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Chapitre 36


« La vérité est dans l'imaginaire. », Ionesco

Céleste tendit une main fatiguée vers le livre. Ses doigts tremblèrent un peu lorsqu'ils touchèrent la couverture rigide et bleu foncée du livre. Elle lut le titre et un sourire en coin caressa son visage.

Les métamorphoses d'Ovide.

Céleste ouvrit la première page.

Le titre y était à nouveau écrit, les grandes lettrines entourant un dessin à l'encre. La jeune femme plissa et pencha un peu la tête en avant. A côté d'elle, le loup tourna un peu la tête. Ses yeux ne se posèrent pas sur la jeune femme mais sur le livre entre ses mains, comme s'il cherchait à savoir quel œuvre elle tenait entre ses doigts.

Le dessin était à moitié déchiré, comme si des griffes avaient violemment amochées le papier. Céleste tourna un peu son visage et observa Orion. Son corps s'était brusquement figé et ses yeux perçants étaient fixés sur la couverture foncée. Lentement, la jeune femme, releva les lambeaux de papier restant jusqu'à ce que l'image reprenne forme.

Elle cligna des yeux plusieurs fois, abasourdie.

Adrien ne pouvait pas lui avoir apporté ce livre par hasard.

L'image représentait un homme en train de se métamorphoser en loup.

Pourquoi avait-elle été déchirée ? Par qui ? Etait-ce un livre appartenant à la bête ? Céleste sentit son cœur accélérer dans sa poitrine et tourna la page. La prochaine était blanche. Ainsi que la suivante et celle d'après.

Pourquoi Adrien lui avait-il donné un livre sans texte ? Où étaient passés les multiples textes d'Ovide ? Céleste posa le livre sur ses genoux et tourna de plus en plus frénétiquement page après page.

Brusquement, au milieu, des lettres apparurent et elle se figea instantanément. Un titre était joliment tracé sur le haut de la page déjà un peu usée. Lycaon et les crimes de la terre. Le texte n'était pas très long et lui aussi abîmé. Des tâches d'encres voilaient certaines lettres, certains mots étaient soulignés presque violemment, les bords des pages étaient déchirés et ondulaient. Céleste se passa la langue sur les lèvres et déchiffra silencieusement les quelques phrases qu'elle arrivait encore à apercevoir correctement.

« Aussitôt, des feux vengeurs, allumés par ma colère, consument le palais et ses pénates dignes d'un tel maître. Lycaon fuit épouvanté. Il veut parler, mais en vain : ses hurlements troublent seuls le silence des campagnes. Transporté de rage, et toujours affamé de meurtres, il se jette avec furie sur les troupeaux; il les déchire, et jouit encore du sang qu'il fait couler. Ses vêtements se convertissent en un poil hérissé; ses bras deviennent des jambes : il est changé en loup, et il conserve quelques restes de sa forme première : (...) on remarque la même violence sur sa figure; le même feu brille dans ses yeux; tout son corps offre l'image de son ancienne férocité. »

Céleste referma brusquement le livre et le laissa tomber à côté du lit. Elle serra les poings et subitement animée par un regain d'énergie, elle poussa son corps hors des duvets. A côté d'elle, le loup poussa un gémissement, s'aplatissant sur la couverture blanche, les oreilles en arrière. La jeune femme lui lança un regard où se mélangeaient inquiétude et colère. Elle recula d'un pas, les poings serrés.

« Qu'est-ce que tout ça signifie ? », siffla-t-elle, incrédule. Pour quelles raisons, au nom du ciel, Adrien lui avait-il donné un livre pareil ? Un livre en lambeau qui ne contenait qu'un seul texte qui ne fut même pas complet et traitait de la métamorphose d'un homme en loup. Etait-ce une mauvaise plaisanterie ? Etait-ce une allusion à la bête ?

Céleste avait depuis bien longtemps la certitude que quelque chose clochait. Elle en avait assez d'être prise pour une idiote, assez de se faire tourmenter de tous les côtés comme une marionnette, assez d'être étouffée par des mystères et des questions auxquelles personne ne souhaitait répondre. Elle voulait enfin avoir des réponses. Elle avança jusqu'à la porte et appuya sur la poignée.

