu'il la trouvait vraiment ingrate et j'étais du même avis.

- Savannah l'a dit ! Est-ce que je dois te rappeler le nombre fois où il s'est avéré qu'elle avait raison lorsqu'elle disait qu'on était en danger ?

Lizzy baissa le regard, mais sa mâchoire ne se desserra pas.

- On verra bien. Pour l'instant on a d'autre chat à fouetter.

Elle alla enfiler son manteau en veillant à ne pas défaire ses boucles blondes, dépassant désormais la longueur de ses épaules. Jason posa sa main sur la sienne alors qu'elle attrapait les lances du sac rempli d'argent. Son regard était chargé d'inquiétude.

- Tu n'es pas obligée de faire ça, soupira-t-il presque en la suppliant de renoncer.

Elle le regarda droit dans les yeux sans la moindre peur de flancher.

- On en a déjà parlé J. Un marché est un marché. J'ai déjà donné ma parole.

Jason recula et passa ses mains sur son visage avec fatigue.

- Parce que tu crois qu'il va respecter la sienne ? Tu as passé un marché avec le diable !

Lizzy ne put s'empêcher de rire, trouvant certainement cette appélation absurde.

- Avec Kyle Jackson ! C'est différent !

Mon propre corps se pétrifia depuis la Corse. Kyle. Mon imbécile d'ex égoïste et opportuniste. Certes il m'était déjà arrivé de passer un marché avec lui également pour obtenir des informations que seuls un bon hacker pouvait m'obtenir, mais j'étais loin de le considérer fiable.

- À peine ! insista de nouveau Jason.

- Ça suffit ! s'impatienta Lizzy. On y va.

Ils quittèrent ainsi sa chambre, puis le dortoir, jusqu'à une sublime Range Rover noire les attendant aux grilles du pensionnat.

Faites qu'ils ne les laissent pas sortir.

Lizzy leur tendit une feuille, probablement une autorisation de sortie, puis elle monta à la place du conducteur.

C'est une blague !?

Jason ne tarda pas à s'installer sur le siège passager et deux autres Soleil s'assirent à l'arrière. Moins d'une minute plus tard, ils étaient en route pour je ne savais même pas où. Il fallait que je trouvasse un moyen de les arrêter.

- Savannah ? m'appela-t-on alors.

Bêtement, je crus un instant que Lizzy avait conscience de ma présence et qu'elle s'adressait à moi, mais je savais pertinemment que ses lèvres n'avaient pas bougé et que ses yeux étaient toujours fixés sur la route. La voix provenait bien du lieu où mon corps se trouvait réellement : la cuisine des Scandola.

- Savannah, tout va bien ? Ça fait bien quinze minutes que tu es partie chercher le pop corn...

Comme pour les fois précédentes, rester consciente à la fois dans le corps de Lizzy et le mien était une vraie épreuve. C'était comme vivre deux vies à des kilomètres de distance en même temps, c'était comme avoir deux et un seul corps à la fois.

- Savannah ? Tes yeux...

Je m'efforçai de me concentrer sur moi-même, et progressivement, je fus capable de discerner ce qu'il se passait autour de moi. J'étais toujours dans la cuisine des Scandola, pétrifiée, le paquet de pop corn renversé à mes pieds, faisant face à une Laura plus qu'inquiète, bientôt rejointe par Paul.

- Que se passe-t-il ? demanda ce dernier en me découvrant ainsi.

- Euh...Jeremy m'avait dit que ça pourrait arrivé mais je ne pensais pas... c'est...euh je crois qu'elle partage une sorte de lien avec une autre fille encore au Minnesota, Jeremy n'a pas donné beaucoup de détail, je sais juste qu'elle peut la voir à distance, bafouilla Laura.

Ils échangèrent tous les deux un regard perplexe avant de reporter leur attention sur moi.

- Savannah, tu nous entends ?

- Il faut que je les arrête, répondis-je instinctivement.

- Qui ça ?

- Elle est en danger.

Laura posa ses mains sur mes épaules et chercha mon regard derrière les flammes.

- Savannah... Tu peux nous parler.

Ils ne pouvaient pas comprendre. Il ne pouvait rien faire pour moi. Et je ne pouvais rien faire non plus. Mais quelqu'un pouvait.

- Alec.

- Qui est Alec ? insista Paul.

Je repoussai les mains de Laura et me précipitai dans les escaliers. Je montai les marches deux par deux au risque de tomber, n'étant pas encore parfaitement équilibrée entre le corps de Lizzy et le mien, mais je parvins à atteindre la chambre de mon ancien mentor sans problème. Je me jetai sur le tiroir de sa table de chevet, le fis complètement sortir du meuble et renversai son contenu sur le lit. Pas de téléphone. J'allai donc ouvrir l'armoire et jetai tous les vêtements qui s'y trouvaient à la recherche du seul objet qui pourrait me permettre de le joindre. Je priai pour qu'il ne l'eût pas emmener avec lui à Propriano, il n'en avait pas besoin pour une petite soirée en amis.

