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Onyankopon X Reader [SnK]

Avant-propos : J'ai eu la déception de constater qu'il n'y a AUCUN Onyankopon X Reader ( A part une préférence, allons tous prier pour cette personne. ) et donc j'en suis consternée... Pourquoi les gens n'arrivent pas à voir son charisme ? :,)

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 Remettant ton épingle à cheveux en place, tu te poses pour la troisième fois sur un banc à l'ombre. Onyankopon, marchant devant toi, ne s'arrête pas et continu sa course. Tu l'appelles en grognant :

" Eh ! Attends, j'ai mal aux jambes à force de marcher... " 

Le garçon tourne les yeux vers ta silhouette avant de sourire en lâchant un soupir. Tu trouves ça éperdument mignon... Et dire que tu es censée le surveiller depuis son arrivée à Paradis ! C'est plutôt lui qui doit s'occuper de toi inlassablement... Mais ça te réjouit plus qu'autre chose, ce rapprochement entre vous. Tu es tombée pour lui et pour rien au monde tu le quitterais. Mais la vie est injuste et sortir avec un homme accusé d'être possiblement dangereux... ça serait très mal vu. Pourtant, tu ne peux oublier son charisme et son coté plutôt doux, qu'il te dévoile à chaque ballade...enfin, par contre, pas aujourd'hui :

" Encore une pause ? Ma parole t'es si flemmarde... " 

Tu lèves les yeux au ciel, ceux-ci se posent sur un colibri solitaire. Une de ses plumes s'envole au gré des vents et vient se poser sur ton nez, ce qui manque de te faire éternuer ! 

C'est juste après ça qu'Onyankopon vient s'asseoir à côté de toi, le regard droit vers l'horizon et les mains liées. Il a l'air d'essayer de garder son sérieux mais est gêné par quelque chose; tu tentes en lui mettant la plume sous le nez :

" Pourquoi tu fais cette tête ? T'es allergique aux plumes ou quoi ? " 

Soupirant juste, il se lève en contemplant la verdure alentour, détaillant de ses yeux les chemins qu'il connaît maintenant par cœur. Tu lui lances un léger regard en coin avant de repartir devant lui :

" T'es pas très enthousiaste aujourd'hui... Alors que je t'ai permis une ba- " 

" J'suis pas un prisonnier bon sang T/p ! Ce n'est pas parce que tu dois me surveiller que cela fait de moi un véritable criminel.. "

Tu le regardes, choquée, mais a comme seul réflexe de lui prendre la main en souriant :

" Je sais ça ! Je te vois comme une personne normale...tu comptes beaucoup pour moi ! " 

Les oiseaux chantent un prélude à leur sérénade, le vent ébouriffe légèrement vos cheveux, le garçon ne semble rien dire face à tes paroles sincères. Il t'invite seulement à grimper sur l'arête d'une colline, à dévaler sa colonne, et  s'asseoir en son centre. Il s'installe à côté d'une pivoine et la fixe tristement. Soudainement il se met à chantonner, tu suis le mouvement de ses lèvres naïvement et répète avec lui ; c'est une chanson qu'il clame à chaque fois que vous partez en ballade :

"  Saurais-je un jour aimer ?

Si les cieux m'en disent ainsi...

Saurais-je un jour céder,

A la tentation de cet amour transi...

Laisse tes yeux reposer, 

Comme une mère sur mes pupilles.

Et qu'enfin, nos âmes croisées,

Chantent d'une harmonie docile. " 


Jusque là, tu connais les paroles, mais celles-ci changent subitement :

" J'ai honte de ne rien avoir dit...

De plonger notre monde dans l'oubli.

Je voudrais cesser ce massacre,

Qui tonne dans mon cœur qui se craque .

Je t'aime...penses-tu pareil ? "


Ton cœur fait un bond dans ta poitrine, subitement tu te sens rougir. Est-ce qu'il se déclare...? Tu commences subitement à improviser des rimes :

" Laisse-moi étreindre la poésie de ces lieux...

Je veux te connaître, oh oui, bien mieux...

Penses-tu donc que nous deux...

C'est un risque à prendre, jouons avec le feu.

Tes sentiments sont confirmés... " 


Le garçon prend un air paniqué et s'agrippe à la terre verdoyante :

" Mais..si on est ensemble, ils diront que je t'ai envouté... que tu es qu'une traitre et...la honte s'abattra sur toi ! "

Tu rougis et l'embrasses tendrement. Ta main attrape la plume du colibri et la met dans son chemisier. Un parfum d'amour flotte dans l'air, tu ne veux pas te prendre la tête :

" Je sais que tu n'es pas là pour nous tuer... Ton seul "crime" a été de m'aimer. " 

Onyankopon joue avec une de tes mèches de cheveux, la boucle dessinant des cercles entre ses doigts, il se rapproche un peu plus de toi pour sentir ton parfum :

" J'ai honte...ça va t'attirer des problèmes...sortir avec l'homme que tu dois surveiller... " 

Mais comme toute réponse, tu te blottis contre lui et laisse la douceur s'installer. Rien ne peut séparer deux âme liées entre elles. Même pas les soupçons du monde entier...

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