Le sang brûlant
Martèle contre mes tempes
La pression ne cesse d'augmenter
A mesure que les minutes défile

Mon coeur s'emballe
Le temps s'arrête
Mais la vision de ton corps
Ne cesse de me hanter

Tu es nue
Étendu sur le sol
Gisant dans ton propre sang
Le visage crispé de terreur

Je te vois au loin
Dans ton voile blanc
Tu es partie
Pour toujours peux être