Un massage particulier
Masseur professionnel propose à une clientèle exclusivement féminine les 3 prestations suivantes à domicile :
- Le Survol
- Le Complet
- L'Excellence
Le Survol est un massage extérieur seul, le traditionnel effleurage-pétrissage.
Le Complet inclut un massage interne plus ou moins intense.
L'Excellence comprend les 2 prestations précédentes avec un massage interne en profondeur et des explorations inédites. Elle est, de préférence, réservée aux initiées.
Les tarifs sont personnalisés.
Le consentement initial et la totale collaboration de la personne demandeuse sont exigés, ces massages étant tous participatifs.
Quelque soit la prestation choisie, un entretien téléphonique préalable sera nécessaire avant le rendez-vous. D'autres précisions seront apportées à ce moment là.
Je surfais sur le Net à la recherche d'une prestation de bien-être lorsque je suis tombée sur cette annonce plutôt originale qui attisa ma curiosité. Les commentaires étaient plus qu'élogieux et les clientes étaient toutes très satisfaites du prestataire. Certaines étaient même des abonnées très fidèles.
De nature aventureuse, je composais le numéro indiqué dans l'annonce mais la ligne était occupée et la messagerie saturée. Un homme très demandé, on dirait !
Je ne fus pas au bout de ma surprise quand, après de nombreuses tentatives, plusieurs jours de suite, il décrocha enfin. Les précisions qu'il apporta au cours de cette conversation étaient hors du commun, inattendues et, disons le ... plus qu'alléchantes. Aussi, un rendez-vous fut pris pour le mardi de la semaine suivante.
Lorsqu'il sonna à ma porte le matin du jour convenu, mon pouls s'accéléra quand mes yeux se posèrent sur cet homme couleur ébène, plutôt stylé et raffiné portant une valisette.
- Bonjour Madame Lejeune, je suis James Doria.
- Bonjour Monsieur Doria. Je vous en prie, entrez ! dis-je en m'effaçant pour le laisser passer.
- Alors, tout est prêt ? demanda t'il en me détaillant de la tête aux pieds.
Je rougis sous son regard inspecteur, un peu gênée ... mais émoustillée également.
- Oui, tout comme vous me l'avez demandé ! répondis-je
- Vous avez bien compris comment allait se dérouler la séance ou vous souhaitez me poser d'autres questions ?
- Non, je pense que vous avez dit l'essentiel au téléphone... et une part d'inconnu est toujours préférable, ne croyez vous pas ?
Il se contenta de répondre d'un sourire plein de charme.
- Nous pouvons donc commencer immédiatement, déclara t'il en m'emboitant le pas jusqu'à l'espace que j'avais apprêté.
Il parcourut la pièce du regard, et d'un œil satisfait déclara :
- Le temps de me préparer et je suis ... tout à vous !
Sa voix doucereuse et ses mots empreints d'ambigüité me rendirent encore plus fébrile.
La chaleur m'empourpra encore plus lorsqu'il tomba chemise et pantalon pour garder uniquement un string bleu marine ultra échancré.
- Quel corps appétissant ! ne puis je m'empêcher de penser.
Et lorsqu'il se retourna pour s'avancer vers moi, ses yeux brillaient.
Il semblait déjà dans le feu de l'action, presqu'en transe.
Sans dire un mot, il fit glisser le peignoir que je portais dévoilant ainsi mon corps nu, fleurant bon le frais et le propre.
A nouveau son regard inquisiteur parcourut mon anatomie, scrutant tout, sans oublier la moindre parcelle de peau découverte.
- Plus que parfait, Madame Lejeune ! Je peux donc œuvrer en toute quiétude !
Il ouvrit la valisette pour en extraire le flacon contenant l'huile spéciale préparée à mon intention, selon mes critères, de l'huile d'argan parfumée à l'ylang ylang et... une touche personnelle d'un je ne sais quoi d'inconnu mais de subtil et d'envoutant.
Je pensais qu'il allait me demander de m'allonger sur la table de massage que j'avais improvisée, un petit matelas recouvert d'une serviette douce suffisamment grande et quelques coussins... mais il n'en fit rien.
Il se mit derrière moi, tout proche, prit le flacon d'huile et délicatement en versa quelques gouttes sur ma peau, au niveau de mes épaules. Puis, sans attendre, commença un doux effleurage, tel une caresse, sur l'ensemble de mon corps. A deux mains, serpentant de mon cou à mes bras, de mon dos à ma poitrine où il s'attarda longuement, épousant le galbe de mes seins et courtisant leurs pointes, qui, sous ses longs doigts agiles, se dressèrent fébrilement. L'excitation me fit tressaillir mais encouragea la poursuite de la séance.
... Mes hanches...Le creux de mes reins ... Mon ventre...
Il était maintenant à mes pieds, le visage à hauteur d'un mont de Vénus bien épilé accueillant son souffle chaud, ses mains d'abord sur mes fesses joufflues qu'il se plaisait à enduire d'huile jusque dans leur sillon avant d'entreprendre cette autre zone érogène chez moi très sensible.
Les yeux fermés, je goutais au plaisir de ses mains sur moi .... Je le laissais agir comme il l'entendait.
Lorsque ses doigts effleurèrent le haut de mes cuisses, je les écartais tout naturellement lui permettant d'aller jusqu'à ma fente dont il flirta insidieusement avec les lèvres.
J'étais déjà dans une douce détente, ouverte et offerte à la suite qui promettait d'être innovante et plutôt brûlante.
Il descendit jusqu'à mes chevilles avant de se remettre debout et de me regarder droit dans les yeux.
- C'est à vous maintenant !me dit-il en me tendant le flacon d'huile.
Je n'osais comprendre ce qu'il voulait que je fasse exactement mais poussée par la fébrilité de l'aventure, j'accédais à sa demande en espérant ne pas me tromper dans la direction à prendre.
Mes mains, au début tremblantes, trouvèrent rapidement l'assurance nécessaire pour ce voyage sensuel sur ce corps sublime où je ne détectais aucune imperfection, tel l'Homme de Vitruve et ses divines proportions.
J'étais déjà projetée ailleurs, dans un univers de plaisirs inédits.
Surtout lorsqu'il se retrouva complètement nu, dépouillé de son string sous lequel j'avais déjà deviné un pénis plus que prometteur.
Devant mes yeux brillants d'excitation et mes joues empourprées, cet impressionnant bâton de chair et de sang s'exhibait fièrement.
Je n'avais qu'une envie : celle d'y poser mes lèvres avant de l'enserrer mais ce furent seulement mes doigts qui s'y attardèrent, en haut d'abord jusqu' en bas, et à nouveau en haut...lentement... augmentant encore un peu plus son volume déjà bien alléchant.
Waouh ! Impressionnant ! Je n'en avais jamais vu une comme celle-là ! Pourtant, j'en avais connu des hommes depuis ma première fois, encore adolescente.
J'étais agréablement troublée, un peu désemparée, aussi évitais-je de rencontrer le regard de cet homme pour ne pas tout faire basculer tout de suite. Un regard que je sentais insistant, rieur et provocateur !
Il savait l'effet qu'il faisait aux femmes avec un tel phallus, digne de Lucifer lui-même , ce maitre incontesté du plaisir, ou de l'un de ses héritiers ! ... Je fis descendre mes doigts sur ses cuisses dont la fermeté dessinait les muscles, sur ses mollets tout aussi athlétiques pour finir sur ses chevilles...
... Je restais là, à ses pieds, sans bouger, n'osant me relever...
- Tout ne fait que commencer, madame Lejeune, passons maintenant à la suite...
Il me redressa, collant mon corps contre le sien, son phallus contre mon bas ventre qui se remplit à nouveau d'une myriade de papillons, son torse musclé contre mes seins aux pointes tout aussi érigées que sa verge, sa bouche aux lèvres gourmandes tout contre la mienne qui se donnait sans qu'il la prenne.
Il m'entraina vers la table improvisée où il m'allongea délicatement avant de faire disparaitre mon corps sous le sien.
