PDV NÉLIA.

Je regardais mon reflet dans le miroir, j'avais quelques peu grossi mais pas pour la raison que j'attend depuis des mois maintenant.

- Tes prête Nel'?
Je souffle et me tourne vers mon copain.

- J'ai pas envie d'y aller Ken..

- Il faut que t'arrête de te torturer l'esprit, je sais que tu va mal même si tu veux pas l'avouer.

- Il a qu'à aller se faire foutre, il pouvait pas vivre sans moi, la preuve que si.

- Arrêté Nélia, t'es dur la.

- Bon, on y va.
Je coupe court a la conversation et prend mon sac poser sur le lit avant de mettre ma veste et de franchir la porte de notre appartement. Ken ferme la porte derrière moi, et on monte dans l'ascenseur. Son bras passe par dessus mes épaules.

- Je t'aime, t'es ma vie.
Je lui souri et pose mes lèvres sur sa joue pour lui faire un bisou.

- Tu te souviens de nous ya quelques années ?

- Bien sur.

- Le Ken de ya quelques années il s'était embrouillé avec sa soeur et il était très en colère contre et la Nélia de ya quelques années elle m'avait dit de jamais rester brouiller avec ma soeur parce que c'était la personne la plus importante de ma vie et j'avais suivi se conseil et tu devrais en faire autant.
La porte de l'ascenseur s'ouvre et Ken sort en premier sans me laisser le temps de dire un mot.
Ce mec est vraiment merveilleux. Je sors à mon tour et on monte dans la voiture de Ken.
Deen faisait une soirée pour inauguré son nouvelle appartement qu'il avait pris avec Louis et nous étions tous invité.
Le trajet se fait en silence, pas un mot sort de ma bouche ni de la sienne d'ailleurs, plongé dans nos pensées.

- Bonsoir madame.
Je me fait accueillir comme une princesse par Deen

- Et moi non?
Dit Ken regardant Deen.

- Non.
Je ricane et croise le ragard de mon grand frere debout devant la porte de la cuisine.

- Salut.
Il s'avance vers moi et penche sa tête afin de pouvoir me faire la bise, aucun mot ne sort de ma bouche, je reste froide comme jamais je ne l'ai été avec lui.
Je dis bonjour aux personnes presentes dans l'appartement et m'assois a côté de mon acolyte de soirée , Antoine.

- Un verre ?

Il me tend un verre sorti de je ne sais ou que j'accepte.
Les heures passent et j'observe les gens autour de moi, j'ai l'impression qu'ils sont restés bloquer des années en arrière.

- Ca fait bizarre.

- Quoi donc ?

- Toi et Louis aussi distant l'un de l'autre.

- C'est ce qui arrive quand les gens changent.
J'hausse les épaules. 

Deux jours plus tard.
Appartement de Ken et Nélia,14h.

- Tu voudrais pas venir nous voir, la petite va bientôt naître et j'aimerai te présenter ma copine.
Je lève les yeux au ciel et regarde Ken en faisant non de la tête.

- Euh je sais pas je travaille en ce moment et je..

- Juste un week end ? Et avec Ken si tu veux.
Ken met sa main sur le micro et me regarde.

- Dis oui Nel', c'est le moment d'arrêter les embrouilles la.

- Bon d'accord, ce week-end alors c'est le seul ou je travaille pas le samedi.

- Parfait, a samedi ma chérie, tu m'envoie un sms pour me dire l'heure a la quel vous arrivez. Ken viens ?

- Oui oui bien sur. A samedi.
Je raccroche et regarde Ken en froncant les sourcils.

- Super, on va passer un bon week-end.

- Le prend pas comme ca mon coeur.

- Je vais devoir regarder sa meuf enceinte et devoir la supporter en plus de ca.

- L'important c'est pas elle Nélia c'est ton père et la relation que t'entretient avec lui.

- Je m'en sort très bien sans lui.
Dis Je en croisant mes bras.
Ken souffle et lève les yeux au ciel.

