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Dimanche 16 Avril 2017, Cannes.
PDV NÉLIA.
On étaient sur Cannes depuis hier soir et ce soir même, les gars avait fait privatisé une plage rien que pour nous. -On a vraiment une vie de rêve-
J'attache mes cheveux en un chignon comme à mon habitude le matin, et sort discrètement de la chambre pour aller voir ma meilleure amie qui était dans la chambre d'en face.
- Hey bitch.
- Yo. Bien dormi ?
- Ouais ! Le lit est ultra confortable.
- Le lit ou Ken ?
Elle dit pour m'emmerder.
- Les deux.
Dis je en souriant doucement.
- Alors, sa c'est passer comment hier ?
- Mal. On leur a dit, ils ont commencé à nous faire la morale et nous dire des trucs du genre "vous êtes trop jeune" ou "tu est irresponsable Nélia", tu vois et mon père nous a gentillement mis à la porte.
- Chaud. Et Louis ?
- Louis, il la super bien pris, il est super heureux lui.
Elle hoche la tête et joue avec son doudou.
- Il deal toujours ?
- Ouais.
Dis je dans un souffle.
- Et toi ?
- Quoi moi ?
- Tu m'a toujours pas dit pourquoi tes monté sur Paris.
Elle souffle et ses yeux se baisse encore une fois sur ses doigts.
- Chez moi y a rien qui va.
- Comment sa ?
- Je fais des études dont je le fou mais alors complètement et qui ne me serviront jamais dans la vie, ma mère veux pas me laisser partir alors que quand j'étais ado c'était limite si elle voulait pas me mettre à la porte, Raph me prend la tête et j'crois bien que je suis amoureuse d'un autre.
- Raph ? Dis je exaspéré. Non mais t'en a pas fini déjà avec ce type ? Sérieux se mec ta brisé le coeur cent fois depuis que vous êtes ados et tu continue à lui parler, la blague de l'année quoi.
- Ouais, je c'est. Mais sa je m'en suis rendu compte que récemment.
- C'est qui l'autre gars ? Je le connais ?
Elle semble hésiter quelques secondes.
- Non je crois pas, fin j'sais pas. Je te montrerai une photo plus tard.
Elle ment.
- D'accord. Je te laisse, on en reparle faut que j'aille voir Ken.
Je sort de sa chambre et regagne la mienne assez rapidement.
Quand je rentre dans la chambre que je partage avec Ken, ce dernier est encore toute endormi dans les draps blancs du lit. Je me fofile sous ses mêmes draps et me colle à lui afin d'embrasser son cou, pour le réveiller en douceur.
Petit à petit, il fini par ouvrir les yeux et me sourire.
- Bonjour ma belle.
Il grogne pour je ne ces quel raisons et pose sa tête sur ma poitrine.
- Je veux que tu le réveil comme sa tous les matins.
Continua-t-il en embrassant la naissance de ma poitrine. Il descend ces baiser et soulève mon débardeur pour embrasser mon ventre rebondi.
- Coucou toi.
Je souris à la vu de mon copain qui parler à mon bébé et sent sa main caresser ma cuisse, sensuellement. Il remonte et embrasse mes lèvres.
- T'es tellement belle.
J'arrive à distinguer alors que ces lèvres ne quitter pratiquement pas les miennes. Je souria à travers ce baiser, qui devenait de plus en plus fougueux et le poussa de sur moi pour le mettre sur le dos à fin d'être à califourchon sur lui. Nos langues jouaient ensemble alors que je n'hésiter pas à appuyer mon bassin contre le sien.
Je gémis en sentant son érection contre mon bassin.
Ses mains passèrent sous mon débardeur afin de me le retirer, dévoilant mon poitrine seulement vêtu d'un soutien-george en dentelle blanc. Il souria perversement à la vue de ce dernier et murmura quelques mots.
- C'est nouveau sa. J'aime beaucoup.
Je me contenta de sourire alors qu'il me retournait sur le dos afin de reprendre le contrôle de la situation.
Il trace une ligne de baiser imaginaire partant du haut de ma poitrine jusqu'à l'élastique de mon short-pyjama, qu'il n'hésite pas à retirer dans la même minute en retirant également ma culotte par la même occasion.
Je frissonna en sentant sa langue venir s'aventurerait dans mes parties intimes. Mon rythme cardiaque ainsi que ma respiration augmentèrent en sentant quelques minutes plus tard de ces doigts entrer en moi, allant de plus en plus profondément en moi, je commençais à gémir de manière incontrôlés. Certains de mes muscles se tendent alors que ma poitrine gonfle petit à petit et que les veines qui l'a parcours devienne de plus en plus apparente.
Il mis sa main sur ma bouche en voyant que je ne commençais plus contrôler mes gémissements.
- Chuuutte doucement bébé. Les gars sont à côtés.
Il m'embrassa pour étouffer mes derniers cris et retira des doigts de moi. C'était à moi, de lui faire plaisir.
Je passa ma main plusieurs par dessus son caleçon carréssant son érection et fini par lui enlever son caleçon avant de prendre son intimité en main et d'exercer des mouvements de vas et viens sur celle-ci, bon imagine pas du tout classe, je le branlais quoi. Je souriais en entendant mon nom sortir de sa bouche à plusieurs reprises, consciente du plaisir que je lui donnais.
Je m'arrête quelques minutes plus tard et voyant qu'il me regardait avec des yeux de chien battu, je fini par céder pour se qu'il me réclamait depuis plusieurs mois. Je pris son intimité en bouche et essaya de lui donner le plus de plaisir possible et bah, je le suçais. Je trouvais pas sa dégueulasse, mais bon voilà quoi.
Je souria encore plus en entendant sa réputation s'acceler et des gémissements sortir les uns après les autres de sa bouche.
Une fois fini, il me bascule encore une fois sur le dos, retire mon soutien-george et entre doucement en moi avant de commencer ces vas et viens en moi.
Je sentais l'orgasme monter en moi alors que ma vitesse cardiaque était au maximal et que ma respiration se bloqua par moment tellement le moment était bon, mes mains se tétanisé de bonheur et il était impossible pour moi de les bouger, me gémissements de faisait de plus en plus fort alors que mes ongles se plantait dans son dos.
Dans un dernier crié, il jouit et crie mon nom, avant de se retirer de moi.
Il me tandis ces bras et je n'hésita pas à poser ma tête sur son torse très rapidement. Il embrassa le sommet de mon crâne et me caresse mes cheveux.
- Je t'aime.
Je ne répondais pas, encore une fois. Et me contenta de lever la tête pour embrasser sa joue à plusieurs reprises dans un petit sourire. Je savais que sa ne lui suffisait pas, mais j'avais un gros bloquage quand il s'agissait d'exprimer mes sentiments, je ne lui est qu'une fois les trois mots interdit, et je ne regrette pas d'ailleurs, mais il me fallait encore du temps.
On resta dans cette position bien plus d'heure et on décida de se rhabiller, je passais par la salle de bain de notre chambre et refis mon chignon qui était quelques peu partie en cacahuète avant d'aller rejoindre Ken dans le salon de la villa que les garçons avait louer pour la semaine.
Alors que je traversais le couloir un raclement de gorge me fis me sortir de ma rêverie
- Vous vous arrêtez jamais.
Rigole Léa derrière moi. Je me retourne et fronce les sourcils.
- Fait pas style ta pas compris.
- C'est les hormones je crois, j'ai tous le temps envie de lui.
- Héhé profite, sa va certainement pas duré.
- Les gars sont ou ?
- T'inquiète ils sont parti avec Chloé chercher de quoi mangé pour la semaine. Y a que moi qui vous est entendu.
- Ha.
- Mais meuf, ta vu comment tu gémis avec ton corps la je comprend qu'il bande à mort...
- Qui c'est qui bande à mort ?
Demande la voix de Ken derrière moi. Je me retiens de rigoler en voyant la tête de Léa se décomposer.
- Personne personne.
- Si tu le dit. Il sont passés ou les autres ?
Il dépose un baiser sur ma tempe et passe sa main dans le bas de mon dos sous mon débardeur.
- Parti faire les courses.
- Je vais prendre une douche.
J'hoche la tête et à peine la porte de ma chambre claquer et Ken derrière celle-ci Léa et moi explosions de rire.
Je sent que cette semaine va être mémorable.
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