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CHAPITRE XXVI

Finalement j'étais restée un peu plus longtemps chez moi que ce que j'avais prévu. Je pensais que je partirais dès que je saurais où était ma mère, mais j'avais décidé de me laisser la nuit pour me préparer. Après tout j'allais lui avouer une chose terrible voire deux avec la mort de Hibiki. Je savais que ça allait lui faire du mal et je devais me faire à l'idée qu'elle allait m'en vouloir. J'espérais juste que ça lui passera et qu'elle accepte enfin la vérité ce qui, au début, ne serait pas une chose facile. Mais je ferais face et ne me laisserai pas démonter, mon père avait confiance en moi.

Alors une fois que j'avais raccroché avec Igneel, j'avais passé ma soirée à chercher ce que j'allais lui dire mais surtout comment j'allais le lui dire. J'arrivais même à la voir passer d'un état à l'autre, pour finir par fondre en larme ou bien dans une colère noir en me repoussant. Elle serait dans un sale état à la fin de notre conversation, mais je savais que je serais bien pire qu'elle. Et nous serions toutes les deux seules avec notre chagrin. J'espérais au moins que je pourrais avoir Natsu au téléphone afin qu'il me donne le courage de me battre.

D'ailleurs je n'avais pas de nouvelle depuis hier soir. Après ma conversation avec son père, j'avais tenté de le joindre pour voir s'il était bien arrivé mais il n'avait pas répondu. Peut-être qu'il ne voulait pas prendre de risque au cas où j'aurais été mise sur écoute, mais j'aurais quand même aimé qu'il me prévienne. Il m'avait pourtant promit qu'il appellerait tous les jours, il ne pouvait pas mettre son oubli sur le compte du décalage horaire car il était seulement parti dans le sud de la France. Il avait intérêt à avoir une bonne excuse.

Je ramenai mes cheveux sur mon épaule et reposai les mains sur le volant en soupirant. Moi qui croyais que j'allais devoir parcourir tous le pays pour retrouver ma mère, je fus surprise qu'elle soit en réalité sur Londres. Elle logeai avec Maggie dans l'ancienne maison de Igneel. Il ne me fallut qu'une dizaine de minutes pour arriver jusqu'à là bas. Je me stoppai sur le trottoir d'en face et observai la maison en me mordillant la lèvre. Sting, qui m'accompagnerait dans chacun de mes déplaces, sauf en cas d'imprévu de sa part, posa une main sur mon épaule en guise de soutien.

Je me retournai pour le regarder et souris faiblement. Je me passai une main dans les cheveux et pris mon téléphone, qui était sur le tableau de bord. Toujours aucune message de Natsu. Je composai son numéro mais je tombai directement sur sa messagerie, puis je soupirai en raccrochant. Je commençai vraiment à me faire de soucis pour lui et j'imaginai un tas de choses qui aurait pu lui arriver. Mais je me forçai à ne plus y penser pour le moment et à me concentrer sur ma mère. Parce que je savais que je me faisais des films, Natsu allait très bien. Mais j'étais si nerveuse pour cette conversation que je me faisais un sang d'encre pour un rien.

Je savais qu'il fallait y aller et pourtant au lieu d'être contente de retrouver ma mère, je traînais les pieds jusqu'à la porte. Pas que je n'étais pas contente de la voir, au contraire, mais j'avais peur de cette conversation. Une fois arrivés devant la porte, Sting me prit dans ses bras musclés et rassurant pour me souhaiter un bon courage. Il m'informa qu'il m'attendait juste ici et que si j'avais besoin de lui, il me suffirait de crier son nom. Et je savais que c'était vrai. Je l'embrassai sur la joue puis je toquai à la porte, pendant qu'il se poussa sur le côté et s'appuya contre le mur.

Je n'eus pas à attendre bien longtemps, Maggie m'ouvrit et me fit vite entrer. Elle adressa un sourire polie à Sting et le fit également entrer dans la maison, en lui disant qu'il pouvait attendre avec elle dans la cuisine. Elle me prit ensuite dans ses bras puis me demanda de la suivre. Je jetai un coup d'œil vers Sting qui me lança un sourire d'encouragement, puis je suivis Maggie qui, accrochée à mon bras, me tirait avec elle jusqu'au petit salon au fond du couloir. Elle me laissa devant la porte et repartit aussi vite qu'elle nous avait conduit jusque ici.

