↠Chapitre 2
❝UN ANIMAL MISÉRABLE
EN CAGE❞
🥀
Ce royaume était une cage pour chien, et animaux. Celui ayant le pouvoir dans celle-ci avait la chance de dominé ceux enfermés avec lui. C'était son seul moyen de survivre auprès de ces animaux assoiffés de sang et de chair.
Jeongguk aurait aimé être ce chien, qui dominait dans cette cage, mais il n'était qu'un des plus misérable. La peau sur les os, accrochés aux barreaux de cette cage, dans un coin de celle-ci avec la boule au ventre. Le pouvoir et l'argent était tout ce don il pouvait être avare.
Son regard ne quittait pas l'extérieur de ses barreaux, les marchands l'avait enfermé dans l'une de leurs cages afin de le transporter. Il pouvait sentir les regard de ceux-ci, l'obsculter comme un bout de viande prêt à être consommer.
Il ne pouvait pas se sentir plus misérable ainsi, il arracha sa chair avec ses ongles en calmant son anxiété, ces regards et cet endroit confiné l'oppressaient.
Son souffle se faisait moindre, son torse se bombait difficilement. Il était auparavant prince, comment avait-il pu finir ainsi dans cet endroit dans les mains de ces personnes qu'il méprisait, désormais, c'était le contraire. Un jour il était celui qui les regardait de haut, un autre, celui qui laissant son regard au sol.
La tournure de son existence s'était retournée. Il ne pouvait plus regarder de haut, son regard était toujours à ses pieds, le rendant tout aussi misérable.
Il manquait d'avoir le souffle coupé en sentant sa cage vibrer suite au coup de pieds de l'un de ses agresseurs.
- Je n'aurais jamais cru pouvoir trouver un ara. En plus il est magnifique, il se vendra bien, se ventait-il aux nombreux à ses côtés qui le jalousait et étaient ébahi par la beauté du regard du noiraud lorsque son regard avec son œil rouge rencontrait les leurs.
La mâchoire de l'orphelin se crispa, il était irrité d'entendre la voix et les propos de cet inconnu. Qui ne semblait pas se gêner de se flatter de sa trouvaille devant ses amis.
Qui le dévorait du regard tout en enviant celui l'ayant attrapé. Jeongguk avait prit soin de laisser son regard s'arreter sur chaque visage qu'il pouvait rencontrer, de chaque regard qui rencontrait le sien.
En se promettant de les écraser, de devenir la bête qui dominera la cage avec son pouvoir et sa fortune. Il ne deviendra pas un chien obéissant aux odres des plus fortunés, c'est bien ceux-ci qui viendront lécher ses souliers, il se le jurait en laissant son regard noir dénuder les inconnus.
Jeongguk ne pu se retenir de degurgité son repas tantôt dans sa cage soudain, sous le regard de dégoût qui se lisait également sur les faciès de ceux qui lui faisait face.
Il toussa,en proie à un toux affligeante, il aurait cru pouvoir cracher ses broyaux, sa gorge était semblable à un dessert où avaient nicher des insectes aux griffes acérés qui pouvaient blesser sa traché.
Cela alerta et inquiéta les marchands, leur plus précieuse marchandise paraissait mourir sur place. L'un d'eux ouvrit la cage, dès lors qu'il pu entendre celle-ci grincer, jeongguk ne pu retenir un sourire qui étira ses lèvres gersées.
Quand soudain, dans un geste brusque et inattendu, l'orphelin blessa l'œil du malheureux qui avait ouvert sa cage à l'aide d'un bout de verre qu'il avait attrapé tantôt.
Les cris de douleur de ce dernier ne tardèrent à rendre l'atmosphère morbide, son oeil saigna en abondance, et ses cris satisfaisait les oreilles de l'Ara.
