80
OCTOBRE 2018, PARIS.
PDV NÉLIA.
Mes yeux fixer le mur droit devant moi, alors que j'écoutais sans grande détermination ce qui se disait a la télévision mise sur une chaîne au hasard par mon frère qui entre temps était parti chercher de quoi manger.
J'avais travailler toute la journée, et je sentais que je ne pouvais plus enchaîné taff/soirée comme je le faisais il y a deux ans en arrivant ici. A la base, je n'étais pas une grande fetarde, et je ne le suis toujours pas, j'aime juste être posé avec mes gars. Mais plus les années passer, plus je prenais en maturité et plus je me disais qu'il serait temps de se calmer sur l'alcool, la fumette et les soirées, mais à chaque fois on recommence entraîné par les uns et les autres.
Je sens un poid s'affaler a côté de moi, je reconnais facilement l'odeur de Louis, ce qui ne me fait pas pour autant tournée la tête.
- A quoi tu pense ?
Il dit en sortant de quoi rouler.
- Euh, rien, enfin à trop de chose.
Je fini par détourner les yeux et par mettre mes lunettes, ma vue ne s'arranger pas avec les années, ca devenait même de pire en pire. Je m'allume une clope et boit une gorgée de la bouteille de coca que Ken ma ramener ce matin en rentrant de studio.
- Comme dab.
J'hausse les épaules. C'est vrai que je pense toujours à beaucoup de chose en même temps, ca en est fatiguant des fois.
- J't'ai ramené do-mac pour me faire pardonner d'hier soir.
- Hmm.
- Aller, vas-y.
Il me dit en me donnant un coup de coude m'indiquant de me servir dans les sacs rempli de mal bouffe comme dirait ma deuxième mère.
- La prochaine fois, essaye de pas confondre nos deux chambres stp.
- J'essayerai promis.
- C'était gênant en plus du coup.
- Grave, j'ai même pas pu niquer vu qu'elle cru que t'était ma meuf.
- Tu t'es niquer tout seul, tes con ma parole tu sais très bien que c'est ma chambre a droite.
- Avec l'adrénaline et tout ca, j'sais pas j'ai stresser d'un coup. Abusé quoi.
- Mais tu l'avait chopée ou celle la?
- La soirée chez mon collègue de travail la dont je t'ai parler.
J'hoche la tête entre deux boucher dans mon hamburger et souffle en entendant mon téléphone vibrer à côté de moi.
Je reprend vite le sourire en voyant que c'était Ken qui m'avait envoyer un message.
De : Ken
Je peux passer ce soir ? Besoin d'une soirée poser rien qu'avec toi❤
A : Ken
Oui ❤
Faut vraiment qu'on se mette à chercher un appartement sérieusement parce que ça devient vraiment compliqué, heureusement Louis dort un jour sur deux à l'appart donc on a un peu de temps pour nous.
- Bon, j'y vais oim.
- Tu vas ou ?
- Je travail ce soir.
- Ah.
- Je suis la demain soir promis.
Il depose un bisous sur mon front et se dirige vers l'entrée où il s'assoit à même le sol pour mettre ses chaussures.
- Tu rentre à quel heure ?
- Demain en début d'aprem faut que j'aille a la banque le matin et que je fasse quelques courses y a r a bouffer ici.
- Fait attention a toi en rentrant demain matin.
- T'inquiète. Tu fais quoi toi ?
- Y a Ken qui va passer.
A ma plus grande surprise il s'approche de moi et me sert dans ses bras, ce qui me surprend c'est pas qu'il me sert dans ses bras c'est que ca soit lui qui est entrepris de le faire. D'habitude, les câlins, les bisous c'est toujours moi qui fait le premier et il ne me repousse jamais.
- Je t'aime.
Mes bras se resserrent autour de sa taille, même un "Je t'aime" spontané de sa part, c'était rare. Mais, vu notre relation fusionnel depuis quelques années cela ne m'etonner pas.
- Moi aussi je t'aime.
- Allez, a demain, fait gaffe à toi.
J'hoche la tête et claque un bisous sur sa joue avant qu'il ne claque la porte derrière lui.
Maintenant, y a plus qu'à attendre Ken.
PDV KEN.
- Je suis heureux pour toi.
- Merci frère.
- Fait pas le con cette fois n'est ce pas.
- T'inquiète, j'en ai plus l'intention.
- Ah parce que t'en a l'intention.
- Joue pas sur les mots Deen.
Je soupire et lève les yeux au ciel.
- C'est pour ca que tes plus beaucoup présent en ce moment ?
- C'est à dire ?
- Au studio, avec nous en général, dans les soirées.
- A ce propos ouais, fin, j'ai vingt huis ans tu vois, j'ai beaucoup plus envie de me poser et de commencer un truc vraiment sérieux, donc je la fais passer avant, et c'est ce que j'aurais du faire bien avant.
- Moi,
Intervient Moh.
- J'pense pas que c'est parce que ta vingt huis ans, et que ta envie de te poser, non, ta envie de te poser et de la faire passé avant tout pas avant que le rap parce que tes amoureux d'elle.
Continue-t-il en me regardant droit dans les yeux.
- Il a pas tort.
Rajoute Idriss.
- Ouais parce que regard avant qu'elle revienne, t'avait pas plus envie de te poser que ca, et la voila.
Rajoute Theo, qui jusqu'à maintenant n'avait pas intervenu dans la conversation.
- Honnêtement ? J'sais pas, ouais vous avez peut être raison.
- Non, on a raison.
Me rectifie Moh avant de taper un sms sur écran de téléphone neuf.
