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Vingt-cinquième chapitre.

Précédemment : Lucie et Harry ont eu leur première heure de colle avec Ombrage. Durant cette heure, Lucie a senti la colère montée en elle ; colère qu'elle n'a pas su contrôler, et la jeune fille a donc sans le vouloir commencer à recouvrir le sol de glace. Heureusement, l'arrivée de McGonagall et Logan a empêché Lucie d'aller trop loin, et la jeune fille est sortie de la pièce après que McGonagall ait prétendu que le directeur Dumbledore souhaitait la voir.

*** *** *** *** ***

— Que s'est-il passé ?

Lucie soupira, et s'assit sur la chaise en face du bureau de McGonagall, tenant fermement sa main gauche meurtrie avec sa main droite. La douleur était intense, la jeune fille avait l'impression que sa peau était en train d'être chauffée à blanc. Logan était assis à côté d'elle, l'air inquiet.

— J'ai perdu le contrôle, avoua Lucie dans un souffle, sans oser regarder le professeur McGonagall dans les yeux.

La jeune fille n'allait pas l'avouer à voix haute, mais elle était soulagée que Logan et sa directrice de maison soient arrivés à temps pour empêcher la situation de dégénérer. Enfin, surtout à Logan. Il avait dû sentir qu'elle s'emportait, et était aussi allé prévenir McGonagall.

— Lucie, vous devez faire très attention, lui expliqua cette dernière, l'air très sérieuse. Le professeur Ombrage a été envoyé ici par le ministère pour surveiller toutes activités suspectes à Poudlard. Si la situation avait dégénéré tout à l'heure, je n'aurai rien pu faire pour vous. Heureusement, Mr Morell est allé me prévenir immédiatement que quelque chose n'allait pas.

Lucie tourna la tête vers ce dernier et lui sourit légèrement, sourire qu'il lui rendit aussitôt. Il posa sa main sur le genou de la jeune fille dans un geste réconfortant, puis il remarqua sa main blessée. Il fronça les sourcils.

— Qu'est-ce que tu as à la main ? lui demanda-t-il, soucieux.

Lucie hésita un instant, avant de lever sa main ensanglantée à la vue de son ami et de son professeur. McGonagall pinça les lèvres en fronçant les sourcils lorsqu'elle aperçut la blessure de son élève.

— C'est pour ça que tu t'es emportée ? lui demanda Logan.

— Je... je suis vraiment désolée, souffla Lucie, l'air coupable.

— Ne le soyez pas Miss Jones, intervint alors McGonagall, qui paraissait dans une soudaine colère. Quand je pense qu'elle vous a infligé ça, à vous et à Potter...

McGonagall jura un instant dans sa barbe, surprenant ainsi Lucie. Jamais, elle n'avait vu sa directrice de maison autant en colère contre quelqu'un.

— Je ne sais pas si je pourrais me contrôler la prochaine fois, professeur, avoua finalement Lucie après une hésitation. S'il y à Logan ou Allison, oui, mais sinon...

— Je vois.

McGonagall ouvrit alors un tiroir de son bureau, et elle en sortit deux gants en cuir noir que Lucie connaissait parfaitement. Le professeur les tendit ensuite à la jeune fille qui les prit sans rien dire.

— Vous ne devez pas vous faire remarquer, lui dit fermement McGonagall. Ces gants vous aideront à ne pas attirer l'attention.

Lucie pinça les lèvres. C'étaient les gants qu'on lui avait donné lors de sa première année à Poudlard. Ils fonctionnaient, de sortes à bloquer ses pouvoirs, et à ainsi stopper tout risque qu'elle perde le contrôle. Elle n'en avait normalement plus besoin, mais après ce qu'il venait de se passer avec Ombrage... mieux valait-il qu'elle les garde avec elle.

— Merci, souffla Lucie.

— Et vous devriez passer à l'infirmerie, ajouta le professeur McGonagall. Madame Pomfresh arrangera votre blessure.

Lucie acquiesça, et sentant qu'il était temps pour elle de partir, elle se leva aussitôt, serrant fort ses gants dans sa main droite. Logan l'imita, et ouvrit la porte du bureau de McGonagall, prêt à sortir.

— Mais, madame, appela alors Lucie en se retournant vers cette dernière. Le professeur Dumbledore ne voulait-il pas me voir ?

