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Chapitre 9 : Close

Miles m'avait proposé de m'emmener dans un endroit spécial, un lieu qui comptait beaucoup pour lui. Curieuse et un peu nerveuse, j'avais accepté. Il m'avait conduit dans une petite ruelle cachée, où un immense graffiti recouvrait un mur délabré. Le dessin était vibrant, mélangeant des couleurs vives et des détails saisissants : un oiseau en plein vol, entouré de motifs géométriques.

Miles : C'est moi qui l'ai fait, m'a-t-il avoué, un sourire un peu timide sur les lèvres. Je viens souvent ici quand j'ai besoin de réfléchir ou juste... de respirer. 

Je l'ai regardé, un peu étonnée.

Moi :  Tu peins ?

Miles a ri doucement.

Miles :  Ouais, disons que l'art m'a sauvé la vie à plusieurs reprises. 

Il s'est assis sur un muret près du mur, et j'ai fait de même, curieuse de ce qu'il allait dire.

Miles :  Quand j'étais plus jeune, j'ai traversé une période difficile. Mon grand-père, c'était mon héros. Il m'a offert mon premier appareil photo quand j'avais dix ans. Il disait toujours qu'il fallait capturer les petits instants de la vie, parce qu'ils sont tout ce qu'on garde quand les grandes choses disparaissent. 

Il a fait une pause, jouant distraitement avec une mèche de ses cheveux.

Miles : Quand il est mort, j'ai eu du mal à m'en remettre. Je me suis senti... perdu. Mais la photographie m'a aidé à retrouver un peu de lui. Chaque photo, c'est comme un souvenir que je garde vivant. Et puis, j'ai découvert la peinture. Ça me permet de mettre des choses que je ne peux pas dire en mots. 

Je l'ai écouté, touchée par sa sincérité. Miles n'avait jamais semblé aussi vulnérable, et je me suis sentie privilégiée qu'il partage tout ça avec moi.

Moi :  C'est beau ce que tu fais, Miles. Je crois que ton grand-père serait fier de toi. 

Il m'a souri, un sourire sincère qui semblait éclairer toute la ruelle.

Miles :  Et toi, Amelia ? J'ai l'impression que tu as aussi des choses que tu gardes pour toi. 

Je me suis figée un instant, hésitant à répondre. Finalement, j'ai pris une profonde inspiration.

Moi : C'est compliqué. Ma famille... je ne sais pas, parfois, c'est comme si tout le monde savait quelque chose que moi je ne sais pas. C'est frustrant. Et ça me donne l'impression de ne jamais vraiment être à ma place. 

Miles m'a regardée avec une douceur qui m'a presque désarmée.

Miles : Tu sais, parfois, c'est en prenant du recul qu'on comprend mieux. Mais au final, c'est toi qui décides comment assembler les pièces. 

Ses mots ont résonné en moi. Je n'ai rien dit, mais j'ai senti une chaleur étrange m'envahir. Pour la première fois depuis longtemps, je me suis sentie un peu moins seule. Miles avait cette capacité à écouter sans juger, à être là sans attendre quoi que ce soit en retour.

Le soleil commençait à descendre, et les ombres dans la ruelle s'allongeaient. Miles a tendu une main vers moi pour m'aider à descendre du muret.

Miles : Tu sais, tu es différente, Amelia. Mais d'une façon que j'aime bien. 

J'ai rougi, baissant la tête pour cacher mon sourire. Une étincelle avait été allumée entre nous, discrète mais bien réelle. Et pour la première fois, je me suis demandé si cette relation n'allait pas devenir quelque chose de plus profond que je n'aurais imaginé.

Après un long moment, on a décidé de renrer. Alors que Miles me dépose devant chez moi, il ralentit à l'approche de l'allée.

Miles : Franchement, j'adore passer du temps avec toi. Tu es vraiment d'une agréable compagnie. Pas comme les autres, dit-il doucement.

