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Chapitre XVIII : Cadeau surprise

Le lendemain matin, Hermione fut la première à se réveiller. Ella sauta de son lit à la minute où ses yeux s'ouvrirent. Elle descendit les escaliers en petite foulée et alla dans la cuisine pour se faire un café au lait, ne voyant toujours personne pointer son nez, elle commença à préparer la table et à faire des pancakes ; l'odeur les attira peut-être, se dit-elle.

Et ça ne manqua pas. Tous les enfants Weasley, ainsi qu'Harry et Sirius descendirent tous, un après l'autre. Puis Molly et Arthur finirent par descendre eux aussi.

  -  Oh ! Hermione, c'est très gentil à toi d'avoir préparé le petit déjeuner, Joyeux Noël ! Molly l'enlaça et la remercia encore une fois. Passons à table ! Tout ça à l'air délicieux en plus ! s'exclama-t-elle en montrant la belle pile de pancakes.

Cette fois-ci, à la table du 12, Square Grimmaurd, plus personne ne parlait. Tout le monde savourait le délicieux repas préparé par la préfète. Cette dernière lançait des regards furtifs à son rouquin, qui était occupé à se goinfrer. Quand, finalement, il remarqua le doux regard de la jeune fille, il leva la tête et rougit, tandis qu'Hermione faisait de même.

  -  Et si on allait ouvrir les cadeaux ! s'exclama Ron, la bouche pleine, trop excité pour attendre plus longtemps.

  -  Tu n'as même pas fini ton assiette, Ronald.

Ils finirent tout de même par se rendre dans la pièce à vivre, et se posèrent devant le sapin.

Comme chaque année, Molly avait fait ses fameux pulls qu'elle avait offerts à tout le monde, de sa part et de celle de son mari. Sirius, ne pouvant pas sortir, avait juste offert à Harry un bout de verre qu'Hermione n'eut pas le temps d'analyser car parrain et filleul étaient sortis de la pièce. Ron avait préparé des petits paquets des bonbons préférés de chacun, et enfin, pour les cadeaux des jumeaux, personne n'osa ouvrir le sien puisqu'une blague de mauvais goût les attendait sûrement derrière tous ces rubans.

Quand la tournée des cadeaux fût terminée, tout le monde retourna à ses occupations. Tout le monde, sauf Hermione et Fred qui l'avait retenue pour lui donner quelque chose de spécial.

  -  C'est pour toi, lui-dit-il, en lui tendant un paquet cadeau à la forme d'un livre.

  -  Oh, Fred, il ne fallait pas...

  -  Mais si, il le fallait ! Et puis ce n'est pas grand chose...

Elle déchira le paquet pas très soigné que Fred avait pris le temps de faire. Elle tomba alors sur son livre préféré du moment : "Orgueil et Préjugés". Mais ce n'était pas ce simple livre, Fred avait choisi une édition magnifique ; le livre était orné de roses rouges et dorées, mais ce qui plut le plus à Hermione c'est que ce livre était annoté par l'auteure elle-même, cependant quand Hermione ouvrit le livre à la première page elle découvrit l'écriture fine de Fred. Elle le regarda sans comprendre.

  -  Je l'ai lu entièrement, dit-il en voyant son air d'incompréhension, et je l'ai annoté entièrement aussi de mon avis sur certains passages et fait quelques blagues aussi, tu me connais je n'ai pas pu m'en empêcher...

Hermione le coupa en sautant dans ses bras. Ce cadeau était si parfait, original et attentionné, qu'elle en pleura presque.

  -  Merci, Fred.

  -  Ca te plait ?

  -  Evidemment que ça me plait ! C'est le plus beau cadeau que j'ai jamais eu ! Et moi en plus, je n'ai rien pour toi... avec ce qu'il s'est passé...

  -  Enfin Hermione ! Peu importe, je n'ai pas besoin de cadeau !

  -  Oui, mais je me sens bête... Qu'est-ce qui te ferait plaisir ? Si tu veux je peux t'offrir quelque chose, je ne sais pas moi...

Elle réfléchit mais ne trouva rien d'assez spécial.

  -  Je ne veux rien, je t'assure, répondit Fred, enfin... en fait... j'ai une idée... enfin non, oublie tu ne seras jamais d'accord.

  -  Mais si ! Dis toujours !

  -  Un baiser ?

Hermione s'écarta de ses bras, posa ses mains sur sa nuque et l'embrassa à pleine bouche.

Après un long et tendre baiser, Fred s'écarta et proposa :

  -  Eh si on sortait se promener et manger en ville ? Tu pourrais me faire un peu découvrir le monde moldu.

  -  Oh, c'est une bonne idée ! Je vais me préparer et on y va.

  -  Tu as vraiment besoin de te préparer ? tu es très bien comme ça tu sais.

  -  Je suis encore en pyjama, Fred.

  -  Peut-être, mais ça te va très bien.

Elle leva les yeux au ciel et monta se changer. Quand elle redescendit, Fred se trouvait en compagnie de sa mère ; il la prévenait qu'elle aurait à nourrir deux bouches de moins, puis ils sortirent dans le blizzard glacial de Londres.

Ils marchèrent pendant une bonne heure, visitant la ville et regardant ses luminaires de Noël. Les rues n'étaient pas surpeuplées comme d'habitude ; tout le monde devait encore fêter avec sa famille. En tout cas, la ville était très joliment décorée, Hermione se remémora ses Noëls passés avec ses parents, une vague de nostalgie passa dans ses yeux, ce que Fred remarqua.

  -  Qu'est-ce qui ne va pas ?

  -  Oh, rien, je me remémore juste ce que je faisais avec mes parents pour l'occasion.

  -  Et dis moi ce que vous faisiez, ça m'intéresse, répondit-il en lui souriant.

  -  Oh, eh bien... On prenait toujours des churros, ou des gaufres, en fait peu importait la sucrerie, et puis on montait dans la grande roue et on admirait la ville lumineuse, dit-elle, un soupçon de mélancolie dans la voix.

  -  Eh bien, faisons cela ! Je t'emmène à la grande roue, attrape mon bras.

  -  Pour être honnête Fred, bien que tu sois un excellent sorcier je préfèrerais y aller à pied, c'est plus sûr. En plus ce n'est pas très loin...

  -  Hermione Granger, sache que je suis très offensé, mais comprends tes doutes.

Ils continuèrent donc à marcher sur les trottoirs enneigés et le long des routes très calmes pour cette heure de la journée. Arrivés devant la roue, ils achetèrent chacun quelques churros que Fred ne put s'empêcher de commencer à manger.

  -  Alors, dit-il après avoir avalé sa bouchée, tu ne veux pas transplaner avec moi mais tu es d'accord de monter dans cet engin qui n'est d'ailleurs pas très sécurisé...

  -  Tu aurais peur ?

  -  Moi ?! Peur ! Mais ce n'est point cela très chère, c'est juste que je ne trouve pas ça très sûr...

  -  Allez viens trouillard, se moqua-t-elle en attrapant son bras.

Il la suivit et ils montèrent dans une petite cabine. Fred comprit qu'il avait eu tort de s'inquiéter ; cette vue était tout simplement magique, même s'ils ne profitèrent pas tellement du paysage...

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