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Chapitre 16

Katsuki dormait toujours à ses côtés et il commençait à stresser, il était toujours un peu faible. Il entreprit de réveiller le mafieux en le regardant avec des yeux inquiets, ce dernier râla un peu mais devint sérieux quand il vit Kirishima.

« - Il y a de drôles de bruits en bas et apparemment se sont les hommes de ton père. »

Le rouge semblait tétanisé, il s'était instinctivement blottit sous la couette. Il se sentait vraiment faible et peu viril mais il ne s'était toujours pas remis de la rencontre avec son frère. Malgré l'urgence de la situation, Bakugo le trouva infiniment mignon et se releva rapidement en constatant qu'effectivement il y avait de gros bruits de pas. Il claqua un léger sur le front du dealer et lui indiqua de ne pas sortir de la chambre avant qu'il ne revienne.

Eijiro aurait dû écouter le blond et rester au lit, mais les bruits provenant du rez-de-chaussée l'inquiétaient trop, et puis le lit avait l'air froid sans le mafieux, alors il s'était doucement levé et était sortit de la chambre sans un bruit. Quand il aperçu Katsuki, il soupira de soulagement, le futur parrain semblait gérer la situation, c'est dans un moment comme celui-ci que le dealer se souvenait du rang et de la place de son compère. Ce dernier avait assommé un homme et avait acculé le deuxième contre un mur, le menaçant de son arme, obligeant les autres à ne plus esquisser un geste.

«- Écoutez moi bien bande de bouffons, vous allez vous tirer d'ici et me laisser tranquille où je vous explose. Et dites à mon père que pour l'instant je profite de la vie et que si il ose toucher à Kirishima, je flingue chacun de ses hommes. Maintenant cassez-vous, c'est une ordre !»

Le rouge attendit patiemment que l'explosif ait fermé la porte, restant discret puis il s'était jeté sur lui, le serrant fort. Il releva la tête et lui embrassa la joue, s'exprimant à toute vitesse.

« - Je suis désolé, j'aurais du descendre moi-même. Si tu savais comme je m'en veux, il aurait pu t'arriver quelque chose. Je n'aurais jamais dû te kidnapper comme ça, tu aurais eu moins de soucis. Tu ... Tu devrais rentrer chez ton père, se sera moins dangereux pour toi."

Il avait planté ses orbes dans celles de son vis à vis. Il était réellement inquiet, il ne voulait pas mettre la vie du jeune homme en danger, et il culpabilisait, ayant beaucoup de mal à relativiser. Le dealer se recula doucement, regrettant la chaleur du corps contre lequel il était blotti quelques secondes au paravant. Il était décidé même si cela l'embêter au plus haut point, seulement il n'avait pas envie de formuler ces phrases qui tournaient en boucle dans son esprit, pas maintenant. Il se contenta donc de se rediriger vers la chambre tout en faisant un signe au blond de la suivre. Une fois arrivé dans la pièce aux murs bleus clairs, il allongea Katsuki sur le lit, n'écoutant pas ses possibles protestations. Puis il s'allongea sur le torse du mafieux, calant sa tête dans son cou. Il se foutait de tout, il savait qu'il allait devoir prendre des décisions qui ne lui plaisaient pas et voulait simplement profiter du jeune homme .

«- Tsss tu es chiant quand-même, je ne m'attache que très rarement aux gens, mais toi j'ai pas envie que tu partes. J'ai pas envie que tu sortes de ma vie maintenant.»

Il s'était relevé pour regarder le futur parrain dans les yeux, il savait qu'il avait lui-même les yeux humides mais il sourit quand même et caressa tendrement la joue de son vis à vis, s'attardant sur la peau douce. Son sourire était forcé mais il voulait que l'autre le voit comme quelqu'un de fort et réfléchit.

«- De toute façon toi et moi nous n'aurions jamais dû nous rencontrer. Regardes à quel point on est différent : je suis juste un gamin des rues alors que toi tu es magnifique. Tu as un grand avenir devant toi, et tu as l'étoffe d'un chef, un chef bienveillant et vertueux. Tu vas y arriver et tu pourras être fier quand tu parleras à ta femme et tes enfants.

A la fin de sa phrase il lui avait embrassé le front avec toute la douceur dont il était capable. Son cœur s'était atrocement serré tout le long de son monologue, et pour palier à cette inhabituelle sensation, le dealer s'était relevé. Tout en se dirigeant vers l'armoire il eut un sourire triste, mais il continua, préparant ses affaires.

