Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

19

Jisung marchait dans la rue, il esquivait les corps, il esquivait les regards plein de compassion quand les passants observaient sa mine torturée, cernée, son corps trempé. Il ne savait même plus ce qu'il était capable de ressentir, la honte, c'était secondaire, tout à coup.

Quand il atteignit son bâtiment, il se sentit soulagé, mais pas assez pour laisser échapper ne serait-ce qu'une bribe de son contentement. Il passa mécaniquement son pass contre le capteur et escalada les marches, comme si son corps pesait des tonnes, c'était le cas, l'eau qui imbibait ses vêtement le faisait se sentir si lourd, il peinait à trouver la force nécessaire pour arriver au sommet de ces trois étages. Quand il attrapa sa clé pour la glisser dans la serrure, il remarqua ses tremblement compulsifs, il mourrait de froid, il était épuisé, il l'avait ignoré, mais seul ici, ça le frappait.

Il tenta de la glisser dans la fente, mais ses clés s'échappèrent, elles s'écroulèrent dans un bruit métallique au sol, et après les avoir observé une bonne dizaine de secondes, c'est ton son corps qui suivit. Il se laissa tomber sur ses genoux, il abandonna tout son poids, et à l'instant où il s'abandonna, ses larmes suivirent. Il plaqua ses deux mains sur son visage, comme s'il se cachait du monde, comme si c'était suffisant pour lui ôter la vue, lui ôter ses souvenirs les plus douloureux. Il n'y arrivait plus, fuir, se vider la tête, il n'en était plus capable, il était bel et bien là, et il souffrait, et il ne savait plus faire comme si ce n'était pas le cas.

Sa tête tournait, c'était comme s'il était soudainement assailli de tout ce qu'il avait ignoré. Demain, il allait se réveiller avec cette même douleur dans la poitrine, et le jour d'après encore, et ça, jusqu'à ce qu'on lui ôte la vie. Ou peut-être qu'il sera destiné à ressentir ça encore dans l'au-delà, comme Sisyphe, destiné à porter le poids de ses maux jusqu'à l'éternité. Les dieux l'avaient puni, et lui, il ne savait pas qui le punissait, mais il se demandait ce qu'il avait fait de si mal pour que la foudre s'abatte sur lui. C'était injuste, tellement injuste, s'il devait vivre pour ressentir tout ça, peut-être qu'il ne le voulait plus, il n'en avait pas les épaules. Il sentait les gouttes qui s'échappaient de sa chevelure trempée dévaler le long de sa nuque, comme si ses larmes étaient un torrent tel qu'il enveloppait tout son corps, ses yeux pleuraient, mais tout son corps aussi.

Il ne remarqua même pas les pas dans l'escalier,  ceux qui faisaient craqueler le bois des marches, ceux qui s'approchaient de plus en plus. C'était comme s'il était seul, cloîtré dans sa douleur, dans une bulle noire, là où personne n'aurait pu l'extirper. C'était comme la première fois qu'il faisait face à tout ça, tout ce qu'il avait enfoui, cette sensation de n'avoir sa place nulle part, cette sensation d'être la victime de ceux qu'il aimait, et quand il en prenait conscience, il voulait disparaître, il ne voulait pas vivre, pas comme ça.

« - Jisung ? Il entendit résonner, et il lui avait fallu un long moment pour se reconnecter à la réalité, au son de cette voix. »

Il releva doucement son regard en direction de Minho, debout, sur la dernière marche, il ne voyait que son visage, le reste était flou. Les yeux de Jisung étaient encore embués, ses mèches trempées tombaient devant ses paupières, elles alourdissaient ses cils. Il papillonna des paupières, dans l'espoir de pouvoir éclaircir le tableau face à lui. Minho s'était approché, doucement, confus, il s'était accroupi devant lui, un sourcil relevé.

