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Vendredi 26 Mai 2017, Paris.

PDV KEN.

- Nélia, tu ne sortira pas habillé comme sa.

- Et pourquoi pas ?

- Mais enfin regarde toi ! Cette robe, elle est bien, tes magnifiques je te l'accorde, mais pour une soirée rien qu'avec moi, pas une soirée en boîte ou va y avoir un tas de mec en chien.

- Arrête avec ta foutu jalousie ! Je te comprend pas la, tu veux pas que je sorte voilé de la tête au pied aussi pendant qu'on y est ?

- Bah pourquoi pas ?

- Ken joue pas avec mes nerfs. Je te jure, tu me les casses.

- Fait moi plaisir, change toi, tiens regarde, celle ci par exemple.
Dis je en me dirigeant vers notre armoire pour en sortir une robe beaucoup plus sobre que la robe avec la quel elle était actuellement vétû.

- Mais Ken, cette robe je l'ai acheté exprès pour cette soirée avec Léa et Anaïs.

- D'ailleurs toi non plus tu va pas sortir comme sa ! Non mais vous avez péter les plombs ou quoi là ?
Dis je en voyant ma petite soeur sortir de ma salle de bain vétû d'une robe bien trop courte à mon goût.

- C'est toi qui a péter les plombs mec ça va pas ou quoi ? Je suis plus une gamine de seize qui t'obeïs sur quel robe je vais porter où je sort ou encore avec qui. Et je pense que Nélia est assez grande pour avoir sa propre opinion sur le sujet.

- T'appelle sa une robe toi ? Moi j'appelle sa un bout de tissu déchiré.
Elle pose ses mains sur ses hanches.

- Tu abuse sérieusement la Ken.

- OK, sortez comme sa, mais revenez pas en chialant ou m'appeler pas pascque vous vous êtes fait agressé dans la rue. Je vous préviens.

- C'est bon on va juste passer une soirée entre filles.

- Vous pouvez la passer la aussi votre soirée entre filles.
Dis je mimant des guillemets avec mes mains pour les mots "entre filles".

- Tu sais que tes relou quand tu t'y met ? C'est bon on va juste aller boire un verre on ira pas en boîte tes content ?
Continue ma sœur en tapant un sms sur iPhone.
Je souffle et m'assois sur le rebord de notre lit. Nélia vient presque immédiatement s'assoir à côté de moi et passe son bras gauche sur mes épaules et pris mon visage de sa main droite pour pouvoir me regarder dans les yeux que je détourne exprès pour l'emmerder.

- Regarde moi Ken.
Je fini par la regarder dans les yeux et ses iris bleu m'envoute. C'est limite si elle ne m'intimide pas.

- Je te promet que je fait attention à moi et à ta petite sœur, on va pas dans un bar qui criant trop, et promis on rentre pas tard.
Je grogne et fronce les sourcils. Elle fini par rigoler de mon comportement et m'embrasser, même si j'y mettais toute mon âme pour lui résister je ne pu plus longtemps. Mes lèvres s'étire en un sourire et je passe ma main dans ces cheveux brun.

- Tu m'envoie des messages.

- Et je t'envoie des messages.
Elle rigole face à mon comportement d'enfant et pose ses lèvres sur mon front pour l'embrasser avant de se lever. Ma sœur dépose elle aussi un bisous sur ma joue un peu plus longuement me serre dans ces petits bras, je ressèrent encore une fois malgré moi l'entreinte.

- Faite attention je rigole pas.

- Mais oui mon Ken promis on essaye de rentrer vivante.
Nélia ricane et enfile sa paire de basket, oui oui des baskets avec une robe on adore, tous comme Anaïs d'ailleurs. 
Elle me lâche et me dise un dernier au revoir avant de quitter l'appartement. Mes yeux ne purent s'empêcher de matter une dernière fois les fesses de ma copine et de s'attarder sur ses longues jambes fine.
Je saisis immédiatement mon téléphone.

À : Bébé.

Jolie seufs.

De : Bébé.

Je te manque déjà ?

À : Bébé.

Pas toi, mais tes seufs oui.

De : Bébé.

Connard va.

Je ricane et rejoins Louis dans le salon qui était poser devant un film donc j'ignorais le nom, et qui n'avait pas l'air de le passionne beaucoup.