"- Malgré tout j'ai bien aimé passer du temps avec toi. Le bon côté c'est que tu n'auras plus à me supporter, je vais disparaître et tu vas gentiment continuer ta vie, même si j'avoue que j'aimerais bien que tu éclate la gueule à ton père."

Il avait doucement rigolé, imaginant bien Bakugo mettre une raclée à n'importe qui. Eijiro avait toujours marché à l'affectif, ne réfléchissant que très rarement quand il devait prendre une décision, c'est pour ça qu'il était prêt à renoncer à la petite bulle qu'ils avaient construite pour garder le mafieux en sécurité. Quelques heures auparavant il n'aurait jamais crus qu'il demanderait un jour au blond de rentrer, mais le fait de voir l'explosif avec ces hommes qui aurait pu s'avérer dangereux l'avait brutalement fait redescendre sur terre.

"- Je ne veux pas que tu sois en danger, tu es bien trop important pour ça."

Quand son regard croisa celui de Katsuki, il ne put s'empêcher de baisser la tête. Il n'avait pas envie de me laisser partir, ni même de se retrouver aussi seul qu'avant mais il ne voyait aucune solution. Et puis maintenant qu'il réalisait la force de ses sentiments, il se disait que partir lui éviterait de tomber inexorablement amoureux, chose qu'il était entrain de faire.

«- En plus je suis censé rejoindre mon oncle demain matin, donc tu vas t'ennuyer seul ici.»

Encore un sourire forcé. Le dealer s'était finalement assis sur le lit tout en dévisageant son vis à vis, puis un sourire taquin était apparu sur ses lèvres. Tout en se rapprochant du mafieux son sourire s'était agrandi. Une fois qu'il fut arrivé à lui, il le poussa et le rallongea sur le lit. Il lui embrassa la joue mais ses baisers descendirent plus bas, arrivant dans son cou, et sans laisser la moindre protestation sortir de la bouche du futur parrain, le rouge lui laissa un suçon bien voyant au milieu du cou, il s'autorisa même à en laisser un plus petit de l'autre côté. Il finit par relever la tête avec un sourire fier.

«-Ça c'est pour que tu te souviennes encore un peu de moi et que tu ne m'oublies pas dès demain. De plus c'était bien trop tentant, tu es bien vraiment trop tentant ! Faudrait que j'arrête de parler ou je vais dire des choses que je vais regretter.»

Persahel aimait vraiment son idée et la trouvait géniale, même si une petite voix au fond de lui lui criait que ça ne marcherait certainement pas et qu'il l'avait fait pour son propre plaisir car il savait très bien qu'en décidant de tout arrêter la, il laissait Katsuki l'oublier. Il l'a fit taire rapidement et se releva en rougissant, il arrivait à douter de lui-même, il pensa qu'il était vraiment désespérant.

«- En vrai ça fait chier que tu partes je vais m'ennuyer sans toi, j'aurais plus de mafieux à embêter.

Il finit par rire en lui ébouriffant les cheveux. Il allait définitivement lui manquer, il serait presque revenu sur sa décision et l'aurait obligé à rester plus.

«- Tu devrais rentrer dans la journée, car plus je te vois plus ma motivation à te laisser partir s'effrite et je vais finir par continuer à te kidnapper plus longtemps, on vagabonderait d'hôtels en hôtels pour que personnes ne puissent nous retrouver, et on vivrait une vie d'aventure et de voyage...»

Il eut un léger rire tout aussi forcé que ses sourire et lui ébouriffa encore une fois les cheveux gentiment. Il avait réussit à se faire rêver tout seul, quel idiot ! Il savait pourtant que l'homme face à lui tenait trop à ses responsabilités pour envisager ce genre de vie. C'est pour cette raison qu'il fut surprit quand une paire de lèvres se posèrent sur les siennes avec violence. Il beugua un peu, Bakugo l'embrassait avec ardeur, le plaquant même contre le matelas.

«- Je me fous d'être en danger, je crèverais toutes les personnes qui s'opposeront à moi, mais ne me laisses pas partir. Pas après que tu m'aies autant cherché, et que tu ai réussi à obtenir ma confiance et mon respect. »

Il allait répliquer mais une nouvelle fois il fut coupé par la bouche du mafieux, qui cette fois était bien plus avide. Il se laissa aller dans le baiser et y répondit, passant ses bras autour de la nuque du blond.

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Enfin finis! J'ai eut du mal à écrire ce chapitre entre le bac et le fait que je ne l'aimais pas du tout, mais il me convient enfin, même si c'est pas mon préféré. Ils ont enfin franchi le cap !
Donnez moi vous avis car la je suis pas très sûre de moi.

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