Elle entendit le loup descendre du loup derrière elle, un jappement désespéré lui échappant tandis qu'elle avança à grands pas le long du couloir, le visage rougi, la respiration erratique.

« Adrien ! », s'exclama-t-elle, « Adrien ! »

Céleste s'était redressée et sa figure semblait comme illuminer par sa colère, une reine vengeresse vêtue de blanc, ne sentant pas le regard d'adoration du loup dans son dos. Quelques instants plus tard, elle entendit les pas du serviteur s'approcher avant que la figure d'Adrien n'apparaisse devant ses yeux. Il semblait inquiet et effectua rapidement une petite révérence.

« Mademoi-»

« Pas de Mademoiselle ! », l'interrompit Céleste. Elle avança de quelques pas vers l'homme qui trébucha un peu en arrière, les yeux écarquillés. « J'en ai assez de ces mensonges et de ces mystères ! Tout le monde ne cesse de me traiter comme une petite idiote depuis que j'ai mis les pieds dans ce maudit château – maintenant, je veux des réponses. N'ose même pas, ne daigne pas, me mentir Adrien. Lorsque je résidais ici, le roi n'a cessé de me dire qu'il n'y avait pas de bête. Pourtant, la nuit, j'ai rencontré cette bête censée ne pas exister et elle affirma être le frère d'Orion. Une nuit, ce n'est pas la bête que je rencontre mais un loup: je fuis du château, un chasseur inconnu tire sur l'animal et le blesse à la jambe. Quelques jours plus tard, le roi Orion disparaît, le chasseur me diffame pour m'épouser, la bête réapparaît à ma porte avec elle aussi une blessure à la jambe puis disparaît à son tour avant que ce ne soit le loup qui revienne, toujours blessé.

Mais, mon cher Adrien, j'omettais – Orion, la bête et le loup ont tous les trois les mêmes yeux. Exactement les mêmes yeux. La bête et le loup sont tous les deux trop humains pour être animaux, vois-tu. Et tous ces hasards ne s'arrêtent pas là ! Andoche, un homme du village qui n'a fait que m'insulter et empirer ma situation en m'accusant d'avoir couchée avec un homme, tout en étant fiancée au chasseur, est brusquement marié à la servante qui a tentée de me faire mourir alors que je résidais ici. Et maintenant, alors que je fais des rêves qui me semblent bien trop réalistes et que je commence à doucement douter de ma santé mentale, tu me donnes un livre, étrangement vide et déchiré, où il est question d'un homme maudit à se transformer en loup ! Alors maintenant, répond-moi Adrien, qu'est-ce que tout ça signifie ? »

Le serviteur avait blanchi considérablement et des gouttes de sueur s'était mise à perler le long de son front cireux.

« Je...Je... » Les mots semblaient comme étouffer dans sa gorge et il porta deux mains contre sa poitrine, une lueur désespérée dans les pupilles bienveillantes. Céleste sentit son corps se mettre à trembler imperceptiblement et elle serra les poings un peu plus.

« Je veux voir la Bête. », ordonna-t-elle d'une voix atone, lorsqu'elle vit que le serviteur semblait incapable de répondre et ne faisait ainsi qu'attiser sa colère. Adrien déglutit et ferma les yeux, prenant une inspiration tremblante. Le loup semblait lui aussi devenir nerveux, poussant des jappements inquiets et se dandinant de gauche à droite.

« Il n'y a pas de bête- », murmura-t-il. Céleste poussa un rire amer, rejetant sa tête en arrière et laissant cascader majestueusement ses boucles blondes le long de son dos.

« Evidemment ! Il n'y a pas de bête, seulement une petite paysanne laide et ignorante, souffrante d'hallucinations ! »

Adrien s'essuya le front du revers de la main et poussa un grognement exaspéré.

« Ce n'est pas ce que j'ai dit, mademoiselle. J'essayais simplement de vous faire comprendre qu'il n'y a pas de bête dans ce château, du moins aucune bête qui correspond à votre description. Sa majesté n'a pas de frère. »

Céleste recula d'un pas.