- J'ai deconner quand j'étais plus avec ?
Je pose cette question car, elle me trottait dans la tête depuis bien longtemps, bien trop longtemps. J'en profite qu'on soit en petit comité aujourd'hui.
- Franchement oui, on te reconnaissait plus frère. Tu fumer, tu buver, on se demander vraiment ce qui t'arriver.
- Tu nous parler mal et tout.
Dit Moh en validant les paroles de Theo.
- Combien de fois on a essayer de t'ouvrir les yeux, mais mec ta jamais voulu nous écouter.
Rajoute Hakim.
- T'sais moi j'avais souvent Nél' au téléphone, et pendant un an, même si ouais, elle s'est remise en couple, elle a jamais arrêter de penser à toi, sinon elle serait jamais revenu sur Paris même si elle dit que c'était juste professionnel a la base.
Rajoute Moh après que Hakim est fini de parler.
- Et elle serait surtout pas revenu dans l'immeuble de votre premier appart.
Rajoute Hakim a son tour.
- Toi non plus, d'ailleurs.
Dit Léa, un léger sourir au lèvres.
Elle, elle connaît Nélia par coeur et moi aussi, alors forcément elle devine toujours tout.
- Bon j'y vais moi, avant que cette conversation ne se transforme en mon jugement.
Dis je en la regardant.
Léa rigole et je leur dit au revoir à tous avant de prendre la direction de notre immeuble ou ma belle brune au yeux aux yeux bleu m'attendait.
Elle avait réussi à enlever par je ne sais quel miracle cette horrible couleur blonde qu'elle avait sûr les cheveux et mon Dieu merci.
- Viendra-t-il un jour ou tu quittera tes casquettes Samaras ?
Entendis-je a peine rentrée dans l'appartement.
- Toujours la pour mettre une ambiance de merde toi hein.
- Toujours.
Elle s'approche dépose ses lèvres sur les miennes en guise de bonjour et en profite pour me retirer ma casquettes noir. Je passe ma main dans mes cheveux tandis qu'elle se retourne pour aller dans la cuisine en balançant ma casquette sur la table a manger.
J'en profite pour l'observer, elle avait revêtu un jogging addidas, un de mes tee-shirt sans rien en dessous et ses cheveux était comme a son habitude relever en un chignon fouilli.
- Je suis trop belle c'est ca ?
Elle dit en voyant que mes yeux ne la quitter pas. Elle fait un sur elle même en rigolant, ce qui me fait sourire et secouer la tête de gauche à droite.
Tu rigole ma beauté, mais t'es la plus belle femme qui m'est été donner de rencontrer. Pensais-je.
Je m'approche doucement d'elle, et la fait se retourner de manière à ce qu'elle soit face à moi, mes mains passent sous son tee-shirt, pincant ses petites fausettes en bas du dos, et déposant ma tête dans son cou afin d'y déposer des baisers chaud. Elle passe ses bras par dessus mes épaules, et étire son cou de manière à m'y laisser libre accès.
Peu à peu, je sent son bassin se rapprocher du mien, et venir s'y coller, la température monter dans pièce, ses joues joufflu commencer à rougir signe qu'elle commençait à avoir chaud, elle me pousse et me dirige vers sa chambre, devant la porte, je reprend le contrôle, l'ouvre et la ferme nous faisant nous retrouver dans le noir complet, je pousse Nélia sur le lit la faisant tomber sur le dos, elle se laissé faire et j'aimais ca.
J'étais tellement excité que j'en avais du mal a réaliser mes mouvements, j'aimais particulièrement le contact de sa peau contre ma peau, particulièrement le contact de sa poutine contre mon torse et inversement.
Je dépose une lignée de baiser chaud et humide du haut de son cou jusqu'à son jogging que je retire sans difficulté, avant de jouer quelques secondes avec le noeud de son tanga qui ne tarde pas lui aussi, a finir par terre, avec tout le reste de nos vêtements éparpillés un partout dans pièce.
Ma bouche trouve bien vite la sienne, et je demande accès à sa langue qu'elle me cède casiment instanement, ses mains tiré mes cheveix et notre baiser fougueux continuer, j'aimais l'embrasser, j'aimais embrasser ses belles lèvres pulpeuse, naturellement bien dessiné que n'importe quel homme rêverait d'embrasser, mais je fus obligé d'y mettre fin quand je sentis son entre jambe déjà mouillé contre ma cuisse.
- Putain, bébé, tu mouilles déjà.
Ma main faisais des aller retour en elle, et ses gémissements se faisait de plus en plus fort et régulier plus les minutes passer.
- Dépêche toi Ken.
Elle avait plus dit cette phrase en gémissant de plaisir que en parlant mais, ca m'excite encore plus, et aussi tôt dit aussitôt fait, j'attrape de quoi me protéger, et entre en elle, ses membres trembler déjà, je savais que cela n'allait pas être très compliqué de lui faire atteindre l'orgasme.
Je la sent renifler mon parfum, toute en gémissant, et planter ses longs ongles dans mon dos, me promettant de belle marques demain matin, tandis que ma bouche aspire sa peau, son cou, et plus particulièrement sa poitrine, je sais que ca l'excite beaucoup, elle est très sensible de cette partie de son corps.
De très longues minutes plus tard, je fini par l'embrasser et me laisser tomber à côté d'elle, essouffler comme jamais.
- Je t'aime.
Je ne pu m'empêcher de sourire bêtement avant d'embrasser son front.
Sa peau chaude contre mon torse également chaud, qu'est ce que j'aime ca, qu'est ce que je l'aime bordel.
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