- Sale enfoiré! Je vais t'abattre sale clébard!, s'écria celui qui l'avait attrapé tantôt. Il se leva, s'approcha de l'orphelin avant que ce dernier ne se voit se faire projeter au fond de sa cage dans un geste si abrupte qu'il aurait cru entendre sa colonne vertébrale se briser. Il gémissa de douleur tout comme le blessé, horrifié de voir son sang orner sa joue gauche. Ce liquide s'écoula de sa main, jusqu'au sol où régnait l'orphelin. Le seul et unique trône qu'il avait pu convoité : ce sol poisseux.
- Si tu n'en était pas un, je t'aurais arraché l'oeil, lui dit-il en refermant la cage tout en le traitant comme une bête en le laissant auprès de ses restes de son dîner de ce matin qui divulguait une odeur nauséabonde, qu'un air de dégoût arbora les traits du faciès de jeongguk.
- Dommage, c'est bien celui-là qui te fera de l'oseille, lui cracha-t-il au visage tout en le défiant du regard avec une sourire satisfait sur ses lèvres. Et fier d'avoir employé le jargon de rue. Afin d'appuyer sur la pauvreté des marchands.
Ce sourire irrita les nerfs tendu de son agresseur qui aurait voulu plus d'une fois faire rencontrer le corp de l'orphelin aux barreaux de la cage afin d'entendre ses os craquer au contact du barreau froid. Fragile comme il était.
Le corp de celui-ci fut en proie à de violent frisson, il en grelotta, ce qui eu satisfaire le marchand ne ratant pas une miette du spectacle misérable souffrant à lui.
Celui en cage ne perdit pas pied, à sa fatigue, à son corp la peau sur les os, et à ce froid qui le prenait. Il tenait bon, mais en avait-il réellement l'envie. Semblait-il espéré mourir de froid sur place sous les yeux de ses agresseur, au lieu de se faire vendre.
Si il venait à mourir, il n'aurait pas la chance de voir la tête que ferait les marchands en voyant leur plus précieuse marchandise s'envoler aussi vite qu'elle ne soit attrapée.
Au delà, l'orphelin se devait de survivre, il se l'était juré afin de pouvoir faire reconnaître sa famille et son nom, qu'on la respecte enfin.
Que le roi, le meurtrier de sa famille se cambre, qu'il brise sa colonne vertébrale, qu'il tremble au sol face à la puissance et la richesse de son nom. Il devait venger sa famille et le faire manger la poussière qu'il balayait autrefois.
- Où sont tes responsables ?, demanda l'un d'eux. Jeongguk fut alors surpris d'entendre cette voix inconnue se lever. Il ne comprenait pas la raison pour laquelle il lui avait posé cette question, il n'était rien qu'un produit, pourquoi s'embêterai-t-il à faire connaissance ? Cela avait intrigué l'orphelin.
- Mort.
Un seul mot, qui pu retourner le sang de son interlocuteur. Il pouvait voir, de la pitié dans les yeux de l'homme, il manqua de pouffer de rire. Quelle sorte de pitié tentait-il d'avoir, lui, qui était comme tous dans ce véhicule : un homme à coeur de pierre vendant des humains.
Se sentaient-ils humains, eux, en faisant cela ? Jeongguk se le demandait.
Il n'avait pas eu le chance d'exploiter l'extérieur petit, ce monde était nouveau, il était curieux de tout. Même des profondeurs macabre de ce royaume imparfait mené par l'argent et la misère de la population le constituant.
Ce monde coupé entre le mal et le bien, instinctivement nous venons à dire que le mal représentait les démons et le bien, l'humain.
Mais en vue de se qu'il venait de voir, il pencherait bien pour le contraire. Le humains n'étaient pas mieux que les démons, un humain devait craindre ceux-ci, et sa propre race! Ils se detruisaient entre eux et se haïssait avec comme seul facteur de motivation : la richesse et le pouvoir.
Deux principes qui régnait au royaume, deux principes qui sans eux, il n'était pas mieux considéré qu'un animal. Cela ne l'avait pas étonné, depuis la mort de ses parents les actes barbares des humains ne l'étonnait plus.