- Alors cette gazelle ?
Un léger sourire apparaît au coin de ses lèvres alors que ses yeux dérivent vers moi.

- Rien d'exeptionnelle.

- Me l'a fait pas à moi frère, ta rien voulu dire devant ta sœur l'autre coup mais tu me l'a fait pas à moi.

- Elle est bonne, j'avoue, et au lit, elle est grave entreprenante et j'aime sa, mais je ferai pas ma vie avec quoi.

- Pourquoi ?

- Y a un creux de dix mètres dans son cerveau.
Je par dans un fou rire suite au ton qu'il avait employé en disant sa phrase et à cause de la tête qu'il avait fait et souffle pour reprendre mon sérieux.

- Je te jure, elle est trop conne mon gars, heureusement qu'elle suce bien c'est moi qui te le dit.
Il me fallu peu de mot pour repartir dans un fou rire, il me faisait vraiment penser à Nélia quand il parlait sa se voyait clairement qu'ils sont frère et sœur c'est deux là. Au première abord, pas forcément, physiquement on ne peux pas dire qu'ils se ressemblent de ouf, elle est brune, il est blond, elle a les yeux bleu, il a les yeux vert, elle a la peau hâlé, il a la peau blanche, leur seul point commun tout les deux est la veine présente sur leur poitrine à tous les deux, elle part de leur épaule et descend jusqu'à leur poitrine pour être exact, et d'après Nélia, il avaient le même ventre, bon sa, je pense qu'elle a halluciné plutôt mais bon. Non, il fallait regarder un peu plus loin que le physique, leur manière de parler était un peu différente, il avait un peu plus l'accent du Sud qu'elle mais avait le même langage, ils utilisaient continuellement, les mêmes mots et expressions sans même sans rendre compte parfois. 
Ils parlent aussi facilement des mêmes sujets. Il avait autant de caractère qu'elle, c'est un grand nerveux qui balance tous sur son passage quand il explose, comme Nélia qui jète mes affaires à travers l'appartement quand elle me fait une de ses crises, il est franc, elle aussi.
Elle est honnête et franche, lui aussi.

Honnêtement, je trouve sa vraiment dommage qu'il se défonce autant à la beuh, je l'apprécie vraiment beaucoup, surtout depuis qu'il habite avec nous, sa nous a permis de mieux faire connaissance, donc je commence à m'inquiéter pour sa santé comme je le fais pour chacun de mes frère. 
Mais bon, je préfère le voir un peu défoncé debout à me raconter ces histoires de cul à rigoler que allongé dans un hôpital en ayant à peine la force de parler.

- T'c'est je suis vraiment content que ma soeur soit avec toi.

- Sa me fait plaisir se que tu me dit la frère.

- Nan mais c'est vrai, je veux dire elle a pas connu de gars qui était méchant avec elle ou quoi tu vois, mais son ex, je sais j'avais un peu du mal avec lui, quand elle a commencé un peu à vrillé dans la drogue, elle m'a la jamais dit mais au fond je suis sur que c'est lui qui l'a amené à tous sa.

- Tu croit ?

- Ouais, même si Nélia, c'est la une sainte tu voit je c'est que elle a fait des tas de conneries et des trucs illégal seul, mais vraiment ce gars je l'ai jamais senti.

- Et moi qu'est ce qui fait que tu me sent ?

- Déjà, tu fume pas, et puis bon quand tu lui ramène des roses à 8h40 du matin, sa se voit que tu l'aime vraiment quoi.
Je ricane et lève les yeux au ciel, ils vont jamais me lâcher tous avec sa.

- Non je rigole en vrai, c'est dans ces yeux que je le vois qu'elle est heureuse.
J'ai pas toujours assuré avec elle alors crois moi que ses yeux de fille pas heureuse, je les connait plutôt bien, et je connais aussi ceux de la fille très heureuse. Et la, en ce moment ces ceux la que je vois.

- Merci, sa me touche vraiment.
Dis je en portant ma main à mon coeur.

- C'est normal frère.

- Quand tu dit que ta pas "assuré" avec elle t'entend quoi par la ?
Il soupire et allume son joint avant de tirer une latte et de recracher la fumé.

- Elle t'en a pas parler ?

- Je vois pas de quoi tu veux parler non.