— Oh, non, répondit le professeur McGonagall. Je l'ai simplement dit pour que le professeur Ombrage vous laisse partir.

Lucie esquissa un sourire, et sortit de la pièce à la suite du Logan. Ils prirent alors silencieusement le chemin jusqu'à l'infirmerie, la jeune fille faisait tout son possible pour dissimuler sa main blessée aux yeux des élèves qu'ils croisaient.

— Tu as mal ? finit par lui demander Logan au bout d'un moment.

— Oui. Ça brûle, répondit-elle avec un soupir.

— Tu sais, je crois que je le ressens aussi, avoua Logan en secouant sa main gauche avec une grimace.

— Qu'est-ce que tu veux dire ?

— Ce que je veux dire c'est que, je ressens aussi ta douleur, en ce moment, à la main. Je ne suis pas allé chercher McGonagall simplement parce que tu étais en colère – après tout, c'était normal, tu étais en heure de colle avec Ombrage – mais je suis allée la voir parce que j'ai commencé à ressentir des sortes de brûlures dans ma main, ça faisait atrocement mal. Quand j'ai vu que je n'avais rien, c'était forcément toi à qui ça arrivait.

— Ça me fait penser au début des vacances, lorsque Allison s'était fait attaquée, tu te souviens ? lui demanda Lucie en fronçant les sourcils, réfléchissant. On a ressenti toutes ses blessures. Ça faisait mal.

— Plus que ce que tu as, je dois avouer.

Lucie eut un petit sourire et acquiesça de la tête.

— Oui. J'espère que je ne vais pas avoir de cicatrice. Sirius tuerait Ombrage pour avoir fait ça à sa fille et son filleul.

— Sans oublier Remus, lui rappela Logan avec un sourire. Il a beau être très calme, tu es aussi sa filleule. Et je ne suis pas sûr qu'il aimerait la façon dont elle te traite. Ni Newton, d'ailleurs.

Le sourire de Lucie s'agrandit, alors qu'elle s'imaginait Sirius, Remus et Newton en train de confronter le professeur Ombrage et lui crier dessus pour la façon dont elle les traitaient, elle et Harry.

— Tu as de la chance de les avoir, lui dit Logan d'une voix douce. Ils se soucient vraiment de toi.

— J'ai de la chance de tous les avoir, ajouta Lucie avec un sourire. Hermione, Ron, Ginny, Fred, George... Et j'ai de la chance de t'avoir toi aussi, Logan. Tu es un bon ami.

A ses mots, Logan ne put s'empêcher de sourire, et ses yeux se mirent à briller.

— Je sais que parfois, tu ne me supportes pas, dit-il avec un sourire en coin.

— Eh bien je te dirai qu'il y a toujours des moments où on ne supporte pas ses amis. Ça ne veut pas dire qu'on ne les aime pas pour autant.

Logan sourit, prit une inspiration, et s'apprêta à dire quelque chose, mais il fut coupé par une voix familière devant eux.

— Tiens, Lucie, Logan, ça va ?

Ces derniers levèrent la tête d'un même mouvement et Lucie ne put s'empêcher de sourire en voyant les jumeaux Weasley devant eux. Elle s'empressa de dissimuler sa main blessée en tirant sur les manches de sa robe et leur sourit. Lorsque les jumeaux arrivèrent à leur niveau, Lucie ne put s'empêcher de remarquer que Fred lançait un regard suspicieux à Logan, qui ne le vit pas – ou fit semblant de ne pas le voir.

— Salut, leur répondit Lucie avec un sourire. Qu'est-ce que vous faites là ? Vous n'êtes pas dans la salle commune ?

— La question, c'est plutôt qu'est-ce que toi tu fais là, répliqua Fred en haussant un sourcil. Tu n'étais pas censée être collée avec Harry, toi ?

— En fait, si. J'étais en heure de colle avec Ombrage, mais ça a quelques peu... eh bien... dégénéré.

— Qu'est-ce que tu veux dire ? demanda George, curieux.

— Je me suis emportée et donc... je... je...

Lucie échangea un regard avec Logan, lui demandant silencieusement de l'aide. Ni Fred, ni George, n'étaient au courant qu'elle était une enfant élémentaire, et si elle leur disait qu'elle avait failli recouvrir tout le bureau de Ombrage de glace, ils allaient finir par se poser des questions.