« - Ça va..? Il s'essaya, et après un instant, Jisung hocha négativement la tête, noyé dans des sanglots qui l'étouffaient. Tu... Il déglutit, visiblement à la recherche de ses mots, il attrapa alors ses clés encore au sol et se releva rapidement. Mets-toi au chaud, ok ? Prends une douche, je te ramène des vêtements, tu peux faire ça ? »

Jisung acquiesça, pourtant, c'était comme s'il était figé, comme s'il n'avait même plus la force de se relever, ses tremblements étaient puissants, il le remarqua seulement quand il observa ses doigts. Une main se présenta alors à lui, il redressa son regard vers le haut, comme complètement perdu, pour observer son colocataire, debout, le surplombant, et c'est l'ombre de ce sourire encourageant qu'il lui avait fait comprendre qu'il souhaitait l'aider à se relever. Il s'en saisit, et la chaleur de sa poigne forte avait presque agi comme un remède sur ses tremblements. Tout à coup, il savait qu'il ne pouvait plus tomber, que le sol et aucune profondeur n'aurait pu venir le chercher. C'était ce dont il avait besoin, tout de suite, quelqu'un pour le soutenir, pour lui dire quoi faire, quelqu'un pour le sortir de là. 

Minho ouvrit la porte, sa main toujours dans la sienne, il retira rapidement ses chaussures à l'aide de ses pieds, et Jisung se sentit pris de panique à la seconde même où il le relâcha. Sa poigne s'agrippa dans le vide, et il réalisa avec un certain retard que Minho s'était accroupi pour défaire ses lacets. Il tenta au mieux de coopérer, relevant ses pieds quand il le déchaussait, mais ça lui demandait tellement d'efforts, de tenir sur une jambe, il ne s'était sûrement jamais senti aussi faible, aussi lourd. Minho balança ses chaussures avant de se redresser rapidement, il se plaça devant lui.

« - Vas-y. Il désigna du menton la salle d'eau. Je dépose tes affaires derrière la porte, ok ? Et à ces mots, Jisung opina, en s'exécutant. »

Il séchait ses dernières larmes, en tentant de reprendre le contrôle, de se reconnecter pour de bon avec le monde. Il prit une vive inspiration en déposant sa main sur la poignée, puis il s'engouffra dans la pièce, malgré ses vêtements froids et mouillés, il pouvait sentir la chaleur du chauffage, et ça lui faisait du bien. Il n'osa pas s'enfermer, et il commença juste à retirer ses vêtements, mécaniquement, le dos face au miroir, incapable de lui faire face.

Nu, il se mordilla la lèvre en jetant un rapide coup d'œil à son corps dénudé. Pour certaines raisons, ça le rendait anxieux, à l'instant. Si faible, qu'on pouvait l'utiliser comme une marionnette, que personne ne craignait de le prendre pour victime. Si faible, qu'il avait une érection quand on le touchait contre son gré. Si faible, qu'il n'avait pas le choix que d'être une proie. Il ne voulait plus être lui, il voulait sortir de là et ne plus jamais revenir. Il tenta au mieux de s'empêcher de céder de nouveau à ses larmes, en balayant ses pensées, il voulait juste profiter du jet d'eau chaude, celui qu'il aimait tant, celui qui savait le réconforter.

Il manqua de glisser dans la vasque quand il y déposa son premier pied, mais il réussit à s'y stabiliser, après s'être accroché au rideau. Il avait déjà lancé l'eau avant même de se dévêtir, alors, la vapeur brûlante commençait déjà à prendre d'assaut tout l'espace confiné, il aimait ça. Il ferma les yeux quand il se laissa joncher sous l'écoulement continu du pommeau, appréciant la chaleur et le fourmillement de la pression de l'eau. Il se demandait à quoi devait ressembler son maquillage, maintenant, soit il n'en restait plus rien, soit, il était encore plus ridicule qu'il ne l'imaginait. Il attrapa un peu à l'aveuglette son gel douche, et quand il sentit sous ses doigts le savon de son colocataire, il s'en saisit sans même y réfléchir. L'odeur de cannelle n'avait pas mis longtemps à se mêler à la vapeur, dégageant une fragrance agréable, apaisante.