- Quand elle avait jsais pas peut-être quatorze ans, elle était jeune mais elle faisait déjà bien plus vielle que son âge,  j'ai organisé une soirée chez mes parents, et cette soirée là je l'ai présenté à mes potes et elle a passer la soirée avec nous. Sauf que l'un d'entre eux la embrasser, elle la repousser bien évidemment, sauf qu'à l'époque j'étais jeune et très très con, je fumais deux fois plus que sa alors sa a pas arranger le truc. Je lui est pas parler pendant deux ans.

- Deux ans ?

- Ouais, deux ans, et crois moi je l'ai regretter pendant longtemps et je le regrette encore.

Je comprends mieux maintenant pourquoi quand j'ai appris pour Deen et ma soeur elle m'a dit de lui pardonner et de pas rester bloqué sur sa par ce que je pourrais le regretter.

- Et lui tu lui a reparler ?

- Non jamais. De ces quatorze ans à ces seize ans, je l'ai pas vu grandir, évolué, j'étais pas là pour sa remise de cap, j'ai pas connu non plus en même temps que tout le monde son premier copain. Je l'ai vu évolué de loin, physiquement, à travers les réseaux sociaux mais pas de près, et sa j'en est souffert, je disais rien je faisait le dure devant elle, mais je m'en suis voulu de l'avoir fait pleurer et de l'avoir vu souffrir à cause de moi. Et puis à un moment, j'ai fait de la prison, mais bon sa tu le c'est, pas longtemps quelques mois mais le fait d'être en plus loin d'elle ma fait réaliser que c'était plus possible qui fallait que je renoue le dialogue avec elle. À ma sorti de prison elle était la, je pensais pas qu'elle viendrait mais elle était la. Je lui est dit tous se que j'avais sur le cœur, que j'étais désolé, on a mis un certain temps à renouer le peu de contact qu'on avait, mais on y est arrivé, par ce que évidemment elle avait pris du caractère, c'était plus une p'tite fille de quatorze ans, nan c'était une jeune femme de seize ans déjà endurci par la vie.

Et c'est à se moment là, pendant son monologue qu j'ai réaliser, moi non plus je n'est jamais beaucoup étais là pour Anaïs.
Maintenant si, mais quand j'avais dix sept ans et que je suis partie de chez moi, elle elle en avait treize et elle avait pas compris grand chose. Je l'ai pas vu pendant un ou deux ans.
J'avais des nouvelles d'elle par la petite sœur de Antoine qui était dans la même classe qu'elle pendant ces deux ans.
Et puis un soir, je me suis décidais à aller la voir au lycée, elle avait quinze ans. J'avais passer trois heures devant par ce que j'ignorais l'heure à la quel je finissais. Quand je l'ai vu sortir, je me suis approché doucement de peur de lui faire peur, je savais pas vraiment comment m'y prendre avec elle, et elle m'a d'abord regarder et puis quand un minuscule sourire est apparu sur mon visage elle a accouru vers moi et ma sauté au cou, je n'avais jamais pris ma soeur dans mes bras comme sa.

Flashback

" - Tu veux que je t'accompagne ?

- Non t'inquiète, je vais gérer.
Répondis-je à Idriss qui me souriait comme pour m'encourager. Je le prend brièvement dans mes bras de sort du petite appartement des ces grands-parents où il vivait avec Hakim.
Je stressais un peu, de la revoir. Elle me manquait terriblement, je ne c'est pas si elle a beaucoup changé physiquement mais même si c'est le cas, je la reconnaîtrait c'est ma petite soeur quand même.

J'arrive devant son lycée, et après trois longue heures à voir entrer et sortir des lycéens de son lycée, je vois enfin la petite  tête brune de ma petite soeur apparaître parmi la foule, un sourire était scotché sur son visage alors qu'elle parlait à sa copine. Elle lui dit au revoir et traverse la route mais se stoppe en plein milieu de celle ci en me voyant sur le trottoir a quelques mètres seulement d'elle. Elle n'avait pas vraiment changé, elle était toujours aussi belle, elle avait juste un peu grandit et pris des hanches.
J'esquisse un sourire et la voit courir pour venir s'accrocher a mon cou. Elle avait toujours le même parfum.

- Ken ! Putain j'y crois pas !
Elle me touche les cheveux et le visage comme pour voir si c'était bien réel.

- Qu est ce que tu fait la ?