Je passai aux tiroirs de la commode et comme pour les précédents, je les renversai entièrement. Je trouvai des lettres, des calpins, des cadres photos, des livres, même une petite boîte avec une plaque d'identité militaire, mais toujours de pas téléphone. La colère et le désespoir commençait à me gagner. Lorsque Laura et Paul débarquèrent dans la pièce, une expression de pure stupeur s'imprima sur leur visage.

- Mon Dieu...

- Où est-il ? demandai alors d'un ton dur.

Ils me dévisagèrent complètement bouche-bée. Stella arriva sur le palier, tout aussi choquée.

- Le téléphone ! Où est-il ? haussai-je encore davantage le ton.

Laura se ressaisit.

- Quel téléphone ? Celui de Jeremy ? Je pense qu'il l'a emmené, je peux l'appeler si tu veux.

- Pas le sien, le mien ! Je suis sûre qu'il l'a caché ici !

- Je...je ne sais vraiment pas de quoi tu parles, désolée, je...

Je grognai avec frustation et les poussai pour pouvoir redescendre. J'ouvris d'un grand geste la baie vitrée et sortis dans le jardin à grands pas. J'avais besoin d'air frais et de réfléchir. Seul mon téléphone était suffisamment cripté pour pouvoir joindre Alec sans trop de risques, mais bien sûr l'autre enfoiré l'avait bien caché. Le sien ne servirait à rien et même si je l'appelais pour lui expliquer la situation, il ne saurait expliquer à Alec ce qu'il se passait parce que j'étais celle dans le corps de Lizzy, j'étais celle qui voyait et entendait tout ce qu'il se passait autour d'elle et même moi j'ignorais encore où elle allait et qui elle devait rencontrer.

J'inspirai et expirai profondément, mais je peinais à retrouver mon calme. Au moins, Jason était avec Lizzy, il la protègerait aussi bien que je le ferais. Néanmoins, il ignorait une chose lui aussi : si Lizzy mourait, je mourais. Et je refusais de mourir à cause de Kyle Jackson et seule dans un trou paumé en Corse.

J'entendis vaguement des voix hausser le ton depuis la maison, mais je les ignorai et redonnai toute mon attention à ma meilleure amie.

- Laisse-moi au moins venir avec toi, tentait Jason.

Parce qu'en plus elle y va seule !?

Elle secoua vivement la tête.

- Ils ne me laisseront jamais entrer avec un Soleil, mais ne t'inquiète pas, je ne quitterai pas mon téléphone et tu recevras l'alerte en cas de problème.

Lizzy avait déjà utilisé ce système une fois avec Jeremy, et certes cela avait marché, mais cette fois-ci c'était loin d'être suffisant. Dix minutes plus tard, ils se garèrent sur le parking d'une résidence de banlieue. De nouveau, ma meilleure amie garda la tête haute mais son coeur battait de plus en plus fort dans sa poitrine. Elle se tourna vers Jason.

- Tout va bien se passer.

Sur ce, elle descendit de la voiture, le sac à la main. Ses talons aiguilles résonnaient contre le béton, complétant sa démarche pleine d'assurance. Habillée et maquillée comme elle l'était, n'importe quel homme aurait été à ses pieds. Mais était-ce vraiment une bonne chose actuellement ?

Elle monta dans l'ascenseur et appuya sur le bouton du cinquième étage. Elle retoucha rapidement ses cheveux et son maquillage devant le miroir, avant de déboucher sur un palier au papier-peint décrépit et l'éclairage faible. Ma propre gorge se serra et je commençai à gratter mon poignet. Comment cela se faisait-il que je fusse encore plus nerveuse qu'elle ? J'ignorais encore qui elle était censée payer, mais je pouvais déjà sentir l'odeur d'alcool et d'herbe depuis le couloir.

Lizzy sonna à la porte. Des pas lourds ne tardèrent pas à se faire entendre et après qu'un nombre étonnant de verrous se dévérouillassent, la porte s'ouvrit. Ma meilleure amie retint son souffle une seconde. Un homme noir, grand et musclé se tenait devant elle, une expression sévère, si ce n'était aggressive, sur le visage. Il était entièrement vêtu de noir avec seulement une grosse chaîne en or comme accessoir. Enfin presque. Lizzy ne savait pas comment repérer ce genre ce chose, mais il m'était facile de deviner la forme d'une arme où que ce fût sur quelqu'un. Et cet homme en portait une.

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Hey ! Je n'ai pas pu publier ce week-end à cause de révisions intenses pour un examen blanc qui est maintenant enfin passé, alors j'en profite pour vous donner non pas un mais deux chapitres aujourd'hui 😉
À votre avis, dans quoi s'est embarquée Lizzy ?
À bientôt 😘

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