- Vous ne me traiterez point ainsi si seulement vous saviez que j'étais autrefois un prince, dit-il en cripsant sa mâchoire afin de ravaler ses jurons et sa colère. Ces propos eurent le don de faire rire les hommes :
- Je me disais bien qu'un ara aussi beau ne pouvait pas être bien futé.
Ses propos irritèrent davantage l'orphelin, ils s'amusaient de lui et le faisait preuve d'irrespect. Tout ce dont il pouvait haïr. Alors qu'il s'apprêta à répliquer, le véhicule s'arrêta soudain. Jeongguk manqua de voir sa tête se cogner contre l'un des barreaux qui l'entourait. Quant il entendu les plaintes et les craintes des marchands.
━ Merde, c'est quoi encore ce merdier ?
━ Qui va voir le chauffeur ?
━ À coup sur c'est un coup de ces enfoiré de-, il n'eu le temps de finir ses dires, que le véhicule se remit en route au plus grand soulagement des marchands. Ils avaient paniqués si vite, une menace pesait-elle sur eux ? et cela n'étonnerai pas l'orphelin que cette menace soit les démons.
On dit qu'ils ont la fâcheuse l'habitude de se servir de ces convois afin de se nourrir en voulant les marchandises de ceux ayant attrapé ces miséreux dans les rues. Ils étaient assez paresseux. Et c'était pourtant les plus gourmant.
Il se demandait également si une seule race était conviée à la vente au enchère. C'est bien cela qui mettait la paix entre les deux races à l'épreuve, si aucune d'entre elle ne tentent de respecter l'autre, ce royaume ne changera donc jamais.
承
Il battu des paupières plus d'une dizaine de fois, les même pas qu'il avait pu entendre à chaque matin dans la rue qu'il logeait, ces mêmes pas, il pouvait encore les entendre. Ceux-ci eurent réussit à réveiller l'orphelin de son sommeil. Il hoqua de surprise en apercevant une jeune femme devant lui. Il resta d'autant plus surpris, de ne voir aucun barreau l'entourer.
Son regard ahuri se releva, et rencontra celui d'une jeune femme aux traits de visage aussi doux que sa tonation de voix qui résona dans ses oreilles.
- Aidez-moi.., supplia l'ara d'une voix faible et tremblante comme l'était son corp que la femme regarda d'un air de dégoût. N'était-il pas à son goût ?
- Je suis là pour te laver, et te vêtir avant la vente, lui explique-t-elle en sortant de sa bassine d'eau, une serviette blanche.
Jeongguk se rétracta, semblant apeuré par le geste soudain de l'inconnue qui tenta de le mettre en confiance. Personne n'avait osé le toucher, seul sa mère et ses douces mains magiques avaient approcher son épiderme à la valeur d'or. Son corp était et deviendrait une oeuvre d'art qu'on devait astiquer, la mettre en valeur devant le public.
Il était trop précieux pour qu'il accepte se faire manipuler et toucher ainsi par cette femme! Il ne pouvait pas se sentir ainsi plus misérable, que de devoir se faire dévêtir, obsculter par des regards de personnes non-chalantes.
La haine et la pitié étaient devenu une part de lui, cette part qui la grignotait, la rongeait à l'os, son sang prestigieux qui collait tel que les fleuves de la capitale était également une partie de lui. Sans eux, serait-il mort dans ces rues.
- Estime-toi heureux, peut être que tes maîtres prendront soin de toi. Que dis-je, évidemment qu'il le feront, tu es trop précieux, tu coûtes trop cher pour oser toucher à un de tes cheveux noir de jet..
« Merci de m'avoir sortit des décombres de ma misère à la rue », étais-ce qu'elle voulait qu'il lui crache à la gorge pour qu'elle ravale sa culpabilité ?
Il aurait espéré que celle-ci lui ronge la traché, grignote ses broyaux, jusqu'à l'os. Qu'elle puisse ressentir les méfait de ce sentiment, de sa pitié il n'en voulait guère. La jeune femme se sentit soudain intimidé par ses yeux ne lâchant pas son faciès. Celle-ci tenta de l'ignorer.