Mon cœur rate un battement, et avant que je ne puisse répondre, il se penche et dépose un baiser léger sur ma joue. Je sens mes joues s'enflammer, un mélange de gêne et de bonheur flottant en moi. Je descends de la voiture, le sourire collé aux lèvres.

À peine ai-je fermé la portière qu'une voix moqueuse s'élève derrière moi.

... : Eh bien, c'est nouveau ! C'est ton copain, Amelia ? 

Ilona, avec son air espiègle habituel, se tient là, les bras croisés, me regardant avec amusement.

Moi : Quoi ? Non ! Ce n'est pas... il n'est pas mon copain, balbutiai-je, tentant de masquer ma gêne.

Ilona : Oh, allez, Amelia. Tu n'as jamais souri comme ça avant. Et ce n'est pas la première fois que je le vois te ramener. 

Elle plisse les yeux dans une imitation exagérée de suspicion avant de rire. Je finis par lâcher un soupir exaspéré, mais un sourire trahit mon amusement.

Moi :  C'est juste un ami, d'accord ? 

Ilona :  Un ami, hein ? Si tu le dis... 

Elle laisse sa phrase en suspens, un sourire taquin sur les lèvres. Malgré sa taquinerie, ce moment renforce une certaine complicité entre nous. Alors que nous entrons dans la maison, Ilona me lance un regard plus sérieux.

Ilona : Tu sais, parfois, j'ai l'impression que toi et moi, on n'a pas grandi dans la même famille. Tu es tellement différente, si unique. Mais ne t'inquiète pas, je dis ça comme un compliment, hein. 

Sa remarque résonne étrangement en moi.

Moi : Différente ? répété-je doucement, mon esprit s'embrumant de questions.

Mais avant que je ne puisse réfléchir davantage, Ilona éclate de rire et continue .

Ilona : Bon, tu es bizarre aujourd'hui. Genre heureuse mais nerveuse à la fois... mais ça te va bien.  Et je sais que c'est lié d'une façon ou d'une autre à ce garçon.

Avant que je ne puisse répondre, notre père entre dans le hall.

Papa : De quel garçon parlez-vous ? demande-t-il, posant un baiser rapide sur nos fronts.

Je sens mes joues reprendre leur teinte écarlate tandis qu'Ilona ouvre la bouche, probablement pour me taquiner davantage. Je lui lance un regard suppliant, et à ma grande surprise, elle se retient.

Ilona : Oh, rien d'important, Papa, répond-elle innocemment.

Papa, avec son sourire typique mais fatigué, m'observe un instant.

Papa : Ça va, Amelia ? 

Je hoche la tête, évitant son regard, et il se dirige vers son bureau sans insister. Ilona attend qu'il soit hors de portée pour relancer la conversation, mais cette fois, son ton est plus sérieux.

Ilona : Je me demande toujours pourquoi Maman et Papa te couvent autant. C'est comme si tu avais quelque chose de spécial, différent de nous. Moi, je me sens juste... moi, mais toi, c'est autre chose. 

Je reste silencieuse, ses paroles tournant dans mon esprit. Même si elle les a dites sur un ton léger, elles s'ajoutent à ma liste croissante de doutes. Cette impression d'être "à part" dans ma propre famille commence à devenir un poids difficile à ignorer.

De retour dans ma chambre, je m'assois sur mon lit, le regard fixé sur mon bureau où s'entassent mes cahiers et mes livres. Mes pensées, cependant, sont ailleurs. Les mots du médecin tournent en boucle dans ma tête . L'idée qu'un problème inscrit dans mon ADN puisse déterminer mon état m'effraie.

Je saisis mon ordinateur portable et ouvre un onglet de recherche. Mes doigts hésitent quelques secondes au-dessus du clavier avant de taper : symptômes de fatigue chronique et troubles de concentration génétiques. Les résultats s'affichent rapidement, une liste interminable d'articles médicaux, de forums et de témoignages.