« Et quel est alors l'être que j'ai rencontré nuit après nuit ? Comment expliques-tu la ressemblance qu'il a avec le roi ? Je ne suis pas stupide, je sais très bien ce que j'ai vu ! »

Adrien se redressa, son visage se refroidissant un peu. Il releva le menton.

« Réfléchissez, Mademoiselle. Il m'est défendu de vous répondre, mais si vous n'étiez pas aussi bornée, cela ferait bien longtemps que vous auriez appris et compris la vérité. »

« La vérité ? », cracha Céleste, « Comment aurais-je pu l'apprendre alors que pas une seule personne ne semble capable de me montrer la moindre once d'honnêteté ? Et qui t'as donc défendu de parler, Adrien ? Le roi ? Ou bien une mauvaise fée ? » Aveuglée par sa colère, la jeune femme poussa un rire bref. Elle vit néanmoins le serviteur se recroqueviller un peu à l'évocation du mot fée. « Vu l'expression de ton visage, cela doit être la fée qui a avalé ta langue ! Mais pourquoi aurait-elle fait une chose pareille ? Eh bien, tu m'as demandé de réfléchir. Les méchantes fées, les très méchantes fées qui peuplent les histoires pour enfant sont particulièrement connues pour une seule chose : elles maudissent les hommes qui agissent contre leur volonté. Mais qu'as-tu bien pu faire pour provoquer leur colère ? Où n'était-ce pas toi ? Etait-ce peut-être Orion, n'autre très cher roi, dont la langue semblait parfois trop rapide pour le cerveau et la beauté trop grande pour son arrogance ? » Le loup réagit avec un grognement que Céleste ignora. « Est-ce lui qui a croisé le fer avec une de ces fées ? » Céleste s'arrêta un instant, essoufflée, surprise de la cruauté de ses propres mots. Elle sentait la culpabilité commencer à ronger son cœur – elle était elle-même incertaine pourquoi sa colère semblait si intense, pourquoi elle ridiculisait Adrien en le blâmant d'avoir peur d'une créature imaginaire.

Céleste se sentait horrible et détestable mais elle décida alors de continuer sur sa lancée jusqu'à ce qu'elle apprenne enfin la vérité. Elle jeta un court regard à Adrien, se demandant pourquoi il n'avait pas l'air en colère mais seulement tendu. Ensuite, elle pencha un peu la tête de côté et se tapota le menton, l'air faussement contemplatif.

« Mais que ferait une fée très cruelle et très en colère contre un petit roi trop hautain ? Elle ne l'a clairement pas transformé en crapaud. L'a-t-elle transformé en meuble, enfermé dans les murs de son propre château ? Ou pire... l'aurait-elle transformé en loup ? Se pourrait-il que cette bête et ce loup soient notre ô si grande majesté ? » Céleste rit, sa tête retombant dans sa nuque, le son raisonnant contre les murs ornés. Lorsqu'Adrien ne répondit pas, elle tourna la tête pour continuer sa tirade en le regardant dans les yeux.

Les mots étouffèrent dans sa gorge.

Adrien avait les yeux écarquillés, les mains tremblantes.

« Mademoiselle », souffla-t-il, lorsqu'il sentit son regard rivé sur lui, « C'est exactement ça. »

Une quinte de toux secoua le corps du serviteur et il porta à nouveau ses mains sur sa poitrine, en clignant des yeux de nombreuses fois. Céleste recula d'un pas de plus. Elle se força à rire de nouveau, attendant la pointe. Attendant la plaisanterie qui devait forcément suivre un tel propos.

Le visage d'Adrien resta grave. Derrière Céleste, le loup poussa un hurlement douloureux et la jeune femme tressaillit. Elle sentit son visage pâlir et se tourna lentement vers l'animal.

« Adrien ? », demanda-t-elle, sa voix perdant brusquement en assurance, « Tu ne peux pas réellement croire que ce loup est Orion ? Le roi Orion ?»