Il leva mes bras au dessus de ma tête, entrecroisa nos doigts et nos orteils et me tenant fermement commença à bouger, sensuellement, de façon très explicite, ondulant au dessus de moi, ses lèvres sur mon cou, brûlant ma peau.
Il frottait son torse contre ma poitrine, se soulevant parfois effleurant les tétons durcis de mes seins avant de les écraser à nouveau dans un mouvement calculé.
Entre mes cuisses, son sexe gonflé à souhait, attisait le feu qu'il avait depuis longtemps allumé. Il s'agitait, furetait sur mes lèvres mouillées, s'éloignait pour mieux revenir me titiller.
Je n'en pouvais plus de cette cruelle douceur, de cette... J'en voulais plus !
J'amplifiais alors mes gémissements, au début discrets et me tortillais sous lui.
- Vous êtes prête pour le premier massage interne, on dirait ! affirma-t-il en fourrant sa langue dans ma bouche entr'ouverte pour un baiser on ne peut plus vorace pendant qu'un doigt s'introduisait dans ma fente bien humide.
Il écarta ensuite mes cuisses, largement, ramena mes fesses contre son membre viril avant de me pénétrer, profondément, introduisant d'un seul coup son incroyable organe mâle jusqu'au fond de mon vagin, le remplissant parfaitement.
Je n'aurais jamais imaginé pouvoir l'avaler tout entier, ce phallus !!! Mais j'en avais tellement envie qu'il a facilement glissé en moi, profitant de mes parois bien lubrifiés, l'épousant à merveille.
Mon sexe affamé et glouton se régalait de ses mouvements de va et vient, si justement cadencés, au rythme de mes soupirs et de son réel désir.
Il me pilonnait avec fougue, modulant sans cesse l'angle de pénétration pour des sensations hautement jouissives et mes cris de plaisir résonnèrent jusque dans mes entrailles, aux fin fonds de mon intimité où son gland faisait des ravages.
Pris par l'adrénaline du moment, il me fit pivoter pour que je me retrouve assise sur son sexe toujours aussi dur et attractif, comme une stalactite.
Pendant qu'il me tripotait les seins et pinçait leurs pointes arrogantes toujours dressées, je le chevauchais énergiquement, avec autant d'ardeur que lui avait mise pour me labourer. Empalée entièrement, j'engloutissais son membre tel une insatiable boulimique qui demandait toujours plus.
Nos halètements, nos souffles et nos soupirs, nos corps brûlants et moites où perlaient des gouttes de sueur mêlées à l'huile odorante, témoignaient d'une excitation à son apogée et d'un orgasme proche. Mais nous nous retenions et repoussions sans cesse ce moment ultime de l'apothéose jusqu'à la majestueuse éclosion réflexe du lotus au milieu des étoiles.
... Ce massage interne était de tout premier ordre, au-delà de mes pensées érotiques, bien coquines pourtant, et de mes folles espérances !
- Vous avez opté pour l'Excellence, Madame Lejeune. C'est toujours d'accord ou souhaitez-vous en rester là ? demanda mon bel amant.
Pour toute réponse, je lui tendis le verre de nectar fruité, protéiné et vitaminé agrémenté d'un zeste de super stimulant aphrodisiaque que j'avais préparé selon ses instructions et posé sur la table.
Il me gratifia d'un large sourire complice et sirota son verre tout en me mangeant des yeux pendant que j'appréciais moi aussi ce mélange revigorant à action instantanée.
Dès que nous en eûmes avalé la dernière goutte, il se leva et se planta devant moi, son sexe à hauteur de ma bouche.
- Il va falloir que vous remodeliez le bâton pour qu'il soit à votre goût... d'initiée, Madame Lejeune.
... Au téléphone, il avait clarifié le terme d'initiée pour éviter toute confusion...
Devais-je lui avouer que j'étais loin d'être réellement initiée, n'ayant expérimenté la pratique qu'une seule fois et sans ressentir la moindre satisfaction personnelle ?
Et certainement pas avec un phallus tel que le sien !
Non, je ne vais pas lui dire. Je n'en avais pas envie...mais de lui, si. Encore... Et tout de suite.
Je m'exécutais donc en prenant sa verge à pleine main, un organe qui, même au repos, faisait rêver. Je la caressais lentement en soutenant son regard, sans fléchir. Fixement. Intensément. Comme le désir installé en moi.
Volume et taille augmentèrent à vue d'œil sous mes doigts fiévreux. Mes lèvres humides et chaudes s'y posèrent alors, ma langue se balada de bas en haut avant de s'arrêter au bout de son gland avec laquelle elle s'amusa longuement.
... Je l'entendis soupirer, un souffle qui arriva jusqu'à moi, suppliant.
... J'englobais alors son phallus dressé pour répondre à son désir muet.
J'aimais son goût de mâle non encore rassasié, ce mélange subtil de ses propres sécrétions animales, de cyprine et de foutre qui intensifia le brûlant du feu qui me consumait.
Bien que profonde, ma gorge ne l'était pourtant pas assez pour capturer et emprisonner totalement sa verge gonflée. Mais je l'enserrais au maximum, habillant le reste de mes mains, pour mon plus grand plaisir et pour le sien, jouant de ma langue polissonne au moment opportun.
La cadence de mes va et vient, mes entrées et sorties semblaient dévastateurs. Ce grand mâle se délectait de cette audacieuse entreprise à tel point que ses mains retinrent ma tête et ma bouche remplie et que ses soupirs et bruissements s'accrurent.
Lorsque j'estimais le bâton suffisamment modelé, à juste mesure, mes yeux lui indiquèrent qu'il était grand temps pour lui de prendre les commandes.
En effet, sa poutre était encore plus impressionnante que tout à l'heure, et terriblement attrayante aussi. Un désir incendiaire s'empara alors de moi.
- Offrez moi votre côté pile, Madame, que je l'honore comme vous le méritez !
- Avec grand plaisir, Monsieur ! répondis-je impatiente.
Je me retournais, me mis à genou et me pencha en avant, les avants bras posés sur les coussins moelleux et les fesses bien hautes, exposées à son regard et promises à son généreux pénis.
Cette position l'excita davantage. J'étais à sa merci, totalement offerte. Il versa un peu d'huile sur ses doigts et posa ses mains brûlantes sur mes joues bombées. Il les caressa érotiquement jusque dans leur sillon avant de les écarter pour exposer l'orifice à combler. Il en fit le tour avec son index puis me donna deux claques bien cinglantes avant d'y fourrer son doigt sur deux centimètres environ. C'était serré certes mais me sentant relâchée et consentante, il tenta une intromission plus profonde, cette fois-ci avec deux doigts puis trois entrouvrant ainsi la porte d'entrée.
Je commençais à gémir. Il comprit que j'appréciais cela et que j'attendais seulement qu'il s'enfonce en moi.
Il prit alors sa grosse queue, chatouilla le rebord anal qui s'ouvrit pour l'accueillir. Il procéda lentement et délicatement, pour habituer mon sphincter à la cohabitation et progressivement s'enfonça... Je gémissais de plus en plus et au fur et à mesure qu'il avançait, mes gémissements devinrent des cris... de plaisir...ses allers-retours déjà entamés. Et lorsque la totalité du phallus disparut dans mes entrailles, j'avais perdu tout contrôle.
Tout mon corps tressaillait d'un plaisir immense, d'une intensité jamais atteinte. Les va et vient, de plus en plus rapides, fougueux et animaux, accompagnés de rugissements puissants, me comblaient au plus haut point.
Cet homme était vraiment une bête de sexe, dans tous les sens du terme !
Que ne l'avais - je connu avant !
... Au cœur de l'action, nos corps moites tapant l'un contre l'autre, il s'accrochait à mes hanches pour mieux accompagner ses balancements rythmés et plus que torrides.
Je ne criais plus, je hurlais !
Ce fut dans la chaleur de ce moment là qu'il choisit pour changer de position. Il me souleva du lit improvisé, tous les deux toujours emboités, trempés de sueur, pour s'assoir sur la chaise qu'il avait pris soin de disposer à proximité.
