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Captifs (modifié)


                                                                                  Version poétique

Je le contemple dans sa nudité. Son corps d'étalon me plait.

Je le caresse lentement. Sa peau ambrée est douce et lisse.

Je le respire dans ses recoins les plus intimes. Son odeur de mâle traqué.

Je le goute partout. L'arôme entremêlé du désir, de la peur, de la soumission.

J'écoute son souffle. Celui de la proie prise au piège de mes filets.

                   Je fais de lui mon objet d'abandon.

                   Qu'il soit captif de tous mes désirs.

                   Je tiens les rênes. 

                  Je décide de son sort. 

  Avec mon corps de femme, je le soumets.

 Je l'enivre de mes attributs.

 Je l'invite.

 Je l'excite.

 Je le provoque.

                      Qu'il devienne ma monture.

                      Je le chevauche à cru,

                     Telle une cavalière émérite.

                    Je m'empale sur son phallus arrogant,

                    A mon rythme choisi

                    Au pas, au trot ou au galop.

 Lorsqu'il répand sa semence,

Chaude offrande volée, 

Je l'accueille en moi.

Je brise mes chaines,

J'apaise ma colère

Et enfin, je me libère.                

                   Merci.


                                                                 Version narrative     


Thomas était là, debout devant moi, dans cette chambre sombre où je l'avais entrainé. Seule la lumière de la lune entrait par la petite fenêtre délabrée de la cabane, projetant sur nous l'ombre des arbres qui dansait dans le vent...

- Je t'ai enfin tout à moi, Tom. Rien qu'à moi...je t'ai attendu si longtemps ! Aujourd'hui, enfin, tu m'appartiens ! Je fais de toi mon objet d'abandon, captif de tous mes désirs ... surtout les plus fous !

Il ne disait mot, le regard baissé, comme un enfant fautif, complètement soumis à ma volonté.

Je tenais les rênes et avais tout pouvoir sur lui ! Toute résistance s'avérait donc inutile et totalement improductive. Il en était pleinement conscient !

Mue par une force décuplée et une détermination farouche, je l'avais traqué dans la forêt, tel un fauve affamé à la recherche de sa pitance, l'obligeant à se cacher de moi. Malgré tous les subterfuges qu'il avait utilisés pour m'échapper, je l'avais retrouvé, motivée par un désir intense de le posséder.

- Déshabilles-toi, pour moi. Je veux te voir ! lui commandais-je

Il s'exécuta, retirant d'un seul geste sa chemise mouillée, avec précipitation, comme s'il voulait en finir au plus vite.

- Va plus lentement ! Laisse-moi au moins le temps d'apprécier ce dont je veux jouir !

Un torse imberbe aux pectoraux saillants et musclés où perlait des gouttes de sueur et une ceinture abdominale très joliment dessinée, en plongée directe sur l'objet de ma convoitise ! Un vrai régal pour mes yeux brillants et fiévreux !

... J'avais déjà envie de me jeter sur lui mais je tenais bon. Pour le moment !

Ses doigts tremblaient lorsqu'il commença à dégrafer les boutons de son jean, sali par sa course effrénée sur le sol humide et boueux du sous bois.

Ses pieds nus étaient encore recouverts de terre et de brins d'herbe, ajoutant du charme à l'état brut.

Je salivais, passant ma langue sur mes lèvres, tel un prédateur devant un festin annoncé. Je ne pouvais résister plus longtemps. D'un geste de la main, je stoppais le sien lorsque je vis apparaitre le bleu de son caleçon, avant même que son jean ne tomba sur le sol. Mes yeux flambaient !

... Je voulais de l'action. Maintenant ! Je ne voulais plus attendre.

Je m'approchais alors de lui, le reniflant au passage. Une odeur de mâle traqué ! J'aimais ce parfum, il m'excitait encore davantage, comme un animal attiré par l'odeur qui émanait de sa capture.

Déchainée par une chaleur bouillonnante qui accrut considérablement mes instincts primaires, je le poussais d'un geste ferme sur la chaise que j'avais pris soin de disposer à proximité, le forçant à s'assoir, les jambes emprisonnées dans son jean à moitié descendu.