Tout aurait été plus simple s'il avait été Minho. S'il savait se défendre. Si les gens le craignaient. S'il avait su sortir plus fort de ses années les plus dures.

Non, lui, tout ce qu'il avait fait, c'était se cacher, se terrer, tout ce qu'il avait fait, c'était se soumettre. Peut-être qu'il n'était bon qu'à ça, à être piétiné.

Il voulait tellement croire qu'il était destiné à mieux, mais il en doutait, tout à coup. S'il était parfaitement honnête avec lui-même, qu'est-ce qu'il avait fait pour s'en sortir ? Rien. Il le voulait sûrement aussi, au fond, souffrir, il ne voyait que ça. Pourquoi il n'était bon qu'à être le punching-ball de ceux à qui il donnait sa confiance ? Même sa propre mère avait préféré le voir souffrir que de tout faire pour lui donner une vie convenable. Si même sa mère était incapable de lui donner de l'amour, du respect, qui le pouvait ? Qui le voulait ? Personne. C'était sa faute, il était incapable de se battre, il n'était pas comme Minho, il ne courrait pas après ses rêves, comme Felix. Il n'était bon qu'à craindre le monde, à s'enfermer dans le sien. C'était tout ce qu'il savait faire.

Tout à coup, c'était comme s'il avait repris de la distance avec tout ça, avec lui-même. Il était fatigué, il n'avait plus la force de se blâmer, il secoua simplement énergiquement le shampoing avec lequel il avait enveloppé sa chevelure. Il fixait le mur carrelé, juste en face de lui, il ne remarquait même pas comment ses épaules étaient d'un rouge écarlate, ça faisait du bien.

Il abaissa le robinet de douche et il sortit rapidement de la vasque pour s'envelopper de sa serviette. Il resta immobile de longues secondes, puis finalement il tomba sur son reflet. Mais là, ça ne lui faisait plus rien. C'était comme s'il observait un inconnu.

Quand il poussa légèrement la porte, il tomba comme convenu sur ses affaires, déposées et pliées devant le battant. Il se pencha pour s'en saisir et s'étonna quand il remarqua qu'il s'agissait de ceux de son colocataire. Il les apporta rapidement à ses narines avant de s'habiller en vitesse puis il jeta aussi ses vêtements trempés dans la machine, pour en faire tourner une. Étonnamment, une fois tout ça fait, il se sentait mieux. Enveloppé dans des vêtements chauds, à la bonne odeur d'assouplissant, c'était aussi comme si on l'avait débarrassé d'une partie de ses maux.

Quand il sortit finalement de la pièce, il s'étonna en trouvant Minho dans la cuisine. Celui-ci lui jeta un rapide coup d'œil, plus affirmé que toutes les fois d'avant, comme s'il sentait de jauger son état actuel. Et c'était aussi la première fois que Jisung osa accrocher son regard. C'était à ce moment qu'il remarqua qu'il avait la lèvre inférieure gonflée, rougie, c'était aussi un peu le cas de sa paupière droite, et c'était cette constatation qui l'avait sorti de sa semi-transe. Il s'empressa de s'approcher d'un pas, comme pris de panique. Minho releva un sourcil en le voyant réagir.

« - T'as quoi, à la lèvre ? S'enquit Jisung. »

Il l'observa plus en detail, sur la pointe des pieds, et Minho ne perdit pas son expression, elle ne voulait pas dire grand chose, pas aux yeux de Jisung, en tout cas.

« - Rien de grave. Il renifla en lâchant simplement ces mots, puis il déposa son séant contre les meubles de la cuisine en liant ses bras contre son torse. »

Il désigna d'un geste du menton indolent le plan de travail, et c'est là où Jisung trouva une tasse fumante, un chocolat chaud. Il ne savait même pas qu'il y en avait, ici. Ou peut-être qu'il l'avait acheté, depuis la dernière fois. Dans tous les cas, ça avait enveloppé son cœur d'une douce chaleur, il avait peut-être un peu raison, quand il appelait cet appartement son chez-lui. Il lança un regard en biais à son colocataire et saisit la tasse de ses deux mains, appréciant la chaleur qui en émanait. Il la laissa prendre possession de son œsophage, après avoir savouré le goût sucré de sa boisson, ça faisait du bien, mine de rien.

