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8.

Tandis que la rousse se retient de rire devant les gros yeux de l'employée, Adrian les guide jusqu'à leurs places, hilares.

— Ta réputation est faite, Max.

— Oh, mon Dieu ! s'offusque-t-elle faussement. Le monde entier va savoir que je me suis retrouvée enfermée dans les toilettes avec Adrian Léonce.

À aucun moment, le chanteur n'a lâché la main de la rousse, trop heureux de savourer ce contact tant espéré. Il entremêle de nouveau leurs doigts, caressant subtilement la peau douce. Niaisement, ils ne peuvent s'empêcher de se dévorer du regard en souriant.

— Il faut que j'envoie une lettre de remerciement à l'agent d'embarquement qui t'a empêché de partir avec l'autre vol, souffle-t-il. Oh non ! Je vais lui faire une chanson.

— À ce point ? s'étonne-t-elle.

— Et bien, grâce à elle, je t'ai rencontré. Les probabilités que cela nous arrive étaient vraiment très minces.

— C'est sûr ! Extrêmement mince, je dirais même. Il faut qu'on en profite avant qu'on atterrisse.

— Pourquoi juste jusqu'à l'atterrissage ?

— Parce que nous allons retourner chacun à nos vies après.

— C'est ce que tu penses ?

— Adrian, tu ne peux pas nier que nos univers sont très différents l'un de l'autre.

— Non, je ne le nie pas. Mais je ne vois pas en quoi cela peut être un problème.

— Peut-être parce les chances de se revoir sont aussi minces que celles que nous avions de nous rencontrer.

— Écoute Max, je sais que nous ne partons pas avec toutes les chances de notre côté. Mais ne partons pas directement sur une défaite. "Take a chance on me" comme le dit la chanson.

— Voilà que maintenant tu me sors du ABBA.

— Je peux te sortir mille références qui expriment mon état d'esprit actuel. Ça va de "Hungry Eyes" d'Eric Carmen à "Lovely Day" de Bill Withers. "Just one look at you, and I know it's gonna be a lovely day..." (juste un coup de œil sur toi et je sais que ça va être une merveilleuse journée).

La graphiste se sent de nouveau devenir toute rouge. Il est tellement mignon à chanter la sérénade. Jamais elle n'a vécu ce genre de situation avant cela.

— Mais tu as ton tournage.

— Je ne travaille pas tous les jours.

— Et la distance ?

— Pendant trois semaines, je ne serais qu'à quelques kilomètres de toi.

— Je ne veux pas abandonner Audrey.

— Tu ne le feras pas, promis. Je pourrais venir vous rejoindre, comme vous pourrez venir à Vancouver aussi. Mais s'il te plait, ne jette pas tout de suite notre histoire. Elle a à peine commencé.

La voix du capitaine annonce dans les haut-parleurs que l'avion arrive à proximité des terres canadiennes.

—  Je ne sais pas Adrian...

— Laisse-moi ton numéro. Nous pourrons en discuter plus longuement une fois que nous aurons atterri

— Mon forfait n'est pas international.

— Tu te rends compte que je suis en train de te supplier là.

— Je sais. C'est juste que j'ai peur.

— De moi ?

— Non, de tout. Autant que ça marche que d'être déçue.

— Je ne te veux aucun mal.

— Je me doute.

— J'ai juste envie d'être avec toi.

— Je suis perdue.

— S'il te plaît, Max.

— Ça me semble impossible.

— Je vois. Je présume que je ne te ferai pas changer d'avis ?

— Je suis désolée.

— Je comprends. Après tout, nous n'avons passé que dix heures l'un à côté de l'autre à discuter.

— Ne rends pas la chose plus compliquée qu'elle ne l'est déjà.

— Je vais essayer. Est-ce que je peux te demander tout de même une faveur ?

— Laquelle ?

— Est-ce que tu veux bien que nous restions tout de même ensemble jusqu'à ce que nous ayons récupéré nos bagages ? Après, nous partirons chacun de notre côté.