- Je suis venu voir ma petite sœur.

- Oh putain.
Elle me repris dans ces bras et une fois tout les deux remis de nos émotions on se dirige vers un café ou je lui paya un chocolat chaud.
On s'installe à une table, et une fois le serveur venu à notre rencontre elle retire sa veste en cuire.

- Tu la toujours ?
Dis je en attrapant sa main pour regarder ces doigts ou était une bague que je lui avait offert pour ces treize ans juste avant mon départ.

- Oui. Elle me quitte jamais.
J'embrasse ses doigts et garde ma main dans la sienne.

- Tes belle.

- Merci, toi aussi, par contre les cheveux sa s'arrange pas avec les années.
Je rigole et la regarde boire une gorgée de sa boisson brûlante.

- Tu ma tellement manqué tu c'est.

- Toi aussi Ken, tu me manque, je pense tout les jours à toi, y a pas un jour ou tes pas dans mes pensées, c'était horrible pendant ces deux ans, j'ai pas cesser de me demander ou t'était surtout si t'était pas à la rue.

- Non, non j'ai eu la chance de rencontrer une femme formidables, qui m'a beaucoup aidé. Pleure pas ma belle. Je suis la maintenant, je te promet qu'on va se voir souvent maintenant.
Je passe ma main sur son visage pour effacer les larmes qui coulent sur ses joues. Elle hoche la tête et relève les yeux vers moi.

- J'écoute tous se que tu fais tu c'est.

- Ha oui ?

- Oui.

- Et tu aimes ?

- Bien sur que j'aime, c'est toi le meilleur, et je suis sur qu'un jour tu sera le meilleur rappeur de l'histoire du rap francais.
Je souris grandement face se que viens de me dire ma petite soeur.

- Et toi sa se passe bien les cours ?

- Ouais, bon j'kiffe pas sa, mais je le fais par ce que après je veux faire des études donc il me faut le bac.

- Et tu veux faire quoi ?

- Du droit.
Une idée me viens en tête.

- Alors je te fait une promesse.

- Laquelle ?

- Quand tu aura ton bac, c'est moi qui te payerais tes études de droit.

- Tes sur ? Ah bah, oui excuse moi, vu que d'ici la tu sera devenu le meilleur rappeur de l'histoire du rap francais tu pourras.
Je lui souris et secoue la tête, elle m'etonnera toujours. Elle était loin de s'imaginer à cette époque là que c'était vrai se que je lui disait, trois ans plus tard, c'est moi qui lui est payée ses études de droit.

On resta la à discuter j'ignore combien de temps jusqu'à se que son téléphone sonne.

- C'est maman, va falloir que j'y aille.

- OK, tu c'est ce qu'on va faire ?

- Quoi ?

- Tu va me donner ton numéro, comme sa on reste en contact, on se voit souvent et surtout tu le dit pas maman et papa qu'on s'est revu surtout.
J'arrivais bien trop peur qu'ils m'interdise de la revoir. Elle hoche la tête et entre son numéro dans mon téléphone. Je paye rapidement l'addition et on sort dehors se retrouvant l'un devant l'autre.

- Tu veux que je te raccompagne ?

- Non, t'inquiète pas, c'est pas très loin la maison d'ici.

- D'accord. Bon, tu fait attention à toi, hein.

- Toi aussi Ken.

- De toute façon, je t'envoie un message ce soir et on se voit dans la semaine c'est bon ?

- Oui, je suis super contente que tu soit venu me voir tu c'est. Tu ma tellement manqué.

- C'est fini maintenant tous sa ma belle.
Je la pris dans mes bras et inspiré une dernière fois son odeur.

- Je t'aime. 
Première fois que je disais je t'aime à ma soeur droit dans les yeux en plein Paris.

- Moi aussi. Très fort.
Elle embrasse à plusieurs reprises ma joue, et je fait pareil avant de me détacher d'elle.

- Aller vas-y ils vont s'inquiéter.
Elle me fait un dernier bisous pendant que je la regarde s'éloignés. J'étais soulagée, je l'avais enfin revue.

S'en suivra de longues soirées et journées à lui parler par messages, pratiquement tout les weekends avec elle, j'avais retrouvé ma petite soeur."

Louis a raison, c'est dans les moments où les gens sont loin de nous qu'on se rend compte à quel point on tient à eux.

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