À travers la porte entre-ouverte, je pouvais la voir debout devant la fenêtre, le regard perdu dehors, les bras serrés autour d'elle. Elle avait un visage triste et ne cessait de regarder son téléphone, sûrement dans l'attente d'un appel son Hibiki. Je déglutis et pendant un instant j'eus envie de faire demi tour et de la laisser tranquille pour lui éviter de souffrir. Mais une image de mon père me vint en tête et me fit changer d'avis. Il fallait que je le fasse parce que c'était ma mère et non celle d'un autre. Je devais rétablir la vérité et même nous allions subir toutes les deux les conséquences, tout s'arrangerait par la suite.

Je poussai doucement la porte en toquant doucement. Elle tourna vivement la tête vers moi et fronça les sourcils en me voyant là devant elle. Je refermai la porte derrière et tout d'un coup j'avais l'impression de redevenir une petite fille. Je me mordillai la lèvre, j'avais les mains derrière mon dos et je me balançai d'un pied à l'autre, comme une enfant qui aurait fait une bêtise. Elle se tourna complètement vers moi toujours cette expression perplexe sur le visage. Je pris une grande inspiration et m'avançai pour m'asseoir sur le canapé.

- Pourquoi tu es là ?
- Je... Je suis venue voir comment tu allais...
- Mon fils est introuvable et on me séquestre ici. Fit-elle d'une voix froide.
- C'est pour te protéger, c'est tout.
- Me protéger de quoi !? S'écria-t-elle en levant les bras. Et pourquoi tu me tutoies d'abord ? Je ne pense pas t'en avoir donné la permission !
- Ça ne te dérangeait pas avant...
- Avant quoi ?
- Ton accident. Elle se figea en reculant, puis elle secoua la tête.
- Sais-tu où est mon fils ?
- C'est de lui qu'on te protège.
- C'est insensé !
- C'est pourtant la vérité. Je soupirai. Il faut que je t'avoue quelque chose. Elle me regarda en plissant un peu les yeux. Hibiki il...
- Il quoi ?
- Il... n'était pas ton fils, il a menti pour pouvoir se rapprocher de toi.
- Tu mens.
- Non, il a mentit tout ce temps et te faisait croire que tu étais sa mère.
- Pourquoi il aurait fait une chose pareille ?
- Parce qu'il était comme ça et qu'il voulait m'atteindre à travers toi. Je passai une main dans mes cheveux. Asseyes-toi je vais tout t'expliquer.
- Je préfère rester debout.
- S'il te plaît... Soufflai-je mais elle resta debout. Très bien. Soupirai-je.

Je commençai mon récit au moment où mon père était décédé et le rôle que Hibiki avait jouer. Je n'oubliais aucun détail sur l'enfer qu'il m'avait fait vivre pendant presque une année entière, ni comment il était devenu complètement fou en apprenant que je m'étais épris de son cousin. La seule chose que je ne mentionnai pas pour le moment, était le fait qu'elle était en réalité ma mère. Il fallait d'abord qu'elle sache à quel point Hibiki était un monstre. Je lui disais même ce qu'il s'était passé il y a quelques jours. Sans dire qu'il était décédé. Je ne voulais pas trop la brusquer en lui apportant trop d'information d'un seul coup.

Mais son manque de réaction commençait à m'inquiéter un peu. Soit elle était bien trop choquée pour réagir, soit elle ne croyait pas un mot de ce que je pouvais raconter. J'optai plutôt pour la seconde option car à mesure que je parlais, son regard se fit plus dur et plus froid. Je ne l'avais jamais vu comme ça et je me demandai si je pourrais un jour la récupérer. Peut-être Hibiki avait été trop longtemps proche d'elle et que son venin était trop ancré en elle. Je ne savais pas, mais ça allait être encore plus difficile que ce que j'aurais imaginé.