Le serviteur lui jeta un regard impassible avant d'esquisser un sourire amer.

« Pourquoi pensez-vous que je connaissais son nom lorsque vous êtes arrivés au château ? »

Céleste recula d'un pas de plus et secoua la tête.

« C'est impossible. Je disais ça pour plaisanter. Les fées n'existent pas. Les hommes qui se transforment en bête n'existent pas. Ce ne sont que des histoires. Des produits d'une imagination humaine bien trop garnie. »

Le visage d'Adrien se durcit.

« Alors avez-vous une autre explication ? Avez-vous déjà vu un autre loup aussi humain que celui-ci ? Comment expliquez-vous la couleur de ses yeux ? »

La jeune femme trembla un peu plus fort.

« Ses yeux ne sont peut-être qu'une malformation. Quant à son comportement, il a peut-être vécu parmi les humains et s'est ainsi fait domestiqué. »

« Et la blessure, Mademoiselle ? Et la bête ? Fouillez le château, vous ne la trouverez pas car vous-vous l'avez devant vos...vos yeux ! » Adrien toussa et se courba en avant, sa respiration un sifflement sonore.

« Oh ciel », souffla Céleste, « Oh putain de ciel. »

Ses jambes flageolèrent et elle tendit une main, trébuchant en arrière pour se retenir au mur. Sa tête se mit à tourner, encore et encore et encore plus. Tout cela ne pouvait pas être possible. Adrien devait avoir perdu la raison. Elle devait avoir perdu la raison. La fatigue, le froid et sa chute lui avait très certainement endommagé le cerveau. Ses jambes se dérobèrent sous son poids et Céleste glissa à genou, les grands yeux clairs écarquillés.

Dans sa tête, les mêmes mots résonnaient comme une litanie étouffante.

Ce n'est pas possible.

Elle vit Adrien s'approcher mais leva une main tremblante pour l'arrêter.

« Prouve-le. », souffla-t-elle d'une voix sans son, « Prouve que tu me dis la vérité. »

Le serviteur cessa d'avancer et se figea un instant, le visage toujours blanc comme un mort. A ses côtés, le loup semblait incapable de tenir sur place, des grognements sourds et anxieux lui échappant, sa queue effectuant des mouvements nerveux. Ses yeux verts ne quittèrent pas le visage de Céleste une seule seconde et la jeune femme sentait sa nervosité grandir et sa tête tourner un peu plus chaque seconde.

Adrien sembla réfléchir un instant puis baissa son regard vers le loup étrange.

« Orion », demanda-t-il, « Pouvez-vous aller à la bibliothèque et me cherchez un livre ? »

Céleste regarda le loup.

Il hocha la tête et quelques instants plus tard, la pencha de côté, d'un air interrogateur.

« Ah ! », s'exclama Adrien, « J'oubliais. Je souhaiterai que vous m'apportiez un livre qui n'est pas inconnu à Mademoiselle. L'enfer de Dante. »

Le loup hocha la tête à nouveau et disparut un instant. Céleste fut seulement capable de le regarder disparaître dans le couloir, incapable de formuler une pensée logique. Le loup devait avoir été apprivoisé, voilà tout.

Pourtant, les doutes commençaient à s'immiscer dans ses pensées et avec eux, la panique.

La jeune femme se trouvait proche de l'hystérie et se força fermement à garder une respiration régulière.

Quelques minutes plus tard, le loup réapparut, un livre soigneusement tenu entre les babines. Il s'approcha doucement de Céleste, posant le livre au sol devant elle avant de s'aplatir contre le carrelage un air plaidant dans les pupilles. Un frisson parcourut Céleste et elle recula son dos un peu plus contre le mur.

Non, ce loup n'était définitivement pas un animal.

« Oh ciel », répéta-t-elle à nouveau, perdant ses mots, « Oh bon sang, mais ce n'est pas...pas possible. Je... » Elle hoqueta tandis que son cœur résonner contre ses tempes. Elle se passa une main fébrile sur le visage, ne sachant plus comment réagir ni quoi dire. Elle sentit une main se poser sur son épaule et fit un bond de côté, tombant lourdement sur son coude. Un hissement de douleur lui échappa et le loup gémit, n'osant pourtant pas bouger de sa position pour ne pas l'effrayer plus.