Je clique sur plusieurs liens, lisant des termes scientifiques qui me dépassent parfois, mais quelques phrases se détachent : "Ces syndromes rares sont souvent liés à une anomalie génétique héréditaire." Une autre mentionne : "L'historique familial est un élément clé pour comprendre l'origine de ces conditions. »

Mon cœur se serre. L'historique familial. C'est précisément ce que je ne connais pas. Ou plutôt, ce que je soupçonne mes parents de me cacher. Je continue de lire, cette fois sur des forums, où des gens partagent leurs expériences. Une jeune femme parle de la solitude qu'elle a ressentie en découvrant qu'elle avait hérité d'un syndrome rare, une autre explique comment sa famille avait gardé le silence sur une condition qui affectait plusieurs générations.

Chaque ligne que je lis me rapproche de cette sensation d'isolement, ce vide que je ressens depuis des semaines. Je referme mon ordinateur avec un soupir. Le poids de l'incertitude est lourd, et il s'accroît à mesure que je relie les points.

Une pensée me traverse : si cette maladie est héréditaire, pourquoi mes parents n'ont-ils jamais rien dit ? Ou alors... est-ce qu'ils savent quelque chose qu'ils me cachent délibérément ? Cette solitude, ce mystère autour de moi... Ce n'est plus qu'une question de temps avant que tout éclate. Mais combien de temps vais-je pouvoir supporter tout cela avant de savoir la vérité ?

Le dîner avait tout d'un rituel bien rodé. Les assiettes étaient méticuleusement dressées, les couverts scintillants sous la lumière du lustre. Pourtant, l'atmosphère ce soir-là semblait alourdie par une tension que seule ma famille pouvait dissimuler derrière des sourires polis et des discussions superficielles.

Maman, comme à son habitude, prit les rênes de la conversation, son ton enjoué contrastant avec la nervosité qui transparaissait dans ses gestes.

Maman : Alors, Amelia, j'ai pensé à quelque chose d'excitant ! Pour tes seize ans, on pourrait organiser une grande fête. Avec tous tes amis, de la musique, peut-être même un thème élégant. Qu'en dis-tu ?

Je posai ma fourchette, sentant déjà une fatigue à l'idée d'une telle mise en scène.

Moi : Je ne sais pas, Maman. Je ne suis pas vraiment d'humeur pour une grande fête.

Son sourire se crispa légèrement, mais elle insista, son ton devenant presque pressant.

Maman : Seize ans, ce n'est pas rien, ma chérie. C'est symbolique. C'est une étape importante, pour toi, pour nous tous. Ton frère et tes sœurs ont tous eu des fêtes mémorables pour leurs seize ans. C'est une tradition familiale.

Le mot "tradition" me fit rouler des yeux intérieurement.

Moi : Je comprends, mais je ne suis pas sûre que ce soit nécessaire, répondis-je avec une pointe de défiance. Je préfère quelque chose de simple, si on fait quelque chose.

Maman, visiblement irritée par mon manque d'enthousiasme, reprit .

Maman : Ce n'est pas juste une fête. C'est une étape importante. Tu ne veux pas laisser ce moment passer comme ça, n'est-ce pas ?

Ilona, toujours prompte à détendre l'atmosphère, éclata de rire.

Ilona : Laissez Amelia décider, voyons. Fêter ses seize ans, c'est tellement cliché ! Peut-être qu'elle veut juste commander des pizzas et regarder des films.

Je lui lançai un regard reconnaissant, un sourire discret sur mes lèvres.

Moi : Merci, Ilona.

Victoria fusilla ma soeur du regard, mais avant qu'elle ne puisse répondre, un mouvement attira mon attention. Mon père, silencieux depuis le début du repas, jetait des regards furtifs vers son téléphone posé à côté de son assiette. Ses doigts tapotaient nerveusement la table, comme s'il attendait un appel.

Moi : Tout va bien, Papa ? demandai-je, espérant qu'il se détende suffisamment pour lâcher une information.