— Oui, je veux bien, répond-t-elle sans trop d'hésitation.

La voix grave du commandant de bord indique que l'avion entame sa descente vers l'aéroport. Adrian retourne à sa place. Il attrape la main de Maxine et continue de serre fortement en l'embrassant. De nouveau, la jeune femme culpabilise, se blâmant d'une certaine nullité à gâcher tout ce qui l'entoure avec beaucoup de facilité. Elle rencontre un charmant jeune homme et lui brise le cœur en quelques instants. Quand elle pense que de nombreuses filles rêveraient d'être à sa place. Je ne suis vraiment pas normale comme fille. pense-t-elle en savourant le contact des lèvres du musicien sur sa peau.

Sur le tarmac ensoleillé, l'avion atterrit sans encombre. Bien que l'on ne soit qu'en milieu de matinée, l'air a déjà commencé à se réchauffer et annonce une journée radieuse. Mais pas pour tout le monde vraisemblablement. Les yeux dans le vague, Adrian ne dit pas un mot. Lorsqu'ils ont l'autorisation de se lever, l'homme lâche enfin la poignée de celle qui a réussi à illuminer son cœur et l'éteindre en quelques heures. Il attrape ses affaires et aide la rousse à prendre les siennes par la même occasion. Il s'équipe d'une paire de lunettes de soleil et ajuste la capuche de son sweat.

— Si tu as des lunettes, tu devrais les mettre. On ne sait jamais.

— On ne sait jamais quoi ?

— Il pourrait y avoir des photographes à l'aéroport. C'est juste pour que tu ne te fasses pas embêter après.

Étonnée de sa réflexion, elle s'équipe comme lui. Rapidement, il glisse de nouveau sa main dans la sienne et l'entraîne vers la sortie de l'avion. Après la passerelle, une personne, désignée comme un assistant personnel, guide le couple au travers d'un dédale de couloir vers l'intérieur de la bâtisse jusqu'à un salon privé. Il la maintenant contre lui comme pour la protéger. Les vitres fumées de la pièce, donnant sur le hall des arrivées, montrent la foule qui attend. Quelques minutes d'attente et ils sont de nouveau conduits vers un autre couloir où un officier des douanes les reçoit pour quelques formalités. La jeune femme est surprise de la facilité des démarches pour les personnes issues de la première classe. Enfin, Adrian récupère ses bagages sur un chariot qui lui est réservé.

Durant toutes ses démarches, le chanteur n'a pas lâché la graphiste, resserrant même son étreinte dès qu'il en avait l'occasion. Respirant allégrement ses cheveux et son parfum pour en garder le souvenir le plus impérissable. Les rares moments d'intimité qui leur est donné est propice à de savoureux baisers qu'il lui vole sans aucune honte. Ce qui n'est pas le cas de la rouquine qui ne peut s'empêcher de culpabiliser de l'avoir rejeté. Même si elle se sent bien dans ses bras, elle s'interroge sur son choix. A-t-elle fait le bon ?

Elle regarde son téléphone qu'elle avait laissé au fond de sa poche pendant la durée du voyage. Plusieurs messages d'Audrey sont arrivés par le WiFi. Elle l'attend à la sortie avec sa valise. Un souci de moins ! pense-t-elle. Parce que dès qu'elle le regarde, elle ressent une certaine peine derrière son sourire. Il n'a pas ouvert la bouche une seule fois, faisant peser plus lourdement l'atmosphère. Elle est si émue de devoir le quitter que son cœur bat à mille à l'heure. Avant qu'ils ne sortent de la zone de récupération des bagages, Adrian la serre de nouveau dans ses bras. Il embrasse son front avec beaucoup de tendresse. Elle essaye, malgré la tristesse qui l'envahit, de faire comme lui en lui chantant quelques phrases.

— "I didn't mean to hurt you, I'm sorry that I made you cry. Oh no, I didn't want to hurt you. I'm just a"... une fille stupide ? (Je ne voulais pas te blesser, je suis désolé de t'avoir fait pleurer. Oh non, je ne voulais pas te blesser. Je ne suis qu'...).

