Chapitre 6
Katianna
J'étais dans les bras d'Edward quand il m'a interpelé de façon inhabituelle. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi sa voix étais chargé d'anxiété, mais je me décale de lui et lui fait face. Il commence d'abord sur une voix réticente puis poursuit aisément
- Est-ce que ta copine est une fille riche?
Je ne voyais pas pourquoi il me parlait d'elle.
- Non non pourquoi ? elle ne m'a jamais vraiment parler de sa famille, elle dit toujours que cela l'a rendait triste d'en parler donc j'évite le sujet mais de là à appartenir à une famille riche était un peu trop fantastique.
- Je vois alors Roland à du me faire une mauvaise blague.
- Pourquoi tu parles de Roland. C'est le professeur remplaçant ! qu'est- ce qu'il avait à voir avec Yarie ?
- Je ne sais pas, mais aujourd'hui je suis allé le voir chez lui pour qu'il m'explique un devoir et en arrivant chez lui, j'ai aperçu Yarie entré dans la propriété en face. Quand je suis rentré j'ai demandé à Roland pourquoi elle y rentrait, si elle y faisait une sorte de travail à mi-temps ou un truc dans le genre, il m'a simplement répondu qu'elle rentrait chez elle alors je croyais que tu étais au courant mais apparemment ce n'est pas le cas. Je suis désolé Katianna.
- Non rien ça va, je ne comprends pas pourquoi elle ne m'a pas parler de ça mais elle devait avoir une bonne raison.
Je faisais semblant devant mon petit copain que tout allait bien alors que en vrai j'étais en colère qu'elle m'ais caché un truc aussi important. J'étais frustré de savoir quand plus ce Roland semblait mieux la connaître que moi.
Je commençais à remettre en question toute nos années d'amitié. Je n'arrivais pas à m'imaginer à quel point elle avait peu confiance en moi, elle croyait un peut être que j'allais rester avec elle pour son fric, si c'est ce qu'elle pensait alors je pense qu'alors que c'est dégueulasse son comportement, sa manière d'agir.
Le lendemain, malgré le fait que c'est samedi et que j'ai horreur de sortir de la maison, je prends ma douche vite fait bien fait, je me change e-lyco et me dirige vers l'adresse que ma donnée Edward hier avant de se quitté. Il était inquiet pour moi et voulait que je règle cette affaire au plus vite avec Yarie.
Quand je suis arrivée, je devais me rendre à l'évidence, cette maison est immense. Si elle vivait vraiment ici alors c'est vrai, on n'est pas du même monde, il ne fallait pas que l'on soit amie.
Je m'avançais prudemment comme si j'avais peur d'être engloutie par tous ce luxe.
Lorsque je sonne, une femme m'ouvre la porte sans tarder et me salut de manière excessivement polie.
- Bonjour mademoiselle, s'il vous plait entré, que puis je faire pour vous ?
- ... hein ... oui bonjour, je m'appelle Katianna, j'aimerai voir Yarie !
- Oh vous êtes une amie à elle ! c'est super mademoiselle n'avait jamais encore ramené d'amie à la maison...
Elle désirait rajouter quelque chose lorsqu'elle fut appelée par ce qui semblait être son employeur. Et j'étais contente que j'étais la première à être venue ici. Mais bon, ce n'est pas non plus comme si c'etait elle qui m'avait invité.
- Delphine venez donc par-là m'aider !
- Oui madame, j'arrive mais mademoiselle à une inviter !
- Oh c'est surprenant cela dites-moi ! d'accord viens là et moi je m'occupe d'elle. Quand tu auras fini de préparer le petit déjeuner, apporte à la demoiselle un maillot de bain !
- Oui madame ! au-revoir mademoiselle passé une bonne matinée. Si vous voulez bien m'excuser !
- Oui bonne matinée à vous aussi dis-je avec une voix à peine audible.
Puis après de brève présentation la mère me remercie d'être amie avec elle. Quelque temps plus tard on m'apporta le fameux maillot de bain et je l'ai suivi dans la pièce. C'etait une grande pièce. Waou une gigantesque piscine comme cela dans une maison !
Il ni avait pas à dire, cette maison est carrément splendide.
Yarie avait été drôlement choqué de me voir ici franchement elle abuse. Mais j'avais aussi vu en elle, une fille qui essayait de trouver une échappatoire.
Et malgré la manière froide avec laquelle elle me parlait comme si moi je ne pouvais pas comprendre son monde, je lui avais pardonné parce que c'était mon amie et que je l'aimais.
Donc pour le moment je tenais à rester avec elle mais je ne voulais pas entré dans sa vie de gosse de riche. je voulais continué à connaître la vrai Yarie même si je connaissais maintenant la Yarie riche ou plutôt l'intégral de sa personnalité.
C'est pour cela, j'ai pris soin malgré mon déchirement de me tenir éloigné de sa vie en dehors de l'école, la bibliothèque ou nos lieux habituelles.
Maintenant que j'étais partis de chez elle à la vas vite, je me rendait compte à quel point j'avais espéré qu'elle soin comme moi.
j'avais espéré qu'elle soin une employer ou un truc dans le genre. et j'avais mal qu'elle m'ait caché la vérité. Mon cœur saignait de douleur mais je ne pouvait même pas en parler à ma meilleur amie. je savais qu' à partir de maintenant, quelque chose allait être brisé dans notre amitié et la seule pensée d'être différente avec elle me terrorisait et m'angoissait, de ces angoisses silencieuse et pourtant aussi tranchante meurtrière que la lame d'un couteau neuf.
je me dirigeais vers la maison d' Edward, j'avais besoin de sa chaleur, de son amour, qu'il me dise des mots gentils, me réconforte et me sert fort dans ses bras. maintenant tout de suite, j'avais besoin de lui. seulement lui et rien que lui.
Quand il me vit, il sut tout de suite que j'avais besoin de lui et m'ouvrit grand ses bras, il m'accueillit avec pleins de tendresse et cela me rassurait énormément.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro