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Mercredi 10 Mai 2017, Paris.

PDV NÉLIA.

Quand j'entre dans l'appartement, la musique était presque à fond, la fumé qui s'échappe du salon m'indique que Louis était rentré.

- Coucou.
Dis je en déposant un baiser sur sa joue après mettre assise à côté de lui en tailleur.

- Ça va ?

- Mouais. Et toi ?

- Tranquille tranquille. Tu veux tirer ?
J'attrape son joint soigneusement roulé et tire plusieurs taffe avant de lui rendre.

- Il est rentré Ken ?

- Ouais, il est dans votre chambre, il écrit je crois.

- Encore.

- Ouais.

- Je reviens.

Je me lève de notre canapé et me dirige vers ma chambre pour espérer y retrouver Ken de bonne humeur.
L'image qui me viens au yeux en rentrant dans ma chambre, me fis sourire, Ken était bien là, oui mais pas tout seul, Moh était allonger à ces côtés, les yeux fermés, la tête posé sur l'épaule de mon chéri ,en jogging, visiblement endormi, ils étaient adorable touts les deux. Je suppose qu'ils étaient entrain de travailler puisque l'ordi de Ken était poser sur ces jambes ouvert avec quelques feuilles éparpillés à côté d'eux.
Je l'ai pris en photo et enleva l'ordi et les feuilles et les posa sur le bureau de Ken qui trônait dans notre chambre avant de mettre une couverture sur eux.
Je retourne dans le salon, montre la photo a Louis qui se fou de leur gueule.
En voyant sa cons' posait sur la table basse, je ne pu m'empêcher de lui poser une question, pas sorti de ma bouche depuis un bon nombre d'années, mais souvent sorti trop souvent il y a longtemps.

- Je peux m'en rouler un ?

- Ouais bien sur. Vas y

- Cimer.
Je prends de quoi rouler et commence à rouler. Un, puis deux, puis trois.

- Ken va être énervé.

- Pourquoi ?

- Il aime pas que je fume autant.

- Moi non plus, j'aime pas que tu fume autant. Nélia, faut pas passer ta colère et ta tristesse dans sa et la tise, faut en parler.

- Parler de quoi ? Hein ? Y a rien à dire.

- Bien sur que si. C'est juste que tu refuse de le voir.

- J'ai pas envie de parler de sa.

- Tu vois. Tu fuis.

- Louis s'il te plaît.

- D'accord ma belle, mais y a bien un jour ou va falloir que tu en parle. Et Ken aussi d'ailleurs.
Voyant ma mine fatigué et quelques peu énervé il m'ouvre ses bras pour que j'y vienne mis fofiler ce que je n'hésita pas une seul seconde à faire. J'étais bien dans ces bras, il me rassurait, sa présence dans ma vie était vitale, et c'est durant ces derniers mois loin de lui que je m'en suis aperçu.
On resta comme sa longtemps. Tellement longtemps qu'on ne vit pas les heures passées jusqu'à se que les têtes fatigués de Ken et Moh apparaisse dans le salon avant de s'affaler sur le canapé.

- Alors les amoureux, bien dormi ?
Lança Louis, un sourire moqueur sur le visage.

- Ta gueule wesh
Répondit Moh avant de rigoler.

- C'est lui la, je lui est dit faut pas qu'on s'endorme qu'est ce qu'il a fait ? Il est tomber dans le coma se con.

- Et ?

- C'est de ta faute. Tu te serait pas endormi je me serai pas endormi.
Moh leva les yeux au ciel en secouant la tête et se leva pour aller se préparer un café.

- Tes rentré y a combien de temps ?

- Je sais pas exactement,il devait être 18h vous dormiez déjà.
Il est actuellement 3h15 du matin, oui on vie la nuit.

- T'aurait du me réveiller.

- Vous étiez tellement mignon, j'ai pas osé.

- Serait-tu entrain de te foutre de ma gueule ?