Je terminai mon récit et elle demeura toujours aussi impassible. Les bras croisés sur sa poitrine, ses yeux aussi froid que les glaciers d'Antarctique, j'attendais simplement qu'elle explose. Parce que c'était ce qu'elle allait faire. J'avais vécu assez de chose pour savoir qu'elle aurait les mêmes réactions que moi. Et c'était ce que j'aurais fais si une fille sortie de nulle part serait venue me raconter tout un tas de chose délirante sur Natsu. Elle décroisa les bras et serra les poings le long de son corps.

- Sors d'ici. Dit-elle froidement ce qui me fit frisonner.
- Tu dois me croire ma...
- Dehors ! Hurla-t-elle. Va-t'en et arrêtes de raconter n'importe quoi à propos de mon fils ! Tu es complètement folle ! Laisse-moi rentrer chez moi espèce de folle !
- Je partirais pas d'ici. Je me levai avec tout le courage qui me restait pour répondre à ma mère. Je refuse de quitter cette maison tant que tu n'auras pas accepter la vérité ! Je ne t'ai pas menti et je ne me permettrai jamais de le faire !
- Sors d'ici tout de suite ou j'appelle la police.
- Et bien fais-le ! La maison est à un ami à moi.
- Très bien alors c'est moi qui part ! Je vais aller retrouver mon fils moi-même.
- Il... Je soupirai et levai les yeux au ciel pour trouver le courage de lui dire. Hibiki, il... Il est mort, je suis désolée.

J'avais enfin droit à une réaction de sa part. Malheureusement ce n'était pas celle qui je souhaitais. Son visage se décomposa et ses yeux commencèrent à s'humidifier. Puis son visage se contracta et irradia de colère. Colère qui était toute dirigée vers moi. Elle commença par hurler comme si on venait de lui arracher le cœur à main nue. Elle jeta son téléphone contre le mur et se dirigea vers moi. Je sentis un bras entourer ma taille et en une fraction de seconde, je me retrouvai le visage plaqué contre le torse de Jellal, pendant que Sting et Gajeel essayèrent de retenir ma mère.

- C'est toi ! C'est toi qui l'a tué ! Hurla-t-elle et je me mise à pleurer dans les bras de Jellal. Tu as tué mon fils ! Tu as tué mon petit garçon ! Tu as tué mon garçon !

Ils réussirent tant bien que mal à la sortir de la pièce alors je pleurais toutes les larmes de mon corps dans les bras de Jellal. Il me serra plus fortement dans ses bras en me caressant doucement le dos, puis il nous fit asseoir sur le canapé. Tout ce que j'avais pu imaginer n'était pas aussi dur que ça. Je serrai le t-shirt de Jellal dans mon poing et pleurai tellement fort que je peinai à retrouver ma respiration. Il fit de son mieux pour me calmer, mais il n'y arrivait pas. Rien n'était susceptible de me calmer même un peu. Voyant qu'il n'arrivait à rien, Jellal me laissa pleurer tout mon saoul, me secouant juste un peu ou me tapant dans le dos quand je n'arrivais pas à reprendre ma respiration.

J'entendis vaguement les garçons se parler mais à travers mes sanglots, je ne distinguais rien. Je perçus pourtant un grognement de frustration avec ce qu'il me semble, les mots, « Il répond pas ! » mais je n'étais pas sûre. Au bout d'un long moment, mes pleurs finirent par se calmer mais j'étais toujours secouée de quelques spasmes. Jellal me caressa tendrement les cheveux et je relevai la tête pour le regarder. Il me sourit tendrement et passa une mèche de mes cheveux derrière mon oreille avant d'essuyer mes joues.