Il releva la tête, pris au dépourvu, avant de hocher la tête avec un sourire forcé.

Papa : Oui, bien sûr. Tout va bien. Pourquoi ?

Mais son ton précipité et le changement brusque de sujet ne firent qu'éveiller davantage ma méfiance. Je lançai un regard à Ilona, qui haussa les épaules en silence, comme pour me dire qu'elle non plus ne comprenait pas ce qui se passait. Pourtant, cette soirée ajoutait une couche supplémentaire à ce mystère qui s'épaississait de jour en jour.

Après le dîner, je montai les escaliers, ma tête bourdonnant encore des mots insistants de Maman sur cette fameuse fête des seize ans. Mes pas résonnaient doucement sur le bois ciré, quand je vis mon père dans le couloir. Il semblait perdu dans ses pensées, debout près de la bibliothèque, ses mains enfoncées dans ses poches.

Il leva les yeux quand il m'aperçut. D'habitude distant et absorbé par son travail, il avait cette fois une expression différente, presque vulnérable.

Papa : Amelia, commença-t-il doucement, comme s'il cherchait ses mots. Comment tu te sens ? Je veux dire... vraiment.

Sa question me surprit. Ce n'était pas dans ses habitudes d'entamer ce genre de conversation.

Moi : Je vais bien, répondis-je, hésitant à entrer dans les détails.

Mais son regard insistant me poussa à aller plus loin.

Moi : Enfin... autant que je peux l'être, avec tout ce qui se passe.

Il hocha la tête, mais son silence me donnait l'impression qu'il voulait dire autre chose. Je pris une profonde inspiration. C'était peut-être l'occasion d'obtenir des réponses.

Moi : Papa, dis-je, plantant mes yeux dans les siens. Pourquoi tu es si nerveux ? Et pourquoi Maman insiste autant sur mes seize ans ? Est-ce que ça a un rapport avec... ma santé?

Sa réaction fut immédiate. Il détourna les yeux, passant une main sur sa nuque, un geste qu'il faisait souvent quand il était mal à l'aise.

Papa : Amelia, tu sais... les parents s'inquiètent toujours pour leurs enfants. C'est normal.

Moi : Non, coupai-je, mon ton plus ferme. Ce n'est pas ça. Vous êtes tous les deux... différents. Depuis quelque temps, tout est étrange. Je le vois bien.

Il soupira, presque résigné, mais son visage se ferma légèrement.

Papa : La fête des seize ans, c'est juste une tradition dans notre famille. Rien de plus.

Moi : Papa, insistai-je, sentant qu'il évitait le sujet. Il y a autre chose, n'est-ce pas ? Pourquoi je ressens toujours que... qu'il y a quelque chose que je ne sais pas ?

Il resta silencieux un moment, ses yeux évitant toujours les miens. Puis, presque à voix basse, il murmura.

Papa : Tu comprendras peut-être plus tard.

Ces mots, à peine audibles, résonnèrent dans ma tête comme un écho troublant. Avant que je ne puisse répondre, il posa une main rapide et presque maladroite sur mon épaule, puis s'éloigna, me laissant seule dans le couloir avec mes questions et un poids supplémentaire sur le cœur.

Avant de me coucher, la bouche sèche, j'avais une envie irrésistible de boire un verre d'eau. L'air frais de ma chambre contrastait avec l'étrange lourdeur qui pesait dans mon esprit. Je me levai doucement pour ne pas réveiller Ilona et descendis à pas feutrés vers la cuisine. Les ombres dans le couloir, projetées par la lumière extérieure, semblaient presque vivantes.

Alors que j'arrivais près de la cuisine, un murmure attira mon attention. Je m'arrêtai net, tendant l'oreille. Les voix venaient du salon. Maman et Papa discutaient à voix basse, mais leur ton était chargé de tension. Je me glissai discrètement vers la porte légèrement entrouverte, mon cœur battant de plus en plus vite. La voix de Maman, tendue, perça le silence de la nuit.