Alors que l'employée attrapa son poignet et longea son bras, jeongguk remarqua une tache de sang sur son avant bras, scrutant chaque parcelle de son corp, il ne constata aucune blessure sur ce dernier et en déduit que ce sang provenait d'une autre personne.
C'est ainsi qu'il se souvenu soudain qu'il avait blessé tantôt l'un des marchand et avait crevé son oeil. L'un d'eux l'avait menacé de l'abattre comme le clébard qu'il était.
Il ne pouvait y croire, à la cruauté des cœurs de ces humains. En étaient-ils, réellement, il se le demandait et retournait la question plusieurs fois. Son opinion n'avait pourtant guère changée sur ce monde et ce royaume, devant ses yeux ne se trouvait que la haine que l'argent et le pouvoir pouvait émettre entre ces races.
La haute société était la première à en être victime. Il vomirait devant l'hypocrisie de celle-ci, comment pourrait-il devenir l'objet de cette dernière ? Des frissons de dégoût gagnait son corps en y pensant.
- Tu as froid ?, jeongguk avait été surpris de sa question, s'inquiétait-elle pour lui, voyons, c'était bien la meilleure. Tu es gelé..
- Cessez. Cette fois-ci se fut la femme qui resta surprise. J'ai passé la moitié de l'hiver dans le froid. Croyez-vous que vos gestes puériles pourront réchauffer mon coeur ? Il est déjà gelé, prêt à ce briser. Ma vie se brisera dès lors que je monterai sur cette scène devant ces riches hypocrites! Vous comprenez ? Si vous m'aidez pas, vous ne valerez pas mieux qu'eux!
Ces propos avaient pu hurter les sentiments de la femme, celle-ci commençait à avoir les mains moites, anxieuse. Elle fuyait du regard le garçon qui semblait la convaincre de l'aider à s'enfuir.
« c'est du suicide », lui avait-elle affirmée.
Ce mot résonna dans l'esprit de l'orphelin. Préférait-il, mourir ou servir ces élites ?, se demandait-il, en fixant ces perles d'eau luissante contre sa peau. Il avait tout perdu, plus rien ne pouvait le retenir ici, puis soudain, il revena à sa raison. Sa vengeance animera son envie de survivre entre tempête, terre, mer!
Il y laissera surment son coeur, son corp, son âme, sa vie. Mais il y arrivera, brisé, gelé, son coeur le guidera à jamais. Sa haine elle, le suivera, tenterait-il alors de la laisser derrière lui.
Là où seul sa beauté primera, personne de ce public ne pourrait découvrir ce qui se cache derrière son coeur. Enfin, du moins une d'entre-elle, avec un regard unique et différent qui se posera sur lui, pourra le voir à travers cette façade. Cette personne serait-elle le soleil entre la tempête dans laquelle il était tourmenté ?
Il n'avait plus eu droit à la cage, la femme l'emmena hors de l'entrepôt où se faisait les coulisses de la scène. On pouvait entendre d'ici les acclamations et propos de celui qui était chargé de faire le show : « Vous ne regretterez pas votre achat cher gagnant! ».
Et si c'était le cas, si l'acheteur se lassait d'eux que deviendraient-ils ?
Plus ses pas l'avancait de la scène illuminée, plus ses craintes s'agrandissaient. Ses peurs le tétanisaient, ses membres se gelaient, et son coeur battait à tout rompre. Il aurait presque cru entendre le son sourd de ses organes au contact de sa cage thoracique qui semblait se briser à tout moment aux durs épreuves que faisaient mener son coeur.
Un inconnu, le bâillona les mains et les poignets. Bien que la cage avait disparue, il ne sentait pas plus considéré comme un humain.
- La quatorzième pièce et bien la dernière pour ce soir. Le meilleur pour conclure cette belle soirée! Nous avons eu la chance de le trouver grâce à un de nos fournisseurs. Acclamait donc le showman, en faissant des éloges à l'orphelin. Celui-ci ouvrit ses yeux, comme stupéfait par les dires du showman, venait-il de dire qu'une personne leur avait donné l'endroit où il couchait pour l'enlevé ?