- Arrêtez de faire des caprices madamesoille Mathis.
Je lève les yeux au ciel.

- T'es insolente c'est incroyable.
Je ricane et me lève.

- Il est nouveau ce pantalon ?
J'hoche la tête et regarde mon pantalon en simili cuir.

- J'adore, tourne pour voir.
Je tourne sur moi même.

- Ah ouais j'aime vraiment vraiment la.
Je souffle et me retourne vers lui.

- Pervers va.

- Pervers mais pas insolent.

- Et bah je préfère être insolente moi.

- Bon je reverse les billets de train.
Il sort son téléphone de sa poche, et bah il m'a l'air bien déterminé.

02h30, appartement de Ken et Nélia.

PDV KEN.

J'arrivais pas vraiment à m'endormir, je somnolais de temps en temps mais impossible de m'endormir. Je sentais Nélia bouger pas mal aussi de son côté.
Je l'osbservais elle était dos a moi, qu'est ce qu'elle est belle dans sa nuisette rouge.
Je crois que je vais aller au stud enregistrer quelques trucs, je sais que Sneaz y est ce soir. Mais à peine je bouge que Nélia se retourne vers moi, ses yeux brillent même dans le noir c'est incroyable.

- Tu va ou ?

- Tu dors pas mon coeur ?

- Non j'y arrive pas.

- Moi non plus, je crois que je vais aller au stud.
Ses yeux se baissent vers nos draps.

- Tu veux pas rester la plutôt ?

- Qu'est ce qui se passe ma beauté?
Je demande mais généralement la nuit quand elle dort pas je sais pourquoi. Je me reallonge face à elle et passe ma main sur sa figure.

- J'ai besoin de toi en ce moment tu sais.

- Je suis la mon coeur. Toujours.

- Louis me manques.
Ses yeux se remplissent de larmes, je la regarde désarmer.

- Tu veux que j'essaye de lui parler demain ?
Elle hoche la tête.

- Fait moi un bébé Ken.
Ses mots son si sincère.

- Mon amour.. Je te promet qu'on va réussir.
Face à ca aussi j'étais désarmé, désorienté, on y met toute notre énergie, toute notre force et notre amour, mais tout les mois c'est la meme déception. Je sais plus quoi faire. Elle en souffre souffre moi je suis impuissant.
Ses lèvres viennent embrasser les miennes et ses larmes cessent de couler.

- Je t'aime.
Je la regarde dans les yeux, j'ai envie de la manger. Tout le désir que je ressens pour elle, je l'ai jamais ressenti pour personne.

- Moi aussi je t'aime.
Elle se met sur moi et je sens son bassin se frotter au mien. Mes mains viennent retirer sa jolie nuisette la laissant seulement vêtu de son tanga. Ma beauté, ce que je l'aime.
Je la bascule et me met par dessus elle, je lui mange le cou, c'est son gros point faible et j'en joue beaucoup, tout le temps, je descend et fait pareil sur sa poitrine en prenant soin d'embrasser ses cicatrices présentent sur celle ci.
Je l'entend gémir de plus en plus intensément. Je retire son tanga et elle mon caleçon, et embrasse ses lèvres avant d'entrer en elle, sa respiration s'accélère encore plus et ma bouche trouve place dans son cou, je mords ses joues que j'aime tant, j'entend ses gémissements qui se font de plus en plus fort et intense. Elle adore gémir, et j'aime l'entendre. Ses longs ongles gris griffent mon dos, et elle n'y va pas de main morte, je gemis de temps en temps de douleur mais la laisse faire. Ses dents mordent mon torse et le suce a quelques endroits.

- Je t'aime, t'es a moi.
Elle chuchote a mon oreille.

- Rien qu'à toi.
Je répond en continuant d'embrasser son cou.

Dans un dernier cri de jouissance je me retire d'elle, et la regarde, elle était aussi essoufflé que moi.
Je dépose un bisou sur son front, et la laisse venir se blottir contre moi.

J'espère que cette fois ci c'est la bonne pensais-je.