— Tu détruis l'œuvre de Lennon pour te faire pardonner ? C'est très cruel et irrespectueux.

— Je n'ai que ça qui m'est venu en tête, rit-elle les larmes aux yeux.

— "Now the time has come to leave you , one more time,, chante à son tour l'homme, à l'oreille de la femme qui fait battre son coeur. Let me kiss you then close your eyes. And I'll be on my way dream about the days to come, when I won't have to leave alone about the times, I won't have to say : Kiss me and smile for me. Tell me that you'll wait for me. Hold me like you'll never let me go 'cause I'm leavin' on a jet plane. Don't know when I'll be back again. Oh babe, I hate to go" (Maintenant l'heure est venue de te quitter, une fois encore. Laisse-moi t'embrasser puis ferme les yeux. Je partirai rêver aux jours à venir, quand je n'aurai plus à partir seul, aux fois où je n'aurai plus à dire : Oh, embrasse-moi et souris pour moi. Dis-moi que tu m'attendras. Serre-moi comme si tu ne me laissais jamais partir parce que je pars dans un avion à réaction. Et je ne sais pas quand je serai de retour. Oh bébé, je déteste partir.)

Son couplet est ponctué d'un tendre baiser. Le dernier de leur brève histoire. Quelques heures partagées, qui leur ont permis d'apprendre à se découvrir et à s'apprécier. Les dix heures les plus courtes et les plus longues de leur vie. Une relation des plus éphémères. Ils se séparent, s'équipent de leurs masques de protection et rejoignent le hall des arrivées. Au loin, Maxine aperçoit la folle tignasse frisée rouge de son amie Audrey qui saute partout en lui faisant de grands signes. Adrian est en retrait derrière elle. Max se retourne et lui adresse un signe de la main. Il y répond timidement.

Enfin, elle part rejoindre Audrey et Anni, leur hôte canadien. Elles se sautent dans les bras. Une fois les présentations effectuées, elles partent directement vers la voiture. Il faut dire qu'elles attendent depuis un bon moment que la graphiste arrive enfin. Cette dernière jette un dernier coup d'œil derrière elle pour espérer le voir mais Adrian n'est plus là. C'est bel et bien fini maintenant. La parenthèse de ce vol enchanté s'est refermée.

La mine grave, elle suit les deux femmes qui s'enthousiasment sur le programme des vacances. Anni remarque pourtant rapidement le contraste, l'interrogeant sur ce qui la tracasse. Alors, sur le chemin, Maxine leur raconte ce qu'il s'est passé durant cet incroyable voyage.

— Tu es en train de me dire que non seulement tu as rencontré Adrian Léonce, énumère son amie, mais aussi que tu as passé tout le vol à parler avec lui, que vous avez craqué l'un sur l'autre, que vous vous êtes même embrassés et que pour finir, tu l'as rejeté ? Je n'y crois pas ! Mais tu as perdu la tête ou quoi ?

— Audrey, on n'a rien à faire ensemble lui et moi.

— Ah bon ? Pourquoi ?

— Enfin, on n'est pas du même monde.

— Et alors ?

— Qu'est-ce qu'il viendrait foutre dans notre trou pourri ? Et je n'ai pas envie de vivre une histoire avec quelqu'un que je ne vois jamais.

— Tu me rappelles pourquoi tu as voulu partir à l'autre bout du monde.

— Pour tourner la page.

— Exactement ! Mais ta nouvelle page, en quoi est-ce qu'elle doit ressembler à celle que tu viens de tourner ? Qu'est-ce qui t'empêche honnêtement de vivre une nouvelle vie ?

— Je ne sais pas.

— Moi je vais te le dire ! Rien ne t'en empêche ! C'est juste toi toute seule qui te met des barrières. J'ai besoin de savoir, qu'est-ce que tu as à perdre ?

— Euh... Rien.

— Alors ?

— Alors, rien. De toute façon, maintenant, c'est trop tard.

— C'est encore une excuse.

— Mais je ne vais pas vous laisser poiroter sur le parking.