C'est bien ce qu'il étendait par « fournisseur », il ne pouvait en croire ses oreilles. Accablé par ceci, il resta statique devant la scène.
Puis s'avança, tiré par la cordre que l'un des marchands avait dans les mains reliée à celle dont il était attaché.
Lui qui à cause de ses origines, de sa race, de son regard, de son œil droit rouge il s'était tapis dans la nuit afin que personne ne puisse lui accorder un regard de mépris, le voilà devant des milliers d'iris. Les siennes se dilatèrent à cause de la lumière projetée sur lui. Rendant son regard qui attirait toute l'attention, plus éclatant.
Une bête de foire, une attraction, était-il. Aux yeux de ces hypocrites assoiffés d'argent et de pouvoir. Obtenir un ara était un moyen de se venter davantage de leur puissance. Ainsi, les prix ne tardèrent à s'envoler dans les airs, sortant de la bouche immonde empesté par ces élites.
Il aurait presque pouffé de rire en se disant qu'il en avait fait partie, lui et sa famille. Il était certes tombé bien bas, mais il en refera partie, il se l'était juré. Non pas pour acquérir tout ce dont il avait perdu dans ce feu, mais bien pour détruire cette haute société qui le débectait.
Leurs regards oppressants eurent raison de lui. La gorge de jeongguk se serra, et aussitôt, l'orphelin sombra dans un océan de larmes et de sanglots qu'il avait ravalé plus d'une fois dans sa gorge. Les spectateurs étaient émerveillés par son visage angelique orné de larmes qui le rendait encore plus beau.
« 1 455 000 000 wons! »
« 1 700 000 000 wons! »
Il n'en revenait, ses hauts chiffres résonnaient partout dans le théâtre où jeongguk était le rôle principale et se devait de séduire son public. Et c'était déjà gagné, à ce qu'il pouvait entendre. « 3 500 000 000 wons », se chiffre laissa plus d'un sur son siège. Il ne voyait plus autant de tête se lever quand soudain l'un d'eux conclua :
« 5 000 000 000 wons ».
Le showman lui-même aurait cru s'étouffer avec sa propre salive en entendant ce chiffre. Ce chiffre devait conlure sa vente, se dit-il avant de laisser son regard se perdre sur ses pieds, tête baissée. Ne voulant pas, le relevé plutôt, craignant de voir son futur maître. Ses pas, ils résonnaient dans son esprit, le hantait quand soudain il vit les souliers de son acheteur.
Il n'avait d'autre choix, que de relever le regard, piqué par sa curiosité. Quand soudain sous la stupéfaction, il recula d'un pas en recontrant le regard de celui qui venait de l'acheter.
Un démon.
Oui! S'en était bien un, il ne pouvait pas se tromper. Ce regard, ce même regard que son père..
- Pourquoi un demon vaudrait-il d'un être aussi répugnant que moi ?
Ce démon semblait être étonné de ses propos. Il lui souria, jeongguk cru entendre son coeur se fisurer, la beauté de cette homme pourrait en fissurer bien d'autres.
- Vous êtes l'être le plus beau que j'ai pu rencontrer, aucun joyaux ne pu se faire comparer à votre beauté et votre regard. Ses compliments paraissaient sincère, mais il ne pu s'empêcher de se braquer à sa dernière reflexion :
- Pourtant c'est bien mon regard que je haïs le plus au monde. Qu'on me l'arrache cet oeil, j'en serai ravi!
Les lèvres de l'inconnu s'étira.
- Votre oeil vaut de l'or. Et votre âme en vaux la même valeur.
Cette fois-ci se fut les lèvres de jeongguk qui s'était étirée. Il avait mentionné son âme, cet homme était décidément un démon. Et cela ne ratait pas d'exciter le vendu, trouvant alors ce fait, intéressant.
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