Pendant qu'il s'en délectait, il ne pouvait pas s'empêcher de sentir le regard lourd de Minho sur lui, et pour certaines raisons, il l'aimait bien. Il se sentait invincible. Les ongles de son colocataire ne faisaient que de tapoter continuellement sur le plan de travail, comme si quelque chose le taraudait, alors de nouveau, il osa accrocher son regard, déjà posé sur lui.

« - C'est ce mec ? Il questionna soudainement, les sourcils toujours un peu froncés, et Jisung le questionna à voix haute, confus.

- Ce mec..?

- Ton pote, -fin, le mec qui était là la semaine dernière, il s'est passé quelque chose, avec lui ? »

Et quand il se remémora, quand il comprit de qui il parlait, il se figea, pris d'un frisson, il avait manqué de faire tomber sa tasse au sol. Il déglutit, hésitant, avant d'acquiescer doucement, le regard maintenant fixé sur le sol. Il avait envie de lui demander comment il savait que c'était lui, mais en fait, il n'avait jamais vu personne d'autre qu'il ne côtoyait, ce n'était pas comme s'il y en avait des tonnes, après tout. C'était sûrement évident. Ou alors, peut-être qu'il voyait les choses comme lui, et qu'il lui avait donné cette mauvaise impression, il n'en était pas trop sûr.

« - Tu... Minho sembla hésiter un instant quand il prit la parole. Tu veux en parler ?

- J-je sais pas... »

Son interlocuteur acquiesça simplement, et Jisung faisait au mieux pour réguler sa respiration. Maintenant, il ne pouvait pas s'empêcher d'avoir des flashbacks de la scène, et ça l'angoissait. Sa gorge était nouée, mais il avait vraiment envie de faire un pas vers Minho, il se sentait bien, avec lui, c'était étrange, presque naturel. Il savait qu'il pourrait lui parler, qu'il le comprendrait, pour certaines raisons. Maintenant, ce qui l'inquiétait, c'était lui dire, pour sa sexualité, c'était ce qui le faisait douter, plus que tout le reste. Parce qu'il avait encore plus honte de qui il était, que de ce qu'on lui avait fait subir.

« - En fait... Il tenta, avant de se mordiller la lèvre, quand sa gorge se resserra. Je savais qu'il m'aimait bien, et je-j'ai essayé mais... Je voulais pas et i-il insistait...

- Il t'a touché ? »

Et même si l'on pouvait entendre la façon dont il tentait de rester contenu, l'agressivité de sa question l'avait fait sursauter. Il opina du bonnet, penaud, les yeux toujours fixés sur ses pieds, il ne savait plus comment retenir ses larmes, maintenant, il essayait juste de les cacher. Il l'entendît pousser un juron à côté de lui, tandis qu'il sursauta de nouveau quand il entendit son poing taper contre la surface du plan de travail.

« - Tu comptes faire quoi ? Aller au commissariat ?

- Je... Il renifla discrètement. J'ai peur qu'ils prennent pas ça au sérieux, il m'a juste un peu... C-caressé..? Puis, vu que... Je, enfin, je suis attiré par les garçons, peut-être qu'ils vont penser que... Il balbutia, en tentant de rendre ses sanglots inaudibles, Minho eut un rire cynique en l'écoutant, il marmonna alors :

- Ces connards te prendraient pas au sérieux si tu venais en sang de toute manière. Mais fais-le, tu perds rien. Avec un peu de chance ils iront lui taper sur les doigts. »

Un silence s'instaura dans la pièce, et maintenant, c'était sûr qu'il pouvait l'entendre pleurer. Il eut sa confirmation au moment où il l'observa aller chercher la boîte de mouchoirs déposé sur la table basse de leur séjour. Il était fatigué de tout ça, dépité, réaliser qu'il n'y aura probablement jamais aucune justice, ça lui faisait encore plus mal. Il allait se réveiller, dans son palace, et il sera toujours entouré de sa ribambelle d'amis, et il se sentait impuissant. Il allait quand même tenter de le dénoncer, il avait raison, il n'avait rien à y perdre, ou peut-être juste ses derniers soupçons d'amour propre, il ne savait pas ce qu'il ferait s'ils ne le prenaient même pas un peu au sérieux...

