Mercredi 28 Septembre 2016, Paris.

PDV NÉLIA.

- Alors avec Ken sa avance ? Hein ? Je regarde Moh et lève un sourcil.

- Y a rien entre Ken et moi.

- C'est pas se qu'on m'a dit.

- Et on t'a dit quoi ?

- Il me dit tous princesse, je suis son meilleur ami.
Ok, je vois ou il veux en venir. Peut-être à un chaste baiser que Ken avait déposer sur mes lèvres samedi dernier dans mon lit sous le coup de l'alcool ?
Oui, il ma très chastement embrassé les lèvres, il était tard, sa faisait un moment qu'on était dans le lit, on était face à face, sa main était sur ma hanche, mes yeux était fermé, il devait sûrement penser que je dormais, il s'est approché de moi, collant son corps au mien et à déposer ces douces lèvres sur les miennes.
J'allais répondre mais le principal concerné arriva deux verres à la main et s'asseya entre moi et Moh, il me donna un des deux verres et fis passer son bras par dessus mes épaules, j'ai pu voir Moh me regarder en mode "alors tu va me dire qu'il y a rien maintenant". Il dépose un baiser dans mes cheveux et chuchote quelques mots au creux de mon oreille.

- Ça va ma beauté ? Il te disait quoi Moh ?

- Oui, rien ne t'inquiète pas.
J'allais pas lui dire, "ha bah il était entrain de me faire comprendre que tu lui avait dis que tu m'avait fait un smack d'adolescent dans mon lit"
Il hocha la tête et se concentre sur la conversation de Théo et Hakim.
On était chez Idriss et Hakim depuis plus de deux heures, pour une soirée, il n'y avait pas encore beaucoup de monde, mais apparemment d'après Moh, sa aller arrivé.
J'apprécie vraiment les gars, ils sont vraiment cool, je comprend pourquoi Ken est pote avec eux.

Plusieurs heures était passer depuis notre arrivé chez Hakim et Idriss, Moh ne m'avait pas menti, le nombre de personnes dans l'appartement s'était multiplié par deux ou par trois.

J'étais actuellement accoudée au bar, avec Moh, le regardant nous remplir deux verres, un d'alcool pour moi et un d'Ice Tea, pour lui. Je détourna mon regard de Moh, pour regarder une petite blonde, qui avait pris ma place au côté de Ken, sur le canapé, la pute, pensais-je.

- C'est moi que tu traite de pute ?
Merde, je crois que j'ai penser trop fort.

- Heu non, non. Non c'est pas toi Sneazz', c'est la tasse-pé qui est carrément entrain d'aguicher Ken sous mes yeux, à ma propre place peut-être ?

- Bah c'est qui alors ?

- Personne. Je serra les dents.

- Tiens. Il se retourna en me tendant mon verre. Puis son regard à suivi le même parcours que le mien.

- Tu est jalouse.
PAS DU TOUT. Pourquoi je serai jalouse d'elle ? C'est vrai sa, comme je les dit de ma propre bouche toute à l'heure il n'y a rien entre Ken et moi.

- Non.

- Alors c'est quoi cette air la ? Tes toute rouge on dirait que tu va exploser !
Je ne répondais pas, bien trop occupé à regarder l'autre décoloré parler à Ken.

- Je peux te dire un truc ? J'hoche la tête. Depuis que ta débarqué à la coloc, Nek on le voit plus souvent en rée-soi, il ramène plus de meuf, et regarde la, la pute comme tu dit, qui lui parle, il en a rien à foutre, je suis son ami, je le vois, sa se lit dans son regard.

- Je dois comprend quoi la ?

- Tu lui plais, princesse. Et pas qu'un peu.
Je resta bloqué sur c'est dernières paroles, je lui plais ?
J'avais bien remarqué que il était vachement tactile avec moi, et tout. Oui je l'avais remarqué mais je crois qu'en vrai je voulais pas le voir, pascque à moi aussi il.. il me plaît et sa me fait peur, l'attirance que j'ai pour lui.
Je bu quelques gorgées de mon verre et regarda Moh, son regard en disait long à lui aussi.

- Il me plaît aussi. Dis je doucement.
Il me souria et retourna s'assoir dans le canapé tandis que moi je me dirigea vers le grand balcon pour souffler un peu. Et fumer.
Je m'adossa à la rambarde et alluma la clope qui était entre mes lèvres depuis quelques secondes.
Quelques minutes plus tard, la baie-vitré s'ouvrit sans que je n'y fasse attention jusqu'à deux bras vienne m'entourait la taille par derrière, puis qu'une tête vienne se nicher dans mon coup, sa tête.

- Pourquoi t'est sorti ? Il me demande après quelques minutes dans la même position.

- Fumer.

