Il est 23h et Diane n'est toujours pas venue me rejoindre. Je l'attends depuis 20mn mais je ne tiens plus. Ce n'est pas que je m'endorme mais sa présence me manque... Toute la journée à faire semblant, a ne pas pouvoir la toucher... Je finis par me lever et entrer doucement dans sa chambre. Elle est en train de lire...
- Tu ne viens pas me retrouver ?
- Non. Répond-elle.
Mon cœur s'écrase par terre. J'ai déconné ? Il y a un truc qui ne va pas... Je referme la porte derrière moi et je m'allonge à côté d'elle. Mais elle continue à lire...
- Diane ?
- Mmmm.... Fait-elle toujours plongée dans son livre.
- Tu me fais la tête ?
- Ouais ! Dit-elle.
- Qu'est ce que j'ai fait ? Dis-je en me repassant toute la journée dans ma tête... Je ne vois pas ce qu'elle pourrait me reprocher...
- Ce matin ! Finit-elle par lâcher.
- Quoi ?
- T'as appelé maman quand on était dans la salle de bain! Dit-elle avec un air pincé.
Tellement soulagé que ce ne soit que ça, que j'éclate de rire. Diane finit par sourire, heureuse de son petit effet.
Je la chatouille comme quand nous étions petits et elle rit de plus belle.
- Chut, tu vas les réveiller, dis-je en la chatouillent plus fort.
- Charlie, arrête, s'te plait... Je m'arrête pour me rendre compte que je suis allongé sur Diane. Elle est belle, même en pyjama, sans maquillage et avec ses lunettes. Nous nous regardons un moment, sans bouger... Mon cœur s'emballe. Je sens la respiration de Diane s'accélérer. Elle enlève ses lunettes qu'elle pose sur sa table de nuit et écrase sa bouche contre la mienne. Nous ne faisons plus qu'un.

----------------- passage erotique-----------❤❤❤❤

Ses lèvres caressent ma lèvre supérieure. Ses mains plongent dans mes cheveux pour jouer avec une mèche. Mes yeux ne quittent pas son visage. J'ai envie d'elle... Je passe mes mains sous sa chemise de nuit pour saisir sa poitrine, ses tétons se durcissent à mon contact... Elle pousse un petit gémissement de contentement. Je frotte mon membre sur sa culotte et son bassin se cambre aussitôt. Je lâche sa bouche pour descendre dans son cou. Son parfum sucrée m'excite tellement. Je descends plus bas pour goûter ses tétons que je mordille doucement. Ma langue joue avec ses petits boutons durs, allant de l'un à l'autre. Je passe la chemise de nuit de Diane par dessus sa tête et la jette par terre. Pour la première fois je découvre ses seins, fermes et pointus. Je les embrasse encore et encore, enfouissant mon visage dans sa poitrine. Je remonte à son cou puis sa bouche.
- J'ai envie de faire l'amour avec toi, Diane... murmurai-je à son oreille.
Elle descend ses mains dans mon dos pour soulever mon t-shirt. Je l'aide à l'enlever. Ses mains touchent doucement mon torse. Elle m'attire contre elle. Je pose ma bouche sur le lobe de son oreille que je suce tendrement.
- Diane, je t'aime. Dis-je.
Je la sens si fragile sous moi, si timide soudainement.
- Je t'aime Charlie. Je t'aime depuis toujours...
Je baisse mon pantalon de jogging sans m'éloigner de Diane, puis je le sors complètement et le laisse tomber par terre. Diane écarte ses cuisses pour que je glisse plus près d'elle. Je retrouve sa bouche et nos langues jouent ensemble. Je plaque une main sur sa poitrine tandis que l'autre descends sur sa culotte. Elle est humide. Je la caresse doucement au travers du tissu. Diane se tend et bascule son bassin vers moi. Je tire sur la culotte et glisse mes doigts sur son sexe mouillé.
- Oh, Charlie, gémit-elle en mordant ma lèvre inférieure.
Je presse un peu plus son téton tandis que mon majeur fait des petits cercles sur son clitoris. Diane plante ses ongles dans mon dos...
Ses mains descendent jusqu'à mon caleçon qu'elle commence à descendre...
- Attends ! Doucement, Diane ! Chuchotai-je à son oreille.
Je me lève du lit pour fouiller dans la poche de mon jogging et en sortir un préservatif.
Je m'assois sur le bord du lit pour regarder Diane qui retire pudiquement sa culotte sous les draps.
- Tu es sure ? Demandai-je.
- Oui ! Je t'aime Charlie. Dit-elle.
J'ouvre l'emballage et enfile le bout de plastique sur mon membre tendu. Je retire le drap de Diane, pour l'admirer nue. Elle est si magnifique. Je m'allonge doucement sur elle pour l'embrasser tendrement.
- Tu as peur ? dis-je.
- Non, parce que c'est toi ! Me répond-elle.
- Moi, j'ai peur, lui confiai-je en la serrant tendrement conte moi.
- Pourquoi ? Me demande-t-elle.
- Parce que tu es vierge...
Elle répond à mon étreinte et frotte son nez contre le mien. Puis ses lèvres trouvent les miennes, sa langue encercle ma langue sensuellement, comme pour me rassurer et me donner son accord. Mes mains retrouvent ses seins aux tétons bien durs. Je redescends lentement ma main sur son sexe toujours humide. Je le caresse doucement, en faisant de petits va-et-vients. Mon majeur s'introduit petit à petit dans sa fente. Elle écarte davantage ses cuisses et mon doigt glisse en elle.
J'avance mon sexe contre le sien pour qu'il suive le chemin de mon doigt.
- Dis-moi, si je te fais mal. Dis-je. J'introduis mon gland dans sa chatte. J'ai envie de la prendre mais je me retiens pour ne pas la blesser. Je force un peu plus pour entrer en elle.
- Ca va ?
- Oui !
Je bouge légèrement en elle, elle est si étroite. J'essaie d'être le plus doux possible mais c'est si bon de la posséder que j'ai du mal à me retenir.
- Tu as mal ?
- Ca va Charlie, je t'assure...
Je bouge un peu plus en elle, elle pose ses mains sur mes fesses pour suivre le rythme de mon corps sur le sien. Je mordille son téton. J'accélère un peu plus et je sens que je viens. Je ne peux plus me retenir. Ces va-et-vient me transportent dans un endroit inconnu. C'est ça faire l'amour ! C'est tellement bon...
Elle pousse un petit gémissement. Et J'explose en elle, égoïstement...
- Diane ?
- Moui... dit-elle essoufflée.
- Ca va ?
Elle me serre fort et me fait plein de petits bisous sur la bouche. Elle sourit.
- Je vais me retirer. Dis-je. Elle grimace un peu. Je sors la capote tachée de sang pour la mettre dans un Kleenex que je trouve sur la table de nuit de Diane. Puis je me colle à Diane. Elle me caresse les cheveux.
- Tu ne dis rien ! Dis-je.
- Je veux recommencer ! Dit-elle.
- Déjà ? Dis-je surpris.
- Bon alors, demain parce qu'on se lève tôt...
Je cherche mon caleçon pour le remettre.
- Non, reste comme ça. Je veux rester contre toi.

