Chapitre 18
Les chemins séparés.
Une semaine plus tard
Voilà maintenant une semaine que Yarie était rentrée. Elle s'était reposée, et se remettait très bien de son accident. Même si elle avait appris avec horreur qu'elle devra retourner faire son traitement de façon régulière et de plus, elle n'était pas autorisée à retourner faire de la plongée avant 6mois.
Elle se sentait triste et abandonnée.
En plus, Roland n'était pas venu la voir. Il avait pourtant promis qu'il reviendrai le lendemain. Elle l'avait attendu toute la journée mais rien ne montrait qu'il était passé ou qu'il allait le faire.
Elle s'était résignée !
Roland était assis sur son lit. Il regardait sa valise déjà prête. Il lui avait promis qu'il allait aller la voir.
Pourtant les remords l'avait dissuadé. Il s'en voulait et pour se punir, il s'empêchait la joie de la voir. Il était assis le regard dans le vague, réfléchissant. Peut-être à la manière de lui dire qu'il allait encore partir. Il ne savait pas comment elle prendra la nouvelle.
Il fut arraché de toutes ces pensées par une Yarie furieuse.
- tu n'es qu'un sale menteur tu m'avais promis que tu viendrais me voir.
- Oui, mais je ne suis pas un menteur parce que, quand je te l'ai dis, je le pensais!
- Mais tu n'es jamais venu. Je t'ai attendu et toi tu n'es pas venu.
Elle s'était approchée et lui donnait des coups sur son torse. Il ne les sentait même pas.
Il l'a regardé les yeux remplis de tristesse.
Enfin elle se calma, s'assit sur le lit et elle peut voir la valise déjà fait.
- C'est... quoi ça? Dit-elle hésitante.
Roland tressaillit, il n'avait pas encore pensé à ce qu'il aurait pu lui dire!
- Yarie comment te le dire? Ma... valise est... prête parce que demain, je m'en vais!
Elle resta figé! Ayant perdu toute sa force, elle se laissa tomber sur le lit. Ses yeux hagards fixait le plafond comme si cela avait été la pure merveille. Roland ne sachant plus quoi faire, se laissa donc à son tour tomber près d'elle et il fixa le plafond!
Ayant sûrement mare de regarder le plafond, ils se tournèrent l'un vers l'autre. Leurs yeux n'était que douceur, amour et peu être même désir.
Ils s'approchèrent l'un de l'autre jusqu'à ne plus avoir ne serait ce qu'un atome d'oxygène entre eux.
Une lueur dansait dans leurs yeux. Roland tendu la main, l'attrapant par la taille, il la fit basculer dans ses bras robuste.
Elle s'y sentait en sécurité et elle se mit à humer son odeur. Malgré les petites chatouilles et les frissons que cela lui procurait, il la laissa faire.
Et puis n'en pouvant plus, il la fit basculer vers sa gauche et se retrouva au dessus d'elle. Elle fut surprise mais se laissa faire en fermant les yeux. Ravi qu'elle voulait la même chose que lui, il déposa ses lèvres contre les siennes. Elle frisonna de plaisir! Puis il approfondi leur baiser mais cela avec une infine délicatesse.
Puis après ce qui les a semblé une éternité, il se leva, caressa doucement sa joue et lui chuchota dans un souffle.
- viens !
- où ?
- chez toi !
Elle ne su pas pourquoi mais elle le suivi docilement. Ils étaient la main dans la main et elle voulait garder leur main ainsi pour l'éternité.
Ils rentrèrent dans la maison et étrangement, tout le monde était dans le salon. Même si c'était un samedi, la chose était rare d'avoir toute la famille réunie.
Ils s'approchèrent d'eux et Roland retira sa main de la sienne. Elle se sentit abandonné. Et la tristesse voila son magnifique visage.
- Alors commença le père, je peux savoir pourquoi tu tenais à ce que nous soyons tous présent?
Yarie le regardait sans comprendre. Elle se disait bien que c'était étrange.
- Je vous ai tous réunis parce que, je voudrais demander la main de Yarie.
Il s'approcha d'elle, se mit en genou en sortant une bague en diamant.
- Yarie, veut tu m'épouser ?
Elle poussa un cri de joie de de surprise avant de lui dire oui.
Il se leva et l'embrassa avec fougue tellement il était content.
Laeticia se racla la gorge avant d'entamer.
- hé bien je pense que Yarie a déjà fait le choix. Non?
Ils éclatèrent de rire avant de se lever pour félicité la nouvelle fiancée.
Les événements se passa trop vite à son goût. Elle flottait désormais sur son petit nuage.
Après avoir trinqué pour le bonheur des futurs mariés, Roland fut savoir qu'il aimerait passé la nuit avec elle.
Félix le regardait avec des yeux faussement en colère avant de lui lancer :
- tu l'as touche, je te tue!
Princesse lui donna un coup de coude lui signifiant de s'occuper de ses affaires.
Plus tard, Roland prit sa fiancé et s'en alla chez lui.
Cette fois encore, Yarie fut surpris. Le père et la mère de Roland étaient là. C'était la première fois qu'elle les voyait.
Elle se mit à stresser. Roland ayant remarqué, se tourna vers elle et lui dit sur un ton ferme mais doux.
- Calme toi, tout vas bien ! Ils sont gentils. Mon père est très sévère mais ne t'inquiète pas.
Ce qui venait de lui dire ne l'avait pas du tout aidé, bien au contraire.
Finalement, il se mit à table pour le dîner. Son père ne pût cacher sa surprise.
- Fiston, explique moi parce que je suis perdu ! J'aurai donné ma main à couper que les fiançailles avait été rompus.
- En effet! C'est la raison pour laquelle j'ai du redemander sa main. Cette fois elle a dit oui alors papa, maman, je vous présente la future madame Chapelle.
Yarie sourit de plus belle. Nathalie était très contente, elle se leva et serra sa belle-fille dans ses bras ! Quand elle avait vu sa photo, elle su qu'ils étaient fait l'un pour l'autre.
Le repas s'était terminer bien vite.
Yarie était montée et Roland était resté en bas discuter avec son père.
Elle en profita pour se mettre en pyjama. Quant à lui, il était rentré dans la chambre seulement une heure plus tard.
Lorsque la porte c'était ouverte, elle s'était crispé dans le lit. Elle appréhendait cette nuit.
Il se mit à son tour en pyjama et se glissa dans le lit prêt d'elle.
- Tu dors ma princesse ?
Elle ne répondit rien, trop peureuse de ce qu'elle désirait.
Il s'approcha plus près, et la vit se raidir. Il sourit et la prit dans ses bras. Elle mit ses mains sur son torse et murmura
- non je ne dors pas !
- tout va bien! Je promets de ne rien faire de stupide!
- non ce n'est pas ça !
- ah bon ?
- j'ai peur !
- de quoi ?
- de rester seule !
- je reviendrai je te le promets
- c'est vrai !
Il l'embrassa pour lui confirmer et lui dit contre ses lèvres
- oui promit !
Il voulait la garder pure pour leur nuit de noce. Donc, il se contenta de l'embrasser a l'en rendre folle. Et puis, il la serrer très fort dans ses bras.
- bonne nuit Yarie!
- bonne nuit Roland!
Le lendemain, la séparation fut très dure mais tous deux avait la certitude qu'un jour, ils seront de nouveau ensemble.
Fin
Alors ?
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