Lui tournant le dos, je me retrouvais à nouveau empalée très profondément. Terriblement jouissif !!! Ses mains étaient posés sur mes hanches pour nuancer les va et vient et moi, je m'agrippais à ses cuisses, mes ongles pénétrant sa chair, pour donner encore plus d'ampleur à mes mouvements torrides, surtout lorsqu'il entreprit de stimuler en même temps mon clitoris et de m'embrasser d'une ardeur impétueuse dans le cou.
Mon corps était en ébullition, proche de l'explosion et lui rugissait tel le roi de la savane devant sa femelle en rut.
Je pivotais alors pour être face à lui et c'est plongée dans ses yeux, sa bouche dévorant la mienne, que dans un dernier élan conjoint, plutôt acrobatique, nous jouîmes dans un même cri.
L'incandescence de cet orgasme partagée laissa nos corps vidés de toute énergie physique mais illuminés par la magie du moment et transportés vers un autre lieu, dans un ailleurs parfait.
Nous restâmes là, silencieux, enlacés, jusqu'à ce que la réalité nous ramenâmes sur Terre.
- Je vous dois combien, monsieur Doria ?
- Le montant de ma prestation est à la hauteur de votre satisfaction, Madame Lejeune.
- Dans ce cas, Monsieur Doria, je crains qu'il n'y ait pas assez de zéro derrière les quelques chiffres de mon compte en banque pour vous payez !
Il me regarda fixement, de ce regard transfixiant auquel nul ne peut résister et m'annonça :
- Alors, pour vous ce sera cadeau, Madame, comme celui que vous m'avez fait...J'étais venu dans le seul but de faire ce que vous attendiez de moi : vous satisfaire et c'est vous qui m'avez conquis, pris au piège de ma propre volonté. Ce n'était pas prévu !
Bizarrement, je le sentais un peu déstabilisé, ce grand gaillard de prime abord si sûr de lui.
- Monsieur Doria...
- S'il vous plait... s'il te plait, appelle moi James.
- Et moi Ellie...
- Je te demande une seule chose Ellie, que nous nous revoyions !
- James, il s'est passé quelque chose entre nous, c'est certain mais...
- Mais quoi ? Tu as peur ?
J'hésitais à répondre. Oui, j'avais peur... peur de cette attraction pour cet homme charismatique dont le métier consistait à vendre son corps et à jouir de celui des autres !
- C'est parce que tu me vois comme un gigolo, n'est-ce pas, qui se fait payer par des femmes insatisfaites voulant atteindre l'orgasme vrai et qui prend son pied à chaque fois ?
- Ce n'est pas ce que tu es, ce que tu fais ? Tu as un corps de rêve, James et beaucoup de talent ... et tu en profites !ne puis-je m'empêcher de répondre.
- Ellie, tu te trompes sur moi... Tu imagines des choses... Je suis seulement un initiateur rémunéré pour ses leçons, conscient de son charme, qui se donne pleinement comme tout professionnel qui se respecte !
- Dis-moi que tu n'en tires pas avantage de ce que tu appelles... ton métier ? Je ne te crois pas !
- Oui, Ellie, j'avoue, je baise... et je me fais payer ... et j'aime ce que je fais !... Mais aujourd'hui, avec toi, j'ai ressenti quelque chose de différent, de plus fort. « Baiser » a pris un autre sens, une autre dimension. Et si sur ton compte en banque, il n'y a pas assez de zéro après les quelques chiffres pour me montrer ta satisfaction, saches qu'il n'y a pas assez d'étoiles dans le ciel de toutes les galaxies réunies pour te dire la mienne.
Je veux m'offrir à toi sans limites, à chaque fois que tu le désireras et pour l'éternité si tu me le demandes !... Dis-moi seulement que tu veux me revoir ! Dis moi seulement ...oui !
Toute crainte en moi s'était dissipée dans ces mots prononcés et les milliers d'étoiles brillantes dans ses yeux se transformèrent en lucioles éclatantes dans mon ventre, réactivées aussi par le souvenir de ces merveilleux moments partagés.
- Oui, James, oui... mille fois oui !!!
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