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- Diane, je t'aime ! Je la prends dans mes bras. Je l'aime plus que tout. Plus que moi...

Plusieurs semaines ont passées.
Ce matin, je me lève vers 6h30. Je me rhabille, prends la capotte pour la jeter dans les toilettes. Et me dirige vers la douche. Je descends déjeuner quand Diane part à la salle de bain. Je dépose un bisou rapide sur ses lèvres. Il va falloir reprendre nos distances.
Je suis devant mon bol de céréales quand ma mère entre dans la cuisine pour prendre son café.
- Bonjour maman. Dis-je.
- Bonjour Charles. Repond-elle froidement.
Nous nous affrontons du regard, et je comprends que malgré son silence, elle sait...

Sur le chemin du bus.
Bac de français.
- Maman est au courant ! Fis-je à Diane.
- Elle te l'a dit ? Demande Diane inquiète.
- Non, mais je l'ai lu dans son regard !
- Charlie, c est impossible !
- Si je te le dis !
- Et d'une, si elle savait elle aurait péter un cable, et de deux, concentre-toi sur la dernière épreuve du bac de français ! Tu dois être stressé ! À midi ça ira mieux ! Me conseille-t-elle.
- J'espère que tu as raison !

Quelques heures plus tard.
- Alors, t'as réussi ??? Me demande Diane.
- Oui, je pense.
- On est vacances Charlie !!! Saute-t-elle de joie.
Nous rentrons à la maison.
- Je pense qu'il faut qu'on soit prudents, Diane.
- Tu m'énerves ! T'es parano ! Dit-elle en me claquant sa porte au nez.

Une nuit.
Diane est dans mes bras, nous sommes nus et heureux, l'un contre l'autre. Nous dormons profondément.
La porte de la chambre s'ouvre. Ma lumière s'allume...
- Maman ? Interroge Diane.
Elle nous regarde mais ne dit pas un mot.
- Maman, insiste Diane.
Rien, son regard est vide. Mais elle finit par nous tourner le dos.
- Je te l'avais dit ! Dis-je à Diane.
- Oh, ta gueule, Charlie ! Dit-elle en se rhabillant pour regagner sa chambre...

Je suis dans la merde...