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Chapitre 1

Le réveil fut difficile, Kirishima s'était levé en retard et avait du s'activer furieusement pour pallier à ce problème. Il était actuellement entrain de courir dans les rues grises de la ville, en approchant du point de rendez-vous il ralentit, histoire de reprendre contenance. Tout en marchant il remarqua que le quartier était anormalement calme, il n'y avait pas un chat dans les rues, la situation eu le don de le faire stresser, le roux détestait être seul, la solitude l'angoissait mais il ne se l'avouait pas, plus par fierté mal placé qu'autre chose, après tout avoir peur d'être seul n'était pas viril. Il chercha la rue qu'il avait visité le jour précédent en vain, un long soupire lui échappa et il se dirigea au hasard dans une rue en pestant contre lui-même, il était capable de se perdre sur une ligne droite. Il décida d'analyser son environnement, c'était assez ressemblant au point de rendez-vous, alors il chercha des yeux, ne sachant pas trop à quoi s'attendre. Il sursauta en apercevant un blond venir à sa rencontre, il le dévisagea un long moment. L'homme en face de lui ne ressemblait pas du tout à l'image qu'il s'était fait d'un homme de la mafia, il ne ressemblait pas à un vieux ayant survécu à diverses formes de tortures, il sourit en pensant à quel point son idée d'un mafieux était cliché, sauf pour les habits, sur ce point le cliché semblait vrai. Tout en acceptant la main qu'on lui tendait, il se sentit mal à l'aise, lui n'avait fait aucuns efforts, enfilant un simple jean noir éraflé sur les genoux, un débardeur blanc et une veste en cuir pour couvrir ses bras, il avait même remis son piercing à la lèvre. Ce fut la voix du blond qui le sortit de ses pensées.

- «J'imagine que tu es le connard que mon père a recruter ? Si c'est ça tu peux aller te faire foutre. Tu ne passeras meme pas un mois dans notre monde avant de crever.
- Oui c'est moi, je suis Eijiro Kirishima, je peux connaître ton nom ?
- Je m'en tape de ton nom shitty hair, et en quoi le mien t'intéresse connard ?
- Nous allons être amené à passer du temps ensemble donc je préférerais t'appeler par ton nom que hérisson.»

C'était un mensonge, il s'en foutait un peu, mais la phrase l'avait interpellé, de même que le caractère explosif de ce blond.

« Je dois bien avouer que je n'aspire pas à passer ma vie à bosser dans la mafia, et que je compte partir un jour, mais pour l'instant je suis là, alors autant que ce soit fructueux. »

Il avait ponctué sa phrase d'un sourire impétueux. Il comptait bien montrer à ce Bakugo qu'il n'était pas un vulgaire larbin, et qu'il ne se laisserait pas démonter aussi facilement. Il se tourna et commença à marcher vers la sortie de la rue, regardant en arrière pour voir si le mafieux le suivait et déclara :

« -Tu viens ? J'en ai marre des ruelles puantes, de plus je suis sûr que ton supérieur à placé des espions ou des micros et qu'il nous écoute en ce moment même alors autant vous prendre de court et changer d'endroit, j'aime bien être libre de dire ce que je veux sans que cela soit enregistré.»

Tout en parlant, le jeune homme les avait mené à un centre commercial. Il en fit le tour et s'arrêta devant une cage d'ascenseur, s'engouffrant dans celui-ci. Il appuya sur le bouton indiquant le quatrième étage, le plus haut d'ailleurs. Les portes de fer s'ouvrirent et il gravit encore quelques marches, jetant de bref coup d'œil par dessus son épaule pour vérifier que le blond le suive bien. Il atterrirent sur un parking à toi ouvert, ce dernier surplombait la ville, et on pouvait apercevoir certain monument historique.Eijiro contempla quelques secondes la vue avant de se diriger vers le fond du parking, deux grosses portes reposaient à chaque extrémités de celui-ci.

« - Tu vas avoir le plaisir de visiter l'un des plus bel endroit de la ville, enfin selon moi. D'habitude c'est un repère de drogués et autres énergumènes mais depuis que la sécurité a verrouillé les portes, il a été oublié de tous »

Sans attendre une quelconque réponse du blond, il escalada le petit muret à côté de la porte et sauta dans ce qui semblait être la cage d'un escalier en colimaçon. Il attendit que Le mafieux en fasse autant et s'aventura dans les escaliers. A tous les étages, les palliers étaient tagués, seulement chaque graffitis représentait une citation d'un grand auteur, ou un message d'espoir. On pouvait lire des citations de Zola, de Dostoïevski ou même du philosophe danois Kierkegaard, à certains endroits on pouvait même lire du Eminem. Kirishima s'arrêta au troisième étage, et s'assit à même le sol, jugeant l'autre d'un regard.

« - Alors qu'est-ce que tu en penses ? Je suis sûr que tu n'as jamais vus un tel endroit

- Ce serait mieux sans toi et ta sale gueule.»

Le carmin sourit tout en rejetant sa tête en arrière, la calant agréablement contre le mur. Il avait toujours aimé cette endroit qu'il savait peu commun. Il réfléchit à sa situation et réprima un rire, si jamais la sécurité les trouvaient ils étaient mal barrés, la police se ferait un malin plaisir d'attraper un dealer et un mafieux en une seule opération aussi simple qu'un cas d'effraction. Cependant il ne se prit pas plus la tête et s'adressa au jeune homme en face de lui

« - Et donc la blonde, pourquoi c'est toi qu'on a envoyé ? Tu as l'air d'un novice et on m'a dit qu'on m'enverrai le futur chef ou un truc du genre pour apprendre les us et coutumes de votre clan, sauf que tu as juste l'air d'un gars de mon âge normal et tu fais pas assez peur pour être un dangereux mafieux »

Persahel ajouta un sourire narquois à ses propos, il voulait provoquer l'autre et le pousser à bout, après tout on lui avait dit qu'il devait être un exercice, et il avait décidé d'être le pire de tous.

«- Répète un peu ce que tu viens de dire connard ! Je suis le futur chef de cette putain de mafia, et je pourrais t'exploser la gueule à tout moment.»

Il se releva et commença à descendre comme rien ne s'était passé, il allait ouvrir la porte leur permettant de retomber sur la rue quand une voix se fit entendre. Il se tourna vers Bakugo et lui ordonna de remonter, courant dans les escaliers, ce ne fut qu'une fois sur le parking qu'il s'autorisa à souffler et reprendre son souffle.

« -on devrait déguerpir au plus vite, sinon on est plus que mal barrer.

- Alors comme ça on a peur d'un simple vigile ? Laisses-le moi deux minutes, je vais l'éclater ...»

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