- Pourquoi t'est sorti toute seul ?

- Pour fumer.
Il souffla et enleva ces bras de ma taille pour me faire me retourner face à lui, il me pris ma clope des mains, que je n'avais même pas fini et la jeta par dessus le balcon.

- Ken! Putain tu c'est combien sa coûte un paquet de clopes ?

- Dis moi pourquoi tu est sorti.
Heu je rêve ou il veux me faire dis que j'étais jalouse la ? Et oui j'avoue j'étais jalouse de cette pute.
Il est ouf lui, j'avais j'avourai sa.

- Je tes dit que j'étais sorti pour fumer.
Un léger rictus lui viens au coin des lèvres. Je crois que j'ai jamais menti aussi mal.

- C'est marrant sa, je te crois pas.

- Qu'est-ce-que sa peut me faire ?

- Sa serait pas toute à fait par hasard, à cause d'une discussion avec Moh ?
Si Moh lui a dit ce que je lui est dit, je vais le tuer.

- Je vois pas de quoi tu parle.

- C'est fou comme tu ment mal.

- Je ment pas! Dis moi pourquoi je mentirais ?

- Peut être par-ce-que, tu est jalouse.

- Jalouse de quoi hein ? Cette pute qui a sucer la moitié des gars de la soirée, avec c'est cheveux décolorés la et son fond de teint mal appliqué !
Merde. Je viens de me cramer toute seule.
Il affiche évidemment un sourire de vainceur en coin de bouche et me regarde.
Il s'approcha de moi et décrocha ces mains qui était jusqu'à présent accrocher à la rembarde derrière moi pour venir enroulé c'est bras sur ma taille, serrant son corps contre le mien, et posa sa tête sur mon épaule tandis que mes bras était toujours croisé sur ma poitrine.

- Aucune de toute ces filles dans cette soirée, ne t'arrive à la cheville. C'est de loin toi la plus belle de toutes. Et avec un fond de teint bien appliquer au pinceau n°12 qui ne laisse aucune trace pour un résultat naturel.
Je lui frappa le torse en dé-croisant mes bras de ma poitrine le laissa s'approcher encore plus de mon corps. Il disait sa, par-ce-que toute à l'heure il me regardait me maquiller et que je lui est expliqué les différentes façons d'appliquer un fond de teint et aussi à cause de se que je venais de dire de l'autre pute.

- Tes pas drôle Ken! Je suis sérieuse.
Mes bras passèrent autour de sa taille automatiquement.

- Ohlala je rigole ! Moi aussi je suis très sérieux quand je te dis sa.
Je ne su quoi répondre. Moi qui a habituellement réponse à tout, la pour le coup ce n'était pas le cas.
On resta quelques minutes comme sa jusqu'à ce qu'il dépose quelques baisers dans mon cou. Je lui laissa libre accès d'ailleurs . Il s'arrêta et se redressa pour me regarder.

- Je peux faire quelques chose sans que tu ne m'insulte ?  Il avait chuchoté. Presque tellement bas qu'avec la musique j'avais eu du mal à entendre.
Je savais ce qu'il voulait faire.
C'est yeux passèrent de mes yeux à moi à ma bouche, plusieurs fois.
Il passa sa langue sur ces lèvres et approcha sa tête de la mienne tandis que c'est yeux eux, était rester bloqué sur mes lèvres. Le temps qu'il mis à poser ces délicieuses lèvres sur les miennes me paru interminable.
Quand il colla enfin sa bouche à la mienne, j'eus une sensation bizarre que je n'avais ressenti qu'une fois au paravent, il y a longtemps.
Ses lèvres bougèrent en même temps que les miennes, sur le rythme de la musique qui passait.
On se sépara au bout de quelques minutes à bout de souffle, il me souria et embrassa ma joue avant de replonger sa tête dans mon cou.

Au bout de quelques minutes, on est re-rentré en traversant le salon bondé de monde pour aller rejoindre les autres sur le canapé.

- Qu'est-ce-que ta à sourire comme un mongole toi ? Demande Idriss en regard Ken.
C'est vrai que depuis qu'on revenu Ken avait un sourire scotché au visage.

- Rien gros, je suis juste content d'être là.
Moh me regarda en souriant, on aurait dit il savait lui. Je leva les yeux au ciel en lui rendant son regard et mis ma tête sur l'épaule de Ken tandis que celui-ci embrassa le sommet de mon crâne et posa sa tête sur la mienne tandis que nos doigts s'entremêle entre eux.
Mes yeux se fermèrent me plongeant dans mes pensées, pensant à tous se qu'il venait de se passer, j'ignorais la nature de notre relation à l'heure d'aujourd'hui et je n'avais pas envie d'y penser, juste de profiter du moment présent.