— Oh, on n'est plus à dix minutes près.

— Je ne sais même pas où il est.

— Tu viens à peine de le quitter, il ne doit pas être très loin.

— Et s'il ne veut pas finalement.

— Ce serait bien étonnant vu ce que tu viens de nous raconter.

— Mais ?

— Maxine, Audrey a raison, l'interrompt à son tour la canadienne. Ce n'est pas tous les jours que ce genre de chose arrive. Ne laisse pas passer ta chance. Tu n'en auras peut-être pas d'autre.

— Tu crois ?

— La chance est aussi éphémère qu'une bougie en pleine tempête.

— Allez ! Cours ! hurle sa meilleure amie. Va voir s'il est encore là !

Son cœur s'emballe. La joie la transporte. Le sourire aux lèvres, elle serre dans ses bras les deux femmes qui l'encouragent et court vers le hall des arrivées. Elle avait raison, Audrey est celle qui la met face à la réalité, lui fait prendre conscience de la vérité. Qui l'encourage à surpasser ses peurs et à foncer.

— Et demande-lui s'il connaît Jackson Rathbone ! crie son amie avec enthousiasme.

Comme à son habitude, la grande frisée ne perd pas le nord et voit toujours le côté positif des choses. Évidemment, arrivée dans l'aéroport, elle ne l'y trouve pas. La graphiste fouille les alentours : personne. Elle décide alors d'essayer l'air des taxis qui est également bondée. Elle se faufile entre les voyageurs lorsqu'elle aperçoit au loin un homme, brun affublé d'un masque et d'une paire de lunettes à la carrure semblable à celle d'Adrian, monter dans une limousine.

Bousculant allègrement la foule, la rouquine se fraye un chemin pour l'atteindre. Mais c'est trop tard. Lorsqu'elle arrive à rejoindre l'endroit où était garé le véhicule, il n'est plus là... Il est parti ! La déception envahit soudain le cœur de la jeune femme et humidifie ses yeux qui ne peuvent se détourner de la direction prise par la voiture. Elle a joué et elle a perdu. Son petit cœur se brise, comme elle a dû briser celui du chanteur. C'est affolant de se dire qu'en à peine quelques heures, ils ont sympathisé et qu'ils ont mutuellement ouvert leurs cœurs. Invraisemblable ! Bien loin de ce que Maxine avait prévu pour ce voyage.

— "Purée de patate douce", ce n'est pas de chance ! prononce nonchalamment une bouche encombrée par de la nourriture dans un français approximatif.

La graphiste réagit immédiatement à la voix grave qui parle dans son dos. Ses sourcils se froncent en l'écoutant. Elle la reconnaît, elle en est certaine.

— J'espère que ce n'était pas ta voiture ? continue la voix, poussant la jeune femme à se retourner vers l'homme qui croque allègrement dans une pomme, des écouteurs sur les oreilles. Elles sont parties sans toi ?

Bouche bée, la rousse est soulagée. C'est littéralement la fête des papillons dans son ventre. Elle ne peut m'empêcher de sourire bêtement.

— Tu comptes répondre à une de mes questions ou tu as perdu ta langue ?

Maxine ne prend pas la peine de répondre. Au lieu de ça, elle arrache le masque qui cache son immense sourire blanc et elle lui saute dans les bras, manquant de le faire tomber sous la surprise. Il sourit à son tour et sert son étreinte autour de sa taille. Des passants s'amusent à les voir ainsi. Elle, dans ses bras, les jambes entourées autour de son bassin. Lui, un gros sac sur le dos et une jeune femme accrochée au cou. Les deux tourtereaux savourent l'instant de ses fulgurantes retrouvailles. Puis Maxine se dégage et l'embrasse. C'est la première fois qu'elle prend cette initiative, ce qui ne déplaît pas au chanteur, bien au contraire. Une fois redescendue sur terre, il essaye de parler, mais la rousse l'en empêche en posant son doigt sur sa bouche.