Maman : Elle commence à poser trop de questions. Et Kate est toujours sur les nerfs, ce n'est pas bon pour sa grossesse. Tout ça m'inquiète beaucoup trop, Edward. Et l'avocat qui n'est pas sûr qu'on puisse l'empêcher de sortir cette fois... je ne sais plus quoi penser... je suis inquiète.

Je fronçai les sourcils, mon esprit essayant de comprendre le sens de ses mots.

Papa : Tout ira bien, chérie. Ne t'en fais pas. Même si par je ne sais quel miracle ils le font sortir de prison, on veillera à ce que sa famille et lui n'approchent aucun des nôtres. Et puis personne n'est au courant pour elle... Kate ne dira jamais rien. On n'a pas à s'en faire pour ça.

Mon souffle se coupa un instant. Sortir de prison ? Mais qui était cette personne ? Et pourquoi Papa semblait si sûr que Kate garderait un secret ?

Maman : Elle l'a vue l'autre jour devant la maison. Moins de deux minutes, mais elle l'a vue.

Je sentis un frisson parcourir ma colonne vertébrale. Mon esprit se précipita immédiatement vers cette femme afro-américaine que j'avais croisée. Tout semblait lié, mais rien n'avait encore de sens. Un silence pesant suivit. Puis, la voix de Papa, plus basse mais ferme, retentit.

Papa : Tu ne m'en avais pas parlé. Mais ce n'est rien. Tout est sous contrôle.

Maman soupira, un soupir lourd et résigné.

Maman : Tout ça me dépasse. J'ai l'impression que tout s'écroule autour de nous. Amelia est si intelligente, Edward. Elle finira par tout comprendre.

Mon cœur battait si fort que j'avais peur qu'ils l'entendent. Leur conversation tournait clairement autour de moi, mais je ne comprenais toujours pas pourquoi. Je restai immobile, retenant mon souffle, jusqu'à ce que leurs voix s'atténuent et que je n'entende plus que le bruit du silence.

Je remontai doucement les escaliers, la tête pleine de questions, le cœur alourdi par l'inquiétude. La mention de Kate me troublait profondément. Pourquoi était-elle impliquée ? Et pourquoi Maman semblait-elle croire que tout s'effondrait autour de nous ?

Assise sur mon lit, les jambes repliées contre moi, je repassais chaque mot dans ma tête.


Personne n'est au courant pour elle... Kate ne dira jamais rien.


Qui était elle ? Et pourquoi cette femme devant la maison avait-elle semblé si importante dans leur discussion ?

Je me sentais plus seule que jamais, mais une chose était claire : je devais découvrir la vérité, peu importe le prix.

La nuit était encore silencieuse lorsque je m'allongeai finalement, mais mon esprit refusait de se calmer. Le plafond de ma chambre devenait un tableau où des fragments de conversations et des visages flottaient comme des pièces de puzzle impossibles à assembler. La femme devant la maison. Kate. Maman. Papa. La prison. Tout semblait connecté, mais rien ne se dévoilait vraiment.

Je fermai les yeux, espérant trouver un semblant de repos, mais les mots de Maman résonnaient encore :


Amelia est si intelligente. Elle finira par tout comprendre.


Un mélange d'appréhension et de détermination grandissait en moi. Si c'était le cas, pourquoi ne pas me dire la vérité ?

Peut-être avaient-ils raison de croire que je finirais par comprendre, mais ils sous-estimaient une chose : ma persistance. Je savais que ces réponses n'arriveraient pas d'elles-mêmes. Alors, je devrais les trouver, pièce par pièce.

Alors que l'aube pointait à l'horizon, je fis un serment silencieux : peu importe à quel point ils voulaient protéger leurs secrets, je découvrirais tout. Et cette fois, je ne me laisserais plus freiner par leur silence ou leurs demi-vérités.

J'étais prête. Quoi qu'il en coûte.

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