Il se demandait surement ce que je lui réservais lorsqu'il leva vers moi son regard interrogateur. Il comprit bien vite ma détermination, inscrite au cœur de mes prunelles.

- Ton sort est entre mes mains... ! lui avouais-je, dominatrice.

Je disparus un instant laissant le silence envahir l'espace.

Seul son souffle parvenait jusqu'à moi. Celui d'une proie prise au piège de mes filets. Ceux que j'ai tissé jour après jour, nuit après nuit...jusqu'à cet instant !

J'entendais ma respiration également avec ces mouvements rapides et tumultueux, otages de mon propre désir sauvage et brutal. Mon cœur battait la chamade...

... Je saisis ses poignets et les attacha solidement aux barreaux de la chaise, un double nœud de huit exécuté de main de maitre, empêchant toute action volontaire intempestive de sa part.

Puis, sans attendre, je l'enjambais, me contentant seulement de retrousser ma robe ample et vaporeuse, sous laquelle ma petite culotte avait, depuis longtemps, disparu.

Je l'embrassais alors à pleine bouche, fougueusement, sa tête entre mes mains, mordant ses lèvres jusqu'à faire perler une goutte de sang. Que je léchais sensuellement en fermant les yeux pour m'imprégner déjà de ce goût de lui.

Ma langue apprécia son arôme entremêlé de peur et de soumission.

Elle se fit fureteuse... sur le lobe de son oreille, sur son cou, sur sa poitrine...où son téton s'érigea en même temps que son désir et sa verge que je sentis durcir de plus en plus sous mes fesses nues qui le chatouillaient. Peut être malgré lui, mais j'en doute fortement !!!

La bretelle de ma robe glissa dans l'action, libérant un sein ferme, tentateur, qui le nargua sans que je lui permette d'y goûter.

Je bougeais encore un peu, en mouvements pressants avant de me soulever et de sortir de son caleçon son phallus sur lequel je m'empalais d'un coup, la chatte trempée, avide de se régaler.

Il émit un murmure que je fis taire en plaquant ma main sur sa bouche.

- Chuuuut ! Laisses-moi faire... laisses-toi aller... et apprécie en silence !

Il devint la monture que je me complaisais à chevaucher à cru, telle une cavalière émérite, animée par l'obsession de remporter la victoire, récompensée par la coupe remplie.

J'alternais les rythmes, tantôt au pas, tantôt au trop, bien souvent au galop, m'accrochant à ses épaules ou au dossier de la chaise pour une pénétration encore meilleure, plus profonde.

Dure comme le roc, sa queue avait la circonférence parfaite, juste à ma mesure dispersant en moi des milliers d'étincelles brûlantes. Son gland martelait le fond de mon vagin et le bruit résonnait jusque dans ma tête.

Je le voulais tout entier, jusqu'au moindre centimètre de son organe viril. Ses testicules étaient écrasés contre les lèvres de ma vulve en fusion.

Le galop devint un moment si sauvage, si intrépide que la chaise sur laquelle il était assis bascula, emportant nos corps emboités sans pour autant séparer nos sexes accouplés.

La position dans laquelle nous nous retrouvions alors était sportive et, disons le, un tantinet scabreuse, difficile à décrire si ce n'est des contorsions anatomiques plutôt risquées.

Mais le sentiment de domination était à son paroxysme.

Je l'avais mis par terre, mon amant, mon étalon, mon jouet ! Dans tous les sens du terme ! Et c'était vraiment jouissif, là aussi au propre comme au figuré.

Je redoublais alors d'ingéniosité et lorsqu'il répandit sa semence, toutes les cellules de mon corps accueillirent cette chaude offrande volée.

Une étrange sensation m'envahit alors, une impression de légèreté et de totale liberté, comme si toutes les chaines qui me retenaient jusque là, furent d'un seul coup brisées.

Enfin, je me sentais vivre !

J'explosais alors à mon tour, de milles feux, atteignant cet état transcendantal proche de l'extase mystique.

... A ce moment là seulement coulèrent mes larmes, inondant mon visage.

... J'étais heureuse ! Enfin !

- Merci, Tom ! Merci pour tout ce que tu m'as donné !

Merci d'avoir accepté ce jeu de rôle indispensable à ma survie.

Merci pour ce geste salvateur.

Je te serais reconnaissante à jamais.

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