— Attends ! Laisse-moi parler s'il te plaît. Je suis désolée, je n'ai pas ton talent pour écrire ou pour chanter. Et je suis si stressée que je ne sais même pas quelle chanson pourrait convenir pour illustrer ce que je ressens à cet instant même, commence-t-elle en lui attrapant les mains. Par où commencer ? Je devrais te dire à quel point je suis heureuse de t'avoir rencontré. Que j'ai passé les dix heures les plus folles de ma vie et qu'au final, j'ai besoin de toi. Je ne l'explique pas mais je crois que je t'ai dans la peau. Je me sens perdue car c'est tout nouveau pour moi. Enfin, j'ai déjà vécu des histoires d'amour mais jamais je n'ai ressenti d'attachement pour personne aussi rapidement. D'habitude, j'aurais essayé de m'enfuir. J'aurai pu même être très désagréable. Mais, sans que je sache pourquoi, je suis restée et je t'ai parlé. Et j'ai adoré ça ! Je ne savais pas ce que je voulais avant que je ne te regarde droit dans les yeux. J'y ai vu de jolies choses. Des promesses que j'ai envie de suivre. Mais j'ai peur. Je ne contrôle rien et ça m'angoisse. J'ai besoin que tu m'aides. Ne me laisse pas partir, Adrian. Retiens-moi ! Ne me laisse pas tout gâcher. Je sais que si tu ne fais rien, je vais éteindre cette petite étincelle qui s'est allumée entre nous. Et ça, je ne suis pas certaine que j'arriverai à la supporter.

La respiration saccadée, la rouquine attend une réponse de l'homme qui lui fait face. Mais elle tarde à venir. Non pas qu'il n'ait pas aimé le discours de la jeune femme. Au contraire, il en est très ému.

— Ce n'est pas réciproque, c'est ça ? J'ai tout foiré ? Dis quelque chose !

— Non, c'est adorable... Mais ça veut dire quoi ?

— Ça veut dire que tu avais raison. "Take a chance on us". On a qu'une vie et des rencontres comme la nôtre, on n'en fait pas tous les quatre matins. Saisissons notre chance. Je n'explique pas cet effet que tu me fais. Et je ne sais pas non plus ce que ça donnera une relation à distance, mais je suis prête à prendre le risque. Je veux découvrir ton monde, ta vie, tes passions et j'espère qu'au fond de moi que tu n'es pas en train de te moquer de moi. Mais tu vas arrêter de rire. Je t'ouvre mon cœur et tu te marres. Tu n'es qu'une...

Maxine n'a pas le temps de terminer sa phrase que le chanteur pose ses lèvres sur les siennes. Ils sourient tandis qu'ils s'embrassent tendrement. Se laissant même emportés par leurs rires de joie.

— Je ne voulais pas interrompre un si beau discours, avoue l'homme en replaçant une mèche derrière l'oreille de la graphiste. Je suis ravie que tu aies finalement changé d'avis.  "And how do we rewrite the stars ? Say you were made to be mine. And nothin' could keep us apart 'cause you are the one I was meant to find" (Et comment réécrire les étoiles ? Dis que tu es fait pour être à moi. Et rien ne pourrait nous séparer parce que tu es celle que j'étais censé trouver), chantonne-t-il à l'oreille de sa bien-aimée, tandis que la foule déambule autour d'eux, les ignorant même totalement.

Au milieu des voyageurs, le couple reste de longues minutes, enlacés, comme seuls au monde. Loin de tout et surtout des faits qui les ont amenés à être là, ensemble.

Aucun des deux n'aurait jamais cru que deux personnes pouvaient tomber amoureuses en seulement onze petites heures. Mais, la vie et le hasard font parfois bien les choses. Et leur histoire en est la preuve. Que ce soit son commencement, comme ce qui a suivi : Adrian et Maxine ont finalement pris le parti de laisser les choses se faire, comme elles venaient, avec simplicité, et sans bling-bling. Ils ont simplement décidé de construire leur vie ensemble comme ça. Comme une comédie romantique ou une jolie chanson d'amour.

FIN

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