— On a compris, c'est bon, l'interrompit George en levant les yeux au ciel. Encore un truc que tu ne peux pas nous dire.

— Je suis désolée, je...

— Laisse tomber, c'est pas grave, la coupa Fred avec un soupir. Où est-ce que vous alliez ?

— A l'infirmerie, répondit cette fois Logan.

Fred lui jeta un bref coup d'œil, avant de regarder de nouveau Lucie en fronçant les sourcils.

— Pourquoi ? Tu vas bien ? lui demanda-t-il inquiet.

Lucie hésita un court instant, avant de leur montrer sa main gauche, dont les mots je ne dois pas dire de mensonges étaient toujours imprimés dans la chair. Le sang avait séché, mais ça faisait toujours aussi mal. A la vue de sa blessure, Fred et George écarquillèrent les yeux :

— Qu'est-ce que c'est que ce truc ?! s'écria Fred, ahuri.

— C'était le début de mon heure de colle avec Ombrage, répondit Lucie. Et encore, je n'ai copié que trois lignes, la main de Harry doit être bien pire. En plus, elle nous a collé toute la semaine.

— McGonagall n'a rien dit ?!

— Pas vraiment. Mais je crois qu'elle va aller parler à Ombrage.

— Tu devrais en parler à Sirius et à Remus, lui dit George, l'air inquiet pour elle. Et Dumbledore devrait être mis au courant. C'est quel genre d'heures de colles, ça ?!

— Non ! répliqua aussitôt Lucie. Sirius et Remus ont assez à penser, je ne veux pas plus les inquiéter... Sirius serait capable de venir ici juste pour botter les fesses d'Ombrage.

— Et tu devrais le laisser faire, déclara Fred avec un sourire. Sérieusement, c'est de la torture ce qu'elle te fait là.

— Juste... ne le dites pas, d'accord ? Même pas à vos parents, ou ils le diront à Remus et Sirius et je ne veux pas qu'ils s'inquiètent. D'accord ?

Fred et George échangèrent un regard, puis soupirèrent.

— D'accord, déclarèrent-ils d'une même voix.

— Merci.

— Tu as besoin qu'on t'accompagne à l'infirmerie ? lui demanda Fred.

— Je m'en occupe déjà, répondit aussi Logan.

Ces deux derniers se regardèrent un instant dans les yeux, et Lucie ne comprit pas vraiment pourquoi ils semblaient se défier du regard.

— On va y aller, d'ailleurs, déclara Lucie en empoignant Logan par la manche pour lui faire signe d'avancer. Et, encore désolée de ne pas pouvoir vous dire ce qu'il s'est passé dans le bureau d'Ombrage...

George balaya ses excuses d'un geste de la main.

— Laisse tomber, Lucie. On est habitués maintenant.

George lui sourit une dernière fois, et se remit à marcher vers la direction qu'il avait emprunté auparavant. Fred s'apprêtait à le suivre, mais il s'arrêta au dernier moment et se tourna vers Lucie. Il sembla hésiter un instant, mais prit finalement la parole :

— T'as de la chance que je sois amoureux de toi, ou je t'en aurais vraiment voulu pour me cacher autant de choses.

Puis sur ses paroles, il suivit son frère, laissant Lucie plantée dans le couloir, bouche bée, et rouge pivoine, tandis que Logan le regardait partir avec un regard noir.

*** *** *** *** ***

Attendez. Est-ce que c'est vraiment arrivé ? Est-ce que je viens vraiment de ne pas poster pendant un mois alors que je n'ai AUCUNE excuses ? Je crois que oui totalement. Je ne sais même pas comment ça se fait que je n'ai pas posté, en sachant que tous mes chapitres sont écrits en avance.

D'ailleurs, vous pouvez remercier Elstiles qui m'a mis la pression pour que je publie, sinon je crois que je ne l'aurais pas fait.

Quoiqu'il en soit, voici le nouveau chapitre et j'espère qu'il vous plaît bien ! Bon, je pense que toutes celles qui supportent le couple Lucie/Fred sont ravies, alors qu'en pensez vous ?

Merci de lire mon histoire !
Bonne soirée.

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