- Je suis désolé que ça ce soit passé comme ça. Je hochai la tête.
- Qu'es... Qu'est-ce qu..que vous f..faite là ? Suffoquai-je en les regardant.
- On voulait juste être là au cas où et on a bien fait. Me dit Gajeel en s'asseyant sur la table basse face à moi. En plus on voulait aller voir Grey après, comme ça on y va tous ensemble. Il me tendit un mouchoir.
- Mer...Merci.
- Autant que tu le saches, on lui a injecté un calmant pour la faire dormir. C'était ça où elle faisait une méchante crise et c'était pas bon pour elle. M'informa Sting.
- Elle risque rien ?
- Non t'inquiète pas, c'est une petite dose. Maggie s'occupe d'elle de toute façon.
- Elle me déteste...
- Elle est encore sous le choc Lucy. Laisse-la digérer tout ce que tu lui as dit. Me dit Jellal en me caressant la tête.
- Tu lui as dis qui tu étais ? Questionna Sting et je secouai la tête.
- Non, je n'ai pas pu. C'était déjà difficile de la voir me regarder comme si j'étais un être méprisant... Je sais pas comment je vais faire.
- Laisse faire le temps, c'est la meilleure des solutions.
- J'ai pris ça en plus. Dit Sting en me montrant mon album photo. Elle pourra le consulter quand elle se sera remise du choc et elle te contactera tu verras.
- J'espère que vous avez raison. Vous avez des nouvelles de Natsu ?
- Non aucune. Répliqua Gajeel et il se passa la main dans les cheveux. On a essayé de l'appeler pendant ta crise mais il a pas répondu.
- Je commence à me faire du soucis pour lui.
- Appelle Igneel tu verras ce qu'il te dit. Je hochai la tête.
- Ouais je vais faire ça. Je les regardai tous. Merci d'être là.
- C'est normal ma belle.
- Je ne vous le dirais jamais assez, mais je vous aime vraiment.
- Arrête tu deviens trop sentimentale là ! Fit Sting et je ris.
- Nous aussi on t'aime énormément, sinon on ne serait pas là. De plus tu fais le bonheur de notre meilleur ami, on ne peut que t'aimer. Dit Jellal en me serrant dans ses bras.
- Tu vas vraiment me faire pleurer. Dis-je la voix tremblante à cause de l'émotion et ils rient.
- Bon si on allait voir notre infirme préféré ! Ironisa Sting.

Je pris une grande inspiration et me levai du canapé. Nous sortîmes tous les quatre du salon et une fois devant l'escalier je me stoppai pour regarder en haut. D'un pas hésitant, je montai doucement les marches pour rejoindre la chambre de ma mère. Je ne savais pas dans laquelle elle était, mais je continuai d'avancer dans le grand couloir, jusqu'à ce que j'entende la voix de Maggie fredonner une chanson. Je m'arrêtai sur le palier et après quelques secondes, je poussai doucement la porte et entrai dans la chambre.

Maggie s'arrêta de chanter et me regarda d'un air désolé. Je lui fis un léger sourire qui, je suis sûre, ressembla plus à un grimace qu'à autre chose. Lorsque je fus près d'elle, elle me toucha le bras et s'éloigna de quelques pas. Je regardai ma mère profondément endormie avec un pincement au cœur. Même si je savais qu'elle n'y était pour rien, je ne pus m'empêcher de penser que jamais nous ne pourrions retrouver tout ce que l'on avait perdu. Finalement Hibiki avait peut-être gagné. Il m'avait enlevé la seule famille qui me restait.

Je caressai ses cheveux aussi blonds que les miens, puis je me penchai pour embrasser sa joue encore humide. Je ne pus retenir mes larmes, mais je m'empressai de les essuyer en me redressant. Je lui murmurai que je l'aimais, puis avant que je ne m'effondre de nouveau, je sortis de la chambre et je descendis rejoindre les garçons qui m'attendaient en bas de l'escalier. Avant qu'ils n'aient pu dire un mot ou faire un geste dans ma direction, je passai près d'eux et sortis de la maison. Ils me suivirent et chacun récupéra sa voiture. Sting prit le volant de la mienne pendant que je m'installai côté passager.

Je sortis mon téléphone et essayai d'appeler Natsu mais je tombais sur la messagerie. J'appelai ensuite Igneel qui lui aussi était sur messagerie. Je soufflai et lui laissai un message un disant que je n'avais aucune nouvelle de Natsu et que j'aimerais qu'il me rappelle pour qu'on puisse parler. J'avais vraiment d'avoir des nouvelles de Natsu et le seul qui pourrait me renseigner c'était son père. J'espérais aussi qu'il pourrait m'appeler lui même dans les jours qui viennent, car j'avais désespérément besoin d'entendre le son de sa voix.