- Peut-être un peu, Barbie.
Avant qu'il n'est eu le temps de répondre Moh réapparu dans le salon en coupant la parole à Louis par la même occasion.

- Je suis sur elle nous a pris en photo cette connasse.
Dit il en tendant une tasse à café bouillante à Ken.

- C'est pas du tout mon style.
Dis je un rictus au lèvres en regardant Louis qui se retenait de rigoler.

- À peine.
Il lève les yeux au ciel.

- Vous avez foutu quoi ?

- R, on a glander.
J'étais sensé révisé, mais bon, vu mon état, je suis pas sur que se soit une bonne idée

- Vous dormez la ce soir ?
Continua Louis.

- Je pense pas qu'on va dormir, mais on va rester là un peu pour bosser ouais et si on a une bête d'inspi on décalera au studio.

C'est sa de vivre avec des rappeurs.

Je me lève et me dirige vers la cuisine pour me préparer un chocolat chaud ainsi qu'à Louis, qui lui aussi a vingt-quatre ans, ne boit que sa.

- Ta fumé ?
Je sursota à l'entente de la voix rauque de mon copain et me retourna pour le regarder.

- Non.

- Nélia.
Mes yeux rouges me trahissait je le savais.

- Juste un ou deux.
Ou quatre.
Il souffla et passa ses mains sur son visage.
Je baissa les yeux instactivement, je savais que Ken voulait une femme, qui ne touche pas à la drogue et à l'alcool, mais ce n'était pas mon cas. Pas en ce moment.
Je savais que je le decevais mais, voilà, j'en étais la.

- C'est pas une solution.

- Vous êtes marrant, à me dire que c'est pas une solution, tous. Mais est-ce que vous en avez une de solution ? Toi, particulièrement, est-ce que t'en à un de solution ? Arrête moi si je me trompe, mais il me semble que non.

- Moi je fume pas pour essayer de cacher ma peine.

- C'est vrai, toi tu boit. Autant pour moi.

- Et essayer d'envisager de m'en parler sa tes pas venu à l'esprit ?

- Te parler ? Mais quand ? Tes jamais la Ken ! Le soir tes en studio ou dehors je ne c'est ou entrain d'écrire, la journée tu dort, le matin j'ignore où tes, mais tes pas la. Defois tu prend même pas la peine de rentrer à l'appart pour dormir. Et moi dans tout sa ? Je suis ou dans ton emploi du temps ? Entre deux sessions de studio à 6' du mat ?

- C'est mon métier, je peux pas le négliger pour toi.
Aïe. Voilà pourquoi habituellement j'ouvre pas ma gueule.

- Sa va, sa j'ai bien compris que je passais après le rap, évite de me le rappelais tu sera gentil.

- C'est pas se que je voulais dire.
Sa,il me l'a dit plus d'une fois sous le seum.

- Si, c'est se que tu voulait dire, on le c'est très bien, tout les deux. Ne nie pas, sa sert a rien.

Il ne répondit rien, mais je pouvais voir la colère dans ces yeux marron qui me fixait. Je n'aimais pas me disputer avec lui.

Je pris mes deux chocolats chauds et retourna dans le salon , sans vraiment trop le regarder, le temps passer, et il m'intimidait toujours autant quand il était en colère.

Il était 6h, quand je décida d'aller me coucher, Ken ne m'ayant pas adresser un mot de la soirée.
Le sommeil, ne voulait pas de moi, mes yeux rester ouvert et loucher vers la fenêtre, le soleil se lever à peine.
Comme à mon habitude, je regardais les étoiles, et m'imaginer que c'était une personne disparu de ma vie. Une pour ma grand-mère, une pour mon oncle, une pour mon meilleur ami.
Et puis, une pour ce bébé, aussi.

L'habitude depuis que je suis ado, de faire ce genre de chose même si, parfois, sa me faisait plus de mal que de bien.

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