Céleste vit Adrien se pencher au-dessus d'elle, l'air inquiet.

« Mademoiselle... Je... Vous êtes encore faible. Vous devriez retourner dans votre chambre et vous reposer. » Il tendit une main pour l'aider à se relever, main qu'elle refusa. Ignorant ses membres instables, Céleste se poussa vers le haut jusqu'à tenir debout du mieux qu'elle le put.

« Tu le savais tout du long, Adrien. », murmura-t-elle, le visage livide, « Tu le savais tout du long et tu m'as fait venir au château alors que le roi... » Sa voix se coupa et elle hoqueta à nouveau. Elle tituba en avant et manqua tomber de justesse, si ce n'était pour Orion qui retint son poids en place. Lorsque sa main toucha le pelage, Céleste recula en arrière, s'essuyant frénétiquement la main sur la cuisse, secouant la tête.

« Calmez-vous ! », ordonna Adrien alors que la jeune femme semblait perdre tous ses moyens, alors que ses yeux ressemblaient à ceux d'une biche en panique. Elle déglutit et cessa le mouvement de sa main. Lentement, elle se rassit au sol. Elle posa ses yeux clairs sur le loup qui l'observait.

Céleste se força à inspirer profondément et ferma les yeux un instant.

Ça va aller, pensa-t-elle et après quelques secondes d'hésitation, tendit une main vers Orion. Le loup fit un pas lent en avant et doucement, précautionneusement, posa sa lourde tête dans la paume de la jeune femme.

« Tu n'étais pas aussi... aussi tendre lorsque je suis arrivée au château. », dit-elle d'une voix rauque et bancale. Le loup tourna la tête et lécha un peu la main de Céleste avant de pousser un bruit ressemblant étrangement à un rire.

« Est-ce que tu as fait ces rêves toi aussi ? », demanda la jeune femme sans réfléchir, un air un peu enfantin dans les pupilles. Orion sembla hésiter puis hocha la tête. Le cœur de Céleste manqua un battement et elle retira sa main, faisant tituber le loup en avant. Elle se releva à nouveau et jeta un regard à Adrien.

« Je... J'aimerais me reposer un peu », murmura-t-elle, avant de chanceler jusqu'à sa chambre, Orion sur ses pas.

Bonjour, bonsoir les cocos!

Après que wattpad m'ait fait la misère, je suis contente d'enfin pouvoir publier ce chapitre où - oui, ENFIN - Céleste apprend la vérité. Maintenant, il faut encore qu'elle l'accepte (mais mettez-vous un peu à sa place). Mais nuit qui approche = pleine lune qui approche = Andoche = problèmes.

Bref, on n'est vraiment plus très loin de la fin et j'ai hâte de vous dévoiler la suite !

Je voulais aussi vous faire part de l'histoire que j'entamerais après que Face cachée soit fini. En plus de l'histoire Alea jacta est, j'ai décidé que je ferais à nouveau une réécriture d'un conte, avec une ambiance même encore un peu plus sombre que dans Face Caché mais à nouveau avec, disons, la thématique du loup. @lananasse avait commenté Raiponce et après réflexion, je me suis dit que l'idée pouvait être chouette.


Il était une fois une petite ville sinistre où vivait une jeune femme aux longs cheveux dorés et au visage d'ange. Enfermée pour rembourser les dettes de ses parents décédés, on la surnommait Raiponce – une Raiponce sans titre de noblesse ni haute tour.

Il était une fois un soldat qui revenait de la guerre. Un soldat maudit avec une âme ravagée par des blessures et un désir de vengeance.

Il était une fois une nuit d'hiver de pleine lune et une rencontre dans une maison close : un conte de fée teinté d'horreur, de neige et d'amour.

Je sais que le résumé est extrêmement vague, mais je ne veux pas encore en dire plus!

Des bisous♥

Blondouille

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