Nous arrivâmes à l'hôpital vingt minutes plus tard. Je toquai à la chambre de Grey et ouvrit la porte pour le voir en train d'essayer de se lever. Je me précipitai vers lui en le grondant et le fis s'asseoir sur le lit. Il grommela en disant qu'il en avait marre de rester dans ce lit mais se laissa faire. Je déposai un gros bisou sur sa joue, qui le fit sourire, puis je m'assis près de lui. Il me regarda quelques secondes en fronçant les sourcils puis me prit les mains.

- Vu ta tête je suppose que tu as vu ta mère ?
- Ouais...
- Elle va te revenir Lucy, fais moi confiance.
- Je sais, mais c'est dur. Vraiment dur. En plus je n'ai pas de nouvelles de Natsu..
- Toujours pas ?
- Non.
- Tu as appelé Igneel pour voir ?
- Je lui ai laissé un message pour qu'il me rappelle. J'espère qu'il en saura un peu plus.
- C'est évident. Il a du le surveiller.
- Comme il nous surveille. Dit Gajeel en soupirant. J'ai vu ses hommes.
- C'est aussi bien comme ça, avec tout ce qu'il se passe on est moins vigilent.
- Tu as peut-être raison mais ça m'énerve moi. Répliqua Sting en roulant des yeux. J'ai l'impression d'être un fugitif qu'on traque.
- Je sais, mais si Igneel estime qu'on doit être surveillé c'est qu'il a ses raisons.
- C'est quand même bizarre qu'il réapparaisse d'un coup comme ça et que déjà il nous mette sous surveillance comme ça. Remarqua Jellal.
- Pourquoi tu dis ça ? Tu le soupçonnes d'un truc ?
- Je ne sais pas...
- Mais non, il essaies juste de rattraper le temps perdu.
- Mouais.
- Où est Juvia ?
- Elle est rentrée prendre une douche et se changer. Je hochai la tête. Elle ne va pas tarder à revenir.

Je m'installai confortablement sur le lit, puis sur la demande de Grey, je lui racontai comment c'était passé la discussion avec ma mère. Bien sûr en y repensant je ne pus m'empêcher de pleurer, mais maintenant que c'était un peu passer, je commençai à reprendre espoir. J'espérais qu'elle regarderait l'album photo et qu'elle se rendrait compte que je n'ai fait que lui dire la vérité. Ça ne sera pas facile pour elle, comme ça ne l'est pas pour moi, mais je reprenais confiance à mesure que je passai du temps avec ces garçons. Ils me faisaient rire et me remontaient le moral alors qu'ils savaient que je n'allais pas très bien et surtout, que je me faisais du soucis pour Natsu. Mais ils s'efforçaient de me faire penser à autre chose et je leur en étais reconnaissante.

Juvia arriva une demi heure plus tard et je me jetai dans ses bras, avant de remarquer qu'elle était accompagnée de Erza, Lévy et son fils, mais aussi de ma cousine, que je n'avais pas vu depuis un moment. Yukino me sauta au cou et me serra aussi fort qu'elle le put et j'en fis autant. Ça me faisait du bien de la retrouver. Je lui murmurai que je l'aimais et que j'avais besoin de lui parler après. Elle hocha la tête et m'embrassa sur la joue, puis elle alla rejoindre Sting. Lévy s'avança en me souriant et m'embrassa sur la joue, Gabriel qui était dans ses bras me sourit et me tendit les bras. Je ne pouvais que craquer face à ce petit ange. Je le pris dans mes bras et je claquai des baisers bruyant sur sa joue ce qui le fit glousser.

Toute cette bonne humeur me fit chaud au cœur et je me sentis encore mieux. Je donnai Gabriel à Gajeel, qui se débattait pour aller voir son papa. Puis je m'adossai contre le mur et les regardai en souriant. Ils étaient vraiment adorable et surtout ils était presque identique. Je sentis mon téléphone vibrer dans ma poche et quand je lus le nom, mon cœur se mit à battre la chamade. J'ouvris le message et ce que j'y lu fis exploser mon cœur et je laissai couler les larmes le long de mes joues.

De Natsu:
Tout va bien mon ange ne t'inquiète. J'ai eu quelques soucis de téléphone mais maintenant c'est réglé. Je t'appelle dès que possible. Je t'aime bébé xx

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