Il remercia Minho quand il lui apporta quelques mouchoirs, puis il le lorgna quelques instants, c'était étrange, l'effet qu'il avait sur lui. Il se sentait bien, compris, même quand c'était clair qu'ils n'avaient rien à voir, c'était juste... Comme ça. Quelqu'un s'inquiétait pour lui, ça le rassurait, juste un peu, le fait que ça soit quelqu'un comme Minho, que ça soit Minho, c'était encore plus important, à ses yeux.

« - Tu devrais retourner voir la psy, je sais pas si tu le fais encore. Conseilla soudainement le plus grand, accoudé à côté de lui, Jisung pouvait clairement entendre la façon dont il s'était adouci, il acquiesça doucement. Pour en parler à quelqu'un, je sais pas...

- Merci. Il susurra à voix basse, le regard posé sur son profil. »

Minho s'étonna notoirement et se tourna à son tour dans sa direction, mais il ne pipa mot. Ils s'étaient juste fixés quelques secondes, comme s'ils communiquaient encore. Jisung pouvait toujours voir ce brasier dans les yeux de son colocataire, et il ne lui avait jamais fait peur, il l'intimidait, certes, mais il ne le craignait pas. Il voulait voir les mêmes flammes danser dans ses prunelles, qu'on le croise et qu'on s'imagine toute la détermination, toute la fierté qu'il ne cachait pas.

Jisung détourna finalement le regard et épongea distraitement ses derniers pleurs, un peu plus en paix. Il ne savait pas ce que lui réservait demain, mais peut-être, juste, peut-être, il avait une chance de se relever, au final, personne d'autre que lui n'avait les cartes en main.

~

alors QUE DIRE, tiens 🤡

déjà, pour vous prévenir, le nom de l'agresseur a été changé, pour éviter toute méprise!! mais je ne changerai en aucun cas la scène, et je vais encore moins dépublier cette histoire...

je pense que y a aucun mal à parler, décrire ces sujets, on PEUT en parler, le tabou dessert clairement la cause, il donne raison. mais comme je l'ai toujours dit, c'est sûr qu'on peut être sensible à un sujet comme les agressions sexuelles donc BIEN-SÛR, ne pas lire c'est ok, j'ai même pas besoin de le dire, c'est évident, c'est pour ça que j'ai tenu à prévenir plusieurs fois. maintenant, on est tous d'accord pour dire que rien ne m'empêche, s'il y a un débat moral ou éthique qui se pose, c'est plus de mon ressort et je vous invite simplement à passer votre chemin, dans le respect... pour moi ce débat se pose (si on peut appeler ça un débat) quand la scène est utilisée comme un « lemon » comme quelque chose d'érotique et quelque chose qui laisse entendre que c'est ok de bâtir une relation après ça

parce que j'ai jamais vu personne tomber sur le dos des auteurs qui écrivent la scène « « clichée » » de l'agression au coin d'une rue, sauvée de peu par le héros. le combat est, je pense, un peu personnel, en fin de compte... (« son heure est enfin arrivée, j'attends ça depuis le jour où j'ai découvert son compte pitié » « je crache sur vos auteurs préférés (d'ailleurs vous avez franchement des goûts de merde) ») lol un p'tit best-of des trucs que j'ai vu quoi, on en est là. je refuse d'instrumentaliser une lutte comme celle-ci alors j'ai juste coupé tous mes liens avec ce groupe-là mais si des lecteurs veulent en parler avec moi, je me répète mais y a aucun soucis ❤️ c'est actuel et c'est normal qu'on délie la parole !

je vous embrasse fort <3

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro